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Posté(e)

je crois que Nao a expliqué que c'était "Délivrance" chez elle, avec des péquenots un peu spéciaux.

Posté(e)
il y a une heure, Dramstein a dit :

je crois que Nao a expliqué que c'était "Délivrance" chez elle, avec des péquenots un peu spéciaux.

Exactement.

 

Avez-vous lu Le roman de Johnny Bellegueule ou un titre de ce genre ? Hé bien c'est chez moi que ça se passe.

Posté(e)

c'est clair les cartouches ben j'en dépense beaucoup!!!!! et sur mes  deniers, on imprime pas tout à l'école...

Posté(e)

je crois qu'ils tournent au genièvre dans ce coin, ça doit déchirer :tongue:

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Posté(e)

Je sais qu'il existe bien pire que ma situation d'enseignante : j'ai tourné pas mal lorsque j'étais ZIL (enfin j'ai quand même fait tout le département). Certaines écoles, comme partout d'ailleurs, sont fréquentées par tellement d'enfants fracassés par la vie qu'il est impossible d'avancer sur les apprentissages.

 

Alors pourquoi une obligation de réussite pour tous les élèves ? Le facteur humain ne permet pas cela. On nous demande l'impossible.

Posté(e)

De toutes façons, ça sera toujours notre faute quelle que soit l'énergie qu'on met à bien faire...

Posté(e)
Il y a 20 heures, Tide a dit :

le picon  bière, c'est redoutable.

 

 

Posté(e)

Avant une obligation de réussite pour les élèves,  je demanderai d'abord une obligation de réussite pour les parents en tant que parents et une obligation de réussite pour l'état pour protéger les plus faibles de ses citoyens. On n'en voyait pas autant des gamins avec des handicaps du à un passif familier lourd.

Posté(e)
il y a 30 minutes, abel27 a dit :

Avant une obligation de réussite pour les élèves,  je demanderai d'abord une obligation de réussite pour les parents en tant que parents et une obligation de réussite pour l'état pour protéger les plus faibles de ses citoyens. On n'en voyait pas autant des gamins avec des handicaps du à un passif familier lourd.

Oui mais es-tu sûr qu'on n'en voyait pas autant parce qu'il n'y en avait pas autant ? Peut être que, tout simplement, ces enfants là n'étaient pas scolarisés, ou qu'ils étaient enfermés dans des structures spécialisées.

Posté(e)
il y a 30 minutes, abel27 a dit :

Avant une obligation de réussite pour les élèves,  je demanderai d'abord une obligation de réussite pour les parents en tant que parents et une obligation de réussite pour l'état pour protéger les plus faibles de ses citoyens. On n'en voyait pas autant des gamins avec des handicaps du à un passif familier lourd.

Ce n'est pas mon impression. En revanche, je trouve que, même dans des milieux privilégiés, on a de plus en plus d'élèves hyper stressés, alors que toutes les réformes étaient destinées à diminuer leur stress (évaluation par compétence, projets, quasi suppression du redoublement, enseignement moins frontal etc...).

Avec la nouvelle mode de la "bienveillance", je crains le pire pour les pauvres mômes.

C'était notre minute "Râlons entre vieux schnoks". :secret:

Posté(e)

Ben, j'ai l'impression d'un désengagement de l'état pour protéger ses enfants.

Les 1ères visites médicales qui étaient obligatoires (car corrélées au versement des allocs) ne le sont plus. Des enfants qui ne sont plus placés par manque de moyens. Des assistantes sociales qui ont elles aussi vu leur condition de travail se détériorer.

Alors, je dis pas que ces gamins n'étaient pas moins nombreux avant, mais peut-être étaient-ils aidés et protégés plus tôt...

Je suis dans le peut-être, l'impression. Par contre, j'ai vu beaucoup trop souvent l'intérêt de l'adulte primer sur l'intérêt de l'enfant malheureusement (souvent maintenir le lien familial ou la cellule familiale alors même que c'est destructeur).

Posté(e)
Il y a 14 heures, abel27 a dit :

Ben, j'ai l'impression d'un désengagement de l'état pour protéger ses enfants.

 

Un exemple: en ce qui concerne l'idéologie de la "désinstitutionalisation" des malades mentaux dont s'inspire la loi de 2005, c'est le gouvernement Reagan qui l'a mise en place aux Etats-Unis dans les années 80.

Au minimum, ça devrait conduire à s'interroger sur les motifs réels des politiques d'"inclusion", la pureté des intentions de leurs promoteurs et leur caractère "progressiste", avant de brandir l'intérêt des enfants pour clouer le bec à ceux osent émettre quelques réserves.

 

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