Vaccin, pas vaccin, changement d'avis ou pas ?

[dameoiselle]

il y a une heure, FemmeDeRochas a dit :

Vu hier soir à C dans l'air, sur la 5, le professeur Djilali Annane, chef du service réa de l'hôpital de Garches : il se demandait pourquoi on n'administrait pas, en France, certains antiviraux aux malades du Covid, comme on le fait en Angleterre ou aux USA depuis quelques temps. Cela réduirait les risques de se retrouver à l'hôpital...

En Australie non plus, ils ne le font pas encore.

Je lis que la Suisse viendrait d'approuver la méthode aujourd'hui : https://www.rts.ch/info/suisse/12748373-la-suisse-autorise-le-premier-medicament-contre-le-covid-19.html

C'est donc peut-être une question de temps pour la France. Les pays ne sont pas tous aussi rapides dans la mise en circulation de médicaments/traitements.

[IsaG]

Il y a 1 heure, Goëllette a dit :

J'espère que les antivaxcov les refuseront. Il n'y a pas assez de recul ...

Peux tu argumenter stp?

Car là c'est une attaque purement personnelle et sans intérêt pour le débat.

[Goëllette]

Pas du tout. C'est un argument, pas une attaque.

Les antivaxcov ne veulent pas se faire vacciner au prétexte qu'il n'y a pas assez de recul pour connaître les effets secondaires.

Les médocs  sont encore plus récents, donc il y a encore moins de recul.

Logiquement, ils doivent donc également les refuser.

[emilie86]

il y a une heure, IsaG a dit :

Peux tu argumenter stp?

Car là c'est une attaque purement personnelle et sans intérêt pour le débat.

"On ne retrouve plus du tout le même profil de patients que lors des premières vagues, on n'a que des patients qui sont à risque, certains refusent tout. Ça épuise les soignants et on est obligé de prendre sur nous pour avoir une attitude bienveillante", souffle l'infectiologue Karine Lacombe, cheffe du service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine, à Paris. (sur le site de L'express, mais entendu sur France inter.) Elle ajoutait que plusieurs patients réfractaires aux nouveaux traitements se retrouvaient alors en réanimation. 

[IsaG]

il y a une heure, Goëllette a dit :

Pas du tout. C'est un argument, pas une attaque.

Les antivaxcov ne veulent pas se faire vacciner au prétexte qu'il n'y a pas assez de recul pour connaître les effets secondaires.

Les médocs  sont encore plus récents, donc il y a encore moins de recul.

Logiquement, ils doivent donc également les refuser.

Les "antivax" sont contre le vaccin covid, mais pas forcément contre un traitement qui ne circule pas à vie dans le sang

J'en sais rien, mais je suppose.

[B i b]

il y a 56 minutes, Goëllette a dit :

Pas du tout. C'est un argument, pas une attaque.

Les antivaxcov ne veulent pas se faire vacciner au prétexte qu'il n'y a pas assez de recul pour connaître les effets secondaires.

Les médocs  sont encore plus récents, donc il y a encore moins de recul.

Logiquement, ils doivent donc également les refuser.

Plutôt logique mais les antivaxcov comme tu les appelles ne sont pas à une incohérence près. Certains veulent bien d'un vaccin mais pas ceux à ARNm. D'autres voudront de ces vaccins quand ils ne seront plus en AMM conditionnelle alors que des milliards d'injections ont été réalisées depuis plus d'un an. Certains nient ou relativisent les effets des vaccins actuels alors que les chiffres des décès et réas sont très parlants. Non, il y en a qui prendront ces médicaments avec soulagement et d'autres qui resteront sur leur défensive, mais tous très probablement avec un avis bien tranché. 

[B i b]

il y a 9 minutes, IsaG a dit :

Les "antivax" sont contre le vaccin covid, mais pas forcément contre un traitement qui ne circule pas à vie dans le sang

J'en sais rien, mais je suppose.

Les vaccins ne circulent pas à vie dans le sang non plus. 

[Cécile56]

Certains prendront le médicament s’ils sont malades et pas une injection à ARNm alors qu’ils sont en parfaite santé (sans savoir ce que cette injection peut faire à moyen et long terme). 

