corn Posté(e) 3 novembre 2005 Posté(e) 3 novembre 2005 Je peux répondre à Etoile et à la Petite Chocolatine. La dernière personne a être rentrée en Gironde avait 22 points mais elle a bénéficié de la deuxième phase des permutations informatiques et elle venait de Dordogne. Venant de la RP, j'ai peur que cela te prenne beaucoup plus de temps. Bénéficies-tu de rapprochement de conjoins ou autres ? Etoile, la dernière persone entrant en Dordogne avait elle aussi 22 points mais il y en a qu'une et elle venait de Corréze. Pour voir un peu ce qu'a donnée l'entrée en Dordogne l'année dernière, va jeter un coup d'oeil là. Comme l'a dit Lillie, d'une année sur l'autre ca peut changer. Bonne chance les filles et les mecs pour vos permuts. Corn
~didou~ Posté(e) 3 novembre 2005 Posté(e) 3 novembre 2005 Je voudrais quitter l'Indre et rentrer en Haute Vienne. L'an dernier, j'ai eu l'exéat mais pas l'inéat car j'étais PE sortante. J'avais pourtant le rapprochement de conjoint et un enfant. Cette année je vais avoir un autre enfant mais on m'a dit qu'avec la LOLF les muts interacadémiques étaient très dures à obtenir. Je ne savais pas qu'il y a avait 2 phases! Comment ça marche? On a donc 2 chances aux permuts onformatisées puis après les inéats-exéats si j'ai bien suivi. Est-ce que le fait d'être propriétaire peut avoir une incidence? Au niveau des départements, stratégiquement faut-il en choisir un ou plusieurs?
corn Posté(e) 3 novembre 2005 Posté(e) 3 novembre 2005 Salut Didou Alors pour les deux phases des permutations, on ne les distingue pas nous à notre niveau puisque le résultats est en même temps. La première phase consiste à satisfaire les gens avec le plus de baréme. La deuxième phase consiste à voir si parmi les gens qui restent on peut faire des échanges entre département. Ensuite les ineat/exeat qui n'ont rien à voir avec tout ca. Pour les départements, cela dépend ce que tu veux, si c'est vraiment la Haute-Vienne qui t'arrange, il ne faut demander que la Haute-Vienne. Si tu as des départements limitrophes qui t'interessent, tu peux les demander. Normalement vu ce que tu indiques, tu aurais un baréme entre 70 et 90 points. C'est déja pas mal. Le mieux est d'appeler les syndicats pour connaître le baréme d'entrée du département. (sachant que ca donne une idée mais que cela peut changer d'une année sur l'autre). Le fait d'être propriétaire ne change rien.
pike Posté(e) 3 novembre 2005 Posté(e) 3 novembre 2005 Je voudrais quitter l'Indre et rentrer en Haute Vienne. L'an dernier, j'ai eu l'exéat mais pas l'inéat car j'étais PE sortante. J'avais pourtant le rapprochement de conjoint et un enfant. Cette année je vais avoir un autre enfant mais on m'a dit qu'avec la LOLF les muts interacadémiques étaient très dures à obtenir.Je ne savais pas qu'il y a avait 2 phases! Comment ça marche? On a donc 2 chances aux permuts onformatisées puis après les inéats-exéats si j'ai bien suivi. Est-ce que le fait d'être propriétaire peut avoir une incidence? Au niveau des départements, stratégiquement faut-il en choisir un ou plusieurs? <{POST_SNAPBACK}> si tu es T1 tu as 22 points pour l'échelon 10 points pour ton 1er fils (le second doit etre né avant fin janvier pour compter) 60 points de séparation de conjoint (elle ne peut etre antérieure à la titularisation) et aucun point de renouvellement meme si tu avais fait une demande l'an dernier car tu étais non titulaire! soit un total de 92 points!
genireves Posté(e) 3 novembre 2005 Posté(e) 3 novembre 2005 Pike, où as-tu trouvé le barème pour savoir combien de points on a exactement. Je ne le trouve pas...
