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L'enfant au centre du système éducatif...


mims

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Je me doute que je vais encore faire hurler dans les chaumières, amis quelque part, j'ai des réticences sur ce "l'enfant au centre du système éducatif"...

Je suis nulle en histoire de l'éducation, et les textes, je les connais peu : je me contente de faire mon boulot du mieux possible...

Donc, je sais plus de quand ça date cette histoire, et je suppose qu'avant, c'était le savoir lui-même qui était au centre du système éducatif... qu'on me le dise si je me trompe...

Or, j'ai de plus en plus l'impression que l'enfant, il devint le centre du monde dans plain de domaines. Ce qui en soi n'est pas un mal : les enfants ont telement été maltraités, brimés, exploités et tout et tout, que c'est normal d'avancr sur ce point...

Sauf que ... moi je pense "enfant-roi" et que cette formule "mettre l'enfant au centre du système éducatif", ça me fait penser à "privilégier l'enfant par rapport au savoir"...

Du coup, rien d'étonnant à ce que le "savoir" (je sais, c'est vaste) soit dévalorisé...

Si je vais plus loin, (et vous me connaissez suffisamment pour savoir que je vais y aller ! :P ), l'enfant ne risque-t-il pas de se dire, d'ici quelques années (si ce n'est déjà fait) : c'est pas important, ce que je dois apprendre : ce qui est important, c'est moi !

Voilà, je me posais la question...

Sans être réac ou nostalgique des coups de règles sur les doigts, j'ai quand même l'impression qu'avant (vous y mettez les dates que vous voulez), on voyait l'apprentissage de nouvelles choses comme un privilège, alors que maintenant, ça semble être une corvée...

Non ?

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Donc, je sais plus de quand ça date cette histoire, et je suppose qu'avant, c'était le savoir lui-même qui était au centre du système éducatif... qu'on me le dise si je me trompe...

oui mais..le savoir, c'est de l'abstrait. Les enfants, ce sont le "concrêt". Les deux logiques s'opposent : dans un cas, on adapte les enfants au savoir; dans l'autre, on adapte le savoir aux enfants . Dans le premier cas, c'est l'enfant qui doit ateindre le savoir, la norme, et tant pis pour lui s'il n'en est pas capable. Le "train" continue sans lui. Le second cas me semble plus humain, moins élitiste et plus proche de la réalité: il prend en compte le fait que tous les enfants n'ont pas les mêmes compétences, les mêmes acquis, et cherche à les conduire aussi loin que possible.

Je te trouve un peu pessimiste. Mettre l'enfant au coeur des apprentissage n'en fait pas ou ne conduit pas à le considérer comme tout puissant (en faire le

centre du monde
). C'est bien plus, me semble-t-il, reconnaître sa qualité d'être humain, qui mérite, à ce titre, une attitude bienveillante, un certain respect de sa personne,... Je comprend cette phrase comme une volonté de lutter contre les inégalités et contre un travers élitiste, qui consuisait peut-être par le passé à ne réellement former et instruire que les plus doués. En conclusion, j'y vois un progrès humaniste, et non l'alliénation de l'adulte à la volonté toute puissante de l'enfant.
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Evidemment, je n'ai pas de classes mais en faisant l'école à la maison, je suis en plein dedans : je pars des centres d'intérêts de mes enfants pour faire des choses, j'attends aussi qu'ils soient prèts pour un apprentissage et ce quelquesoit l'âge (les fameuses périodes sensibles de Montessori), ils ont plein de matériel, de livres etc... à disposition et ils choisissent selon leur sensibilité, leur capacité etc...

Perso, l'école m'ennuie car tout y est artificiel : on a beau dire ce qu'on veut sur les cycles, un gosse de 8 ans qui ne sait pas lire c'est embêtant et un qui sait lire à 4 ans aussi! si un enfant de MS veut faire des additions, ça n'est pas le moment mais en CP, il DOIT s'y mettre. Bref, des adultes ont un jour décidé que c'était comme ça et pas autrement. On laisse aussi de côté plein de choses merveilleuses (les évalutions c'est maths et français... et le reste alors??).

Le rythme aussi est calqué sur celui des adultes qui travaillent et pas sur les besoins des enfants : 6h00 par jour à 3 ans!! c'est énorme et trés peu respectueux des petits... en CP, dans les classes que je connais (sauf celle de ma maitresse à moi à qui je rends un grand hommage :wub: ), les enfants sont assis quasi tout le temps : ils ont 6 ans et ont leur en demande plus qu'à moi...

