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Posté(e)
il y a 4 minutes, nellou a dit :

Il n'a pas été très actif il me semble puisque le national était pour la réforme des rythmes... ;)

Et je précise que je suis adhérente au Snuipp depuis plus de 20 ans, que j'ai beaucoup participé à la vie du syndicat à une époque. Je reste militante mais ça ne m'empêche pas d'être critique quand je ne suis pas d'accord.  Et sur le point de la réforme des rythmes, j'ai été très déçue par le Snu. Mais pas par la section locale qui a suivi tous les mots d'ordre de grève alors que le national était très frileux... Tu ne peux quand même pas dire le contraire. :idontno:

Bref, HS par rapport à ce post ! ;)

Non, le national était pour une réforme des rythmes mais pas pour le bazar que celle-ci a engendré. 

Posté(e)
il y a 42 minutes, pimouss690 a dit :

D'ailleurs, dans le secondaire, les chefs d'établissements ne s'occupent pas de pédagogie, ça a au moins le mérite d'être clair.

Là tu te plantes.

Le chef d'établissement à toutes les manettes pour diriger pédagogiquement son établissement.

Dans tous les textes récents, il y a toujours l'expression "le chef d'établissement, le premier pédagogue de son établissement".

On peut s'en rendre compte au niveau des questions de l'oral d'admission et de la formation.

Exemple de cette semaine : j'ai décidé de dédoubler les cours de langue sur certains niveaux et les enseignants doivent me présenter un projet (court) pour la mise en place pédagogique.

Posté(e)
il y a 7 minutes, Frédo45 a dit :

D'ailleurs, le statut du directeur ou toute autre appellation trompeuse va dans le sens du modèle suédois.

va dans le sens de tout le reste de l'Europe car la France est le seul pays où le directeur n'a pas de statut....

Posté(e)
il y a 27 minutes, nellou a dit :

Mais pas par la section locale qui a suivi tous les mots d'ordre de grève alors que le national était très frileux... Tu ne peux quand même pas dire le contraire. :idontno:

Si, si, il peut ! 

Posté(e)
il y a 45 minutes, Goëllette a dit :

En même temps, les "vieux" comme moi ne peuvent que constater que le niveau des élèves et l'ambiances des écoles étaient bien meilleurs quand on fichait la paix aux enseignants dans leur classe, quand on ne leur imposait pas de réunionite et de travail ensemble qui ont participé à crisper les ambiances et niveler par le bas.

Quel lien fais-tu entre la baisse du niveau et le travail "ensemble" ? Est-ce que ce n'est pas dû surtout à d'autres facteurs ? 

Posté(e)

Les deux mon général !

La réunionite, outre la perte de temps et l'entrave à la liberté pédagogique, provoque des conflits et un nivellement par le bas parce qu'il faut attendre beaucoup plus de monde.

A mes débuts, chacun était libre dans sa classe, pouvait travailler avec les autres si ça se présentait, on organisait ça entre deux portes ou autour d'un bon café, et les différentes réunions étaient détendues, on avait vraiment le temps de parler de l'essentiel : nos élèves... et trinquer régulièrement !

Posté(e)
il y a 44 minutes, montagny a dit :

Là tu te plantes.

Le chef d'établissement à toutes les manettes pour diriger pédagogiquement son établissement.

Dans tous les textes récents, il y a toujours l'expression "le chef d'établissement, le premier pédagogue de son établissement".

On peut s'en rendre compte au niveau des questions de l'oral d'admission et de la formation.

Exemple de cette semaine : j'ai décidé de dédoubler les cours de langue sur certains niveaux et les enseignants doivent me présenter un projet (court) pour la mise en place pédagogique.

Autant pour moi alors, j apprends quelque chose.

Le concours PERDIR ne demande pas obligatoirement une formation d enseignant de base.

Donc tu m apprends que le chef d établissement peut imposer des pratiques sans aucune autre formation que théorique ?

Pour ma part l évaluation des profs du secondaire tenait en 2 points: l administratif par les chefs d établissement et la pédagogie par les les IA-IPR. Je me trompe? C est amené à changer?

Posté(e)
il y a une heure, Goëllette a dit :

Les deux mon général !

La réunionite, outre la perte de temps et l'entrave à la liberté pédagogique, provoque des conflits et un nivellement par le bas parce qu'il faut attendre beaucoup plus de monde.

A mes débuts, chacun était libre dans sa classe, pouvait travailler avec les autres si ça se présentait, on organisait ça entre deux portes ou autour d'un bon café, et les différentes réunions étaient détendues, on avait vraiment le temps de parler de l'essentiel : nos élèves... et trinquer régulièrement !

En fait, ça se passe comme ça dans les écoles où j'ai travaillé. Ma collègue de CP n'a pas du tout la même pédagogie que moi et ça ne pose pas de problème. En réunion, on évoque nos projets (car oui, on échange sur nos projets même s'ils ne concernent que notre classe) et les élèves en difficulté. Si ça ne se passe pas comme ça dans ton école, interroge-toi sur ta pratique. Personne n'a dit que les réunions devaient aboutir à ce que tout le monde fasse la même chose. Et je m'interroge sur cette phrase : "un nivellement par le bas parce qu'il faut attendre beaucoup plus de monde". J'ai la vague impression que tu es encore en train de taper sur tes adjoints qui seraient des brebis galeuses, des tire-au-flanc... 

Posté(e)
Il y a 1 heure, Goëllette a dit :

Si, si, il peut ! 

Je peux d'autant mieux qu'il est assez aisé de regarder le nombre d'appels à la grève lancés par le SNUipp national. 

Posté(e)
Il y a 1 heure, Goëllette a dit :

Les deux mon général !

La réunionite, outre la perte de temps et l'entrave à la liberté pédagogique, provoque des conflits et un nivellement par le bas parce qu'il faut attendre beaucoup plus de monde.

A mes débuts, chacun était libre dans sa classe, pouvait travailler avec les autres si ça se présentait, on organisait ça entre deux portes ou autour d'un bon café, et les différentes réunions étaient détendues, on avait vraiment le temps de parler de l'essentiel : nos élèves... et trinquer régulièrement !

Toutes les études montrent que des enseignants travaillant seuls sont bien moins efficaces qu'une équipe d'enseignants. C'est d'ailleurs ce que l'ocde reproche à la France.

  • J'adhère 1
Posté(e)
il y a une heure, pimouss690 a dit :

Pour ma part l évaluation des profs du secondaire tenait en 2 points: l administratif par les chefs d établissement et la pédagogie par les les IA-IPR. Je me trompe? C est amené à changer?

le chef d'établissement est présent lors de l'observation en classe et plusieurs items sont remplis en commun IA IPR et perdir.

 

Posté(e)
il y a une heure, pimouss690 a dit :

Donc tu m apprends que le chef d établissement peut imposer des pratiques sans aucune autre formation que théorique ?

personnellement je ne connais aucun perdir qui n'a pas été enseignant ou cpe avant.

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