Aller au contenu

Des policiers gravement blessés par des cocktails Molotov dans l'Essonne


prof désécol

Messages recommandés

http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/essonne-deux-policiers-serieusement-blesses-par-des-cocktails-molotov-dans-le-quartier-de-la-grande-borne_1862567.html

Citation

Essonne : deux policiers gravement blessés par des cocktails Molotov dans le quartier de la Grande Borne

Selon les informations de France 3, deux patrouilles ont été prises pour cible par une quinzaine d'individus alors qu'elles montaient la garde près d'une caméra de vidéosurveillance.

Deux policiers ont été gravement blessés par des jets de cocktails Molotov, samedi 8 octobre, dans la cité de la Grande Borne, située sur les communes de Grigny et Viry-Châtillon (Essonne), indique une source policière à France 3. L'un des blessés est brûlé sur 30% de sa surface corporelle, selon la même source.

Deux patrouilles ont été prises pour cible par une quinzaine d'individus alors qu'elles montaient la garde près d'une caméra de vidéosurveillance récemment installée dans le secteur. Quatre fonctionnaires au total, qui se trouvaient à proximité de véhicules de la mission Vigipirate, ont été blessés dont deux "sérieusement".

Une enquête ouverte pour tentative d'homicide

Ces violences sont survenues à un feu rouge qui a été longtemps le théâtre de vols à la portière avec violence. Depuis plus d'un an, la mairie tente de reprendre le territoire aux agresseurs à ce carrefour dit "du Fournil" – du nom de la boulangerie voisine – et y a dans ce but installé une caméra de vidéosurveillance, que les policiers attaqués étaient chargés de surveiller.

Le parquet d'Evry a ouvert une enquête en flagrance pour tentative d'homicide, a appris franceinfo, confirmant une information d'i-Télé. Dans un communiqué, le ministère de l'Intérieur a condamné "des actes d'une extrême gravité". "Tout est mis en œuvre pour retrouver et interpeller les auteurs de ces actes intolérables", poursuit Bernard Cazeneuve dans ce texte.

Quatre policiers ont été blessés après avoir été la cible de cocktails molotov dans la cité de la Grande Borne, située à cheval sur les communes de Grigny et Viry-Châtillon (Essonne), le 8 octobre 2016.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A lire aussi, cet article du Point du 30 septembre :

http://www.lepoint.fr/societe/essonne-ce-feu-rouge-que-la-mairie-veut-reprendre-aux-malfrats-30-09-2016-2072463_23.php

Citation

Essonne : ce feu rouge que la mairie veut reprendre aux malfrats

Le Point, magazine

« T'arrête pas au feu de ma ville, mec, si tu tiens à ta vie. [...] T'arrête pas au feu, mets pas ton sac sur le siège passager, on te pèta (vole, ndlr) ton sac à main, tu subiras un arraché », chantaient en 2011 les membres du groupe Black Automatik, originaires de Grigny.

À un feu rouge de Viry-Châtillon (Essonne), au fameux « carrefour du Fournil », le vol à la portière avec violence était devenu une spécialité. Depuis plus d'un an, la mairie tente de reprendre le territoire aux agresseurs.

À chaque attaque le même stratagème. Bloqués à ce feu rouge de la départementale 445, des automobilistes, presque toujours des femmes, reçoivent une pluie de pierres lancées par des agresseurs cagoulés, souvent mineurs. « On a déjà interpellé un gamin de 12 ans », souffle une source policière. Le butin est à prendre sur le siège passager : sacs à main, portables, ordinateurs, manteaux... Puis les agresseurs disparaissent à pied à la faveur des allées tortueuses de la Grande Borne, cette zone de sécurité prioritaire (ZSP), au bord de l'autoroute A6, où près de la moitié de la population vit sous le seuil de pauvreté.

