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Posté(e)

Je peux répondre à Etoile et à la Petite Chocolatine.

La dernière personne a être rentrée en Gironde avait 22 points mais elle a bénéficié de la deuxième phase des permutations informatiques et elle venait de Dordogne. Venant de la RP, j'ai peur que cela te prenne beaucoup plus de temps.

Bénéficies-tu de rapprochement de conjoins ou autres ?

Etoile, la dernière persone entrant en Dordogne avait elle aussi 22 points mais il y en a qu'une et elle venait de Corréze. Pour voir un peu ce qu'a donnée l'entrée en Dordogne l'année dernière, va jeter un coup d'oeil .

Comme l'a dit Lillie, d'une année sur l'autre ca peut changer.

Bonne chance les filles et les mecs pour vos permuts.

Corn

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Posté(e)

Je voudrais quitter l'Indre et rentrer en Haute Vienne. L'an dernier, j'ai eu l'exéat mais pas l'inéat car j'étais PE sortante. J'avais pourtant le rapprochement de conjoint et un enfant. Cette année je vais avoir un autre enfant mais on m'a dit qu'avec la LOLF les muts interacadémiques étaient très dures à obtenir.

Je ne savais pas qu'il y a avait 2 phases! Comment ça marche?

On a donc 2 chances aux permuts onformatisées puis après les inéats-exéats si j'ai bien suivi.

Est-ce que le fait d'être propriétaire peut avoir une incidence?

Au niveau des départements, stratégiquement faut-il en choisir un ou plusieurs?

Posté(e)

Salut Didou

Alors pour les deux phases des permutations, on ne les distingue pas nous à notre niveau puisque le résultats est en même temps.

La première phase consiste à satisfaire les gens avec le plus de baréme.

La deuxième phase consiste à voir si parmi les gens qui restent on peut faire des échanges entre département.

Ensuite les ineat/exeat qui n'ont rien à voir avec tout ca.

Pour les départements, cela dépend ce que tu veux, si c'est vraiment la Haute-Vienne qui t'arrange, il ne faut demander que la Haute-Vienne.

Si tu as des départements limitrophes qui t'interessent, tu peux les demander.

Normalement vu ce que tu indiques, tu aurais un baréme entre 70 et 90 points. C'est déja pas mal.

Le mieux est d'appeler les syndicats pour connaître le baréme d'entrée du département. (sachant que ca donne une idée mais que cela peut changer d'une année sur l'autre).

Le fait d'être propriétaire ne change rien.

Posté(e)
Je voudrais quitter l'Indre et rentrer en Haute Vienne. L'an dernier, j'ai eu l'exéat mais pas l'inéat car j'étais PE sortante. J'avais pourtant le rapprochement de conjoint et un enfant. Cette année je vais avoir un autre enfant mais on m'a dit qu'avec la LOLF les muts interacadémiques étaient très dures à obtenir.

Je ne savais pas qu'il y a avait 2 phases! Comment ça marche?

On a donc 2 chances aux permuts onformatisées puis après les inéats-exéats si j'ai bien suivi.

Est-ce que le fait d'être propriétaire peut avoir une incidence?

Au niveau des départements, stratégiquement faut-il en choisir un ou plusieurs?

si tu es T1 tu as 22 points pour l'échelon

10 points pour ton 1er fils (le second doit etre né avant fin janvier pour compter)

60 points de séparation de conjoint (elle ne peut etre antérieure à la titularisation) et aucun point de renouvellement meme si tu avais fait une demande l'an dernier car tu étais non titulaire!

soit un total de 92 points!

Posté(e)

Pike, où as-tu trouvé le barème pour savoir combien de points on a exactement. Je ne le trouve pas...

Posté(e)

La LOLF intervient sur les ineats/exeats mais "peu" sur les permutations.

Le fait d'être propriétaire ne change rien du tout.

