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Posté(e)

Bonjour à tous,

Je voudrais savoir comment se passent les affectations et les mutations dans le privé.

Pour les affectations : est-ce comme dans le public : académique ? Ou bien peut-on travailler n'importe où en France une fois le concours en poche ? 

En ce qui concerne les mutations, si l'on déménage dans une autre région/académie, peut-on faire soi-même la démarche de trouver un établissement ou est-on obligatoirement soumis au mouvement comme dans le public ? Quelles sont les chances d'obtenir sa mutation ?

Merci beaucoup :) 

Posté(e)

Bonjour, 

Dans le privé,  les mutations fonctionnent par diocèse.  Il faut monter un dossier pour changer de diocèse.  Selon les régions il est plus ou moins facile de bouger...

N'hésite pas si tu as d'autres questions 

Posté(e)
Il y a 7 heures, celine_de_nouméa a dit :

Bonjour à tous,

Je voudrais savoir comment se passent les affectations et les mutations dans le privé.

Pour les affectations : est-ce comme dans le public : académique ? Ou bien peut-on travailler n'importe où en France une fois le concours en poche ? 

En ce qui concerne les mutations, si l'on déménage dans une autre région/académie, peut-on faire soi-même la démarche de trouver un établissement ou est-on obligatoirement soumis au mouvement comme dans le public ? Quelles sont les chances d'obtenir sa mutation ?

Merci beaucoup :) 

Bonjour, 

Les épreuves du concours sont les mêmes dans le privé catholique sous contrat. Cependant il faut l'accord du diocèse pour que la candidature soit acceptée (généralement on a un pré-accord à la suite d'une entretien à la DDEC avant de passer le concours). Ensuite une fois le concours validé on doit accepter le premier poste qu'on nous propose pour valider le concours. On est nommé dans le département d'obtention du concours ou dans le regroupement de diocèse si on est dna sles dernier au niveau des résultats au concours (donc dans un département limitrophe qui attire peu les candidats).

Pour être accepté dans un autre département, il faut souvent accepter un poste de chef d'établissement en plein campagne (école de 2 ou 3 classes donc sans décharge, attention le chef d'établissement "ouvre" l'école en mairie et auprès de l'évêché, il est responsable des locaux, gère le personnel et les travaux à l'aide d'une association de parents bénévoles).

On ne recherche pas un poste soi-même: le mouvement est géré par une commission à laquelle assiste les syndicats et les candidats sont classés par ordre de priorité (ce ne sont pas des points comme dans le public) avec le profil du candidat (quitte une direction, un poste ASH-rased, priorité familiale, reprise à temps complet...) et l'ancienneté.

Certaines régions ont peu d'écoles privées donc il est difficile d'y aller. Certains font alors le choix d'y devenir vacataire, payé au smic, le temps d'y obtenir un poste. Il faut avoir l'accord de ce nouveau diocèse.

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