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Enseignant pensant à la reconversion


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Posté(e)

Bonjour,

je reviens vers vous après pas mal de temps de réflexion. J'étais moi aussi intéressé par le métier de psychologue scolaire ou psychologue tout court, j'étais prêt à m'inscrire en licence 1 à distance mais c'était saturé dès le 1er jour d'inscription j'ai été mis sur liste d'attente 800ème.... Bref je me suis intéressé à un autre métier : écrivain public, qui même s'il semble difficile d'un point de vue réussite suffisante pour pouvoir en vivre, m'intéresse suffisamment pour avoir envie de prendre le risque. Je pense faire la formation via le cnfdi (1600 euros.... ça fait mal) mais en un an tu es formé (d'ailleurs tu peux faire ce métier sans formation aussi si tu t'en sens capable mais moi j'ai envie de mettre les pieds dans un métier en connaissance de cause pour me sentir compétent). Ce que je cherche à terme après j'imagine plusieurs années de stages ou d'expériences multiples, ça serait être spécialisé dans l'écriture de biographie et récits de vie. Ca mêle la psychologie, l'écoute, l'empathie, l'écriture, le style et j'en passe. Je voudrais faire ça en auto entrepreneur je me suis renseigné sur les démarches c'est pas sorcier, le seul point qui me chagrine c'est la compatibilité avec le métier d'enseignant. Le conseiller cnfdi m'a dit qu'il pensait que depuis peu les fonctionnaires avaient le droit de devenir auto entrepreneur en parallèle, pourriez-vous me le confirmer ?

L'idée serait les premières années de rester prof (je fais des vœux pour être en mater l'an prochain) et en parallèle petit à petit gagner en expérience en m'essayant à toute sorte de tâche (administrative, juridique et j'espère surtout écriture de biographies) pour d'ici quelques années avoir un réseau et pourquoi pas essayer d'en vivre. Le fait de faire mon site internet et me créer une identité pour me différencier autant que possible des autres me motive.

 

Qu'en pensez-vous et connaissez-vous des écrivains publics ?

 

Merci !

Bon courage à  tous !

Posté(e)
Le 18/10/2018 à 12:13, letapisrevant a dit :

Tu as raison de persister. La concurrence est rude dans ce milieu mais ça procure un réel plaisir !
Ton livre est auto-édité ?

Oui, j'ai choisi ce biais tout en ayant la possibilité de passer par Hachette pour les commandes en librairie. Ce qui est compliqué en auto-édition, c'est le côté perfectible de l'objet livre, moins professionnel. 

Posté(e)
il y a 7 minutes, tessa103 a dit :

Oui, j'ai choisi ce biais tout en ayant la possibilité de passer par Hachette pour les commandes en librairie. Ce qui est compliqué en auto-édition, c'est le côté perfectible de l'objet livre, moins professionnel. 

J'ai eu à chroniquer un livre auto-édité pour un webzine et franchement, dans la qualité d'impression et la mise en page papier, je n'ai rien vu de différent.
Ca doit dépendre de l'entreprise par laquelle tu passes ? :idontno:

Posté(e)
Il y a 3 heures, letapisrevant a dit :

J'ai eu à chroniquer un livre auto-édité pour un webzine et franchement, dans la qualité d'impression et la mise en page papier, je n'ai rien vu de différent.
Ca doit dépendre de l'entreprise par laquelle tu passes ? :idontno:

Oui, je pense et puis, je n'ai pas eu de "vrai" relecteur. Normalement, il est presque parfait, mais je rêve de pouvoir un éditeur qui me donne ma chance... Peut-être pour le prochain roman ? :) 

Posté(e)
Le 22/10/2018 à 13:07, ManuKa a dit :

Bonjour,

je reviens vers vous après pas mal de temps de réflexion. J'étais moi aussi intéressé par le métier de psychologue scolaire ou psychologue tout court, j'étais prêt à m'inscrire en licence 1 à distance mais c'était saturé dès le 1er jour d'inscription j'ai été mis sur liste d'attente 800ème.... Bref je me suis intéressé à un autre métier : écrivain public, qui même s'il semble difficile d'un point de vue réussite suffisante pour pouvoir en vivre, m'intéresse suffisamment pour avoir envie de prendre le risque. Je pense faire la formation via le cnfdi (1600 euros.... ça fait mal) mais en un an tu es formé (d'ailleurs tu peux faire ce métier sans formation aussi si tu t'en sens capable mais moi j'ai envie de mettre les pieds dans un métier en connaissance de cause pour me sentir compétent). Ce que je cherche à terme après j'imagine plusieurs années de stages ou d'expériences multiples, ça serait être spécialisé dans l'écriture de biographie et récits de vie. Ca mêle la psychologie, l'écoute, l'empathie, l'écriture, le style et j'en passe. Je voudrais faire ça en auto entrepreneur je me suis renseigné sur les démarches c'est pas sorcier, le seul point qui me chagrine c'est la compatibilité avec le métier d'enseignant. Le conseiller cnfdi m'a dit qu'il pensait que depuis peu les fonctionnaires avaient le droit de devenir auto entrepreneur en parallèle, pourriez-vous me le confirmer ?