Et que dire de la sieste : pareil, elle est obligatoire à 3 ans mais à 5 ans, fini... je connais des enfants qui font encore la sieste à 8 ans, je connais des enfants qui ne savent pas lire à 9 ans, je connais des enfants qui construisent des maquettes trés complexes des heures durant, qui font des dessins superbes etc... ce sont des enfants heureux, qui ont de grandes connaissances, qui sont respectés dans ce qu'ils sont (parce qu'ils sont à la maison) mais qui ne sont pas du tout, du tout dans le moule dans lequel on voudrait les couler! comment seraient-ils à l'école?

Bref, je suis evidemment pour l'enfant au centre du système mais je n'y crois pas une seconde dans l'école d'aujourd'hui!!

Et une fois de plus, ma critique est pour les têtes pensantes de l'EN, pas pour les enseignants qui font ce qu'ils peuvent avec ce qu'ils ont.

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Juste une remarque : je ne suis pas contre le fait que les enfants soient au centre des apprentissages car le concept en lui-même n'est pas idiot.

Cependant, bien que je ne veuille pas retourner en arrière, force est de constater qu'auparavant dans les écoles ça n'avait rien à voir avec maintenant.

Le maître faisait sa leçon, était beaucoup plus sévère qu'aujourd'hui (je répète que ce n'est pas une apologie du passé) et se faisait respecter.

C'était LE maître et rien que ce mot signifiait un certain respect aussi bien pour les élèves que pour les parents.

Et pourtant à l'époque ils ne s'embarrassaient pas d'artifices pour motiver, différencier...on se fichait pas mal (on ne se posait pas la question) du rythme des apprentissages en fonction de chaque élève.

Les enfants sont là pour être instruits mais ce ne sont QUE des enfants! De fait je comprends tout à fait l'opinion de Mims...

Les parents ou grand-parents ont appris ainsi et ils ne sont pas des ânes pour autant.

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C'est bien plus, me semble-t-il, reconnaître sa qualité d'être humain, qui mérite, à ce titre, une attitude bienveillante, un certain respect de sa personne,... Je comprend cette phrase comme une volonté de lutter contre les inégalités et contre un travers élitiste, qui consuisait peut-être par le passé à ne réellement former et instruire que les plus doués. En conclusion, j'y vois un progrès humaniste, et non l'alliénation de l'adulte à la volonté toute puissante de l'enfant.

Ben, ça me parait évident qu'on a avancé sur ce problème-là... Il me semble qu'on reconnaît aujourd'hui à l'enfant sa qualité d'être humain, etc, etc...

Bon, et maintenant que c'est fait, si on redonnait au "savoir" ses lettres de noblesse, aussi...

le savoir, c'est de l'abstrait. Les enfants, ce sont le "concrêt". Les deux logiques s'opposent : dans un cas, on adapte les enfants au savoir; dans l'autre, on adapte le savoir aux enfants .

qu'on me dise en quoi on a adpaté le savoir aux enfants... les méthodes, peut-être, mais à part ça... chaque année, on diminue le nombre de chose qu'on leur demande de savoir, et ça change quoi ?

Je me rappelle avoir bossé sur les adittions de fractions avec mes CM, leur précisant que ce n'était plus demandé en primaire, et ils trouvaient ça super facile parce que ça leur plaisiat de l'apprendre...

Pour moi, le savoir dont je parle, c'est l'ensemble des connaissances qu'on veut leur faire apprendre, la culture générale, tout ce qu'on apprend quoi...

Il me semble que, quand j'étais petite, je trouvais gratifiant d'avoir appris des choses nouvelles. On me demandait un effort pour ça, c'était du boulot, mais j'écoutais le maître, je faisais de mon mieux, bref, j'apprenais...

Parfois, ça ne marchait pas, bon, eh ebn voilà... j'ai jamais été douée en maths, j'ai pas fait de longues études en maths...

Maintenant, l'effort à fournir pour apprenre, ben, c'est toujorus trop dur (dixit "j'ai pas envie, c'est trop dur"...), le côté gratifiant, tu parles... qui est-ce qui met encore en valeur le "tu en sais des choses"... ?

Résultat ? Ben les mômes en font de moins en moins, ils en savent de moins en moins, mais pour être respectés en tant qu'être humain, là, pas de soucis... On les respecte tellement qu'on leur en demande de moins en moins...

Moi, ça m'a choquée d'entendre que, lors d'un stage, on avait dit à ma collègue qu'il ne faudrait plus mettre de "D" à une évaluation, parce que ça dévalorisait l'élève... Ben ça sert à quoi, les notes alors ? Il me semble qu'un enfant qui n'a pas acquis une notion, on le signale, que c'est pas acquis (on n'est pas obligé de mettre le bopnnet d'âne, tout est dans la manière de faire...)

Mais non, là on propose de refaire l'évaluation, plus facile, pour que le petit chéri ait au moins un C et qu'il soit valorisé...

