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J'ai pioché quelques idées, merci :D

J'ai lu Chère mamie au pays du confinement. J'ai ri de bon coeur :lol: je le relirai je pense ! 

J'ai fini les 2 premiers tomes de Valeria. Je lirai le troisième bientôt. 

Mais avant ça, je vais commencer "Il nous restera ça" de Grimaldi. 

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Le 08/05/2022 à 18:13, chableu a dit :

Je commence le dernier Lemaitre.

J’ai lu le dernier Bussi moi, la nouvelle Babel. J’ai bcp aimé et ce futur proche où on se téléporte m’a laissé rêveuse. Je vous le conseille. 

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Je viens de lire "Sadorski et l'ange du péché" par Romain Slocombe. C'est le troisième tome des enquêtes de Léon Sadorski qui a la particularité d'être policier pro-allemand pendant l'Occupation.

Ces livres sont très documentés, l'auteur trouve ses sources dans les archives de la préfecture de police de Paris, alors tout est vrai : lettres de dénonciation, rapports de police, etc. L'auteur ne change que les noms. Je peux vous dire que ça fait froid dans le dos !

Un livre très instructif, peut-être trop documenté. On est parfois plus dans le reportage ou le livre d'Histoire que dans un roman policier, mais il y a un gros travail d'auteur, une intrigue et des personnages très crédibles.  On échappe aussi à ce qui m'exaspère dans les polars, à savoir le flic dépressif au bout du rouleau qui a connu plein de problèmes épouvantables. Ici Sadorski va très bien et est très content de lui, même s'il a ses contradictions comme tout le monde.

Présentation de l'éditeur Le pire des salauds, le meilleur des enquêteurs.
Paris, mars 1943. Une femme est arrêtée dans un bistrot du 10e arrondissement. Elle aurait franchi la ligne de démarcation munie de faux papiers, pour un trafic de métaux précieux. L'inspecteur principal adjoint Léon Sadorski voit dans cette enquête une parfaite occasion de s'enrichir. Mais il a d'autres soucis, notamment protéger Julie, la lycéenne juive réfugiée chez lui depuis la rafle du Vél'd'Hiv.
C'est alors qu'une affaire de lettre anonyme et d'adultère le conduit sur les plateaux du cinéma français de l'Occupation : parmi les jeunes actrices d'un drame tourné dans un couvent de dominicaines, l'inspecteur va rencontrer son " Ange du péché " et se transformer en criminel...

 

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Aujourd'hui, j'ai fini L'art de perdre d'Alice Zeniter, un livre sur la guerre d'Algérie et les harkis sur 3 générations, très intéressant. 

L'Algérie dont est originaire sa famille n'a longtemps été pour Naïma qu'une toile de fond sans grand intérêt. Pourtant, dans une société française traversée par les questions identitaires, tout semble vouloir la renvoyer à ses origines. Mais quel lien pourrait-elle avoir avec une histoire familiale qui jamais ne lui a été racontée ? Son grand-père Ali, un montagnard kabyle, est mort avant qu'elle ait pu lui demander pourquoi l'Histoire avait fait de lui un "harki". Yema, sa grand-mère, pourrait peut-être répondre mais pas dans une langue que Naïma comprenne. Quant à Hamid, son père, arrivé en France à l'été 1962 dans les camps de transit hâtivement mis en place, il ne parle plus de l'Algérie de son enfance. Comment faire ressurgir un pays du silence ?

J'ai commencé Toute la lumière que nous ne pouvons voir d'Anthony Doerr, un roman histoire sur la 2nde guerre mondiale avec 2 points de vue. 

Toute la lumière que nous ne pouvons voir possède la puissance et le souffle des chefs-d’œuvre. Magnifiquement écrit, captivant de bout en bout, il nous entraîne, du Paris de l'Occupation à l'effervescence de la Libération, dans le sillage de deux héros dont l'existence est bouleversée par la guerre : Marie-Laure, une jeune aveugle, réfugiée avec son père à Saint-Malo, et Werner, un orphelin, véritable génie des transmissions électromagnétiques, dont les talents sont exploités par la Wehrmacht pour briser la Résistance.
Cette fresque envoûtante, bien plus qu'un roman sur la guerre, est une réflexion profonde sur le destin et la condition humaine. La preuve que même les heures les plus sombres ne pourront jamais détruire la beauté du monde.