L'idée serait les premières années de rester prof (je fais des vœux pour être en mater l'an prochain) et en parallèle petit à petit gagner en expérience en m'essayant à toute sorte de tâche (administrative, juridique et j'espère surtout écriture de biographies) pour d'ici quelques années avoir un réseau et pourquoi pas essayer d'en vivre. Le fait de faire mon site internet et me créer une identité pour me différencier autant que possible des autres me motive.

 

Qu'en pensez-vous et connaissez-vous des écrivains publics ?

 

Merci !

Bon courage à  tous !

Je sais juste que c'est une voie très choisie en reconversion. Le mieux est d'avoir un contrat avec une collectivité qui te rémunère pour assister les personnes non-francophones, les personnes illettrées, en situation de handicap etc.

Je crois quand même que c'est difficile d'en vivre.

 

MAIS la façon dont tu veux commencer : à mi-temps pour te faire connaître, apprendre, prendre tes marques, est pour moi le moyen que ça fonctionne, et que ton projet aboutisse :)

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Posté(e)

Il faut avouer que la reconversion est compliquée... COmme je le disais, ,c'est moi aussi vers l'écriture que je l'envisage mais en tant qu'auteur, en vivre est rare. Ecrivain public ne me tente pas réellement et ce n'est pas forcément simple, c'est vrai. 

Si vraiment un jour, je décide de changer complètement, je ne sais vraiment pas ce qui me plairait réellement car aujourd'hui, les temps sont durs, la vie active précipitée par l'économie, l'urgence, les relations humaines compliquées. 

Ce n'est pas évident.

Pour l'heure, je suis professeur de lettres et ça va, mais je sais que je ne ferai pas ça indéfiniment, donc je m'interroge souvent. Et avec une licence de lettres, un gros emprunt, des travaux, la reconversion est tendue. 

Posté(e)
On 10/22/2018 at 1:07 PM, ManuKa said:

Bonjour,

je reviens vers vous après pas mal de temps de réflexion. J'étais moi aussi intéressé par le métier de psychologue scolaire ou psychologue tout court, j'étais prêt à m'inscrire en licence 1 à distance mais c'était saturé dès le 1er jour d'inscription j'ai été mis sur liste d'attente 800ème.... Bref je me suis intéressé à un autre métier : écrivain public, qui même s'il semble difficile d'un point de vue réussite suffisante pour pouvoir en vivre, m'intéresse suffisamment pour avoir envie de prendre le risque. Je pense faire la formation via le cnfdi (1600 euros.... ça fait mal) mais en un an tu es formé (d'ailleurs tu peux faire ce métier sans formation aussi si tu t'en sens capable mais moi j'ai envie de mettre les pieds dans un métier en connaissance de cause pour me sentir compétent). Ce que je cherche à terme après j'imagine plusieurs années de stages ou d'expériences multiples, ça serait être spécialisé dans l'écriture de biographie et récits de vie. Ca mêle la psychologie, l'écoute, l'empathie, l'écriture, le style et j'en passe. Je voudrais faire ça en auto entrepreneur je me suis renseigné sur les démarches c'est pas sorcier, le seul point qui me chagrine c'est la compatibilité avec le métier d'enseignant. Le conseiller cnfdi m'a dit qu'il pensait que depuis peu les fonctionnaires avaient le droit de devenir auto entrepreneur en parallèle, pourriez-vous me le confirmer ?

L'idée serait les premières années de rester prof (je fais des vœux pour être en mater l'an prochain) et en parallèle petit à petit gagner en expérience en m'essayant à toute sorte de tâche (administrative, juridique et j'espère surtout écriture de biographies) pour d'ici quelques années avoir un réseau et pourquoi pas essayer d'en vivre. Le fait de faire mon site internet et me créer une identité pour me différencier autant que possible des autres me motive.

 

Qu'en pensez-vous et connaissez-vous des écrivains publics ?

 

Merci !

Bon courage à  tous !

Prendre le staut d'AE n'est légalement possible que si tu es à 50 %. C'est soumis au bon vouloir de ta hiérarchie, ce n'est pas de droit...  Le conseiller ne doit pas y connaître grand chose, d'ailleurs, cela change tellement vite qu'il est vraiment difficile d'y voir clair. Cela fait 3 ans au moins que je me renseigne sur cce qu'il est possible de faire et en 3 ans il y a eu de nouvelles restrictions. Personnellement je ne conseille pas la formation CNFDI. Je ne suis pas sûre que le contenu soit top et en général leurs formations ne sont pas reconnues. En tout cas c'est sûrement beaucoup trop cher pour ce que c'est. 

