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Posté(e)
Il y a 18 heures, Zarko a dit :

Des perdus de sciences éduk , autoproclamés chercheurs quand les budgets permettaient aux ratés de se faire un nom !

 

Penserais-tu à un petit moustachu grisonnant à lunettes ? 

Posté(e)
Il y a 2 heures, Goëllette a dit :

Penserais-tu à un petit moustachu grisonnant à lunettes ? 

Tu as vraiment des dons de voyance !😁

Posté(e)
Il y a 10 heures, Goëllette a dit :

Penserais-tu à un petit moustachu grisonnant à lunettes ? 

🤩

Posté(e)

Notes de service du ministre sur la lecture et le calcul, guide « pour enseigner la lecture et l’écriture au CP » : Les débats sur la méthode ne font pas disparaître les revendications !

Le ministre a annoncé par voie de presse la publication de 4 notes de service concernant la lecture, les mathématiques et d’un guide de 130 pages «  pour accompagner les enseignants de CP ».
Pour le SNUDI-FO, la meilleure manière d’accompagner les enseignants consiste à rétablir une formation digne de ce nom : une formation professionnelle à plein temps, pendant une année au moins dans une école de formation et à mettre fin à la mastérisation. Il ne suffira pas de « renouveler la formation initiale » pour régler cette question. Et ce n’est pas non plus une formation continue au rabais de 9 heures par an qui serala solution alors même que chaque enseignant a droit à 36 semaines sur toute sa carrière.

La liberté pédagogique doit être respectée

Quand le ministre justifie ses notes de service en déclarant « Au-dessus de la liberté pédagogique, il y a l’égale chance de réussir pour tous les enfants », que veut-il signifier ? Serait-ce, selon lui, la liberté pédagogique qui serait la cause de l’échec scolaire ? Serait-elle contradictoire avec «  l’égale chance de réussite des élèves  » ?

La liberté pédagogique des enseignants permet à chaque élève de recevoir un enseignement au plus près de ses besoins dans le respect de l’égalité de droits.

Le SNUDI-FO rappelle à cette occasion son attachement au principe statutaire de la liberté pédagogique de chaque enseignant défini par l’article L912-1-1 du code de l’Éducation. Ce qui leur permet, entre autre, de choisir librement leur méthode d’apprentissage de la lecture.

Le SNUDI-FO n’acceptera pas que les PE et leurs garanties statutaires soient désignés comme les boucs émissaires de l’échec scolaire et des difficultés de l’école publique !

Ainsi le ministre Blanquer «  recommande vivement l’existence d’un manuel pour tous les élèves, explicite, linéaire, clair ». Mais encore faudrait-il que les enseignants ne soient pas entravés dans leur choix de manuels scolaires par de sordides contraintes budgétaires. Le ministre semble oublier que la réduction des dotations aux communes et le coût des activités périscolaires imposées par la réforme des rythmes scolaires ont en- traîné une très importante réduction des dotations municipales aux écoles.

Enfin quand le ministre ose affirmer que « Nous sommes en train de faire un pas vers le futur. (…) », le SNUDI- FO tient à préciser que le futur de l’école publique passe obligatoirement par les créations des postes né- cessaires, par le rétablissement de RASED complets et de brigades de remplacement, ainsi que par le maintien de l’école maternelle avec un PE et une ATSEM par classe et l’annulation de la suppression des 850 classes de maternelle prévues à la rentrée prochaine.

Ces revendications sont la condition nécessaire pour le respect de l’égalité des droits de chaque élève.

La territorialisation de l’école doit être stoppée, les PEdT abandonnés et les décrets Peillon/Hamon/Blanquer sur les rythmes scolaires retirés.

 

 

Posté(e)
Il y a 7 heures, violettine a dit :

J'aime beaucoup ta signature....:wink:

Elle ressemble à la mienne, sauf que moi ... j'ai la chance de ne pas travailler dans une ville PS !

Posté(e)
Le 25/05/2018 à 22:57, Zarko a dit :

Tu as vraiment des dons de voyance !😁

Ce triste personnage a hanté les réunions de conseils de cycle et animations pédagogiques pendant tellement d'années avec ses "jesétouïsmes" !

Posté(e)

Un peu honte mais ma jeunesse dans le métier m'empêche de savoir de qui vous parlez...😅

Posté(e)
Il y a 18 heures, Goëllette a dit :

Elle ressemble à la mienne, sauf que moi ... j'ai la chance de ne pas travailler dans une ville PS !

Tu m'as en effet inspiré...

