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J'avais bien aimé L'heure des femmes aussi.

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Depuis début août, j'ai lu Le barman du Ritz, de Philippe Collin.

Juin 1940. Les Allemands entrent dans Paris. Partout, le couvre-feu est de rigueur, sauf au grand hôtel Ritz. Avides de découvrir l'art de vivre à la française, les occupants y côtoient l'élite parisienne, tandis que derrière le bar oeuvre Frank Meier, le plus grand barman du monde.

S'adapter est une question de survie. Frank Meier se révèle habile diplomate, gagne la sympathie des officiers allemands, achète sa tranquillité, mais aussi celle de Luciano, son apprenti, et de l'énigmatique et troublante Blanche Auzello. Pendant quatre ans, les hommes de la Gestapo vont trinquer avec Coco Chanel, la terrible veuve Ritz, ou encore Sacha Guitry. Ces hommes et ces femmes, collabos ou résistants, héros ou profiteurs de guerre, vont s'aimer, se trahir, lutter aussi pour une certaine idée de la civilisation.

La plupart d'entre eux ignorent que Meier, émigré autrichien, ancien combattant de 1914, chef d'orchestre de cet étrange ballet, cache un lourd secret. Le barman du Ritz est juif.

Philippe Collin restitue avec virtuosité et une méticuleuse précision historique une époque troublée. À travers le destin de cet homme méconnu, il se fait l'oeil et l'oreille d'une France occupée, et raconte l'éternel affrontement entre la peur et le courage.

 

J'ai beaucoup aimé. Le point de vue est intéressant,  le roman se base sur des personnages réels, bref, une bonne lecture.

 

 

J'ai enchaîné avec La femme de ménage de Freida McFadden, qu'on ne présente plus tant il est commenté, encensé ou décrié sur les réseaux. Ça se lit, vite, mais clairement, ce ne sera pas mon coup de coeur littéraire de l'année et la suite ne m'intéresse pas. 

 

Actuellement, je lis Tout le monde dans ce train est suspect, de Benjamin Stevenson. J'ai du mal à rentrer dedans. Le style est particulier...

Mon histoire est simple : six auteurs de romans policiers sont dans un train. A la fin du trajet, cinq seulement seront encore en vie. Et l’un d’eux aura des menottes aux poignets.
Invité à un festival consacré au roman noir, Ernest Cunningham a pris place à bord d’un train avec cinq autres écrivains. À l’arrivée, on dénombre neuf morts. Entre-temps s’est tenue la plus folle des enquêtes. Car tous les auteurs de romans policiers savent parfaitement comment résoudre les affaires les plus difficiles. Comme ils connaissent tous les recettes du crime parfait.

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Vu que je ne dors pas beaucoup en ce moment je me suis relancée dans un énorme pavé en 2 volumes : le comte de Monte Cristo. Y a pas à dire … j’adore ! 

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Moi aussi j'ai beaucoup aimé le lire. J'ai une collègue qui le relit régulièrement dans une édition différente à chaque fois.

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Il y a 5 heures, severuspomfresh a dit :

Vu que je ne dors pas beaucoup en ce moment je me suis relancée dans un énorme pavé en 2 volumes : le comte de Monte Cristo. Y a pas à dire … j’adore ! 

J'avais aimé la première partie, mais pas la vengeance, trop invraisemblable pour moi. Il faudrait que je le relise.

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Une vie, de Maupassant. Son premier roman.

Jeanne sort du couvent pour épouser le premier venu. Julien. Sa vie ne sera qu'une suite de désillusions 

Pauvre femme, qui ne comprend pas ce que son mari (un beau salopard) attend d'elle lors de la nuit de noces. Touchante, aucunement préparée à la vie. Une oie blanche 

Elle reporte tout son amour sur son fils...

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Je me rends compte en le relisant que je ne suis pas au point sur l’époque contemporaine, dans les études, à part si on fait des études d’histoire, toute la partie politique du 19eme n’est pas vraiment abordée. 

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Retour sur mes dernières lectures :

Coeur-d'Amande (Yasmina Khadra) j'ai beaucoup aimé. 

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Résumé :
"J'ai souvent touché le fond, sauf qu'à chaque tasse bue, je remonte plus vite qu'une torpille. Renié par ma mère pour anormalité physique, je me réinvente au gré de mes joies. J'aime rire, déconner, me faire mousser et rêver de sacres improbables. J'ai appris une chose dans la vie - pour se dépasser, il faut savoir prendre son pied là où l'on traîne l'autre. Même avec des béquilles ou avec des prothèses, je continuerai de marcher dans les pas du temps en randonneur subjugué. Je ne lâche rien."

Il ne se passe jamais rien ici (Olivier Adam) J'ai adoré !!

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La saison touristique touche à sa fin dans ce village niché sur les rives du lac d'Annecy. Comme souvent, Antoine passe la soirée au Café des Sports avec les habitués. L'atmosphère est à la fête. Mais quand, au petit matin, on découvre le corps d'une femme assassinée au bord de l'eau, c'est vers lui que se portent les regards. Connu de tous, jugé instable par beaucoup, y compris par sa propre famille, ce bientôt quadragénaire aux airs d'éternel adolescent fait vite figure de coupable idéal. Sans doute un peu trop. Car, ce soir-là, ils sont nombreux à être partis tard dans la nuit. Dans ce roman redoutable empruntant au genre du roman noir, Olivier Adam donne la parole à tous les protagonistes de l'affaire et fait l'autopsie d'une communauté où sont tapis la violence des hommes et leurs silences.

Le concierge de l'Opéra (Aurélien Benoilid et Maud Nisand) Lecture très sympa.

