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Petite vengeance personnelle... (eh oui, tout le monde a des défauts!)

Pour les élections départementales, je voterai au 1er tour pour un candidat ni PS, ni UMPUDI, ni FN, candidat qui ne sera à l'évidence pas qualifié pour le second.

Au second, dans tous les cas de figure, je me déplacerai pour voter nul et, si le candidat PS est toujours en lice, j'inscrirai lisiblement sur son bulletin de vote:

"Avec les meilleurs souvenirs de l'un des dindons de la réforme des rythmes scolaires."

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c dommage, les cantonales ce sont des gens proches de nous ... Et vu la montée du fhaine ! J'y ai beaucoup réfléchi, le rythme scolaire, c'est la Fcpe, le gouvernement n'a pas su imposer un cadre clair, nous laissant nous dépatouiller ... Et puis, mon candidat, il est bien, honnête intelligent ( trop même du coup, il a perdu sa mairie, tellement c'est un mauvais politicien et un excellent gestionnaire !). On vote pour le conseil général ( avec une proximité ) et non pour le parti. Maintenant tu fais comme tu veux, voici mon humble avis. J'ai aussi la haine â cause des rythmes m
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Chez nous choix entre UMP et FN! Super! Un seul tour, et peste ou choléra!

Sinon dans un autre registre.

Hier après-midi carnaval. Un paquet de parents présents le long du défilé, puis dans la cour. On les sort (les parents) vers 15h pour fait le goûter. L'école finit à 15h30. Et là!!!

Ben aucun parent n'est venu chercher son enfant avant les NAP!!! Qui étaient du coup une récré déguisée! :( :( ça me désole vraiment tout ça!

Mon atsem était dégoûtée. Fŕanchement, ils sont là chez eux ou pire sur la place du village à papoter, et viennent même pas. Les chercher une heure avant!

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J'ai eu un échange épistolaire musclé avec une maman qui me reprochait d'avoir imposé les horaires décalés (!!!!) et de chercher des excuses pour ne pas participer aux manifestations organisées par la ville les jours où nous terminons à 15 heures..... C'est dire.... Elle se demandait même à quoi je servais... très bon !!!

Il ne lui a rien manqué bien entendu, c'est très cordialement que je lui ai expliqué les faits, les transferts de responsabilité, et j'ai fini en lui suggérant de prendre ma place une demi-journée et surtout, de venir échanger avec nous, comme le font de nombreux parents, histoire de connaitre les tenants et aboutissants.

Je n'ai plus eu aucune nouvelle.

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«Bien sûr, rien n’est arrivé à Enis ! Mais ce qui est arrivé n’est pas excusable ! » Annabelle ne comprend toujours pas comment son fils de 3 ans et demi a pu échapper à la vigilance des adultes à la sortie de l’école, mercredi à la mi-journée, dans le centre-ville de Bourgoin-Jallieu.

Il était 12 h 09 quand le téléphone d’Annabelle a sonné. « L’école m’a appelée pour me demander si Enis était inscrit au centre de loisirs. La personne que j’avais au bout du fil m’a alors annoncé qu’ils ne retrouvaient pas mon fils »…

Son sang se glaçant, Annabelle a aussitôt rejoint l’école Victor-Hugo tout en prévenant le père de l’enfant. Comme tous les mercredis, Enis et certains de ces camarades de maternelle passent l’après-midi au centre de loisirs Léo-Lagrange. Aux alentours de midi, un car vient les chercher à l’école pour les emmener déjeuner.

« Ce furent 25 minutes d’angoisse interminables »

« Quand nous sommes arrivés, on nous a laissés tout seul, sans explication… J’ai appelé mon père pour lui demander de se rendre à la maison, au cas où Enis se présenterait », raconte Annabelle.

Alors que l’angoisse s’était emparée des parents du petit garçon, le téléphone d’Annabelle retentit une nouvelle fois. « C’était 12 h 25, c’était mon père, pour m’annoncer que la police venait de sonner à la porte, en ramenant Enis. J’ai alors appris que mon fils avait été aperçu dans la rue par une passante. Intriguée par la présence de ce bambin tout seul, elle a aussitôt donné l’alerte auprès du commissariat… Ce furent 25 minutes d’angoisse interminables ».

Franchissant le portail de l’école, le garçonnet a ainsi parcouru plusieurs centaines de mètres, traversé plusieurs rues, avant de se retrouver rue Pontcottier où il a été aperçu.

Dès le lendemain, la maman a déposé plainte contre X au commissariat. « Pour comprendre, pour que cela ne se reproduise pas. Comment les Atsem n’ont pas pu se rendre compte de son absence ? », s’interroge inlassablement la maman.