  • J'adhère 1
Posté(e)
Il y a 13 heures, chableu a dit :

Un peu honte mais ma jeunesse dans le métier m'empêche de savoir de qui vous parlez...😅

Résultat de recherche d'images pour "philippe meirieu"

Maintenant, apparemment, il a tombé la stachemou ...

 

Il y a 10 heures, Silvestri a dit :

Tu m'as en effet inspiré...

:blush:

  • Merci 1
Posté(e)
Le 24/05/2018 à 19:52, Zarko a dit :
Le 27/05/2018 à 16:17, Goëllette a dit :

Résultat de recherche d'images pour "philippe meirieu"

Maintenant, apparemment, il a tombé la stachemou ...

 

:blush:

Critiques reçues[modifier | modifier le code]

Les travaux de Philippe Meirieu sont l'objet de controverses, notamment de la part de Liliane Lurçat24, l'association Sauver les lettres25, l'association Reconstruire l'École26 et l'association SOS Éducation27. Des intellectuels tels que Régis Debray28,29, Marcel Gauchet30,31, Alain Finkielkraut, ou Jacqueline de Romilly32 considèrent leur application par le corps enseignant comme partiellement responsable d'une baisse générale du niveau de l’Éducation nationale qu'ils disent constater.

En 2011, le Club de l'horloge lui attribue le prix Lyssenko pour « sa contribution majeure à la ruine de l'enseignement ».

Des enseignants contestent ses théories éducatives fondées sur l'« élève apprenant » plutôt que sur des savoirs fondamentaux. « Philippe Meirieu a été très souvent pris à partie par les républicains ou les disciplinaristes qui l'accusent d'avoir contribué à la baisse du niveau des élèves ainsi qu'à l'effondrement de l'autorité des enseignants par son idéologie pédagogiste, égalitariste et démagogique33. » Il a été contesté par des journalistes tels que Natacha Polony34, des enseignants comme Agnès Joste35 ou Jean-Paul Brighelli36.

Denis Kambouchner, dans son livre Une École contre l'autre37 critiquait les réformes pédagogiques proposées par Philippe Meirieu, alors conseiller de Claude Allègre. S'il place toujours la pensée de celui-ci dans la continuité d'une « tradition utopique, qui remonte à Jean-Jacques Rousseau, à Pestalozzi, qui a été pratiquée dans des écoles expérimentales aux États-Unis ou en URSS ». Il reconnaît néanmoins en lui un homme « soucieux de nouer un dialogue » avec lequel il s'accorde aujourd'hui « sur un certain nombre de constats »38.

Cette critique se radicalise sous la plume de Jean-Claude Michéa pour qui Meirieu représente le fervent promoteur d'une transformation libérale de l'éducation : « On ne saurait mieux souligner tout ce que la gestion du capitalisme moderne doit, en France, aux idées d'un Philippe Meirieu. Gageons que la classe dirigeante saura récompenser un employé aussi précieux en lui offrant, un de ces jours, un poste de député européen. Elle ne saurait faire moins. »39 Philippe Meirieu lui a répondu longuement dans le livre-entretien publié avec Luc Cédelle Un pédagogue dans la Cité : « Je crains que Monsieur Michéa ne se contente de se délecter de quelques provocations bien senties à mille lieues de la réalité du peuple dont il se réclame. Je l’invite, quand il le veut, à participer à une université populaire d’ATD Quart-Monde ou à venir dans un centre de formation qui accueille les chômeurs en fin de droits : nous pourrons y confronter et mettre à l’épreuve nos propositions respectives… »[réf. insuffisante]40

De vives polémiques ont opposé Alain Finkielkraut et Philippe Meirieu. Ce dernier a été amené à écrire le 8 mai 2000 une lettre ouverte à Alain Finkielkraut publiée dans Le Monde : « De quelle couleur sera l’étoile dont on affublera demain, si les clercs que vous représentez venaient, par malheur, à nous gouverner, les pédagogues comme moi41 ? » Finkielkraut nuance ses accusations personnelles en 2008 contre Philippe Meirieu en le qualifiant d'« homme de dialogue »42.

Évoquant en 2000 cette querelle « entre “pédagogues” et “antipédagogues” » qui dresse les constats de la « décomposition de l'enseignement » et débat sur l'« illusion pédagogiste », Philippe Petit de Marianne constate que ce « sacre de l'enfant-roi » voulu par Philippe Meirieu et les pédagogues a « littéralement contaminé la plupart des IUFM ainsi que la prose ministérielle »43.

Gérard Molina, citant Philippe Meirieu 44 constate que celui-ci a changé de position et a effectué une auto-critique, auto-critique qu'il juge néanmoins dérisoire45.

