bibicerise Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 Il y a 2 heures, Malakime a dit : La remise en question de l'ISF, l'allègement fiscal pour les entreprises, la promotion de l'entreprenariat, la limitation de l'immigration, la baisse du nombre de fonctionnaires + la hausse de leurs heures de travail (et ça je pense vraiment qu'une grande majorité est pour), la compétitivité, le conservatisme.... Moi je ne crois pas que les gens aient voté sans réfléchir. Je crois qu'il ne faut pas se mettre d'oeillères et considérer que l'alternance va passer par une droite dure car c'est ce que la majorité souhaite. Je crains hélas que tu aies raison...
HappyPomme Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 Il y a 3 heures, poujohel a dit : Ce monsieur a été le premier ministre durant tout le précédent quinquennat... Comment peut-on penser qu'il fera mieux, bien après ce qu'a donné la période 2007/2012... Un projet ultralibéral sur le plan économique, ultra-conservateur sur le plan sociétal, pro-Poutine.... Et avec une gauche nullissime, ça craint vraiment.... Pour l'Ecole, pour les enseignants, pour les fonctionnaires oui mais pour la société entière surtout...Il esdt fan de Thatcher... Nous concernant, sOS Education est ravi par le programme de Fillon....Ça donne le ton... Que pouvons-nous faire sur les 6 mois restant pour changer la donner ??? Je ne vois pas... Pleurer... il y a 42 minutes, abel27 a dit : Ben au contraire, je crois que les gens ont voté sans réfléchir. Ils n'ont pas remis en cause ce que nous disent les médias et les politiques depuis des années. C'est l'employé qui coûte trop cher, les fonctionnaires sont une charge, les riches payent trop d'impôts... A aucun moment, ils n'ont fait preuve d'esprit critique, de ce côté là, l'école a échoué.... Je me dis que les gens ont voté contre Sarko. Après ce que disent Fillon ou Juppé, c'est autre chose...
Koontz Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 Il y a 17 heures, fff a dit : Puisqu'il a de grandes chances d'être notre futur Président, son programme sur l'éducation : https://www.fillon2017.fr/wp-content/themes/gravida/images/pdf/PDF-Education.pdf Quelques idées en vrac qui retiennent mon attention : - directeur d'école, supérieur hiérarchique - 3/4 de l'enseignement réservé aux apprentissages fondamentaux - autorisation des devoirs écrits - choix des communes de conserver la réforme des rythmes - école obligatoire dès 5ans - augmentation du temps de présence des enseignants dans l'établissement Et aussi...la cerise sur le gâteau : il veut remettre le jour de carence !
nonau Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 Ces politiques ultra libérales font monter les extrémismes dans toute l'Europe et même aux Etats Unis. Mais ils continuent quand même vers encore plus de libéralisme, ils ont vraiment tout compris ces pro de la politique!
Freepaille Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 il y a 53 minutes, Koontz a dit : Et aussi...la cerise sur le gâteau : il veut remettre le jour de carence ! Je crois avoir entendu 2 jours de carence au dernier débat des primaires... Il y a 4 heures, poujohel a dit : Ce monsieur a été le premier ministre durant tout le précédent quinquennat... Comment peut-on penser qu'il fera mieux, bien après ce qu'a donné la période 2007/2012... Un projet ultralibéral sur le plan économique, ultra-conservateur sur le plan sociétal, pro-Poutine.... Et avec une gauche nullissime, ça craint vraiment.... Pour l'Ecole, pour les enseignants, pour les fonctionnaires oui mais pour la société entière surtout...Il esdt fan de Thatcher... Nous concernant, sOS Education est ravi par le programme de Fillon....Ça donne le ton... Que pouvons-nous faire sur les 6 mois restant pour changer la donne ??? Je ne vois pas... J'envisage d'aller voter Juppé au deuxième tour des primaires. Mais j'ai honte d'être reconnue Vous ne croyez pas qu'on devrait quand même se mobiliser pour éviter Fillon ? Je n'aime pas Juppé mais là, on a encore pire !!! Il y a 6 heures, fifi78 a dit : Ce que je ne comprends pas c'est comment on peut voter pour ces personnes là??? Parce que nous les profs, on est à peu près tous d'accord que ça va être catastrophique pour les fonctionnaires et l'école en particulier. Mais les salariés du privé: comment ils peuvent voter pour lui?? Ils sont contents de repasser aux 39h (voire plus car les patrons pourront monter jusqu'à 48h) de prendre leur retraite à 65 ans minimum, de payer 2 points de plus de tva??? Y a un truc qui m'échappe.... Je connais un ami de ma mère qui vote à droite depuis toujours et on s'est pris la tête l'autre fois. Je lui demandais ce qui lui plaisait dans les programmes des candidats de la droite (au choix : le retour aux 39h, la retraite à 65 ans, la hausse de la TVA, la fin de l'ISF...) et il est contre tout ça. Il ne sait même pas pourquoi il vote à droite !!! Son seul argument, c'est qu'ils sont nuls à gauche... Je crois qu'en fait, il doit être séduit par le discours sécuritaire et anti-immigration. C'est plus politiquement correct de voter LR que de voter FN...