Voilà ce qu'on m'avait expliqué au niveau des syndicats:

4.2. Le traitement par ordinateur en trois phases

Les trois phases séquentielles du traitement des candidatures aux

permutations sont analysées ci-après.

4.2.1. Rappel ''historique''

L'actuel système de sélection électronique des candidats à la

permutation a

été conçu et mis au point en 1979. L'un des objectifs assignés aux

analystes

était alors d'accroître le nombre de candidats satisfaits, sans pour

autant

déroger aux règles des permutations.

Dans ce but, des recherches de logiciels nouveaux de permutations ont

été

confiées à des ingénieurs mathématiciens spécialisés dans le domaine

des

applications informatiques de gestion. Les résultats de ces travaux

théoriques ont été analysés, en collaboration avec les organisations

syndicales membres de la C.A.P. Nationale, entre octobre 1983 et

février

1984. Ces résultats ont été comparés à ceux des applications réelles de

1983

et 1984. De ces comparaisons, il est ressorti que, des points de vue

des

nombres d'admissions et de la qualité individuelle des permutations, au

système actuel ne peut être substitué un système plus performant, en

tout

cas dans un rapport tel que les résultats des permutations en soient

améliorés de façon sensible.

Par conséquent, les opérations informatisées des permutations se

déroulent

en fonction des logiciels préexistants, à une variante près depuis

1985.

En effet, le système informatisé comporte, depuis cette date, trois

phases

automatisées au lieu des deux précédentes, ces trois phases se

déroulant

séquentiellement dans la même unité de traitement ordinateur.

4.2.2. La première phase

Les candidats sont d'abord triés par ordre d'importance de leur barème

au

plan national. Le candidat ''A'', qui est doté du barème le plus élevé,

est

alors extrait du fichier et chacun des voeux qu'il a formulés (dans

l'ordre,

de 1 à 6) est testé quant aux possibilités d'accueil. Par accueil

possible,

il convient ici d'entendre l'échange nombre pour nombre entre le

candidat

"A" et un candidat ''B'', ce dernier étant en exercice dans l'un des

départements qui ont été sollicités par le candidat ''A''. Pour que la

permutation électronique soit réalisée, il est donc nécessaire :

1° que le candidat ''B'' ait réciproquement sollicité une intégration

dans

le département de départ du candidat ''A'', de telle sorte qu'il y ait

effectivement un échange nombre pour nombre ;

2° que le candidat ''B'' soit, à son tour, doté du barème le plus élevé

au

plan national, parmi tous les autres candidats potentiels à l'accueil

dans

le département d'origine du candidat ''A'', ces candidats potentiels

provenant de départements autres que celui du candidat "B",

c'est-à-dire de

100 départements moins 2.

La première phase du traitement actuel par ordinateur consiste donc à

donner

satisfaction aux candidats, en fonction du barème le plus élevé au plan

national.

Elle caractérise une logique de ''permutation parfaite", en ce sens

qu'elle

permet des chaînages répétitifs sur six voeux dans l'ordre de leur

formulation et sur le barème maximum au plan national.

Toutefois, étant donné que, dans un rapport voisin de 85 %, les

candidatures

aux permutations traduisent une tendance migratoire ces enseignants -

du

nord comme du sud de la Loire, d'ailleurs - à destination des quelque

vingt

départements du Midi-Méditerranée et du « grand sud-ouest », il est

inévitable que la première phase du traitement informatique aboutisse à

des

résultats quantitativement très réduits.

Ainsi, en 1988, sur un total de 2704 candidats obtenant leur

permutation,

seulement 119 (4,40 %) ont été permutés lors de la première phase.

Or, ce pourcentage de permutés lors de la première phase ne pourra pas

être

amélioré aussi longtemps que les enseignants en poste dans un

département du

''Midi-Méditerranée'' ou du ''Grand-Sud-Ouest'' ne demanderont pas

d'intégration dans l'un des départements situés au nord d'une ligne

joignant, à peu près, La Rochelle à Gap, via Nîmes.