« Tout se passe en cinq secondes. C'est hyper violent », raconte une victime, encore « très traumatisée », deux ans après son agression. Cette kinésithérapeute de 39 ans emprunte désormais un nouvel itinéraire et laisse « toujours plusieurs mètres d'écart » avec la voiture qui la précède lors d'un ralentissement, pour pouvoir se dégager en cas de nouvelle attaque. En 2013, plusieurs personnes avaient été interpellées pour une vingtaine d'agressions de ce type. Mais fin 2014, les vols se sont multipliés. « Une vingtaine d'agressions pour une quarantaine de victimes en six mois », précise Jean-Marie Vilain, le maire UDI de Viry-Châtillon.

La caméra de surveillance incendiée au cocktail Molotov

En avril 2015, la municipalité débloque alors 12 000 euros et installe une caméra de vidéosurveillance. Depuis, « plus une seule attaque sur ce carrefour », assure l'édile. Sauf qu'elles ont repris au feu rouge précédent et sur un axe voisin. Les dernières remontent à la mi-septembre. Samedi dernier, c'est la caméra elle-même du fameux carrefour qui a été ciblée, détruite à l'aide d'une fourgonnette volée, utilisée comme voiture-bélier, puis incendiée au cocktail Molotov. La scène, violente, s'est déroulée à l'heure du déjeuner, sous les yeux de nombreux passants. Juste avant, les agresseurs, très déterminés, avaient tenté de braquer un poids lourd, déjà au cocktail Molotov, mais le chauffeur avait réussi à leur échapper.

La caméra, fixée à une dizaine de mètres de hauteur sur un lampadaire, était en sursis depuis plusieurs mois. Au printemps, un camion-poubelle volé avait raté l'objectif et fini sa course dans un arbre. Une tentative de découper le candélabre à la tronçonneuse thermique avait également échoué. « Ils veulent montrer qu'ils sont chez eux, que c'est leur quartier, leur carrefour », selon M. Vilain. « C'est une guerre de territoire. La vidéo dérange leurs trafics. Dès qu'on démantèle un réseau, on a des représailles », affirme Claude Carillo, secrétaire départemental du syndicat de policiers Alliance. « On a besoin d'un renfort de 300 gradés et gardiens de la paix » en Essonne, estime-t-il.

La caméra endommagée doit être remplacée. « Au même endroit », promet le maire. « Pas question que les délinquants imaginent que l'on va baisser les bras. » Mais l'édile voit plus loin : « Il ne faut pas s'arrêter à ce carrefour. Il faut sécuriser toute la D445. » « Des aménagements, comme du barrièrage et peut-être de la vidéoprotection sur l'ensemble de l'axe », seront discutés lors d'une prochaine réunion, a indiqué la préfète de l'Essonne, Josiane Chevalier, à l'issue d'une visite mardi dans la commune.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/policiers-agresses-dans-l-essonne-l-un-d-eux-est-entre-la-vie-et-la-mort-7785186785

 

Citation

Policiers agressés dans l'Essonne : l'un d'eux est "entre la vie et la mort"

Quatre policiers ont été blessés, dont deux "sérieusement", par une dizaine de personnes, samedi 8 octobre à Viry-Châtillon (Essonne). Des cocktail Molotov ont été utilisés à leur encontre dans la cité Grande Borne peu avant 15 heures. Au micro de RTL, Claude Carillo, secrétaire départemental du syndicat de police Alliance 91, donne des nouvelles de leur état de santé. "On a notre jeune collègue mère de famille de trois enfants, qui est très choquée, qui normalement devrait s'en sortir beaucoup plus facilement que notre jeune adjoint de sécurité, qui lui est entre la vie et la mort. Il a été placé dans un coma artificiel, il est dans un état jugé très très sérieux."

Les deux policiers les plus gravement blessés ont été bloqués dans leur voiture par les assaillants. "Il y avait deux véhicules. Dans les deux véhicules, il y avait deux fonctionnaires de police. Il faut penser à nos deux autres collègues qui ont été aussi gravement blessés, avec fracture du poignet pour l'un et des brûlures pour les deux. C'était quand même une tentative de meurtre envers nos quatre collègues." [...]

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pas loin de chez moi... Mon beau-frère s'est fait attaqué à ce fameux carrefour d'ailleurs.