Le métier d'écrivain public m'a attirée aussi mais cela me semble très mal payé pour beaucoup de travail. J'avais fait des recherches mais j'ai vite abandonné l'idée.

 

Posté(e)

Tout à fait d'accord avec Tessa (et à ce propos, j'en profite pour t'envoyer une bise amicale! Je suis contente d'apprendre que ce que tu fais t'apporte de la satisfaction.)

Bref, se reconvertir est extrêmement compliqué.

Je suis actuellement dans ma dernière année de dispo, et je vais a priori devoir revenir la queue entre les jambes pour refaire ce que j'aurai quitté 3 ans auparavant...

J'ai testé d'autres boulots, ils sont rares, et la pression de productivité est souvent très grande.

Pôle emploi ne sert à rien, les formations sont rares et à part de pouvoir se permettre de suivre une formation sans avoir de revenu, il est très compliqué de tester autre chose et de trouver un nouveau métier épanouissant...

Bon, il y en a qui ont plus de chances que moi, alors ne perdons pas espoir non plus! ;)

Posté(e)
Il y a 3 heures, Thursday a dit :

Prendre le staut d'AE n'est légalement possible que si tu es à 50 %. C'est soumis au bon vouloir de ta hiérarchie, ce n'est pas de droit...  Le conseiller ne doit pas y connaître grand chose, d'ailleurs, cela change tellement vite qu'il est vraiment difficile d'y voir clair. Cela fait 3 ans au moins que je me renseigne sur cce qu'il est possible de faire et en 3 ans il y a eu de nouvelles restrictions. Personnellement je ne conseille pas la formation CNFDI. Je ne suis pas sûre que le contenu soit top et en général leurs formations ne sont pas reconnues. En tout cas c'est sûrement beaucoup trop cher pour ce que c'est. 

Le métier d'écrivain public m'a attirée aussi mais cela me semble très mal payé pour beaucoup de travail. J'avais fait des recherches mais j'ai vite abandonné l'idée.

 

C'est vrai que c'est cher mais en passant par le cnfdi tu es reconnu par l'académie des écrivains publics de France et ils t'aident à trouver des missions. Après y a pas énormément de possibilité niveau formation, le cned est encore plus restrictif et surtout c'est un métier qui n'a pas besoin de diplôme pour pouvoir exercer, donc aucune formation sera plus reconnue que celle du cnfdi.

Posté(e)
Le 01/11/2018 à 11:19, framboisine a dit :

Tout à fait d'accord avec Tessa (et à ce propos, j'en profite pour t'envoyer une bise amicale! Je suis contente d'apprendre que ce que tu fais t'apporte de la satisfaction.)

Bref, se reconvertir est extrêmement compliqué.

Je suis actuellement dans ma dernière année de dispo, et je vais a priori devoir revenir la queue entre les jambes pour refaire ce que j'aurai quitté 3 ans auparavant...

J'ai testé d'autres boulots, ils sont rares, et la pression de productivité est souvent très grande.

Pôle emploi ne sert à rien, les formations sont rares et à part de pouvoir se permettre de suivre une formation sans avoir de revenu, il est très compliqué de tester autre chose et de trouver un nouveau métier épanouissant...

Bon, il y en a qui ont plus de chances que moi, alors ne perdons pas espoir non plus! ;)

Une pensée à toi aussi Framboisine. J'espère que d'ici cette année, tu trouveras une échappatoire. 

Posté(e)

@framboisine pourquoi ne demandes tu pas un congé formation? Tu garderais une grosse partie de ton salaire tout en passant un diplôme.

Là où je fais mon stage, dans la FPT, les collègues hallucinent quand je leur explique que l'EN refuse les demandes de détachement voire même les démissions... On a vraiment un ministère de :ninja:

Posté(e) (modifié)

Bonjour à tous !

J'arrive dans le sujet après avoir lu pas mal de pages.

Je suis dans ma 5ème année en tant que professeur des écoles mais je sais que je ne pourrai pas faire ce métier toute ma vie et je commence déjà à réfléchir à des possibilités de reconversion afin de prendre le temps de bien y réfléchir.

J'ai fait quelques recherches concernant le détachement mais il n'y a pas beaucoup de postes qui pourraient vraiment me plaire. En revanche, une reconversion qui pourrait me convenir serait de devenir diététicienne. Cette formation est un BTS de deux ans qui peut être suivi en lycée ou par correspondance. Est-ce que certains d'entre vous auraient des informations à me communiquer à ce propos ?

Sinon, est-ce qu'il vaut mieux demander une disponibilité afin de pouvoir suivre la formation ? Qu'est-ce que le congé de formation et comment cela se passe pour en demander un ? Sachant qu'en tant que diététicien on peut travailler en hôpital, est-ce que vous pensez qu'un détachement serait possible ?

Merci beaucoup !

Modifié par batdawn
Invité
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