fifine59 Posté(e) 2 novembre 2016 Posté(e) 2 novembre 2016 Bonjour, Avec mes Gs j'ai envie d'aborder ces notions par le biais des cadeaux de differentes tailles formes masses et volume. Quelqu' un a deja fait ca? Merci d' avance!!
Moustache Posté(e) 7 novembre 2016 Posté(e) 7 novembre 2016 Des situations problèmes par là : http://primaths.fr/menumoyensgrands.html rubrique "les grandeurs". Il pourrait être intéressant de travailler avec des boites de différentes tailles avec des contenus de différents poids : la boite la plus grosse n'étant pas nécessairement la plus lourde. Utiliser une balance de type Roberval pour confirmer ou infirmer.
natachalala Posté(e) 8 novembre 2016 Posté(e) 8 novembre 2016 Il y a quelques années, on avait créé ce Sujet, sur les masses. Il est tout à fait possible de l'adapter à des cadeaux. Dans la fiche pédagogique tu trouveras des indications pour remplir les "coffres" pour les manipulations en classe.
vieuxmatheux Posté(e) 9 novembre 2016 Posté(e) 9 novembre 2016 S'il y a peu de réponses c'est peut-être en partie parce que ton titre semble très exigeant s'il signifie que tu veux traiter les trois choses simultanément. Déjà chacune des notions en soit n'est pas simple, et quand on les met en relation ça se complique : … relation par exemple entre masse et volume ? Si on dispose d'une matière homogène, par exemple de la pâte à modeler, quand on augmente la masse on augmente le volume, et réciproquement, mais s'il s'agit d'emballages dont on ignore le contenu, on peut très bien avoir un gros paquet plus léger qu'un petit. Ça se complique encore si on prend en compte ce qu'on ressent en manipulant l'objet. Imaginons par exemple une toute petite boite contenant un bloc métallique dont la masse est 500 g et une énorme boite vide dont la masse est un kilo. Si on soupèse les deux, on conclura que la petite est lourde et la grosse légère… ce qui n'est pas conforme à la comparaison de leurs masses. En réalité quand on soupèse, on compare l'effort musculaire nécessaire pour le déplacer à celui qu'on avait anticiper : si l'effort est moindre que ce qu'on attendait on trouve l'objet léger, sinon on le trouve lourd. Difficile de choisir dans tout ça ce qui mérite d'être enseigné, mais on peut toujours travailler sur des comparaisons à l'aide d'une balance de Robertval. Si les objets choisis sont suffisamment variés quant à leurs dimensions et à leur densité, cela donne l'occasion de toucher du doigt ce dont je parle plus haut. C'est probablement ainsi que commence à se construire une idée de masse dégagée des sensations visuelles et kinesthésiques.
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