Si c'est pas rendre l'enfant roi, ça ?

C'était LE maître et rien que ce mot signifiait un certain respect aussi bien pour les élèves que pour les parents.

Et pourtant à l'époque ils ne s'embarrassaient pas d'artifices pour motiver, différencier...on se fichait pas mal (on ne se posait pas la question) du rythme des apprentissages en fonction de chaque élève.

Les enfants sont là pour être instruits mais ce ne sont QUE des enfants! De fait je comprends tout à fait l'opinion de Mims...

Les parents ou grand-parents ont appris ainsi et ils ne sont pas des ânes pour autant.

c'est ce que je voulais dire... qu'on ait fait des progrès pour respecter l'enfant, tant mieux : on en le dira jamais assez... mais j'ai l'impression qu'on va vers l'autre extrème là...

Moi, petite, je ne me posais pas la question de savoir si j'avias envie de bosser, si j'avais envie de faire ce que me demandait le maitre : il me donnait un exercice, je le faisais, j'étais fière de montrer que j'avais réussi, ou alors, je travaillais plus, si j'avais raté pour mieux faire la fois suivante...

Moi, quand un élève de CP vient me montrer son cahier d'écriture dans lequel il n'a rien écrit et qu'il me dit, "j'avais pas envie de le faire", ça me fait bondir...

"Mais bien sûr mon chéri ! Tu fais comme tu veux. Tu veux un morceau de chocolat avec un thé ? Viens papoter avec tes petits copains pendant que je corrige les copies..."

Ca va, oui ? :ninja:

Y'a pas comme un problème, là... ?

Je suis tout à fait d'accord avec Betba sur le côté formatage de l'école, où les trop "lents" et les trop "rapides" ne rentrent pas dans le moule ét dérangent. J'essaie au maximum de donner à chacun de mes élèves du boulot en lien avec ses capacités, et de l'intéresser, de le motiver, etc... Mais y'a un moment ou il faut dire stop... Tu es à l'école, le maitre te donne un boulot... TU LE FAIS... !

NOn ?

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Je suis nulle en histoire de l'éducation, et les textes, je les connais peu : je me contente de faire mon boulot du mieux possible...

Donc, je sais plus de quand ça date cette histoire, et je suppose qu'avant, c'était le savoir lui-même qui était au centre du système éducatif... qu'on me le dise si je me trompe...

Ca date de 1989 avec la loi d'orientation de Jospin alors ministre de l'Education. Dans le fameux triangle élève/savoir/professeur, c'est donc l'élève qui se trouve au centre dans cette loi. Pour moi, les trois pôles sont aussi importants les uns que les autres, c'est tout ! :)

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On peut mettre l'enfant au centre, point de départ des apprentissages et êtrre sévère....ben oui ça existe encore les maitres ou maitresses sévères....j'en suis une, pourtant j'ai pas l'ipression que les élèves ne m'aiment pas, mais ils savent à quoi s'en tenir avec moi.reste qu'en étant une journée par semaine dans chaque classe si je suis pas stricte ça vire vite à la jurnée récrée...

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Mim's : c'est vrai que moi je voyais élève au centre comme je l'ai décris pas comme l'élève-roi qui ne fout rien!

Ce qui m'épate, c'est qu'un enfant est naturellement curieux, heureux d'apprendre etc... mes enfants connaissent plein de choses et en apprennent de nouvelles tous les jours! c'est vrai que comme on les force pas, c'est sûrement plus agréable et "cool" mais ça m'épate toujours un enfant qui ne veut rien apprendre :huh:

Je pense quand-même qu'il faut laisser une certaine liberté (perso, qu'un gamin ai envie de commencer par du calcul, de l'histoire-géo ou de la lecture, je ne vois pas le problème : c'est faisable chez Montessori et Freinet, donc pourquoi pas chez les autres!) parce que se voir tout imposer, c'est rude à 6 ans.

Je me demande si le problème de vient pas du fait que comme on ne respecte pas les "périodes sensibles" des gosses, certains ne voient pas l'intérêt de certains apprentissages qui arrivent trop tôt ou trop tard.

On ne fait pas quelquechose parce le maitre le demande, on le fait parce que la demande du maitre fait sens, sinon, on passe à côté!

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Mim's, j'ai moi-même pas mal de contradictions dans le domaine... Je suis à fond pour les pédagogies alternatives qui mettent l'enfant au coeur des apprentissages, et bien que passant le concours de PE, si j'étais amenée à avoir des enfants, je souhaiterais pouvoir faire l'école à la maison. Je rêverais de pouvoir travailler dans une école type Summerhill, où les enfants apprennent en totale liberté.

