Polythene Pam Posté(e) 29 novembre 2015 Posté(e) 29 novembre 2015 Ben oui "une réforme, mais pas celle-là".... C'est bien là le problème. En fait, il faudrait davantage parler de révolution pour vraiment faire changer les choses. Mais une révolution, ça ne se fait jamais sans douleur. Les réformes, on peut les comparer à un pansement sur une prothèse, en définitive, on garde un système, qui ne fonctionne plus depuis longtemps, et on y ajoute des trucs et des machins. Tant qu'il n'y aura que des réformes, le système enverra toujours 150 000 jeunes pas an dans la nature sans qualification, les enseignants seront toujours aussi mal payés et mal formés. Les ministres font 3 petits tours et puis s'en vont, leurs directeurs de cabinet, de DEGESCO ou autre service ministériel restent et poursuivent leurs politiques désastreuses, et n'auront jamais aucun compte à rendre.
nola Posté(e) 29 novembre 2015 Posté(e) 29 novembre 2015 L'importance de la direction dans le climat d'une école n'est contestée par personne. Si la question posée était: "comment aider les directeurs à remplir au mieux leurs fonctions éducatives et pédagogiques?", on pourrait discuter de formation, de décharge, d'aide administrative, d'appui de la hiérarchie. Mais ce n'est pas la question posée par le MEN, non? Le "bon" vieux temps n'était pas toujours si bon mais les directeurs "à l'ancienne" réussissaient à gérer leur école sans aide administrative. Ils n'étaient pourtant ni plus malins, ni mieux formés que maintenant. Les postes de direction étaient fréquemment occupés par des quinquas. Une sorte de bâton de maréchal. Il faudra bien un jour établir des responsabilités: qui a dégradé et abaissé cette fonction au point que plus personne n'en veuille dans certains départements sauf pour échapper au REP et se rapprocher de la maison sans avoir trop d'ancienneté? Eluder les questions qui fâchent en poursuivant la fuite en avant via l'empilement de "réformes" technocratiques me parait la pire des options.
mayre Posté(e) 29 novembre 2015 Posté(e) 29 novembre 2015 Pascal, je sais combien la fonction de directeur peut être lourde, j'ai quelques heures de vol derrière moi (bien que certainement moins que certains ici). J'ai la chance d'avoir des adjoints en or. Ceci change probablement cela. Des adjoints comme tu le décris, il y en a, peu, heureusement. Des directeurs chefaillons, il y en a, peu, heureusement. Non, la crainte principale qui va dans la logique des dernières réformes, c'est la municipalisation de l'école, avec la disparition du statut de fonctionnaire d'état. Les dernières réformes, derniers accords, dernier rapport vont tous dans ce sens: - diversité des horaires en fonction des choix municipaux - signature du PPCR avec en préambule la fusion des trois corps de fonctionnaires d'état - rapport indiquant la nécessité de supprimer les CAP - nécessité annoncée de convaincre les intercommunalités de prendre en charge la compétence scolaire Or, moi, je tiens à la fonction publique d'Etat, qui protège des politiques locales. Il y a des changements à effectuer, c'est certain: le temps de décharge est insuffisant, la valorisation du salaire du directeur est insuffisante. Par rapport à ta préférence qui, si je comprends bien, irait vers les EPEP, cela voudrait dire que de toute manière, tu ne serais plus directeur de ton école 3 classes, tu serais "référent école", non déchargé. Tu aurais un directeur qui gérerait 10 écoles comme la tienne et qui déciderait de quels moyens tu pourrais disposer. Chouette, vraiment: il ne connaitra ni tes collègues, ni tes élèves... Et il aura autant de pouvoir que l'IEN face à un refus de décloisonnement comme tu nous le relates: aucun...