jeanounette Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 il y a 43 minutes, nonau a dit : Ces politiques ultra libérales font monter les extrémismes dans toute l'Europe et même aux Etats Unis. Mais ils continuent quand même vers encore plus de libéralisme, ils ont vraiment tout compris ces pro de la politique! Faire élire un candidat d'extrême droite ça ne dérange pas la finance puisque la politique menée servira leurs intérêts (financiers) . L'histoire l'a prouvé .
borneo Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 il y a 7 minutes, Freepaille a dit : Je crois avoir entendu 2 jours de carence au dernier débat des primaires... J'envisage d'aller voter Juppé au deuxième tour des primaires. Mais j'ai honte d'être reconnue Vous ne croyez pas qu'on devrait quand même se mobiliser pour éviter Fillon ? Je n'aime pas Juppé mais là, on a encore pire !!! Je connais un ami de ma mère qui vote à droite depuis toujours et on s'est pris la tête l'autre fois. Je lui demandais ce qui lui plaisait dans les programmes des candidats de la droite (au choix : le retour aux 39h, la retraite à 65 ans, la hausse de la TVA, la fin de l'ISF...) et il est contre tout ça. Il ne sait même pas pourquoi il vote à droite !!! Son seul argument, c'est qu'ils sont nuls à gauche... Je crois qu'en fait, il doit être séduit par le discours sécuritaire et anti-immigration. C'est plus politiquement correct de voter LR que de voter FN... Si on remet les jours de carence, je vais travailler avec un masque de chirurgien sur le visage. Non mais !!!! C'est quand même à l'école qu'on attrape tous les microbes. Je ne suis jamais malade hors année scolaire.
HappyPomme Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 Après lecture des grandes idées de son programme... il est carrément flippant ce mec...
sylvielise Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 2 jours de carence et suppression d'un jour férié. Les français sont masos.
Goëllette Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 Que de changements nous attendent ! Voici les mesures phares pour l'Ecole Primaire (je mets de côté tout ce qui est Secondaire), proposées après des constats trop longs à recopier ici : Citation 1. DES PROGRAMMES GARANTISSANT L’APPRENTISSAGE DES FONDAMENTAUX POUR L’ENSEMBLE DES ÉLÈVES PROPOSITIONS • Commencer la scolarité obligatoire à cinq ans (au lieu de six) de sorte que l’apprentissage de la lecture, avec des méthodes efficaces, débute plus tôt, pendant l’année de grande section de l’école maternelle, et se consolide au cours préparatoire. Donner aux élèves de l’école primaire une année supplémentaire d’apprentissage de la lecture paraît une mesure de nécessité absolue, surtout dans les secteurs difficiles, si nous voulons sauver des centaines de milliers d’enfants de difficultés qui pèseront sur toute leur scolarité. • Concentrer l’enseignement élémentaire sur le socle de connaissances (lecture, calcul, écriture, grandes dates et grands personnages de l’histoire de la Nation, géographie de la France et des régions) auquel les maîtres devront consacrer les 3/4 du temps d’enseignement. L’ampleur des programmes et leur diversité d’objet contribue en effet à la difficulté d’apprentissage des fondamentaux ; les enseignants doivent donc être en mesure de donner aux enfants le temps d’apprendre, et de s’assurer du résultat. • Vérifier l’acquisition des fondamentaux régulièrement par des tests appropriés à l’âge de l’enfant et notés. Dès qu’un enseignant relève une difficulté d’apprentissage, l’école doit l’expliquer et aider les élèves concernés par un soutien apporté par l’enseignant sur son temps de présence dans l’établissement. • Consacrer le quart du temps restant à l’ouverture sur le monde et aux enjeux contemporains : découverte des sciences et des arts, culture numérique, éducation à l’environnement, sport, anglais. • Supprimer l’interdiction des devoirs après la classe. Beaucoup d’écoles les ont d’ailleurs maintenus. Les devoirs