Plus d'infos dans nos éditions Isère du Dauphiné Libéré de ce samedi 21 mars

http://www.ledauphine.com/isere-nord/2015/03/20/un-enfant-de-3-ans-s-echappe-de-l-ecole

Punissons le PS dimanche ! Vengeance !! :devil: :devil:

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Nos effectifs grimpent et nous demandons l'ouverture d'une nouvelle classe (quartier très défavorisé (ZSP) mais école non "labellisée" REP, 1 à 2 intégrations par classe).

Problème de locaux : il n'y a pas de salle disponible. La mairie ne souhaitant pas investir dans un préfa dans l'immédiat, nous proposons de transformer la salle de motricité en salle de classe et de faire la motricité dans le hall (solution pas top mais on a fait le choix en équipe de privilégier la baisse du nombre d'enfants par classe.). On en parle en conseil d'école avec les parents, l'adjointe au maire et l'IEN. Ça ne semble pas gagné, mais l'adjointe en a quand même profité pour nous dire que si ça se faisait nous serions obligés de laisser nos classes au péri scolaire, vu qu'il n' y aurait pas assez de locaux....

Donc au choix :

- on continue avec nos effectifs élevés, avec tout juste une chaise et une table par élève et on préserve notre espace classe

- on baisse nos effectifs mais deux fois par semaine on doit quitter l'école à 15h (pas de salle des maîtres) et en plus on galère pour la motricité

- on laisse tout tomber, notre investissement dans le quartier depuis de nombreuses années, reconnu par l'ensemble des habitants (les dégradations dans le groupe scolaire ont disparu alors que c'était devenu une routine il y a quelques temps) et on se penche sur le mouvement....

Ecoeurée, là, un vrai sentiment de double peine...

Qu'on ne vienne pas me tenir le discours entendu en janvier sur le rôle de l'école dans les quartiers difficiles... (Ah oui, parce que j'ai oublié de vous préciser que la mairie avait des sous pour rénover l'école des quartiers aisés de la ville, que sur les 10 groupes scolaires de la ville nous avons les effectifs les plus élevés et que la coordinatrice TAP m'a fait remarquer qu'on avait vraiment les locaux les plus petits de la ville avec les effectifs les plus élevés et que c'était infernal pour organiser les TAP ...)

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la coordinatrice TAP m'a fait remarquer qu'on avait vraiment les locaux les plus petits de la ville avec les effectifs les plus élevés et que c'était infernal pour organiser les TAP ...)

Peut-être un point positif de cette réforme: elle fait entrer dans l'école des gens qui, contrairement à nous, ne sont pas (encore) habitués aux conditions de vie, de travail et d'étude lamentables que subissent les enfants et les enseignants dans beaucoup d'écoles.

Toute l'hypocrisie des chantres de l'intérédèzenfants va finir par se voir...

En même temps, on attend toujours que Rufo vienne faire un tour dans certaines écoles marseillaises et s'engage politiquement pour des améliorations concrètes: ça ne lui vaudra aucune invitation dans les salons parisiens mais sa notoriété sera plus utile aux enfants de la ville.

Posté(e)

la coordinatrice TAP m'a fait remarquer qu'on avait vraiment les locaux les plus petits de la ville avec les effectifs les plus élevés et que c'était infernal pour organiser les TAP ...)

Peut-être un point positif de cette réforme: elle fait entrer dans l'école des gens qui, contrairement à nous, ne sont pas (encore) habitués aux conditions de vie, de travail et d'étude lamentables que subissent les enfants et les enseignants dans beaucoup d'écoles.

Sauf que là, c'était pour justifier sa demande d'investir nos classes, pas pour demander à la mairie de les améliorer... :(

Posté(e)

C'est sûr qu'il ne faudrait pas que l'enseignement nuise au périscolaire... :(

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:clown:

Ce qui est terrible, c'est que à force de ne rien avoir on n'ose plus demander.

Une année en RAR, j'avais un petit tableau à double ventail (+ un mobile) pour mon cours double, tellement usé que des zones étaient jaunes, illisibles pour les élèves.

En CE, j'ai beaucoup choqué mes collègues en demandant s'il serait possible d'avoir une rénovation du tableau. Un mois + tard, il y en avait un neuf installé.

J'espère vraiment que cette audace aura eu des suites, car en visitant l'école la 1ère fois, j'ai demandé si il y avait un projet de rénovation majeur, devant l'état effarant des sols et peintures. "non, pas du tout". Une fermeture alors? "Non". (en fait si, il y a eu une restructuration lourde sur 2 ans annoncée dans l'année :thumbsup: ) .

J'étais l'année précédente dans la même commune, mais "en centre ville", et les collègues n'hésitaient pas à réclamer beaucoup, parfois de façon fondée parfois moins, mais étaient très souvent satisfaits.

Le contraste d'attitude entre les 2 équipes était impressionnant.

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