Par conséquent, lors de la première phase du traitement par ordinateur

les

échanges nombre pour nombre entre les candidats du nord et ceux du sud

du

pays, ne sont réalisés que dans une faible proportion. C'est pourquoi

les

analystes chargés de l'application informatique ont été conduits, en

1979, à

s'orienter vers une logique de complémentation devant augmenter le

rendement

quantitatif des chaînes de traitement, sans pour autant dévier de façon

trop

importante des règles de base des permutations. D'où la mise en oeuvre

d'une

deuxième phase.

4.2.3. La deuxième phase

Les candidats non admis en première phase, participent tous à la

deuxième

phase du traitement ordinateur, à l'exception des conjoints liés

indissociablement.

La deuxième phase a été programmée de façon à atteindre au plus grand

nombre

possible de candidatures satisfaites. Mais le défaut de cette phase est

d'aboutir à des « permutations imparfaites », en ce sens que les

candidats

obtenant satisfaction n'ont pas, dans tous les cas, le barème le plus

élevé

au plan national.

Un seul département d'accueil, le premier dans l'ordre des voeux,

participe

à la deuxième phase du traitement informatique.

En deuxième phase, la technique est la suivante :

Tous les voeux n° 1 sont successivement testés par

rétro-interrogations. Dès

que les tests font apparaître une possibilité d'échange entre deux

candidats, la permutation s'opère sur les candidats dotés, l'un et

l'autre,

du barème le plus élevé AU NIVEAU DE LEUR DEPARTEMENT DE RATTACHEMENT.

En deuxième phase, par conséquent, il n'est plus tenu compte du barème

le

plus élevé au niveau national, contrairement à la technique de la

première

phase.

Exemple : un candidat ''A'', rattaché au département 006, doté d'un

barème

de 60 points, a demandé une permutation pour le département 004, ce

voeu

étant le 1er.

Parallèlement, un candidat "B", rattaché au département 004, doté d'un

barème de 55 points, a demandé une permutation pour le département 006,

ce

voeu étant également le 1er.

Chacun de ces deux candidats a, dans son département de rattachement,

le

barème le plus élevé parmi tous les candidats qui ont demandé, soit le

004,

soit le 006.

A cause de la situation géographique de ces deux départements de

l'extrême-sud (les statistiques sur les résultats en apportent la

preuve),

les tests de rétro-interrogations débouchent sur un échange direct

entre ces

deux candidats, dotés, l'un et l'autre, du barème le plus élevé dans

leur

département respectif de rattachement. Si l'on se borne à la logique

d'échanges nombre pour nombre entre deux départements EN VIS-A-VIS

DIRECT,

ce type de permutation résulte d'une combinaison linéaire simple, parmi

beaucoup d'autres combinaisons possibles.

En fait, l'analyse des résultats individuels (nombres de départs

rapprochés

des nombres d'arrivées, de départements de rattachement à départements

d'accueil) met en relief un ensemble de chaînages balayant

systématiquement,

en deuxième phase, la totalité des voeux n° 1 dans tous les

départements,

que ces derniers soient, ou non, en vis-à-vis direct. Ce n'est qu'en

fin de

chaînages que l'on doit retrouver l'égalité entre les départs et les

arrivées au niveau d'un même département : ce principe logique est

forcément

appliqué dans tous les cas de figure.

Cependant, il peut arriver qu'un candidat "C'', doté par exemple d'un

barème

de 150 points, appartenant à un département du nord ou de l'est, soit

également demandeur d'une permutation dans le département 004, ce voeu

étant

indicé ''P'', ET N'OBTIENNE PAS SATISFACTION.

Cette situation, très fréquente, soulève de nombreuses interrogations.

Le

paradoxe n'est pourtant qu'apparent, car, dans cet exemple qui reflète

la

quasi généralité des cas, aucun candidat rattaché à un département

méridional, que ce soit le 004 ou tout autre département ''attractif'',

n'a

sollicité une permutation pour un département du Nord ou de l'Est.