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Il y a 23 heures, Tide a dit :

Dans ma PAL

La consolante d'Anna Gavalda.

Et si c'ést un homme  de primo Levi 

Un Minier

Et un Charlotte Link en Vo

Pas fan de Gavalda ni de Minier, mais j'avais beaucoup aimé "Si c'est un homme ", un livre plein de dignité. 

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Oui, Si c'est un homme est un témoignage bouleversant à lire absolument.

Primo Levi s'est suicidé longtemps après , ça m' interpelle. 

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Oui, Si c'est un homme est un témoignage bouleversant à lire absolument.

Primo Levi s'est suicidé longtemps après , ça m' interpelle. 

Posté(e)

Actuellement je lis Erectus de Xavier Muller, j'aime beaucoup.

  • J'adhère 1
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Je viens de finir Lëd de Caryl Férey

Norilsk est la ville de Sibérie la plus au nord et la plus polluée au monde. Dans cet univers dantesque où les aurores boréales se succèdent, les températures peuvent descendre sous les 60°C.
Au lendemain d'un ouragan arctique, le cadavre d'un éleveur de rennes émerge des décombres d'un toit d'immeuble, arraché par les éléments. Boris, flic flegmatique banni d'Irkoutsk, est chargé de l'affaire.
Dans cette prison à ciel ouvert, il découvre une jeunesse qui s'épuise à la mine, s'invente des échappatoires, s'évade et aime au mépris du danger. Parce qu'à Norilsk, où la corruption est partout, chacun se surveille.
Et la menace rôde tandis que Boris s'entête...
LED (« GLACE » EN RUSSE) EST UNE IMMERSION DANS UNE RUSSIE DE TOUS LES EXTRÊMES.
CARYL FÉREY AU SOMMET DE SON ART.

Après avoir lu Zulu, Mapuche, Condor et Haka c'est mon 5e roman de Caryl Férey. Comme à chaque fois je suis transportée dans un autre univers. L'histoire policière met un peu de temps à s'installer mais cela ne m'a pas gênée.

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Il y a 17 heures, Tide a dit :

Je me suis trompée,  le polar est de Chattam:scratch:

Pas exceptionnel.

Je crois que je préfère encore Minier :D

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Je commence

Miniaturiste par Burton

 

ainsi que cette BD

La Bibliomule de Cordoue par Lupano

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J'ai fini Il nous restera ça de Virginie Grimaldi.

Ça se lit vite. C'est toujours un peu le même schéma d'écriture dans ses romans, toujours un peu les mêmes thèmes.

J'ai été touchée par le personnage de Jeanne. Lecture divertissante mais sans plus.

Je commence Labyrinthe de Franck Thilliez.

Un scène de pure folie dans un chalet. Une victime au visage réduit en bouillie à coups de tisonnier. Et une suspecte atteinte d'une étrange amnésie. Camille Nijinski, en charge de l'enquête, a besoin de comprendre cette subite perte de mémoire, mais le psychiatre avec lequel elle s'entretient a bien plus à lui apprendre. Car avant de tout oublier, sa patiente lui a confié son histoire. Une histoire longue et complexe. Sans doute la plus extraordinaire que Camille entendra de toute sa carrière.
« Tout d'abord, mademoiselle Nijinski, vous devez savoir qu'il y a cinq protagonistes. Toutes des femmes. Écrivez, c'est important : "la kidnappée", "la journaliste", "la romancière", "la psychiatre"... Et concentrez-vous, parce que cette histoire est un vrai labyrinthe où tout s'entremêle. La cinquième personne sera d'ailleurs le fil dans ce dédale et, j'en suis sûr, apportera les réponses à toutes vos questions. »

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