Je pense qu'on va devoir en parler avec mes élèves demain matin.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Lire au passage cet article édifiant sur le délabrement avancé des moyens alloués aux fonctionnaires de police dans ce département.

http://www.leparisien.fr/essonne-91/dans-six-commissariats-d-essonne-les-portes-ne-ferment-plus-04-10-2016-6175077.php

Extraits :

Citation

Dans six commissariats de l'Essonne, les portes ne ferment plus

6175077_3c4899e2-8834-11e6-9e94-7df8fe48

Pour fermer la porte du commissariat de Longjumeau, les policiers sont obligés de coincer un manche à balai entre les poignées car la serrure ne fonctionne plus.

 

Citation

À Étampes, c’est le portail d’entrée du commissariat qui ne ferme plus. Il est cadenassé grâce à une chaîne de vélo. Du côté de Sainte-Geneviève, le portail du parking n’existe plus : des barrières en métal font office de rempart. À Montgeron et Brunoy, les portails vandalisés restent ouverts. Dernier incident en date : en tentant de fermer le portail du commissariat d’Athis-Mons, qui est coincé, un policier s’est fracturé le pied il y a quelques semaines. [...]

« Et ce n’est pas tout, à Grigny, il y a des rats partout dans le bâtiment, dans d’autres bâtiments ce sont des cafards ou des WC bouchés durant des semaines », soupire le syndicat Alliance dans un tract réclamant des travaux au plus vite. « On est à la limite de l’insalubrité », soupire un policier d’Étampes. [...]

 

 

il y a 37 minutes, Just_Summer a dit :

Mon beau-frère s'est fait attaqué à ce fameux carrefour d'ailleurs.

 

Il se consolera peut-être en apprenant que des personnalités bien plus éminentes bénéficient des moyens policiers du département...

 

Citation

Un syndicat dénonce les « tâches indues » de la protection des personnalités

Qu’ont en commun l’ex-femme de Manuel Valls, le recteur de la mosquée de Courcouronnes Khalil Merroun et le rabbin de Ris Michel Serfaty ? Ils sont tous au centre des crispations des policiers de l’Essonne. Dans un tract, le syndicat de police Alliance dénonce les « tâches indues » qui leur incombent. « Nous n’avons pas les effectifs suffisant pour nous permettre d’assurer des missions de sécurité auprès des personnalités », rappelle Claude Carillo, délégué départemental qui réclame depuis des mois le renfort de 300 fonctionnaires.

Deux policiers sont affectés 24 heures/24 devant l’appartement de l’ex-femme du Premier ministre à Evry. Michel Serfaty dispose, lui, d’une équipe de trois policiers dès qu’il quitte son domicile. Et Khalil Merroun est accompagné de deux fonctionnaires en civil dès qu’il sort. « C’est autant de personne en moins sur le terrain pour patrouiller, reprend le syndicat de police Alliance. C’est un service spécialisé dans les missions de protection qui devrait s’occuper de ça, pas les hommes du commissariat local. Et c’est sans compter toutes les visites ministérielles chaque week-end… » [...]

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://www.francebleu.fr/infos/societe/apres-les-violences-de-l-essonne-les-syndicats-policiers-appellent-des-rassemblements-1476111831

Citation

Après les violences de l’Essonne, les syndicats policiers appellent à des rassemblements

Après les violences contre des policiers ce week-end dans le département, deux syndicats de police appellent à des rassemblements silencieux dès mardi tandis qu’un autre appelle à une "grève du zèle" dans l'Essonne pour réclamer des moyens adaptés.

Après l'attaque au cocktail Molotov contre quatre agents samedi dans l'Essonne, le syndicat Alliance, premier syndicat de gardiens de la paix, a appelé ce lundi les policiers à une "grève du zèle", tandis que deux autres organisations appelaient de leurs côtés à des rassemblements silencieux devant les commissariats mardi. Le parti Les Républicains a réclamé pour sa part la démission de Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur.

Pas de "zones de non-droit"

Le ministre de l'Intérieur et Manuel Valls ont fait lundi matin la tournée des commissariats de l'Essonne, où le Premier ministre a assuré que les auteurs des violences seraient "appréhendés" et "jugés sévèrement". "Il n'y a pas de zone de non-droit", a ainsi déclaré Manuel Valls.