jeanounette Posté(e) 29 novembre 2015 Posté(e) 29 novembre 2015 PE et directeurs n'ont aucune reconnaissance. Donc ce n'est pas en bataillant les uns contre les autres que nous avancerons positivement. Le fonctionnement des écoles a changé et c'est sur ce point qu'ensemble nous devrions lutter et avec l'appui de nos syndicats. Une bonne partie des demandes institutionnelles n'a aucune raison d'être et les directeurs perdent trop de temps à remplir des documents dont l'utilité est fort incertaine. Normalement, nous devions avoir des temps de réunions pour améliorer le fonctionnement des écoles, mais ce temps s'est transformé en injonctions administratives, en remplissage de formulaires abscons et inutiles. Typiquement, dans le cas d'enfants ayant des difficultés, aujourd'hui, nous perdons notre temps à faire des dossiers pour espérer une aide qui ne viendra pas forcément et nous devons l'aider autant que nous pouvons sans moyens. Je crois que c'est contre cette administration qu'il faut lutter. Mais aujourd'hui, l'idée est avant tout de diviser afin de pouvoir imposer encore plus de charges aux uns et aux autres. Ne croyez pas qu'avec un statut les directeurs se trouveront d'un coup mieux respectés et plus libres. Rappelez vous de ce grandiose nouveau statut de PE qui nous ouvrait tant de portes, qui nous élevait... Nous n'avons jamais été aussi bas ! Je partage totalement cette analyse . Tout a été fait pour submerger les directeurs de tâches de plus en plus lourdes et contraignantes (souvent invisibles pour les collègues ) et ainsi faire apparaître comme absolument nécessaires des changements de statuts . Bref un piège administratif contre lequel il faut lutter , s'il n'est pas trop tard .
dzorkette Posté(e) 29 novembre 2015 Posté(e) 29 novembre 2015 J'ai lu ce fil avec attention sans chercher à débattre, mais je constate un aspect de la question que vous n'abordez pas, ou juste par la bande. Vous n'envisagez la question que du point de vue des adjoints qui seront certainement martyrisés par des chefaillons si on change quelque chose. J'ai lu les mots "directeur à l'ancienne" sur un post; je suis un de ces directeurs, proche de la retraite, plus concerné par le bon fonctionnement de l'école et la réussite des élèves que par les consignes diverses qui nous tombent du ciel en permanence. Eh bien le dirlo "à l'ancienne" il est las, très las. Très fatigué de l'absence totale de retour sur son boulot, assez halluciné aussi d'être considéré comme une menace potentielle. Avec ma petite école j'ai une classe à temps plein, des heures d'APC à faire, et la boulot de directeur en sus. Personne ne m'en sait gré, ou alors c'est en toute discrétion. J'ai une "indemnité" (on m'indemnise, c'est tout dire...). Mon école tourne bien, tout le monde est content, moi aussi, mais personne ne me le dit. C'est ingrat, quand je passe des heures à faciliter le boulot de tout le monde pour que chacun puisse bosser dans la sérénité. Tout le monde s'en fout, en fait. J'ai des "plans" à remplir, des réunions avec tout un chacun - Mairie, IEN,équipes d''enseignants ou de suivi, parents de l'école, parents de ma classe... -, des réponses à apporter à tous, des délais de rigueur pour tel ou tel paperasse à faire, de la planification pour des réunions, des AESH à suivre, des locaux à vérifier constamment et des coups de fil à donner parce qu'un chiotte est bouché ou donner le nombre de photocopies faites ou... C'est continuel, permanent. C'est fatigant, c'est souvent très chiant. Tout le monde s'en tape. En revanche, quand il arrive une couille, sur qui on tombe? Avec unanimité. Qui se fait engueuler? Qui se fait suspecter de je ne sais quoi quand il répartit les classes et les élèves - même avec trois classes ça m'est arrivé - ? Pourtant, parfois, ce boulot est passionnant. Il peut l'être, quand un projet