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Posté(e)
il y a 13 minutes, Byza31 a dit :

Je l'ai acheté, je vais le lire prochainement !

Tu me diras ce que tu en penses ? 

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Je viens de terminer "La cygne noire", que mon fils m'avait offert à Noël :

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Cygne Noir. Se dit d’un phénomène imprévisible dont la survenue est considérée comme proche de
l’impossible, mais qui survient un jour et change l’ordre des choses. Tous les cygnes sont blancs. Jusqu’au jour où l’on voit voler un cygne noir.
Suzanne n'a pas de demi-mesure. À peine sortie de l'enfance, elle décide qu'elle parviendra au sommet. La politique sera son terrain de jeu.
Suzanne, c'est un boulet de canon qui se lance dans la pente, une rage froide qui grossit à mesure qu'elle dévale, un feu intérieur que charpente l'orgueil et qu'alimente la ténacité. Et personne ne se mettra en travers de son chemin.
On ne résiste pas à Suzanne.
Fabuleux récit sur la conquête du pouvoir, Dominique Chevallier dresse un tableau satirique, savoureux, mais aiguisé, de la mécanique politique. L'auteur sait de quoi il parle. La cygne noire est son premier roman.

 

J'ai beaucoup aimé, sauf la fin. L'histoire manque de crédibilité parfois, c'est dommage. Spoiler :

Révélation

Deux mois de dépression parce que son prof a regardé ailleurs avant la fin de son exposé ? A deux doigts de renoncer aux présidentielles parce qu'un ancien camarade de classe lui dit des choses pas gentilles ?

 

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Je viens de terminer Poids léger, par Olivier Adam.

J'ai aimé ce court roman (140 pages) au style froid, qui correspond bien au personnage. C'est l'histoire d'une descente aux enfers, bien rendue par le ton désabusé du narrateur.

Présentation de l'éditeur : Antoine vit dans la banlieue d’une grande ville, près de la gare. Son regard se perd dans la grisaille qui l’entoure : un réseau de poteaux et de fils, des passagers anonymes qui se pressent sous la pluie. Sa vie ne tient pas à grand-chose : le deuil des autres comme travail (il est employé dans une entreprise de pompes funèbres), des souvenirs d’enfance (et surtout l’amour nostalgique pour sa sœur) qui donnent quelques couleurs de son existence, et la boxe pour exutoire de sa colère et de son malaise. Et être, un jour, enfin, un “gagnant”. En attendant la gloire incertaine du ring, il multiplie les échecs et les coups. Affectifs : il ne supporte pas le mariage de sa sœur, ne parvient pas à se faire accepter par la famille de Su, la jeune Chinoise dont il est amoureux. Professionnels : ses retards répétés finissent par le mener dans le bureau de son chef, qu’il menace d’un cutter. Sportifs : trop de cuites, pas assez d’entraînement lui font perdre pied, match après match. Il ne semble pas avoir la moindre prise sur son existence, tout le pousse à une fuite en avant qui va lui coûter cher : la liberté. Les personnages d’Olivier Adam ne s’interrogent pas, la trajectoire de leur vie ressemble à un assemblage chaotique de lignes brisées. L’auteur explore ici à nouveau ses thèmes de prédilection : la disparition, la fuite, les ruptures. Ses phrases simples, précises, sont parfaitement sensibles : tout y sonne juste.

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J'ai lu L'affaire Sadorski mais ai abandonné juste avant la fin car j'en avais marre. Je n'ai pas du tout accroché ni à l'histoire, ni au personnage (évidemment). Sur la même époque j'ai largement préféré Le magicien d'Auswitch et sa suite.

Du coup, j'ai commencé Ne t'arrête pas de courir de Mathieu Palain 

L’énigme d’un homme, champion le jour, voyou la nuit. Un face-à-face exceptionnel entre l’auteur et son sujet.
De chaque côté du parloir de la prison, deux hommes se font face pendant deux ans, tous les mercredis. L’un, Mathieu Palain, est devenu journaliste et écrivain, alors qu’il rêvait d’une carrière de footballeur. L’autre, Toumany Coulibaly, cinquième d’une famille malienne de dix-huit enfants, est à la fois un athlète hors norme et un cambrioleur en série. Quelques heures après avoir décroché un titre de champion de France du 400 mètres, il a passé une cagoule pour s’attaquer à une boutique de téléphonie.
Au fil des mois, les deux jeunes trentenaires deviennent amis. Ils ont grandi dans la même banlieue sud de Paris. Ils auraient pu devenir camarades de classe ou complices de jeux. Mathieu tente d’éclaircir « l’énigme Coulibaly », sa double vie et son talent fracassé, en rencontrant des proches. Il rêve qu’il s’en sorte, qu’au bout de sa course, il se retrouve un destin.
Tout sonne vrai, juste et authentique dans ce livre. Mathieu Palain a posé ses tripes sur la table pour nous raconter ce face-à-face bouleversant. Quand la vraie vie devient de la grande littérature.
Remarqué pour ses talents de portraitiste dans la revue XXI, Mathieu Palain a publié son premier roman, Sale Gosse, à L’Iconoclaste en 2019, qui a été un succès critique et public. Avec Ne t’arrête pas de courir, il affirme son goût pour une littérature du réel, dans la lignée des journalistes écrivains. Il a 32 ans.