Les syndicats déplorent un manque de moyens

Rien de suffisant pour calmer la colère des syndicats de policiers, lesquels estiment que le gouvernement ne leur a pas donné suffisamment de moyens pour faire face à la "violence endémique" dans des zones sensibles. Alternative-police CFDT et le syndicat des cadres SCSI-CFDT appellent en conséquence les policiers à des rassemblements silencieux mardi devant tous les commissariats de police.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a un peu plus de dix ans, une LC est contente, elle va être enfin maitresse en maternelle......un EDPien, Florent lui demande si elle connait la grande borne.....euh non....ah.....ah ?

Elle passera 6 mois difficiles. Un jour, une maman décide de casser la figure à l'asem qui l’empêche de rentrer. La veille, la directrice lui avait interdit de mettre les pieds dans l'école car elle avait hurlé "Toutes des sales putes dans cette école".  Il  y a eu intervention des pompiers et de la police. La jeune LC fût convoquée à l'inspection et un beau rapport  écrit. La colère de cette maman était en fait liée au désarroi de cette maman face au manque de travail dans la classe de la jeune LC, LC qui était bien perdue.....

Dans cette circonscription, des tonnes de T1, T2, LC même l'inspectrice de l'époque était une "faisant office de...".

Bref c'est bien triste et je vois que ca ne s'améliore pas trop.....

Pour l'anecdote, il y a un bus direct entre deux cités qui ne se supportent pas.....je n'ai jamais compris pourquoi il ne la coupait pas en deux !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 28 minutes, cleo17fr a dit :

Il y a un peu plus de dix ans, une LC est contente, elle va être enfin maitresse en maternelle......un EDPien, Florent lui demande si elle connait la grande borne.....euh non....ah.....ah ?

Elle passera 6 mois difficiles. Un jour, une maman décide de casser la figure à l'asem qui l’empêche de rentrer. La veille, la directrice lui avait interdit de mettre les pieds dans l'école car elle avait hurlé "Toutes des sales putes dans cette école".  Il  y a eu intervention des pompiers et de la police. La jeune LC fût convoquée à l'inspection et un beau rapport  écrit. La colère de cette maman était en fait liée au désarroi de cette maman face au manque de travail dans la classe de la jeune LC, LC qui était bien perdue.....

Dans cette circonscription, des tonnes de T1, T2, LC même l'inspectrice de l'époque était une "faisant office de...".

Bref c'est bien triste et je vois que ca ne s'améliore pas trop.....

Pour l'anecdote, il y a un bus direct entre deux cités qui ne se supportent pas.....je n'ai jamais compris pourquoi il ne la coupait pas en deux !

Merci pour ce témoignage.

 Les événements de ce week-end dans l'Essonne dépassent bien évidemment la question des difficultés et des risques des policiers à remplir leur mission dans ce coin du département.

 On imagine aisément le sentiment d'extrême vulnérabilité des collègues amenés à enseigner dans des endroits où même des fonctionnaires de police armés font office de pantins de paille bons pour le méchoui aux yeux de la racaille locale...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/essonne-j-ai-vu-qu-on-voulait-vraiment-nous-tuer-temoigne-l-un-des-policiers-vises-a-viry-chatillon-7785218029

 

Citation

Policiers agressés dans l'Essonne : "J'ai vu qu'on voulait vraiment nous tuer", témoigne l'une des victimes

DOCUMENT RTL - Sébastien, brigadier de police à Juvisy, était présent à Viry-Châtillon lors de l'attaque au cocktail Molotov de deux voitures de police.

"L'horreur". Voilà ce qu'ont vécu quatre policiers en service à Viry-Châtillon samedi 8 octobre. Deux voitures de force de l'ordre ont été prises pour cible par des individus mettant le feu au véhicule à l'aide de cocktail Molotov. L'un des policiers présents ce jour-là témoigne au micro de RTL. "On était deux équipages de deux, ils nous sont tombés dessus en quelques secondes", commente Sébastien, le brigadier de police. 

