Club de lecture mois de juin

[petitelaura]

j'ai voté

[Babar.]

Je vais voter J'ai voté pour Au pays des hommes, j'avais hésité avec l'ardoise magique qui me tentais bien depuis le début de ce sujet.

Je me suis demandé si je pouvais y retrouver quelque chose des Cerfs-volants de Kaboul que j'avais adoré.

Et j'ai cherché sur Google et je suis tombée sur cet article de RFI dont le titre est Au pays des hommes, un chef-d’œuvre de la littérature contemporaine (voici le lien, je copie-colle l'article : http://www.rfi.fr/culture/20110406-pays-hommes-chef-oeuvre-litterature-contemporaine/)

"Exilé à Londres depuis plus de 20 ans, Hisham Matar est un romancier libyen de langue anglaise. Il est auteur de deux romans dont le second, Anatomy of a disappearance (Anatomie d’une disparition), vient de paraître en Angleterre. Son premier roman était un chef-d’œuvre, « genre de livre qui donne un sens au travail de l’éditeur », aurait déclaré son éditrice chez Viking.

Profitant des lumières de l’actualité braquée sur la Libye, les éditions Denoël viennent de rééditer Au pays des hommes, du Libyen Hisham Matar. Une excellente initiative car il s’agit d’un premier roman de qualité exceptionnelle, malheureusement peu remarqué lors de sa publication en français il y a quatre ans. En version originale anglaise, le roman de Hisham Matar n’était pas passé exactement inaperçu en Angleterre où il figurait en 2006 dans la dernière sélection du prestigieux Booker Prize. Il a été depuis traduit en 22 langues et a imposé son auteur comme l’un des écrivains anglophones les plus talentueux de sa génération.

Il faut absolument lire ce premier roman qui a la fraîcheur et l’innocence du Grand Meaulnes d’Alain-Fournier, et fait penser en même temps à l’univers totalitaire du 1984 de George Orwell. Matar nous fait rentrer au cœur ardent de la société libyenne, ce que les médias internationaux n’ont guère réussi à faire depuis le début des soulèvements populaires contre le colonel Kadhafi il y a plus d’un mois.

Ce roman brosse le portrait d’une société complexe, jeune et inventive, étouffant sous l’étau d’un régime totalitaire qui ne tolère pas la moindre opposition et punit les dissidents avec la plus grande sévérité. Matar en sait quelque chose, avec un père activiste kidnappé par les services secrets libyens dans les années 1990. Opposant connu, Jabar Matar s’était exilé en Égypte avec toute sa famille, avant d’être enlevé au vu et au su des autorités égyptiennes. Il fut jeté dans la prison de haute sécurité d’Abu-Said de Tripoli. Une sorte de Bastille libyenne dont personne ne sort indemne. Vingt ans après, les enfants Matar ne savent toujours pas si leur père est encore en vie…"

[Gianna]

On ferme les votes ce weekend ? Ca vous va ?

[garba]

Ça me va, j'ai voté.

[petitelaura]

pfff je les trouve pas en ebooks, si quelqu'un a

[Gianna]

Le gagnant est "la passerelle" de Loorie Moore !

Bonne lecture !

[Gianna]

On n'a qu'à se donner le temps qu'on veut !

Je crois que tout le monde va avoir un mois de juin chargé !

[Lulublue]

Cool !

Je viens de le commander sur le site de la Fn*c

[Gianna]

Je viens de l'emprunter à la bibliothèque !

Je commence ce soir si je ne m'écroule pas de fatigue avant !

[ximixt]

Je le commence demain

[ximixt]

J'ai lu les 100 premières pages et j'ai du mal

[Gianna]

J'ai du mal à rentrer dedans aussi.

Je lis le soir, d'habitude même si je suis fatiguée, ça ne me dérange pas de lire quelques pages, mais là, je n'arrive pas à me motiver !

Je verrai quand j'aurai un peu de temps !