doubleR Posté(e) vendredi à 22:51 Posté(e) vendredi à 22:51 (modifié) Le 20/11/2024 à 19:02, fararden a dit : @Babar., merci beaucoup pour avoir pris le temps d’écrire ! Ça me donne envie ! Vais le noter et j’irai en acheter un ou en emprunter un à la bibliothèque. Le cinéma d’Almodovar, je suis pas tellement fan ( en vo pour moi car j’ai aucune notion d’espagnol et ça me fatigue 😆, mais vais voir s’il est dispo à ma bibliothèque). J’ai lu tous les Giebel et même si certains sont moins bons , je suis toujours triste de les finir . Il y en a un que je n’ai pas fini , il reste 20 pages mais je ne veux pas savoir si Diane meurt ou si elle s’en sort . ( chien de sang). Je suis preneuse aussi d’autres références à l’occasion si tu as des incontournables J'aime bcp Almodovar et vraiment bien aimé La piel que habito. Du coup j'avais lu Mygales. Modifié vendredi à 22:55 par doubleR
joelafrite Posté(e) samedi à 08:59 Posté(e) samedi à 08:59 Pour les amateurs de tueurs en série je viens de lire Landru, le prédateur aux 283 conquêtes, par Michel Malherbe. Comment un petit escroc sans envergure a-t-il pu devenir l'un des plus grands tueurs en série du XXème siècle ? Si l'on excepte le côté "beauf" du style, l'auteur n'étant ni historien ni écrivain et ça se voit, il n'en reste pas moins que ce livre est très intéressant. L'auteur, expert judiciaire, a repris l'enquête en se basant sur le dossier et les archives policières de l'époque, et il maîtrise son sujet. Le livre est très précis et on découvre que l'enquête a été calamiteuse, le procès indigne et que si aucun doute n'existe sur la culpabilité de Landru, il a été condamné à mort sans preuves, seulement sur de fortes présomptions. On découvre aussi d'autre choses étonnantes. On prendrait presque en sympathie ce petit bonhomme pourtant froid et cruel. 1
fararden Posté(e) samedi à 17:11 Posté(e) samedi à 17:11 Trouvé le seul Jonquet dispo à la bibliothèque ; la belle et la bête . 1
Mtl37 Posté(e) samedi à 17:18 Posté(e) samedi à 17:18 Je viens de terminer Houris de Kamel Daoud, j'aime beaucoup l'histoire moins le style de l'auteur.
Byza31 Posté(e) samedi à 17:20 Posté(e) samedi à 17:20 il y a 8 minutes, fararden a dit : Trouvé le seul Jonquet dispo à la bibliothèque ; la belle et la bête . J'avais beaucoup aimé.
Chakana Posté(e) samedi à 17:47 Posté(e) samedi à 17:47 L’idée ridicule de ne plus jamais te revoir – Rosa Montero Je ne sais pas comment commencer, tant j’aurais de choses à dire sur ce livre. Déjà, il m’a beaucoup plu. L’auteur retrace la vie de Marie Curie, et ce récit lui sert de prétexte pour évoquer sa propre vie, son vécu, la mort de son mari. Le titre est la première pépite de ce livre. Puis le texte livre de merveilleuses réflexions sur la vie, la mort, l’amour, la famille, la place des femmes. J’ai été troublée qu’elle aborde le sujet des « coïncidences » en la littérature : c’est exactement ce qui m’est arrivé avec ce livre. Par contre, je n’ai pas compris les hashtags disséminés dans le livre, et leur index à la fin … C’est sûr, je vais lire d’autres livres de cet auteur. Marie Curie– Alice Milani Roman graphique. Biographie de Marie Curie. Très bien documentée du point de vue scientifique. Je l’ai lu en parallèle du livre de Rosa Montero (une des coïncidences, justement). La cloche de détresse – Sylvia Plath Roman qui était dans ma liste à lire depuis longtemps. Je l’ai donc commencé avec en tête les commentaires déjà lus : roman d’inspiration autobiographique, qui montre la condition féminine et le traitement de la maladie mentale dans les années 50. L’auteur s’est suicidée à 31 ans, 1 mois après la sortie du roman. Au début, la lecture est un peu déroutante : un style naïf, presque enfantin. Peu à peu l’écriture devient plus hachée, le récit parfois décousu. Dans sa « folie », l’héroïne a une analyse du monde où elle vit qui nous paraît juste aujourd’hui (le poids du patriarcat). La maladie mentale comme une impossibilité de vivre dans un monde, dans une époque. A moins que la société elle même déclare folle celle qui tient des propos dérangeants…. 1
BrunoXXX Posté(e) hier à 09:04 Posté(e) hier à 09:04 Il y a des lecteurs lectrices de Jack London ici ?? Je viens de terminer le magnifique "Martin Eden" dans lequel le personnage du même nom, un jeune marin issu de la classe ouvrière, tente de s'extraire de sa condition par amour... Par certains aspects cela m'a rappelé deux romans d'Orwell méconnus : "Histoire Birmane" et "Et viva l'aspidistra"... Et le "Demande à la poussière" de John Fante sorti quelques dizaines d'années plus tard. J'ai vraiment adoré et dévoré ce bouquin au point d'avoir quelques réveils difficiles 😅 1
Kemen Posté(e) il y a 13 heures Posté(e) il y a 13 heures Je viens de terminer Madelaine avant l'aube de Sandrine COLLETTE (Prix Goncourt des Lycéens 2024) une ôde à la famille, et à la nature avec les violences inhérentes aux deux. Cela m'a fait penser à Giono, j'ai beaucoup aimé. 1
severuspomfresh Posté(e) il y a 2 heures Posté(e) il y a 2 heures J'ai fini Le pavillon des combattantes de Emma DONOGHUE. J'ai bien aimé mais j'ai trouvé que la fin est "bâclée", tout s'enchaîne d'un coup. Je commence La petite fille de Bernhard SCHLINK (auteur du Liseur, que j'avais déjà beaucoup aimé). "Il aurait bien aimé avoir des enfants, il n'en avait eu aucun - maintenant il avait donc une petite-fille. Et puisque à présent il l'avait, il devait aussi se soucier de son âme." À la mort de son épouse Birgit, Kaspar découvre un pan de sa vie qu'il avait toujours ignoré : avant de quitter la RDA pour passer à l'Ouest en 1965, elle avait abandonné un bébé à la naissance. Intrigué, Kaspar part à la recherche de cette belle-fille inconnue et remonte jusqu'à Svenja qui, restée en Allemagne de l'Est, a épousé un néonazi et élève dans cette doctrine une fille nommée Sigrun. Kaspar serait prêt à voir en elles les membres d'une nouvelle famille. Mais leurs différences idéologiques font obstacle : comment une adolescente aussi intelligente que Sigrun peut-elle soutenir des théories complotistes et racistes ? Comment l'amour pourrait-il naître dans ce climat de méfiance et de haine ? Bernhard Schlink offre de nouveau un grand roman sur l'Allemagne qui questionne la façon dont le passé imprègne le présent et interroge nos divisions intestines comme nos élans fraternels.
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