nonau Posté(e) mercredi à 05:28 Auteur Posté(e) mercredi à 05:28 "La Ville d’Aubagne accueille les enfants en situation de handicap, après une analyse objective et individualisée de l’aptitude ou non de l’enfant à participer aux activités proposées, en toute sécurité pour eux et pour les autres enfants. Au besoin, une journée test permettra d’évaluer les aptitudes de l’enfant à la vie en collectivité. Ne pourront être inscrits les enfants dont le handicap est incompatible avec les activités proposées et ce, malgré des aménagements raisonnables sur le temps d’accueil. " Vivement la décentralisation complète de l'éducation nationale et l'autonomie des établissements... https://blogs.mediapart.fr/jadran-svrdlin/blog/111025/les-enfants-en-situation-de-handicap-ont-ils-le-droit-de-manger-la-cantine
Anonyme Posté(e) samedi à 15:28 Posté(e) samedi à 15:28 Le tribunal administratif condamne le Rectorat de la Réunion : Citation Le collectif des enfants Invisibles 974 se mobilise depuis plusieurs mois pour faire respecter les droits de leurs enfants en situation de handicap. Dans une séries de cinq décisions, tombées ce jeudi 16 octobre 2025, le rectorat a eu pour obligation de mettre des Accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) à disposition de 5 enfants, au 3 novembre 2025. Le tribunal administratif de Saint-Denis condamne le rectorat pour non-respect des notifications de la Commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH), qui attribuent une AESH aux élèves à besoins éducatifs particuliers. Une première victoire dans le combat des parents du collectif https://imazpress.com/toute-l-actu/le-tribunal-administratif-de-saint-denis-condamne-le-rectorat-de-la-reunion https://www.facebook.com/linfo.re/posts/-le-tribunal-a-ordonné-au-rectorat-de-mettre-en-place-cet-accompagnement-dès-la-/1238862548268833/ Avec plus de 1000 élèves sans AESH, je me demande comment ils vont faire, s'ils sont condamnés pour ne pas avoir attribué une AESH à chacun de ces enfants...
nonau Posté(e) samedi à 16:39 Auteur Posté(e) samedi à 16:39 il y a une heure, Invité Anonyme a dit : Le tribunal administratif condamne le Rectorat de la Réunion : https://imazpress.com/toute-l-actu/le-tribunal-administratif-de-saint-denis-condamne-le-rectorat-de-la-reunion https://www.facebook.com/linfo.re/posts/-le-tribunal-a-ordonné-au-rectorat-de-mettre-en-place-cet-accompagnement-dès-la-/1238862548268833/ Avec plus de 1000 élèves sans AESH, je me demande comment ils vont faire, s'ils sont condamnés pour ne pas avoir attribué une AESH à chacun de ces enfants... Ils s'en foutent, ils paieront. Ce n'est pas leur argent. Ils prendront dans les enveloppes dédiées à notre rémunération (primes, indemnités...).
Anna59 Posté(e) samedi à 19:32 Posté(e) samedi à 19:32 Il y a 4 heures, Invité Anonyme a dit : Le tribunal administratif condamne le Rectorat de la Réunion : https://imazpress.com/toute-l-actu/le-tribunal-administratif-de-saint-denis-condamne-le-rectorat-de-la-reunion https://www.facebook.com/linfo.re/posts/-le-tribunal-a-ordonné-au-rectorat-de-mettre-en-place-cet-accompagnement-dès-la-/1238862548268833/ Avec plus de 1000 élèves sans AESH, je me demande comment ils vont faire, s'ils sont condamnés pour ne pas avoir attribué une AESH à chacun de ces enfants... Ils vont faire comme d'habitude, enlever des heures à certains pour saupoudrer quelques heures ailleurs. Ils retireront dans les coins où les familles ne diront rien pour faire taire ceux qui font trop de bruit. Ils mutualiseront au maximum et comme la MDPH attribue maintenant des aesh mutualisées sans horaire précis, ils diront qu'ils sont dans les clous.
nonau Posté(e) hier à 05:19 Auteur Posté(e) hier à 05:19 Fillon père penseur de cette belle réforme doit se dire en ce moment : "j'adore quand un plan se déroule sans accrocs"...