Philippe Meirieu a eu l'occasion de débattre à plusieurs reprises avec ses critiques et adversaires. Dans son édition du 2 septembre 2011, le journal Le Monde publie un entretien avec Marcel Gauchet sous le titre : « Contre l'idéologie des compétences, l'école doit apprendre à penser »46. Le 8 octobre 2016, il débat, dans l'émission Répliques d'Alain Finkielkraut, avec Robert Redeker, qui a publié un pamphlet où il est vigoureusement mis en cause dans une émission intitulée « La crise de l'école »47.

Philippe Meirieu a, à l'opposé, été également critiqué par ceux qui lui reprochent d'avoir "revisité" les mots d'ordre de l'Education nouvelle, critiqué la non-directivité, les méthodes de travail libre par groupe (qui aboutissent, selon lui, si elles ne sont pas régulées pédagogiquement, à une partition des élèves en concepteurs, exécutants, chômeurs et gêneurs), l'idéologie des compétences (qui lui paraît émietter les savoirs et faire l'impasse de l'intentionnalité des apprentissages), les partisans de "l'innovation à tout prix" (y compris dans le domaine du numérique)[réf. nécessaire] : il répond à ces attaques en se positionnant contre ce qu'il nomme le "naturalisme pédagogique" dans son ouvrage Eduquer après les attentats. Il ferraille également avec les partisans systématique des "écoles alternatives" et de "l'instruction en famille", comme André Stern, considérant que la finalité de l'école publique n'est pas seulement d'apprendre, mais aussi d' "apprendre ensemble"[réf. nécessaire]48.

Engagement politique[modifier | modifier le code]

En 2009, les dirigeants d'Europe Écologie lui demandent de prendre la tête de leur liste dans la région Rhône-Alpes pour les élections régionales de 201049. Meirieu, qui dit avoir longtemps soutenu le Parti socialiste et ne plus s'y reconnaître49, accepte la proposition49. Le 7 novembre 2009, il devient tête de liste d'Europe-Écologie en Rhône-Alpes pour les élections régionales de mars 2010, après un vote des militants des Verts, réunis en assemblée générale à l'université Lyon II50. La liste qu'il conduit obtient 17,5 % des suffrages au premier tour des élections régionales de 2010 et se place en 3e position derrière le PS et l'UMP. Élu conseiller régional après la fusion des listes de gauche et leur victoire, il devient deuxième vice-président du conseil régional, délégué à la formation tout au long de la vie51. Il est en outre président délégué du Pôle Rhône-Alpes Orientation52 et président de la "commission jeunesse" de l'Association des Régions de France53. Il est désormais membre d'Europe Écologie Les Verts.

Le 11 décembre 2010, il est élu à la tête du parlement (Conseil fédéral) d'Europe Écologie Les Verts54.

À la suite d'un accord conclu en novembre 2011 entre le PS et EELV, il est désigné comme candidat du PS et du parti écologiste dans la première circonscription de Lyon aux élections législatives de 201255. Ce choix lui vaut de nombreuses critiques, en particulier de la part de Gérard Collomb qui l'accuse de « terrorisme intellectuel » et le qualifie de « khmer vert »56. Le PRG Thierry Braillard, traditionnellement allié du PS, annonce maintenir sa candidature contre le candidat désigné par le PS et EELV57, qu'il qualifie de « Perben vert »58. Sur le terrain, le logo PS aurait été placé sur le matériel de propagande de la liste non adoubée sans autorisation, et le Parti socialiste a donc envisagé de porter plainte59. Bénéficiant de seulement 18,36 % des voix et devancé par Thierry Braillard, Philippe Meirieu ne réalise pas le pourcentage de voix nécessaire pour se maintenir au second tour de l'élection60. Philippe Meirieu a raconté la campagne électorale de ces élections législatives dans un e-book [archive] publié par le quotidien Libération [archive].

Dans l'entre-deux tours des élections municipales de 2014, Philippe Meirieu se démarque du EELV local en soutenant la liste menée par Nathalie Perrin-Gilbert (avec qui il était en binôme aux législatives de 2012) sur le 1er arrondissement, et ce malgré une fusion des listes PS et EELV. Il explique son choix par un désaccord de fond avec les propositions du maire PS de Lyon, Gérard Collomb, reprochant à ses camarades d'EELV un accord « pour des places et non un projet politique »[réf. nécessaire].

 

Posté(e)

En gros, merci EELV de nous en avoir débarrassés ...

Posté(e)
Il y a 4 heures, Goëllette a dit :

En gros, merci EELV de nous en avoir débarrassés ...

😄 et à EELV de s'être autodétruite !😁

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