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Le 21/01/2023 à 22:12, corazon a dit :

J'ai lu L'affaire Sadorski mais ai abandonné juste avant la fin car j'en avait marre. Je n'ai pas du tout accroché ni à l'histoire, ni au personnage (évidemment). Sur la même époque j'ai largement préféré Le magicien d'Auswitch et sa suite.

Désolé si tu n'as pas aimé ... Pour ma part je trouve ça très intéressant car très documenté (presque trop) et le personnage est original. Ma fille a adoré Le magicien d'Auschwitz, ma femme moins. Comme quoi, les goûts, ...

 

Je viens de terminer Les barricades mystérieuses par Sébastien Lapaque. Un polar très classique au style érudit. Une découverte sympa.

Présentation de l'éditeur : Neubourg reçoit en pleine nuit la visite inopinée de son ami Maranges, qui lui confie une grosse somme d'argent, et disparaît.
Voyant qu'il ne se présente pas le lendemain au journal où tous deux travaillent, Neubourg se lance à la recherche d'un collègue qu'il connaît finalement peu.
Le chroniqueur hippique de Paris-Matin est-il un maquereau, comme le prétend la rumeur ? un indic mouillé avec des ripoux ? un turfiste endetté ?
Fort de ses idéaux de justice, de son goût romanesque pour l'aventure et de son envie de prouver sa bravoure à la belle Mao mariée à un autre, Neubourg plonge sans le savoir dans un univers à la violence glaçante.
Polar littéraire élégant, hommage aux grands films noirs et à des auteurs comme Michel Audiard, Les Barricades mystérieuses compose aussi un singulier roman de formation à l'ironie amère, qui accompagne son héros vers le naufrage des illusions, et l'apprentissage de l'échec.

 

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@corazon je viens de finir Ne t'arrête pas de courir (conseillé ici, si je me souviens bien).

Intéressant. Ni roman, ni documentaire. Je l'ai pris comme un témoignage. Un questionnement sur les choix de vie (ou les non choix).

Posté(e)
il y a 50 minutes, Chakana a dit :

@corazon je viens de finir Ne t'arrête pas de courir (conseillé ici, si je me souviens bien).

Intéressant. Ni roman, ni documentaire. Je l'ai pris comme un témoignage. Un questionnement sur les choix de vie (ou les non choix).

Je viens de le terminer également. 

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Je viens de finir "Les enfants du train" de Viola Ardone. Un excellent roman à partir d'un évènement réel ... l'histoire est racontée à hauteur d'enfant (puis de l'adulte qu'il devient). Très belle écriture rendant parfaitement l'ambiance napolitaine et celle de l'italie du nord.
"Naples, 1946. Amerigo quitte son quartier pour monter dans un train. Avec des milliers d’autres enfants du Sud, il traversera toute la péninsule et passera quelques mois dans une famille du Nord : une initiative du parti communiste vouée à arracher les plus jeunes à la misère après le dernier conflit mondial.
Loin de ses repères, de sa mère Antonietta et des ruelles de Naples, Amerigo découvre une autre vie. Déchiré entre l’amour maternel et sa famille d’adoption, quel chemin choisira-t-il ?
S’inspirant de faits historiques, Viola Ardone raconte l’histoire poignante d’un amour manquée entre un fils et sa mère. Immense succès en Italie et en cours de traduction dans 29 pays, ce roman remarquable révèle une auteure d’exception.
« Le Train des enfants est une histoire qu’il fallait absolument raconter, et Viola Ardone le fait avec passion et maestria. » Il Corriere della Sera"

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Je sens que je vais pleurer @cajou mais je te remercie quand même :D 

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Je viens de termines "Les enfants du secret" de Marina Carrère d'Encausse. 

C'est le premier roman que je lis d'elle et j'ai beaucoup aimé. 

Ca parle (entre autre) des enfants de la Réunion qui ont été déplacés vers la Creuse entre les années 60 et 80

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Il y a 6 heures, Kiwichick a dit :

Je sens que je vais pleurer @cajou mais je te remercie quand même :D 

Le livre est très touchant mais aussi plein d'une grande force, celle de la solidarité des pauvres...

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Posté(e)

Après vous avoir lu de nombreuses fois vos commentaires élogieux, j'ai commencé le 1er tome de la saga des 7 soeurs et j'adore 😍 !!! c'est vraiment bien écrit, on est pris dans l'histoire et les personnages sont atttachants ! Merci à vous pour cette découverte !

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