Chakana Posté(e) 19 novembre 2022 Posté(e) 19 novembre 2022 il y a une heure, Tide a dit : GLEN AFFRIC de Karine Giebel, sombre, très sombre pour l'instant. Ça sent l'absence de Happy end. Lu cet été .... parce que je n'avais plus rien à lire, je l'ai piqué dans la pile de mon mari. Je ne suis pas fan des policiers, et là je n'ai pas réussi à rentrer dans ce roman.
cyrille1 Posté(e) 19 novembre 2022 Posté(e) 19 novembre 2022 Avec Karine Giebel, il n'y a jamais de Happy end.
raphy Posté(e) 19 novembre 2022 Posté(e) 19 novembre 2022 J'aime beaucoup Lucinda RILEY : je viens de terminer L'ange de Marchmont Hall et le précédent que j'ai lu La belle italienne.
Lulublue2 Posté(e) 19 novembre 2022 Posté(e) 19 novembre 2022 Il y a 6 heures, Tide a dit : GLEN AFFRIC de Karine Giebel, sombre, très sombre pour l'instant. Ça sent l'absence de Happy end. Je l'ai lu très vite cet été. Effectivement pas de happy end mais j'ai aimé les personnages.
Kiwichick Posté(e) 19 novembre 2022 Posté(e) 19 novembre 2022 J'ai adoré Glen Afric. Très belle histoire 1
Lulublue2 Posté(e) 19 novembre 2022 Posté(e) 19 novembre 2022 il y a 21 minutes, Tide a dit : Oui, je viens de le terminer. Ce livre pourrait faire un très beau film. C'est à la fois sombre et lumineux malgré tout. J'ai lu récemment Je suis l'abysse, de Donato Carrisi. Ce livre m'a pas mal fait penser à Glen Affric.
joelafrite Posté(e) 20 novembre 2022 Posté(e) 20 novembre 2022 Je viens de terminer "L'inspecteur Sadorski libère Paris", la suite de "La Gestapo Sadorski " dont j'ai parlé plus haut. C'est le 5ème tome d'une série de 6. J'adore ces enquêtes parfaitement réalistes et documentée d'un policier parisien qui, en arrêtant des résistants et des juifs, considère cyniquement qu'il fait son travail et obéit aux ordres. L'immense majorité des policiers de l'époque pensait ainsi. Dans ce tome, Sadorski va tomber sur plus salaud que lui puisqu'il se fait arrêter par la Gestapo, ou plutôt par les ordures de truands français que la Gestapo avait recrutés et qui, impunité oblige, s'en donnaient à coeur joie : racket, tortures, massacres, pillages, etc. On vit aussi la libération de Paris : reconstitution historique parfaite, et on voit aussi les retournements de vestes, les résistants de la dernière heure, toute la bassesse humaine et l'héroïsme de quelques uns. Il y a encore un tome, "J'étais le collabo Sadorski" qui vient de paraître, j'attends qu'il sorte en poche, j'ai hâte de le lire !
joelafrite Posté(e) 20 novembre 2022 Posté(e) 20 novembre 2022 il y a 55 minutes, Tide a dit : @joelafrite qui est l'auteur de cette série ? Est ce à la hauteur des Philipp Kerr? Romain Slocombe. Oui c'est à la hauteur de Philip Kerr mais beaucoup plus documenté. J'ai lu un ou deux Giebel, je trouve ça assez bas de gamme : à lire sur la plage ou dans le train, mais pas plus. 1
Mirobolande Posté(e) 20 novembre 2022 Posté(e) 20 novembre 2022 Le cœur battant du monde, de Sébastien Spitzer. A Londres, Engels, Marx et son fils illégitime recueilli par une Irlandaise. Sur fond de révolution industrielle et de misère sociale. C'est lent, on ne sait pas où on va mais j'ai été captée par l'histoire et par l'écriture. Ce qui est rare en ce moment, la plupart des livres me tombent des mains. 1
Christine25 Posté(e) 20 novembre 2022 Posté(e) 20 novembre 2022 Je viens de lire 2 livres que j'ai beaucoup aimés, surtout le deuxième : Vivre vite de Brigitte Giraud, prix Goncourt 2022 "J'ai été aimantée par cette double mission impossible. Acheter la maison et retrouver les armes cachées. C'était inespéré et je n'ai pas flairé l'engrenage qui allait faire basculer notre existence. Parce que la maison est au coeur de ce qui a provoqué l'accident." En un récit tendu qui agit comme un véritable compte à rebours, Brigitte Giraud tente de comprendre ce qui a conduit à l'accident de moto qui a coûté la vie à son mari le 22 juin 1999. Vingt ans après, elle fait pour ainsi dire le tour du propriétaire et sonde une dernière fois les questions restées sans réponse. Hasard, destin, coïncidences ? Elle revient sur ces journées qui s'étaient emballées en une suite de dérèglements imprévisibles jusqu'à produire l'inéluctable. À ce point électrisé par la perspective du déménagement, à ce point pressé de commencer les travaux de rénovation, le couple en avait oublié que vivre était dangereux. Brigitte Giraud mène l'enquête et met en scène la vie de Claude, et la leur, miraculeusement ranimées. Les vertueux de Yasmina Khadra J'ai vécu ce que j'avais à vivre et aimé du mieux que j'ai pu. Si je n'ai pas eu de chance ou si je l'ai ratée d'un cheveu, si j'ai fauté quelque part sans faire exprès, si j'ai perdu toutes mes batailles, mes défaites ont du mérite - elles sont la preuve que je me suis battu. Algérie, 1914. Yacine Chéraga n'avait jamais quitté son douar lorsqu'il est envoyé en France se battre contre les "Boches". De retour au pays après la guerre, d'autres aventures incroyables l'attendent. Traqué, malmené par le sort, il n'aura, pour faire face à l'adversité, que la pureté de son amour et son indéfectible humanité. Les Vertueux est un roman majeur, la plus impressionnante des oeuvres de Yasmina Khadra.
joelafrite Posté(e) 20 novembre 2022 Posté(e) 20 novembre 2022 Nouvelle lecture : Les enfants endormis par Anthony Passeron. Une histoire tragique sur l'apparition du SIDA dans les années 80 et la destruction d'une famille. Le narrateur nous présente le parcours de vie de son oncle, le fils préféré qui va sombrer dans l'héroïne et être contaminé. En parallèle l'auteur nous retrace l'historique de la découverte de cette maladie par les chercheurs français. Un style un peu froid qui m'empêche de considérer ce livre comme un coup de coeur, mais une belle réussite tout de même. Présentation de l'éditeur : Quarante ans après la mort de son oncle Désiré, Anthony Passeron décide d’interroger le passé familial. Évoquant l’ascension sociale de ses grands-parents devenus bouchers pendant les Trente Glorieuses, puis le fossé qui grandit entre eux et la génération de leurs enfants, il croise deux récits : celui de l’apparition du sida dans une famille de l’arrière-pays niçois – la sienne – et celui de la lutte contre la maladie dans les hôpitaux français et américains. Dans ce roman de filiation, mêlant enquête sociologique et histoire intime, il évoque la solitude des familles à une époque où la méconnaissance du virus était totale, le déni écrasant, et la condition du malade celle d’un paria.
Mirobolande Posté(e) 20 novembre 2022 Posté(e) 20 novembre 2022 @joelafrite N'essuie jamais de larmes sans gant de Jonas Gardell, sur l'apparition du SIDA dans la communauté homosexuelle en Suède. Celui-ci je peux te le conseiller. Je l'avais trouvé déchirant, mais aussi bien écrit et documenté. 1 2
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant