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Posté(e)

Pour moi ça se discute, vous avez le temps d'en parler et d'envisager le fonctionnement. En fonction des écoles ça peut-être intéressant, mais ça doit être porté par l'équipe. Si le directeur n'a pas d'arguments pédagogiques, pour moi ça n'a pas lieu d'exister et comme les autres je n'ai rien entendu concernant cette obligation.

 

Posté(e)

Merci à tous pour vos retours. 

  • 1 mois plus tard...
Posté(e)

Pour information, un article des Cahiers Pédagogiques : Du cours double aux classes de cycles.

Citation

Des modalités d’enseignement novatrices permettent une meilleure différenciation pédagogique et boostent les pratiques enseignantes pour plus de modularité et de coopération.

http://www.cahiers-pedagogiques.com/Du-cours-double-aux-classes-de-cycle

Posté(e)

Pour le vivre, je trouve cela pas mal mais pas à plus de 18/20 élèves par classe, un bel espace de classe et des moyens financiers.

Posté(e)

Pour le vivre à 27, et ma collègue à 30. Bah non merci...

Je trouve que je ne m'occupe pas assez de chacun. Mais franchement, je ne peux pas plus...

Posté(e)
Le 14/01/2018 à 14:53, André Jorge a dit :

Oui, mais si les collègues sont en désaccord avec cette décision du directeur de faire des classes multi-niveaux, ou si le directeur prend des décisions absurdes, les enseignants peuvent tout de même faire un courrier à l'IEN pour lui faire part de leur désaccord et lui demander d'intervenir. Ce dernier validera ou pas les choix du directeur à qui il donnera éventuellement des consignes ou conseils.

Oui, chacun est libre de saisir l''IEN qui pourra simplement donner des conseils mais en aucun cas il (l'IEN) n'aura pouvoir décisionnaire. Décret 89-122, circulaire 2014-163...

;)

Posté(e)
Le 14/01/2018 à 18:19, André Jorge a dit :

Non, bien évidemment qu'il ne fera pas de courrier, mais il s'entretiendra avec la directrice avant une réunion de directeurs, ou alors il se déplacera pour assister à une concertation à l'école et en discuter, et ça je l'ai vu deux fois déjà.

Lorsqu'un IEN a appris que la directrice de notre école voulait faire deux CM1-CM2 (avec 26 CM1 et 29 CM2) sous prétexte que "c'était bien", il lui a franchement dit que c'était une mauvaise idée et l'a déconseillé. La directrice a suivi son conseil.

Le décret de l'ours, c'est très bien,  mais si la direction dysfonctionne, les enseignants, les IEN peuvent agir, donner leur avis, manifester leur désaccord.

 

Si la direction dysfonctionne, le Dasen peut retirer cette mission à"l'heureux élus" et charger un collègue de l'assumer. Il (le Dasen) n'a qu'obligation d'informer la CAPD de cette décisions.
Après, des directions qui dysfonctionnent, c'est assez exceptionnel.

Pour le cas des deux CM1-CM2 que tu évoques, personnellement je ne suis pas choqué. Il peut y avoir une cohorte plus "difficile" qui nécessite d'être coupée en deux pour avoir deux classes viables et pas une classe viable et une classe problématique qui va user et titulaire et remplaçants. L'IEN n'est pas forcément le mieux placé pour connaitre ces particularités. Les collègues pourraient même réserver cette classe "difficile" au collègue qui arrive (stagiaire peut-être) et qui n'est pas informé, qui n'a pas été consulté, etc. C'est du vécu cette année encore.
Dans cette situation, le directeur n'aura fait que son devoir au niveau de l'organisation pédagogique de l'école dans l'intérêt collectif au détriment, certes, de l'intérêt personnel. C'est dans ses missions et ses responsabilités.

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