Cependant, je ne me fais pas d'illusions, ce qu'il est possible de faire avec ses propres enfants à la maison où dans une structure particulière type Summerhill n'est généralement pas applicable dans une école traditionnelle. Evidemment, tu peux prendre certains trucs des pédagogies alternatives pour les appliquer en classe, mais il n'en reste pas moins que l'enfant n'a que peu de choix : les horaires, les matières, le programme... Sans parler de la pression extérieure : les parents, l'EN....

Le jour où je serai amenée à avoir une classe, je pense que je serai une maîtresse assez sévère, tout simplement pour éviter l'anarchie et de passer mon temps à faire de la discipline plutôt qu'à transmettre des savoirs. Parce-que c'est bien beau de dire que l'enfant doit apprendre à son rythme (et je suis tout à fait d'accord avec ça), mais les rythmes nous sont de toute façon imposés alors autant en prendre son parti en attendant une réelle réforme de l'école. Et puis un enfant qui ne sait pas lire en fin de CP, tu auras beau parler de cycles, tu as de grandes chances d'avoir les parents et l'EN sur le dos, et ce ne sera pas la faute de l'enfant mais bien de la maîtresse qui est incompétente...

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Moi, petite, je ne me posais pas la question de savoir si j'avias envie de bosser, si j'avais envie de faire ce que me demandait le maitre : il me donnait un exercice, je le faisais, j'étais fière de montrer que j'avais réussi, ou alors, je travaillais plus, si j'avais raté pour mieux faire la fois suivante...
...ce qui est tout à fait possible (et fait) aujourd'hui encore! Le fait de "mettre l'enfant au coeur des apprentissages", ce n'est pas, à mon sens, lui demander ce qu'il veut faire et quand il veut le faire. Bien au contraire. C'est se positionner en tant qu'adulte ayant conscience des différences entre chaque individu, et donner une tâche adaptée (sans qu'elle ne soit trop facile, hein, que l'on soit bien d'accord. Adapté, cela veut seulement dire que l'adulte a réfléchi à ce qu'il veut et peut réellement obtenir de l'enfant, et que la tâche proposée est suffisemment difficile et faisable à la fois pour que l'enfant / l'élève progresse. Mais les exemples de Betba sont particulièrement parlants...si le savoir est au coeur des apprentissages, l'enfant doit avancer en suivant la "norme" pré-établie. Dans ce sens, on voit bien l'aspect un peu utopique de l'idée "d'élève au coeur des apprentissages", dans les coinditions actuelles de fonctionnement de l'école, mais j'y crois foncièrement). Mais lorsque la tâche est donnée, bien entendue, l'élève doit la faire. Et cette tâche me semble alors d'autant plus légitime qu'elle est réellement adaptée à l'élève (j'enfonce encore le clou: tâche adaptée : pas "édulcorée")
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Je pense quand-même qu'il faut laisser une certaine liberté (perso, qu'un gamin ai envie de commencer par du calcul, de l'histoire-géo ou de la lecture, je ne vois pas le problème : c'est faisable chez Montessori et Freinet, donc pourquoi pas chez les autres!) parce que se voir tout imposer, c'est rude à 6 ans.

oui, je me demande si je vais pas finir par choisir d'enseigner dans une école comme ça...

Le fait de "mettre l'enfant au coeur des apprentissages", ce n'est pas, à mon sens, lui demander ce qu'il veut faire et quand il veut le faire. Bien au contraire.

quelqu'un aurait le texte ? qu'est-ce qui y est dit, exactement ?

et en quoi un IEN peut "m'orienter" pour que je place effectivement l'élève, etc, etc...

Pour moi, la sévérité n'a rien à voir avec d'autres problèmes dans l'éducation (motivation, intérêt, etc).

Il s'agit de gérer un groupe d'enfants (pas un enfant seul), et les enfants apprécient le cadre, les limites, je le vois tous les jours... à quelques exceptions près (ceux qui n'ont jamais eu de limites et pour lesquels une année scolaire n'est pas suffisante pour s'adapter)...

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"des connaissances peuvent être absolument essentielles pour l'avenir de l'élève;leur importance peut être unanimement reconnue par la société et par l'humanité toute entière; leur transmission peut être aussi rigoureuse et attractive que possible ;l'institution scolaire peut être admirablement organisée; son fonctionnement peut être étroitement contrôlé ;ses cadres peuvent être parfaitement formés...

L'apprentissage,lui reste toujours ,irréductiblement ,un acte libre,posé par un être qui décide d'apprendre et prend le risque,à un moment donné de son histoire ,de "faire quelque chose qu'il ne sait pas faire pour apprendre à le faire"

ce n'est pas de moi ...

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