écrits, même s’ils ne doivent pas être trop nombreux pour respecter le temps familial et le temps de détente, sont l’occasion pour l’enfant d’intégrer la leçon reçue et d’échanger avecses parents,ce qui responsabilise ceux-ci dans le suivi éducatif de leurs enfants. Ils contribuent aussi dans certaines familles à retransmettre aux parents certaines compétences perdues. Naturellement l’école offre aux enfants qui n’ont pas la possibilité de faire leurs devoirs à la maison de les faire après la classe. • Développer le portail « école directe » déjà mis en place par certaines écoles privées pour permettre aux parents de s’impliquer et de trouver les ressources nécessaires au suivi de l’apprentissage de leur enfant. • Choisir l’anglais comme première langue, l’apprentissage de la seconde langue commençant au collège. • Organiser le temps hors enseignement avec le souci de l’éducation. A l’école, le temps hors enseignement, dans lequel les collectivités locales peuvent être impliquées, est un temps véritablement complémentaire de l’enseignement – pour le sport notamment – et non un temps d’occupation des élèves. 2. UNE OUVERTURE PLUS GRANDE SUR LE MONDE, NOTAMMENT SUR L’ÉCONOMIE ET SUR LES PROFESSIONS • Renforcer la pratique de l’anglais de l’école primaire au lycée en mettant l’accent sur son utilisation pratique à l’oral (vie quotidienne et professionnelle). L’anglais est indispensable, mais pour former de jeunes Européens, nous devons aussi promouvoir l’apprentissage d’une seconde langue étrangère, celui de l’anglais dès le plus jeune âge ouvrant la voie. Tous les établissements pourront proposer de concentrer l’apprentissage des langues dans l’année sur plusieurs « semaines langues » pour favoriser une pratique intensive de l’oral. 4.LA RÉAFFIRMATION DU SENS DE L’EFFORT ET DU RESPECT DE L’AUTORITÉ • Clarifier dans chaque établissement les règles disciplinaires et prévoir un système de sanctions expliquées, adaptées et effectivement prises dès que les règles ont été enfreintes 5. UNE ORGANISATION PLUS CLAIRE RENFORÇANT L’INITIATIVE AU PLUS PRÈS DU TERRAIN PROPOSITIONS • L’Etat fixe les principes et les programmes, le niveau des professeurs et certifie les examens nationaux. Il assure la conduite et la cohérence des évaluations de l’ensemble du système éducatif. Il tire vraiment les conséquences des évaluations internationales du système éducatif français. L’Etat garantit dans le temps l’acquisition du socle commun à tous les jeunes, quelle que soit la voie de formation, et notamment à ceux qui choisissent l’apprentissage. L’Etat veille au strict respect des lois de la République dans les établissements. • Les directeurs d’école et les chefs d’établissement disposent de réels pouvoirs de décision dans l’établissement et la promotion des enseignants. • La présidence du conseil d’administration est dissociée de la fonction de principal et de proviseur et confiée à une personnalité extérieure à l’établissement, de façon à renforcer l’ancrage des établissements dans leur territoire et dans la vie économique locale. Un vice-président du conseil d’administration est élu parmi les parents d’élèves de l’établissement au suffrage universel direct de tous les parents. 6. DES ÉCOLES, DES COLLÈGES ET DES LYCÉES PLUS AUTONOMES • Donner aux écoles (ou à un ensemble d’écoles en milieu rural) le statut d’établissement public et les doter d’un « vrai » directeur,supérieur hiérarchique des enseignants. Là où cela est possible, des regroupements entre collège et école(s) primaire(s) du secteur sont encouragés afin d’assurer la continuité dans l’acquisition du socle lors de la période de scolarité obligatoire. • Élaborer dans chaque établissement public d’enseignement un projet annuel d’action adapté aux besoins locaux associant l’ensemble de la communauté éducative – notamment les enseignants et les parents d’élèves. Ce projet peut comporter une part d’expérimentation à laquelle l’autorité académique ne peut s’opposer que pour un motif