"Au même moment où le premier véhicule est attaqué, on entend un énorme impact sur notre gauche on se retourne vers le véhicule, on voit des flammes, des individus et dans les secondes qui suivent, ils fondent sur nous ", poursuit-il. Avant de décrire une véritable scène "d'horreur", selon ses propres mots : "Les vitres éclatent, des booms partout. Ma collègue prend des coups-de-poing, des projectiles. On essayait de nous bloquer la sortie, j'ai vu qu'on voulait vraiment nous tuer, on ne voulait vraiment pas qu'on sorte", explique-t-il. Mais la fuite des individus permet aux deux policiers présents dans l'habitacle de sortir du véhicule. "Il y avait le feu qui prenait à l'arrière et je pense que leur fuite nous a permis de nous sortir de là", détaille-t-il.

Sébastien a eu un réflexe héroïque

La suite ? C'est le courage de Sébastien qui a sûrement sauvé la vie à son collègue, bien que ce dernier soit entre la vie et la mort, mais dans un "état stable", selon les propos de Bernard Cazeneuve. Une fois sorti du véhicule, le brigadier se "retourne instinctivement". "J'ai une lucidité qui fait que je cherche à savoir où sont mes deux collègues, explique-t-il. J'en vois arriver une la tête en sang, je la laisse me dépasser, je veux qu'elle parte en sécurité". 

Mais l'état du second policier présent dans la deuxième voiture est tout autre. "Je vois arriver Vincent en feu alors je cours vers lui pour l'éteindre. Je me suis porté à son niveau et je lui ai hurlé de lever les bras. J'ai hurlé de toutes mes forces pour couvrir ses appels à l'aide et qu'il m'entende. Il a levé les bras à un moment donné et j'ai réussi à saisir son polo à main nu, à l'arracher vers le haut". Un geste presque anodin qui a pourtant permis à Sébastien d'étouffer le feu : "Ensuite, j'ai tapé partout où il y avait d'autres flammes sur son corps".

Une fois les flammes maîtrisées, Sébastien prend alors en charge Vincent pour rejoindre les deux autres collègues. Brigadier expérimenté, il ne réalise toujours pas ce qu'il s'est passé samedi 8 octobre : "Ça fait 12 ans que j'interviens, particulièrement sur cette commune, mais jamais je n'aurai cru un jour en arriver là". 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/10/16/01016-20161016ARTFIG00080-echauffourees-a-mantes-la-jolie-apres-un-guet-apens-contre-des-policiers.php

Citation

Échauffourées à Mantes-la-Jolie après un guet-apens contre des policiers

lefigaro.fr

Appelés vers 22h30 pour une fausse alerte à une voiture brûlée, les agents de la brigade anticriminalité ont fait face à une centaine de jeunes qui s'en sont pris à leur véhicule à coups de cocktails Molotov et de jets de projectiles.

Jets de cocktails Molotov et projectiles: des policiers ont été pris dans un guet-apens suivis d'échauffourées avec une centaine de jeunes dans le quartier sensible du Val-Fourré, à Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines, dans la nuit de samedi à dimanche. Ces incidents n'ont pas fait de blessé ni entraîné d'interpellation dans l'immédiat.

Vers 22H30, la police est appelée dans la cité du Val-Fourré, dans l'ouest de la ville, pour une fausse alerte à une «voiture brûlée». Arrivés sur place, les agents de la brigade anticriminalité (BAC) font face à une centaine de jeunes, qui s'en prennent à leur véhicule à coups de cocktails Molotov et de jets de projectiles. «Heureusement, sans parvenir à y mettre le feu», souligne la source policière. Les renforts reçoivent le même traitement à leur arrivée. Alors que les échauffourées se déroulent dans l'obscurité puisque les lampadaires sur la voie publique ont été cassés, la cinquantaine de policiers mobilisés parvient à repousser le groupe de jeunes avec des tirs de Flash-ball et de grenades lacrymogènes.