nonau Posté(e) il y a 3 heures Auteur Posté(e) il y a 3 heures Des nouvelles de la maltraitance inclusive. https://www.midilibre.fr/2025/10/19/handicap-a-lecole-nombre-de-places-insuffisant-aesh-epuises-enseignants-demunis-le-systeme-scolaire-au-bord-de-la-rupture-12994107.php "Certains troubles ne relèvent pas de nos compétences, s’inquiète Mathieu Marschal, secrétaire académique du syndicat FO. C’est devenu la première cause de mal-être des enseignants avec deux tiers des situations signalées dans les registres santé sécurité au travail. Et c’est pire dans les quartiers prioritaires où on est totalement défaillants." "On constate dans les conseils de discipline que, malgré de la mansuétude, beaucoup de sanctions finissent par toucher des élèves souffrant de troubles du comportement mais insuffisamment encadrés. Il y a un impact sur le climat scolaire global, qui touche toutes les familles", abonde la présidente de la FCPE de l’Hérault, Marie Nikichine, qui déplore "la posture de déni du rectorat à propos des moyens à déployer." L’institution, elle, fait ce qu’elle peut avec des budgets nationaux restreints. "Le système de mutualisation montre ses limites, conclut Jessica Boyer, professeure à Béziers et vice-présidente académique du Snalc. Dire que tous les élèves en situation de handicap ne peuvent pas intégrer le milieu scolaire reste tabou mais c’est pourtant la réalité car on déplace les souffrances sur toute la chaîne. Il faut que l’ARS joue son rôle en créant des IMPE et que le ministère de l’Éducation fasse des AESH un vrai corps de fonctionnaires, rémunérées et formées à la hauteur de leur formidable métier." Les commentaires (11) Loudierne Il y a 36 minutesSignaler un abus Avant 2005 un enfant porteur de handicap allait en IME. Les IME étaient financés sur le budget de la Sécurité Sociale. Un enfant en IME coûte 200EUR par jour. Il y eut de trou de la,Sécurité Sociale qu'il a fallu réduire. Le financement des IME est passé sur le budget de l' Éducation nationale. Oups! Trop cher!! On a inventé L'INCLUSION avec le discours que tout enfant a droit à être scolarisé près de chez lui et blablabla.... Beau discours quand on y met les moyens, ce qui est loin d'être le cas. Il y a ÉNORMÉMENT DE SOUFFRANCE. Tiens exemple d'une dernière Ulis créée dans un collège en gironde. Le seul local faisant classe trouvé est le réduit où le collège stoquait du matériel. Un local de 20m² à tout casser où il y aura jusqu'à 17 élèves plus une a plusieurs aesh si besoins d'élèves. Des élèves autistes qui sont très sensibles au bruit mais avec des élèves avec TDAH, des élèves porteurs de trisomie qui font tout ce qui leur passe par la tête. Les aesh qui font un métier sacerdotale et qui sont très peu payées. Elle s'occupent de leur élève mais souvent parlent trop fort dans la classe donc l'enseignant coordonnateur ne peut ni enseigner ni se concentrer pour aider les élèves. Sans parler de l'inclusion à tout va et de ka souffrance des professeurs du général qui ont de plus en plus de mission et qui ne savent pas aménager le travail donné à ces élèves pour ne pas dire qui ne veulent pas car ils sont surchargés. Ce sont des conditions de misère éducative. Je le redis. BEAUCOUO DE SOUFFRANCE POUR TOUS LES PROTAGONISTES DU HANDICAP !! RépondreLaurent34070 Il y a 48 minutesSignaler un abus Trop d'inclusion tue l'inclusion! Certains handicaps sont trop lourds à gérer. Les aesh sont exploités, sous payés; les parents les considèrent comme des éducateurs, des psy.... L'école n'est pas une structure médico-sociale!
nonau Posté(e) il y a 3 heures Auteur Posté(e) il y a 3 heures Proche de l'implosion..? https://www.ladepeche.fr/2025/10/20/a-toulouse-le-maire-demande-a-leducation-nationale-le-remboursement-des-frais-lies-a-la-mission-des-aesh-pendant-la-pause-meridienne-le-rectorat-ne-12999161.php Et après on veut nous faire croire à ça ? https://www.alternatives-economiques.fr/philippe-watrelot/temps-de-lenfant-une-convention-citoyenne-rien/00115852 Le temps de l'enfant... Quand on constate toute cette maltraitance généralisée dans un contexte d'explosion de la dette et des impôts locaux... Des charlots.