sérieux. Ce projet met en place des relations avec les entreprises locales. Le projet est le contrat qui lie l’établissement à l’éducation nationale ; le respect de ses objectifs est évalué. • Globaliser tous les moyens (heures et crédits) dont dispose l’établissement afin de créer les conditions d’une vraie autonomie de gestion pédagogique. Donner à l’établissement la possibilité d’adapter les grilles horaires en respectant le volume « dû » à l’élève et le caractère national des programmes scolaires. • Laisser chaque établissement choisir son dispositif d’accompagnement des élèves (programmes d’aides, travaux interdisciplinaires,..) • Rendre obligatoires des dispositifs d’auto- évaluation et d’évaluation de la performance scolaire au sein de chaque établissement. Les résultats en sont présentés tous les ans au conseil d’administration de l’établissement. 7. DES ENSEIGNANTS PLUS PRÉSENTS DANS L’ÉTABLISSEMENT, MIEUX FORMÉS, MIEUX RÉMUNÉRÉS ET MIEUX AIDÉS • Accompagner les enseignants dans les évolutions de leur métier en développant une formation continue de qualité et un soutien quotidien de la part des chefs d’établissement et des inspecteurs : tout enseignant se disant en difficulté doit recevoir une aide dans les huit jours.Les inspecteurs, et les enseignants en fin de carrière,sont appelés à aider leurs jeunes collègues et leurs collègues en difficulté par un accompagnement personnalisé. • Revaloriser les traitements des enseignants, en maîtrisant l’évolution de l’effectif, ce qui passe par un meilleur déploiement de l’effectif enseignant actuel piloté au plus près du terrain et en offrant des possibilités de promotion accélérée. Développer une part « mérite » dans le salaire des enseignants, justifiée par une évaluation fréquente réalisée par l’inspecteur sous la responsabilité du chef d’établissement. • Moduler la charge d’enseignement en fonction de l’ancienneté : un peu moindre dans les trois premières années pour permettre à l’enseignant débutant de préparer ses cours, et également dans les trois dernières années de carrière pour aider les jeunes enseignants, les enseignants en difficulté ou pour accomplir des tâches pédagogiques confiées par le chef d’établissement. • Recruter les nouveaux enseignants au niveau de la 1re année de master et les former à leur métier par la voie de l’apprentissage. • Accroître les possibilités de promotion accélérée pour les professeurs qui ont cinq ans de métier et qui sont aptes, soit à enseigner une seconde discipline, soit à enseigner leur discipline dans une langue étrangère, soit ont enseigné pendant cinq ans dans un établissement difficile. Les professeurs qui le souhaitent sont encouragés à passer une à trois années dans une entreprise ou dans une administration. • Inscrire l’accompagnement personnalisé des élèves et la formation des jeunes enseignants dans les missions du professeur. A cet effet il faudra augmenter progressivement le temps de présence des enseignants du second degré dans l’établissement - comme le temps de travail de tous les fonctionnaires : dans les collèges et lycées, le temps de présence passerait de 648 à 800 heures par an(3) mais le temps de cours serait inchangé. Le temps de présence supplémentaire pourra aussi être consacré à de nouvelles formes de contact avec les parents, notamment dans les secteurs défavorisés, pour leur expliquer clairement la contribution qu’ils peuvent apporter au succès scolaire de leurs enfants. • Revoir le rôle des inspecteurs et le concentrer sur trois priorités : aider les enseignants à traiter les difficultés scolaires, asseoir leur autorité, respecter les programmes et les objectifs de l’établissement ; pour toute évaluation, l’inspecteur recueille l’avis du chef d’établissement. Tous les inspecteurs doivent rester en contact avec l’enseignement en assurant quelques heures d’enseignement. • Renforcer les capacités pédagogiques des inspecteurs et des enseignants en leur apportant une formation solide sur les