Les jeunes décident alors de se rendre sur la dalle du Val-Fourré, pour s'en prendre au bâtiment annexe de la mairie, brisant des vitres à coups de jets de projectiles. La police parvient à les disperser avant qu'ils ne puissent pénétrer dans le bâtiment, vers 1 heure du matin. L'enquête à été confiée au commissariat de Mantes-la-Jolie.

Dans un communiqué, le ministre de l'Intérieur félicite les policiers mobilisés «qui ont rétabli l'ordre public face à une centaine d'individus violents». Les «auteurs de ces violences inacceptables» sont activement recherchés, selon Bernard Cazeneuve.

La semaine dernière, trente-cinq kilos de résine de cannabis ont été saisis dans ce quartier. «Les violences urbaines sont peut-être en lien avec ça», selon une source policière. La cité du Val-Fourré, où les violences contre la police et les pompiers sont récurrentes depuis plusieurs jours, est connue pour son trafic de drogues.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

http://www.lci.fr/faits-divers/info-lci-venissieux-des-policiers-de-la-bac-attaques-par-une-quarantaine-d-individus-2008539.html

Citation

INFO LCI - Vénissieux : des policiers de la BAC attaqués par une quarantaine d'individus

FAIT DIVERS - Dans la banlieue lyonnaise, des agents de la Brigade anti-criminalité en patrouille dans la cité des Minguettes ont été attaqués par une quarantaine d'individus. Une source évoque des jets de cocktails Molotov.

19 oct 22:06

Un véritable guet-apens. Selon les informations de LCI, des effectifs de la Brigade anti-criminalité (BAC) départementale ont été pris à partie, ce mercredi soir vers 20 h 20 par une quarantaine d'individus à la cité des Minguettes, à Vénissieux (Rhône). Pris au piège dans ce quartier de la banlieue lyonnaise, les policiers ont répliqué en faisant usage de leurs flash-ball. 

Des poubelles ont été incendiées sur les voies du tramway, dont le trafic a été aussitôt interrompu. Une source syndicale évoque le jet de "cocktails Molotov".  Les forces de l'ordre ont finalement pu s'exfiltrer sans qu'il n'y ait de blessé dans leur rang. 

Par ailleurs, on apprend ce jeudi matin que la nuit a été "chaude" pour les forces de l'ordre dans le département limitrophe de l'Isère.  Entre 22h et 4h30, 9 véhicules ont été incendiés ainsi que 12 poubelles sur les communes de Villefontaine, Virieu, Saint-Just-Chaleyssin et Chanas. Il n'y a pas eu de blessé. Mais plusieurs enquêtes ont été ouvertes par les gendarmes. 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 semaines plus tard...

http://www.leparisien.fr/espace-premium/essonne-91/des-motards-de-la-police-tombent-dans-un-guet-apens-04-11-2016-6286722.php

Citation

Des motards de la police tombent dans un guet-apens

  Les masques n'ont mis que quelques heures à tomber, dans le quartier Massy Opéra, lundi soir. Vers 19 h 30, deux motards de la CRS autoroutière qui revenaient de leur dernière patrouille de la journée ont pris en chasse un pilote de motocross qui effectuait un rodéo en ville. Sans casque, mais le visage dissimulé derrière un masque d'Halloween, il a réussi à attirer ses poursuivants jusqu'à la rue d'Alger. Là, les fonctionnaires ont été accueillis par des jets de projectiles, lancés par une vingtaine d'assaillants. Encerclés, les motards ont réussi à quitter les lieux malgré les coups, portés sous l'objectif d'une caméra de surveillance.

 L'exploitation de la vidéo a permis d'identifier un jeune homme âgé de 18 ans, connu défavorablement des services de police. Il a été interpellé dès 6 heures du matin le lendemain. « Un second individu, âgé de 20 ans, a été arrêté peu de temps après, grâce à une vidéo de l'agression retrouvée dans le téléphone portable du premier », indique une source proche de l'enquête. Jugés hier en comparution immédiate, ils ont été condamnés à quatre mois de prison ferme et conduits directement en détention. La recherche des autres agresseurs se poursuit.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...