C’est différent de prendre un médicament (quand tu es malade avec des symptômes, cloué au lit) , que de prendre une injection ARNm en prévision d’une maladie qui te fera peut-être rien et que tu dois maintenant refaire tous les 3 mois pour espérer être protégé. 
 

On a le droit de ne pas donner son consentement. Le code de Nuremberg est clair sur ce point. 

 

[B i b]

il y a 23 minutes, minibou a dit :

Certains prendront le médicament s’ils sont malades et pas une injection à ARNm alors qu’ils sont en parfaite santé (sans savoir ce que cette injection peut faire à moyen et long terme). 

C’est différent de prendre un médicament (quand tu es malade avec des symptômes, cloué au lit) , que de prendre une injection ARNm en prévision d’une maladie qui te fera peut-être rien et que tu dois maintenant refaire tous les 3 mois pour espérer être protégé. 
 

On a le droit de ne pas donner son consentement. Le code de Nuremberg est clair sur ce point. 

 

Ce que tu décris, c'est le principe d'un vaccin, préparer l'organisme à une défense immunitaire pour éviter de tomber malade.

Quelques questions comme ça. Comment savoir si on est en parfaite santé ? Comment savoir si une fois infecté, on tombera malade ? Comment savoir si en étant malade on fera une forme grave ou pas ? Comment savoir si une fois malade, cas grave ou non, le traitement fonctionnera ? Comment savoir si le covid n'aura pas d'effets graves à long terme sur l'organisme ? Comment savoir si ce traitement n'aura pas d'effets indésirables graves sur l'organisme ?

[ablette]

Il y a 5 heures, vero a dit :

Quel mépris pour les soignants qui ont vu leurs congés diminuer depuis 2 ans, qui bossent comme des malades..... qui ont été obligés de se faire vacciner eux, pour pouvoir soigner tout le monde...y compris les non vaccinés. Qui multiplient les gardes....

Quand les soignants nous disent que la très grande majorité des gens en réa sont des non vaccinés, on peut comprendre qu'ils soient en colère....

Je vous rappelle que 3 de mes enfants et conjoints sont infirmiers en hôpital. Ils enchaînent weekends, nuits comme avant ... Chacun a sa position. Je ne les ai jamais entendus prononcer une quelconque parole contre un patient alcoolique, drogué, sportif inconscient, parents qui avaient omis de surveiller leurs enfants (noyades par exemple), non-vaccinés  ... . J'ai lu avec attention le témoignage de Julie Odet. Je comprends son épuisement. Simplement, rendre responsables les non-vaccinés est trop simple.  Lorsque je lis que gynécos et généralistes ont des avis parfois contradictoires sur le sujet, quel choix peut faire une femme enceinte par exemple ? Nous tombons dans le jeu de la haine un peu plus chaque jour pour le bénéfice de qui ?

[Cécile56]

Chacun est et doit rester libre de ses choix. Je n’estime pas faire partie des personnes à risques. Et mes enfants ne le sont pas non plus. 

Si toi tu veux le faire parce que tu as peur de faire une forme grave ou d’avoir des effets à long terme, libre à toi. 
 

 

 

[schum]

il y a 7 minutes, Rudy a dit :

Quelques questions comme ça. Comment savoir si on est en parfaite santé ? Comment savoir si une fois infecté, on tombera malade ? Comment savoir si en étant malade on fera une forme grave ou pas ? Comment savoir si une fois malade, cas grave ou non, le traitement fonctionnera ? Comment savoir si le covid n'aura pas d'effets graves à long terme sur l'organisme ? Comment savoir si ce traitement n'aura pas d'effets indésirables graves sur l'organisme ?

Comment savoir si une fois vacciné, on aura un effet secondaire grave ? Comment savoir si en étant vacciné on fera une forme grave ou pas ? Comment savoir si une fois contaminé, le vaccin fonctionnera ? Comment savoir si le vaccin n'aura pas d'effets graves à long terme sur l'organisme ?

En fait, toutes les questions que tu poses à juste titre, on peut aussi se les poser, également à juste titre, pour ce vaccin.

Et agir en conséquence, en estimant ce qui est mieux pour nous.