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Posté(e)

En tout cas, ils ne manquent pas d'énergie pour inventer de telles âneries...

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Posté(e)

Par contre qu'ils ne ferment pas les favs de journalisme parce que là question rédaction c'est déjà la cata alors sans cours je n'ose imaginer les futurs articles 😱

Il n'est pas très clair cet article. Depuis quand c'est l'inspection d'académie qui paye les factures de chauffage d'un collège ? 

Posté(e)

La fin de l'abondance 🙂 Sauf pour Jupiter et ses amis bien entendu 🙂

Posté(e)

Incroyable mais vrai . Triste France...

Posté(e)
Il y a 10 heures, piqueprune53 a dit :

En tout cas, ils ne manquent pas d'énergie pour inventer de telles âneries...

Ah ben oui, c'est bien connu !

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Posté(e)

Les raisons données sont les suivantes

Citation

plus les moyens de chauffer ce bâtiment "vieillissant", que "les déperditions énergétiques y sont très importantes et le chauffage du site pèse lourdement sur le budget global du collège".

Les élèves pourront continuer les cours dans un autre collège, situé à trois kilomètres :

Citation

la quarantaine d'élèves de cette Section d'enseignement général et professionnel adapté devront suivre l'ensemble de leurs cours au collège Anselme Mathieu, avenue de la Reine Jeanne, à près de trois kilomètres.

En quoi est-ce dramatique ?

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Posté(e)
Le 02/11/2022 à 18:24, chableu a dit :

Plusieurs facs aussi...

Tu as des noms d’établissements ?

Posté(e)
il y a 59 minutes, bab33 a dit :

Car la facture se reporte sur les parents qui n'ont pas l'air de rouler sur l'or.... repas à la cantine, bus ou essence en plus... sans parler du côté psychologique : des élèves fragiles qui ont souvent besoin de repères stables. Il a été dit d'ailleurs qu'ils reviendraient dans leur collège en mars. Non mais  de qui se moque-t-on.

Deuxième raison pour lequel cela est dramatique est que nous sommes au 21ème siècle supposément dans un pays développé et riche et que l'on fait payer les erreurs des générations précédentes à nos jeunes qui en bavent pas mal depuis le covid..... Eux restent dans leur tour d'ivoire bien chauffée.

Bref...C'est sûr que quand cela ne nous touche pas directement on peut aisément dire que cela n'est pas dramatique. Mais il faut essayer de se mettre à la place des autres parfois. Comme ces enfants que l'on envoie dans des services pédiatriques loin de chez eux, comme ces élèves qui n'ont pas de professeur de français ou autre, comme ces étudiants qui ont faim car le Crous réduit drastiquement les repas, comme toute cette nourriture que l'on paye à prix d'or sous couvert de la guerre ou de la crise énergétique, nos salaires d'enseignant qui ne sont même pas revalorisés par rapport à l'inflation réelle ....

Voilà maintenant il faudrait tout accepter. On ne peut rien dire et ça m'énerve...

 

Tout à fait d’accord 

Faut arrêter d’accepter ce qui n’est pas acceptable. 
il faut dire stop 

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Posté(e)
Il y a 2 heures, bab33 a dit :

Car la facture se reporte sur les parents qui n'ont pas l'air de rouler sur l'or.... repas à la cantine, bus ou essence en plus... sans parler du côté psychologique : des élèves fragiles qui ont souvent besoin de repères stables. Il a été dit d'ailleurs qu'ils reviendraient dans leur collège en mars. Non mais  de qui se moque-t-on.

D'autant plus que s'agissant d'une SEGPA, je suppose que le site dispose d'ateliers particuliers (ateliers cuisine, mécaniques ou métiers de l'artisanat (menuiserie, peinture...)). Le collège général pourra-t-il permettre ces cours aux collégiens de l'unité SEGPA ? Et comment ces élèves vont-ils être accueillis par les autres élèves ? 

Citation

Deuxième raison pour lequel cela est dramatique est que nous sommes au 21ème siècle supposément dans un pays développé et riche et que l'on fait payer les erreurs des générations précédentes à nos jeunes qui en bavent pas mal depuis le covid..... Eux restent dans leur tour d'ivoire bien chauffée.

Cette remarque me rappelle une anecdote de mon début de carrière, dans un petit village (école deux classes)... La Mairie avait décidé de couper le chauffage dès 17h00 le soir et ne le rallumait qu'à 8h30 le lendemain (pour un début des cours à 9h00). Bien sûr, il ne fonctionnait pas le mercredi ni les week-ends... dans des bâtiments anciens, simple vitrage... bref, il faisait une douzaine de degrés au moins jusqu'à 11 heures, 18 degrés au plus chaud et dès 17h30, on se les pelait si on restait pour préparer, corriger... Le Maire ne voulait rien entendre et nous demandait de mettre des pulls ou des gilets plus chauds (tiens, ça ne vous rappelle rien ?). Un jour, j'ai du aller porter un document à la Mairie et il y faisait rudement chaud ! Le secrétaire était en chemisette ! De fait, au Conseil d'Ecole suivant, j'ai menacé le Maire de venir faire classe dans la salle des mariages de la Mairie avec mes 29 GS/CP/CE1 s'il ne faisait pas un effort pour le chauffage... Et bien figurez vous que ça a fonctionné, ça a été houleux mais ça a fonctionné devrais-je dire, nous avons obtenu le chauffage plus fort, plus longtemps et sans coupure nette en dehors des heures de cours (le chauffage était mis en mode économie). 

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