résultats scientifiques de la recherche en matière d’apprentissage des connaissances : l’apport des neurosciences sur le fonctionnement du cerveau de l’enfant doit leur être enseigné pour qu’ils puissent s’appuyer sur des méthodes pédagogiques les plus efficaces afin d’aider les élèves en difficulté. Comme l’a souligné Stanislas Dehaene, professeur au Collège de France(4) , nos enseignants ignorent les résultats de la recherche en sciences cognitives qui ne leur sont aujourd’hui pas présentés lors de leur formation ; ils doivent en particulier connaître les facteurs qui facilitent la réussite des enfants, notamment dans l’apprentissage de la lecture. De même les enseignants doivent être efficacement formés à l’utilisation d’outils numériques en classe. 8. DES PARENTS PLUS ASSOCIÉS À LA VIE SCOLAIRE • Informer les représentants des parents du profil envisagé pour le recrutement des nouveaux professeurs. Avant de publier le profil des postes qu’il souhaite pour son établissement, le chef d’établissement recueille l’avis des délégués des parents. • Rendre obligatoire la consultation de tous les parents sur les grandes décisions concernant l’organisation de l’établissement, notamment sur le projet d’établissement. • Donner à tous les parents d’élèves de l’établissement le droit d’élire au suffrage universel direct un parent vice-président du conseil d’administration de l’établissement. • Renforcer l’implication des parents dans l’éducation scolaire. L’inscription de leur enfant dans un établissement vaut adhésion au projet et aux règles de cet établissement. Plusieurs questions doivent être traitées avec les parents et leurs représentants dans les établissements : suivi des résultats des élèves (fournir une explicitation immédiate aux parents des efforts que l’élève doit faire en cas de résultats insuffisants), organisation de la vie scolaire (exemple : calendrier des contrôles en classe pour éviter des semaines trop chargées par des contrôles multipliés), ainsi que des sorties ; présentation des résultats de toute évaluation de l’établissement. A l’école primaire, la possibilité de devoirs après la classe et le développement du portail « école directe » y contribueront également. Dans les secteurs plus défavorisés, le temps supplémentaire de présence des enseignants peut aussi être consacré à des réunions régulières avec les parents, leur permettant de connaître et comprendre la contribution qu’ils peuvent apporter au succès scolaire de leurs enfants. Un effort particulier d’information sur les exigences scolaires doit être fait à ce sujet en direction des parents ne parlant pas le français. • Prendre l’avis des parents dans toute évaluation portant sur le fonctionnement d’un établissement scolaire. Les parties 5, 6 et 7 m'ont fait plusieurs fois sursauter. J'ai eu une petite pensée élue pour mon IEN ... Le Secondaire va vivre une révolution encore plus importante que la nôtre ! Je pense qu'une grande partie du chapitre 8 le concerne (recrutement des professeurs).
Lolita Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 Il y a 4 heures, Freepaille a dit : J'envisage d'aller voter Juppé au deuxième tour des primaires. Mais j'ai honte d'être reconnue Moi aussi ( pour aller voter ; je m'en fiche d'être reconnue ! ). Au moins, je ne pourrai "rien" avoir à me reprocher. J'aurai pris mes responsabilités car je ne peux pas dire "je ne savais pas". C'est dingue d'écrire ça noir sur blanc ! Si pour les "thèmes" que je ne connais pas aussi bien, c'est la même chose, et bien, ça promet.
Goëllette Posté(e) 21 novembre 2016 Posté(e) 21 novembre 2016 Non ce n'est pas dingue, ça se tient, et ce sera facilité par tout ce qui a fragilisé notre métier pendant ces cinq dernières années, alors qu'on pouvait attendre du PS, que les enseignants ont largement participé à "mettre aux affaires", qu'il renforce notre statut afin de justement éviter une privatisation ou une municipalisation.
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