montagny Posté(e) il y a 2 heures Posté(e) il y a 2 heures il y a 39 minutes, nonau a dit : https://www.alternatives-economiques.fr/philippe-watrelot/temps-de-lenfant-une-convention-citoyenne-rien/00115852 Très bon article, merci. La plupart des nations développées optent plutôt pour cinq jours passés en classe, avec des cours qui se terminent beaucoup plus tôt. La semaine de quatre jours est une exception française. Contrairement à une idée reçue (et diffusée par le président de la République), les vacances d’été dans l’Hexagone ne sont pas particulièrement longues par rapport à nos voisins. En revanche, avec 8,4 semaines de congé durant l’année scolaire, la France est la championne des vacances intermédiaires. Il y a en effet beaucoup de méfiance de la part des différents acteurs du monde éducatif. Beaucoup craignent qu’avec ce débat, on détourne le regard des autres problèmes de l’école. La convention serait vouée à l’échec, car elle sera confrontée aux contraintes et aux pressions de toutes sortes. Cela pose aussi la question de la place des enfants et des jeunes dans la ville. La modification du temps scolaire créera de nouvelles obligations pour des collectivités territoriales (en particulier les communes) souvent exsangues. C’est là-dessus qu’a buté la précédente réforme. Et c’est aussi un facteur d’inégalités sociales entre ceux qui peuvent accéder à des activités et ceux qui seront livrés à eux-mêmes ou « occupés » à moindres frais. Enfin, on peut se demander s’il suffit de réorganiser le temps pour mieux apprendre. Si les petits Français passent autant de temps à l’école pour des résultats médiocres dans les apprentissages, il y a bien des questions pédagogiques à se poser. L’expérience de 2013 est là pour nous rappeler aussi les verrous qui peuvent empêcher une réforme d’aboutir. Le retour à la semaine de 4,5 jours s’est heurté à la résistance d’une partie des enseignants parce qu’il entraînait des frais supplémentaires (transport, garde d’enfants). Douze ans après, la revalorisation est toujours « sur la table ». Les conditions d’exercice du métier n’ont fait que se dégrader. Réactiver ce sujet risque de raviver des conflits dans une profession qui n’a pas besoin d’être davantage malmenée.
nonau Posté(e) il y a 2 heures Auteur Posté(e) il y a 2 heures il y a 18 minutes, montagny a dit : Très bon article, merci. La plupart des nations développées optent plutôt pour cinq jours passés en classe, avec des cours qui se terminent beaucoup plus tôt. La semaine de quatre jours est une exception française. Contrairement à une idée reçue (et diffusée par le président de la République), les vacances d’été dans l’Hexagone ne sont pas particulièrement longues par rapport à nos voisins. En revanche, avec 8,4 semaines de congé durant l’année scolaire, la France est la championne des vacances intermédiaires. Il y a en effet beaucoup de méfiance de la part des différents acteurs du monde éducatif. Beaucoup craignent qu’avec ce débat, on détourne le regard des autres problèmes de l’école. La convention serait vouée à l’échec, car elle sera confrontée aux contraintes et aux pressions de toutes sortes. Cela pose aussi la question de la place des enfants et des jeunes dans la ville. La modification du temps scolaire créera de nouvelles obligations pour des collectivités territoriales (en particulier les communes) souvent exsangues. C’est là-dessus qu’a buté la précédente réforme. Et c’est aussi un facteur d’inégalités sociales entre ceux qui peuvent accéder à des activités et ceux qui seront livrés à eux-mêmes ou « occupés » à moindres frais. Enfin, on peut se demander s’il suffit de réorganiser le temps pour mieux apprendre. Si les petits Français passent autant de temps à l’école pour des résultats médiocres dans les apprentissages, il y a bien des questions pédagogiques à se poser. L’expérience de 2013 est là pour nous rappeler aussi les verrous qui peuvent empêcher une réforme d’aboutir. Le retour à la semaine de 4,5 jours s’est heurté à la résistance d’une partie des enseignants parce qu’il entraînait des frais supplémentaires (transport, garde d’enfants). Douze ans après, la revalorisation est toujours « sur la table ». Les conditions d’exercice du métier n’ont fait que se dégrader. Réactiver ce sujet risque de raviver des conflits dans une profession qui n’a pas besoin d’être davantage malmenée. Oui dans un monde où l'enfance serait au centre des attentions ce grand projet Humaniste aurait toute sa place. Sauf que nous vivons dans un autre monde...
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