longuement travaillé fonctionne parfaitement, que tout est huilé, que rien n'a été oublié. Le dirlo voit les enfants heureux, les collègues ravis, les familles enchantées. Alors le dirlo, qui n'a pas le temps ni les moyens de faire son boulot, il en a marre. Il en a marre de suggérer subrepticement et gentiment à une collègue que non seulement les heures de sport sont dans les programmes mais qu'en maternelle c'est aussi indispensable pour les acquisitions et le bien-être des enfants, et se faire dire de s'occuper de ses affaires. Il aimerait avoir un statut qui ferait qu'une adjointe, qui refuse systématiquement tout échange ou simplement de respecter les textes, aurait juste une petite crainte irraisonnée qui la ferait aller en salle de jeux avec ses pauvres gosses qui ne demandent que ça. J'ai eu un compliment la semaine dernière, d'une collègue qui sent que le directeur est en train de craquer. Pourquoi tant de directions vacantes à chaque mouvement? On ne peut plus, aujourd'hui, avoir une classe et être simultanément directeur. C'est impossible, sinon au détriment de l'un ou de l'autre. Après quinze années de direction d'école j'envisage mon retour parmi les adjoints en fin d'année, parce que chevaucher un vélo un peu pourri pour tirer une charrette de 70 gosses dont 26 à soi, et en plus avoir constamment des bâtons dans les roues, ce n'est plus faisable, même avec beaucoup d'expérience. Je vous le dis: dans cinq ans, dans dix ans, vous n'aurez plus d'école comme aujourd'hui, on ne vous laissera pas le choix, parce que le fonctionnement des écoles a changé, les exigences familiales et institutionnelles aussi. Elles seront soit des EPEP gérées par des enseignants de terrain qui auront choisi cette voie, soit dépendront directement du collège de secteur. La deuxième solution ne me parait pas la meilleure. Mais ce que j'en dis... Peut-être que dans dix mois je serai peinard avec mes gamins, sans bureau où s'empilent les paperasses, sans boulot le samedi et le dimanche. Dans peu de temps en plus je prendrai ma retraite. Alors hein... De temps en temps, essayez de vous mettre à la place du dirlo. Peut-être que votre point de vue - c'est très relatif, un point de vue - changera, même légèrement. merci! je me retrouve complètement dans ces mots.........
Lexdra Posté(e) 29 novembre 2015 Posté(e) 29 novembre 2015 J'ai lu ce fil avec attention sans chercher à débattre, mais je constate un aspect de la question que vous n'abordez pas, ou juste par la bande. Vous n'envisagez la question que du point de vue des adjoints qui seront certainement martyrisés par des chefaillons si on change quelque chose. J'ai lu les mots "directeur à l'ancienne" sur un post; je suis un de ces directeurs, proche de la retraite, plus concerné par le bon fonctionnement de l'école et la réussite des élèves que par les consignes diverses qui nous tombent du ciel en permanence. Eh bien le dirlo "à l'ancienne" il est las, très las. Très fatigué de l'absence totale de retour sur son boulot, assez halluciné aussi d'être considéré comme une menace potentielle. Avec ma petite école j'ai une classe à temps plein, des heures d'APC à faire, et la boulot de directeur en sus. Personne ne m'en sait gré, ou alors c'est en toute discrétion. J'ai une "indemnité" (on m'indemnise, c'est tout dire...). Mon école tourne bien, tout le monde est content, moi aussi, mais personne ne me le dit. C'est ingrat, quand je passe des heures à faciliter le boulot de tout le monde pour que chacun puisse bosser dans la sérénité. Tout le monde s'en fout, en fait. J'ai des "plans" à remplir, des réunions avec tout un chacun - Mairie, IEN,équipes d''enseignants ou de suivi, parents de l'école, parents de ma classe... -, des réponses à apporter à tous, des délais de rigueur pour tel ou tel paperasse à faire, de la planification pour des