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Posté(e)

Bah c'est bon, le médecin m'a arrêtée jusqu'au 5 juillet... son remplaçant a été super compréhensif et très gentil. Je me faisais du mouron pour pas grand chose... 

Je peux enfin me sentir "libre" et tourner une page.

Merci à tous pour votre soutien et vos commentaires. Ça m'a redonné du courage pour appelé le médecin ! 

 

Posté(e)

C'est mieux comme ça , tu vas être plus sereine en ayant fait les choses dans les règles . Repose toi bien maintenant et essaie de ne plus y penser 

Posté(e)

oui repose-toi, recharge les batteries, reprends confiance et profite !

 

Posté(e)

Tant mieux: tu as pris la bonne décision et en plus, tu es dans ton bon droit. Si le médecin t'a arrêté, c'est parce qu'il le fallait. Tu avais raison.

Plein de courage pour ta reconstruction, je te souhaite de trouver ta voie et de t'épanouir dans ta vie.

Encore une fois, j'ai honte d'"appartenir" à cette machine à broyer les stagiaires.

Posté(e)

Bon on ne sort pas indemne d'un passage dans l'EN. Je ne veux pas te sembler indélicate ou déplacée, mais pour mieux rebondir, c'est parfois bon de faire une psychothérapie pour faire le point sur ce qui ne va pas et pour te permettre de repartir sur des bases solides en te redonnant confiance en toi. La confiance en soi est souvent mise à mal dans l'EN (et j'en sais qqch). Un traitement adapté pendant un certain temps n'est pas une mauvaise chose non plus. Il y aura juste une période de sevrage où il faut réduire les doses avant d'arrêter définitivement.

Posté(e)

Merci tout le monde, oui j'ai déjà pensé à voir un psychologue, ca m'aurait fait du bien d'en voir un plutôt aussi car danq deux mois je pars à l'étranger donc peu de temps, et je me dis que cette experience sera la meilleure des thérapies du coup :)

Posté(e)

Je te souhaite bonne chance g@elle et bonne route....

Ce système est terrible pour beaucoup : après 17 ans de service  sans jamais avoir pris un jour d'arrêt (hormis pour mes grossesses) ,me voilà en arrêt depuis  quelques jours et  jusqu'à la fin de l'année. Je vivais une situation difficile dans mon école et je m'accrochais. Mon corps a fini par lâcher. Le pire est encore que je culpabilise d'être en arrêt pendant que mes collègues gèrent la fin de l'année.

Bon maintenant je quitte le 1er degré pour le secondaire : cette nouvelle aventure en perspective me rebooste !

Posté(e)

Bon courage pour la suite !

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