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Résumé :
Paris, 1941. Émile et Lazare sont deux amis qui ont la chance d`avoir le palais Garnier pour terrain de jeu. Émile admire Lazare, le fils du concierge de l`Opéra, qui n`a qu`un seul rêve : devenir danseur étoile. Ensemble, ils se croient invulnérables mais, dans une ville occupée par les troupes allemandes, c`est un autre genre d`étoile qui menace Émile. Paris, 2022. Anna est la fille de Pâris Besson, illustre danseur étoile et maître de ballet de l`Opéra. Elle est aussi la petite-fille du facétieux Lazare Besson, le non moins célèbre concierge du palais Garnier. Depuis le suicide de son cousin, Abel, tout a changé pour Anna. Elle ne veut plus jouer les figurantes et désire incarner le premier rôle de sa vie, quitte à renverser le fragile équilibre de son clan.

Mesopotamia (Olivier Guez), j'ai eu beaucoup de mal à le finir.

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Résumé :
Vous ne la connaissez pas, pourtant elle a tenu le monde entre ses mains. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, Gertrude Bell a dessiné les frontière de l'Orient, dans ce désert sauvage où tout a commencé : le pays entre deux fleuves, le Tigre et l'Euphrate.
Aventurière, archéologue, espionne, parlant l'arabe et le persan, elle fut la première femme puissante de l'Empire britannique, mais aussi une héroïne tragique. Idéaliste comme son ami et frère d'âme Lawrence d'Arabie. Impérialiste et courageuse comme le jeune Winston Churchill. Enfant aimée et incomprise d'une riche famille victorienne. Amoureuse éperdue. Et une énigme pour nous : celle des femmes que l'Histoire a effacées.
Olivier Guez lui rend sa gloire et nous offre une épopée flamboyante : de la découverte de gigantesques gisements pétroliers aux jeux de pouvoir cruels entre Britanniques, Français et Allemands, des négociations sous les tentes bédouines aux sables de Bagdad où se perdent nos rêves.
Le roman de Gertrude Bell dessine la vaste fresque de la première mondialisation, quand le plus grand empire de tous les temps s'approprie une contrée mythique et maudite, terre d'Abraham, du déluge et de Babel, tombeau d'Alexandre le Grand : la Mésopotamie. Le prix Jean d’Ormesson a été décerné à ce roman en 2025.

La porteuse de lettres (Francesca Giannone) J'ai bien aimé.

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Résumé :
En juin 1934, Anna quitte le nord de l'Italie pour s'installer avec son mari dans un petit village de la région de Salento.
Altière et rebelle, elle ne cède pas aux coutumes des femmes du Sud et se présente à l'examen public des services postaux.
Devenue la première factrice de Lizzanello, elle est durant plus de vingt ans le fils invisible qui relie les habitants du village.

Ma vie sans moustache (Romain Puertolas) J'ai eu du mal à le lâcher !!

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Résumé :
« En février 2015, j'ai reçu une lettre d'Argentine dans laquelle une très vieille dame me disait avoir été la dernière cuisinière d'Hitler... après 1945 ! Elle m'invitait à la rencontrer. Bien entendu, cela m'a d'abord fait sourire. J'allais passer à autre chose lorsque, titillé, j'entrepris quelques recherches et découvris San Carlos de Bariloche, petite bourgade du nord de la Patagonie, où les habitants racontent que certains auraient côtoyé le dictateur nazi pendant plus de vingt ans... après la fin de la guerre.
Le doute se mit à germer dans mon esprit : et s'ils avaient raison ? Et si le Führer ne s'était pas suicidé le 30 avril 1945 dans son bunker berlinois ?
Il n'en fallut pas plus à l'enquêteur que je suis pour sauter dans un avion... »
Après Comment j'ai retrouvé Xavier Dupont de Ligonnès, Romain Puértolas, ancien capitaine de police, livre un nouveau « roman-quête » et mène une investigation qui nous entraîne dans une histoire aussi sérieuse qu'ubuesque.

 

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@audad, en effet, Ma vie sans moustache est juste formidable ! Je l'ai lu au début de l'été... 

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Je vous conseille ce très beau roman, que j'ai dévoré en peu de jours et qui m'a fait passer par diverses émotions. J'en ai lu beaucoup cet été, et c'est celui que je retiendrai.

 

Mes-soeurs-n-aimez-pas-les-marins.jpg

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Parmi les lectures préférées cet été ( la 7e fonction du langage !!), « le train des enfants «  de Viola Ardone. Vous avez aimé L’amie prodigieuse d’Helena Ferrante ? Un autre ton, une autre histoire, mais retrouvez le Naples de l’après-guerre, les gamins dans les rues, la misère et découvrez l’action du parti Communiste : l’envoi d’enfants défavorisés dans des familles d’accueil, dans le nord de l’Italie et l’influence sur leur destin. Très belle écriture (et traduction ?), un roman qui vous transporte. Même écho chez quelqu’un à qui j’ai prêté le roman. 

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il y a 25 minutes, Merrimack a dit :

Parmi les lectures préférées cet été ( la 7e fonction du langage !!), « le train des enfants «  de Viola Ardone. Vous avez aimé L’amie prodigieuse d’Helena Ferrante ? Un autre ton, une autre histoire, mais retrouvez le Naples de l’après-guerre, les gamins dans les rues, la misère et découvrez l’action du parti Communiste : l’envoi d’enfants défavorisés dans des familles d’accueil, dans le nord de l’Italie et l’influence sur leur destin. Très belle écriture (et traduction ?), un roman qui vous transporte. Même écho chez quelqu’un à qui j’ai prêté le roman. 

Pour ma part, je n'ai pas réussi à rentrer dans le roman...Un des rares livres que j'ai abandonné. 

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