réunions, des AESH à suivre, des locaux à vérifier constamment et des coups de fil à donner parce qu'un chiotte est bouché ou donner le nombre de photocopies faites ou... C'est continuel, permanent. C'est fatigant, c'est souvent très chiant. Tout le monde s'en tape. En revanche, quand il arrive une couille, sur qui on tombe? Avec unanimité. Qui se fait engueuler? Qui se fait suspecter de je ne sais quoi quand il répartit les classes et les élèves - même avec trois classes ça m'est arrivé - ? Pourtant, parfois, ce boulot est passionnant. Il peut l'être, quand un projet longuement travaillé fonctionne parfaitement, que tout est huilé, que rien n'a été oublié. Le dirlo voit les enfants heureux, les collègues ravis, les familles enchantées. Alors le dirlo, qui n'a pas le temps ni les moyens de faire son boulot, il en a marre. Il en a marre de suggérer subrepticement et gentiment à une collègue que non seulement les heures de sport sont dans les programmes mais qu'en maternelle c'est aussi indispensable pour les acquisitions et le bien-être des enfants, et se faire dire de s'occuper de ses affaires. Il aimerait avoir un statut qui ferait qu'une adjointe, qui refuse systématiquement tout échange ou simplement de respecter les textes, aurait juste une petite crainte irraisonnée qui la ferait aller en salle de jeux avec ses pauvres gosses qui ne demandent que ça. J'ai eu un compliment la semaine dernière, d'une collègue qui sent que le directeur est en train de craquer. Pourquoi tant de directions vacantes à chaque mouvement? On ne peut plus, aujourd'hui, avoir une classe et être simultanément directeur. C'est impossible, sinon au détriment de l'un ou de l'autre. Après quinze années de direction d'école j'envisage mon retour parmi les adjoints en fin d'année, parce que chevaucher un vélo un peu pourri pour tirer une charrette de 70 gosses dont 26 à soi, et en plus avoir constamment des bâtons dans les roues, ce n'est plus faisable, même avec beaucoup d'expérience. Je vous le dis: dans cinq ans, dans dix ans, vous n'aurez plus d'école comme aujourd'hui, on ne vous laissera pas le choix, parce que le fonctionnement des écoles a changé, les exigences familiales et institutionnelles aussi. Elles seront soit des EPEP gérées par des enseignants de terrain qui auront choisi cette voie, soit dépendront directement du collège de secteur. La deuxième solution ne me parait pas la meilleure. Mais ce que j'en dis... Peut-être que dans dix mois je serai peinard avec mes gamins, sans bureau où s'empilent les paperasses, sans boulot le samedi et le dimanche. Dans peu de temps en plus je prendrai ma retraite. Alors hein... De temps en temps, essayez de vous mettre à la place du dirlo. Peut-être que votre point de vue - c'est très relatif, un point de vue - changera, même légèrement. merci! je me retrouve complètement dans ces mots......... Je m'y retrouve aussi et j'ai encore des millions et des millions d'années à faire.
mayre Posté(e) 29 novembre 2015 Posté(e) 29 novembre 2015 Que le constat soit partagé, c'est une chose. Maintenant, que les EPEP soient une solution en est une autre. Concrètement, par rapport à ce qui est préconisé dans le rapport (et je répète que ce n'est pas qu'un statut), qu'est-e qui vous fait penser que ça ira mieux? (je m'adresse à Pascal, Dzorkette et Lexdra...)
dzorkette Posté(e) 30 novembre 2015 Posté(e) 30 novembre 2015 Que le constat soit partagé, c'est une chose. Maintenant, que les EPEP soient une solution en est une autre. Concrètement, par rapport à ce qui est préconisé dans le rapport (et je répète que ce n'est pas qu'un statut), qu'est-e qui vous fait penser que ça ira mieux? (je m'adresse à Pascal, Dzorkette et Lexdra...) Jamais dit que les EPEP étaient une solution. Moi je parlais juste du ressenti du directeur qui bosse dans l'ombre et dont tout le monde se fout.