Sur la moyenne de 1980 à 1988, en effet :

- à peu près 85 % des candidatures sont exprimées à partir de

départements

situés au nord d'une ligne joignant La Rochelle à Gap, via Nîmes, à

destination d'un des vingt départements du Midi-Méditerranée ou du

''Grand

Sud 0uest'' ;

- moins de 1 % des candidatures sont exprimées à partir de départements

situés au sud de la ligne La Rochelle Gap via Nîmes, à destination d'un

des

quatre-vingts départements situés au nord de cette ligne ;

- le reste englobe les candidatures exprimées pour des départements

situés à

l'intérieur de la région géo-climatique même où les postulants sont en

fonction.

En 1988, le rendement de la deuxième phase du traitement par ordinateur

a

été de 2 485 admissions, sur un total de 2 704 pour l'ensemble des

trois

phases, soit 92 % d'admissions. Ce résultat, plus de vingt fois

supérieur à

celui de la première phase, se retrouve chaque année, à un ou deux

points

près.

4.2.4. La troisième phase

A l'issue des résultats des deux premières phases, on a constaté que,

pour

une centaine de candidats non admis, il était encore possible de

réaliser

des échanges nombre pour nombre. Ce reliquat de candidats non admis,

mais

cependant ''rattrapables'', s'analyse ainsi :

en deuxième phase, seul est traité le voeu n°1. Ensuite, les chaînages

ordinateur traitent la totalité des premiers voeux en

rétro-interrogations.

La troisième phase est déclenchée automatiquement, hors de toute saisie

à la

source d'informations spécifiques contenues dans une rubrique

particulière

de la fiche barème. Elle commence par un balayage d'un fichier de

manoeuvre

des candidats non admis à l'issue des deux premières phases, et

s'achève par

l'extraction des candidats en faveur desquels des ''croisements''

directs,

nombre pour nombre, apparaissent techniquement réalisables. Il n'est

donc

plus tenu compte, en troisième phase, de la logique qui mettait en

correspondance, pour réaliser des permutations, des voeux

réciproquement

n°1.

Il va de soi que, dans cette phase, la règle du barème le plus élevé

est

appliquée dans la sélection automatique des candidats à échanger. Cette

règle vaut également pour les conjoints liés de façon INDISSOCIABLE.

En effet, c'est le barème moyen lié du couple INDISSOCIABLE qui

constitue le

déterminant. Or ce critère de sélection informatique conduit à éliminer

systématiquement des candidats dotés individuellement d'un barème

inférieur

à celui d'un des conjoints liés (sur ce point, bien étudier le titre

4.3.2.3° ci-après).

Posté(e)

J'ai lu ton message Lilie...j'en arrive à me demander si j'en aurais assez de mes 146 points cette année :(

Posté(e)
J'ai lu ton message Lilie...j'en arrive à me demander si j'en aurais assez de mes 146 points cette année  :(

Mais si ;)

Je trouve au contraire ce message positif car il montre qu'il y a beaucoup de possibilités!

Posté(e)

Merci pour les infos. Je suis allée vour sur les sites des syndics et j'ai moins de points que prévu:

- le 2° enfant doit naître en février donc après la date max.

- l'éxéat de l'an dernier ne compte pas en ancienneté car je suis titulaire seulement depuis septembre

- le département est frontalier, donc je n'ai pas tous les points de rapprochement de conjoint

Je rage, et en plus on fait construire encore plus loin: ce sera encore 35 km à rajouter aux 125. L'aller-retour tous les jours va être chaud, surtout avec 2 enfants!!!!!!!!!!!

Posté(e)
Pike, où as-tu trouvé le barème pour savoir combien de points on a exactement. Je ne le trouve pas...

dans le BO de cette année! ;)

Merci

Au fait, c'est quoi la LOFL :wub:

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