nonau Posté(e) 30 novembre 2015 Auteur Posté(e) 30 novembre 2015 Que le constat soit partagé, c'est une chose. Maintenant, que les EPEP soient une solution en est une autre. Concrètement, par rapport à ce qui est préconisé dans le rapport (et je répète que ce n'est pas qu'un statut), qu'est-e qui vous fait penser que ça ira mieux? (je m'adresse à Pascal, Dzorkette et Lexdra...) Jamais dit que les EPEP étaient une solution. Moi je parlais juste du ressenti du directeur qui bosse dans l'ombre et dont tout le monde se fout. D'accord avec toi, mais donner du temps de formation initiale et continue en plus, augmenter le salaire, et augmenter les décharges suffiraient à améliorer les conditions de travail du directeur. Pas besoin d'un statut supplémentaire.
nola Posté(e) 30 novembre 2015 Posté(e) 30 novembre 2015 Que le constat soit partagé, c'est une chose. Maintenant, que les EPEP soient une solution en est une autre. Concrètement, par rapport à ce qui est préconisé dans le rapport (et je répète que ce n'est pas qu'un statut), qu'est-e qui vous fait penser que ça ira mieux? (je m'adresse à Pascal, Dzorkette et Lexdra...) Jamais dit que les EPEP étaient une solution. Moi je parlais juste du ressenti du directeur qui bosse dans l'ombre et dont tout le monde se fout. D'accord avec toi, mais donner du temps de formation initiale et continue en plus, augmenter le salaire, et augmenter les décharges suffiraient à améliorer les conditions de travail du directeur. Pas besoin d'un statut supplémentaire. Ajoute une hiérarchie qui ne se défausse pas de ses responsabilités sur les lampistes et c'est tout bon, je trouve.
nonau Posté(e) 1 décembre 2015 Auteur Posté(e) 1 décembre 2015 Que le constat soit partagé, c'est une chose. Maintenant, que les EPEP soient une solution en est une autre. Concrètement, par rapport à ce qui est préconisé dans le rapport (et je répète que ce n'est pas qu'un statut), qu'est-e qui vous fait penser que ça ira mieux? (je m'adresse à Pascal, Dzorkette et Lexdra...) Jamais dit que les EPEP étaient une solution. Moi je parlais juste du ressenti du directeur qui bosse dans l'ombre et dont tout le monde se fout. D'accord avec toi, mais donner du temps de formation initiale et continue en plus, augmenter le salaire, et augmenter les décharges suffiraient à améliorer les conditions de travail du directeur. Pas besoin d'un statut supplémentaire. Ajoute une hiérarchie qui ne se défausse pas de ses responsabilités sur les lampistes et c'est tout bon, je trouve. Sur ce point, je pense que c'est aussi un peu de notre faute...Beaucoup de collègues ont peurs de ces gens-là et se laissent un peu trop faire.
montagny Posté(e) 1 décembre 2015 Posté(e) 1 décembre 2015 Que le constat soit partagé, c'est une chose. Maintenant, que les EPEP soient une solution en est une autre. Concrètement, par rapport à ce qui est préconisé dans le rapport (et je répète que ce n'est pas qu'un statut), qu'est-e qui vous fait penser que ça ira mieux? (je m'adresse à Pascal, Dzorkette et Lexdra...) Jamais dit que les EPEP étaient une solution. Moi je parlais juste du ressenti du directeur qui bosse dans l'ombre et dont tout le monde se fout. D'accord avec toi, mais donner du temps de formation initiale et continue en plus, augmenter le salaire, et augmenter les décharges suffiraient à améliorer les conditions de travail du directeur. Pas besoin d'un statut supplémentaire. Ajoute une hiérarchie qui ne se défausse pas de ses responsabilités sur les lampistes et c'est tout bon, je trouve. Sur ce point, je pense que c'est aussi un peu de notre faute...Beaucoup de collègues ont peurs de ces gens-là et se laissent un peu trop faire. Peut-être parce qu'ils n'ont pas un statut clair et donc une reconnaissance qui en découle.
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