pike Posté(e) 3 novembre 2005 Posté(e) 3 novembre 2005 Pike, où as-tu trouvé le barème pour savoir combien de points on a exactement. Je ne le trouve pas... <{POST_SNAPBACK}> dans le BO de cette année! va voir là: http://www.education.gouv.fr/bo/2005/36/MENP0502063N.htm
lilie2fr Posté(e) 3 novembre 2005 Posté(e) 3 novembre 2005 La LOLF intervient sur les ineats/exeats mais "peu" sur les permutations. Le fait d'être propriétaire ne change rien du tout. Voilà ce qu'on m'avait expliqué au niveau des syndicats: 4.2. Le traitement par ordinateur en trois phasesLes trois phases séquentielles du traitement des candidatures aux permutations sont analysées ci-après. 4.2.1. Rappel ''historique'' L'actuel système de sélection électronique des candidats à la permutation a été conçu et mis au point en 1979. L'un des objectifs assignés aux analystes était alors d'accroître le nombre de candidats satisfaits, sans pour autant déroger aux règles des permutations. Dans ce but, des recherches de logiciels nouveaux de permutations ont été confiées à des ingénieurs mathématiciens spécialisés dans le domaine des applications informatiques de gestion. Les résultats de ces travaux théoriques ont été analysés, en collaboration avec les organisations syndicales membres de la C.A.P. Nationale, entre octobre 1983 et février 1984. Ces résultats ont été comparés à ceux des applications réelles de 1983 et 1984. De ces comparaisons, il est ressorti que, des points de vue des nombres d'admissions et de la qualité individuelle des permutations, au système actuel ne peut être substitué un système plus performant, en tout cas dans un rapport tel que les résultats des permutations en soient améliorés de façon sensible. Par conséquent, les opérations informatisées des permutations se déroulent en fonction des logiciels préexistants, à une variante près depuis 1985. En effet, le système informatisé comporte, depuis cette date, trois phases automatisées au lieu des deux précédentes, ces trois phases se déroulant séquentiellement dans la même unité de traitement ordinateur. 4.2.2. La première phase Les candidats sont d'abord triés par ordre d'importance de leur barème au plan national. Le candidat ''A'', qui est doté du barème le plus élevé, est alors extrait du fichier et chacun des voeux qu'il a formulés (dans l'ordre, de 1 à 6) est testé quant aux possibilités d'accueil. Par accueil possible, il convient ici d'entendre l'échange nombre pour nombre entre le candidat "A" et un candidat ''B'', ce dernier étant en exercice dans l'un des départements qui ont été sollicités par le candidat ''A''. Pour que la permutation électronique soit réalisée, il est donc nécessaire : 1° que le candidat ''B'' ait réciproquement sollicité une intégration dans le département de départ du candidat ''A'', de telle sorte qu'il y ait effectivement un échange nombre pour nombre ; 2° que le candidat ''B'' soit, à son tour, doté du barème le plus élevé au plan national, parmi tous les autres candidats potentiels à l'accueil dans le département d'origine du candidat ''A'', ces candidats potentiels provenant de départements autres que celui du candidat "B", c'est-à-dire de 100 départements moins 2. La première phase du traitement actuel par ordinateur consiste donc à donner satisfaction aux candidats, en fonction du barème le plus élevé au plan national. Elle caractérise une logique de ''permutation parfaite", en ce sens qu'elle permet des chaînages répétitifs sur six voeux dans l'ordre de leur formulation et sur le barème maximum au plan national. Toutefois, étant donné que, dans un rapport voisin de 85 %, les candidatures aux permutations traduisent une tendance migratoire ces enseignants - du nord comme du sud de la Loire, d'ailleurs - à destination des quelque vingt départements du Midi-Méditerranée et du « grand sud-ouest », il est inévitable que la première phase du traitement informatique aboutisse à des résultats quantitativement très réduits. Ainsi, en 1988, sur un total de 2704 candidats obtenant leur permutation, seulement 119 (4,40 %) ont été permutés lors de la première phase. Or, ce pourcentage de permutés lors de la première phase ne pourra pas être amélioré aussi longtemps que les enseignants en poste dans un département du ''Midi-Méditerranée'' ou du ''Grand-Sud-Ouest'' ne demanderont pas d'intégration dans l'un des départements situés au nord d'une ligne joignant, à peu près, La Rochelle à Gap, via Nîmes. Par conséquent, lors de la première phase du traitement par ordinateur les échanges nombre pour nombre entre les candidats du nord et ceux du sud du pays, ne sont réalisés que dans une faible proportion. C'est pourquoi les analystes chargés de l'application informatique ont été conduits, en 1979, à s'orienter vers une logique de complémentation devant augmenter le rendement quantitatif des chaînes de traitement, sans pour autant dévier de façon trop importante des règles de base des permutations. D'où la mise en oeuvre d'une deuxième phase. 4.2.3. La deuxième phase Les candidats non admis en première phase, participent tous à la deuxième phase du traitement ordinateur, à l'exception des conjoints liés indissociablement. La deuxième phase a été programmée de façon à atteindre au plus grand nombre possible de candidatures satisfaites. Mais le défaut de cette phase est d'aboutir à des « permutations imparfaites », en ce sens que les candidats obtenant satisfaction n'ont pas, dans tous les cas, le barème le plus élevé au plan national. Un seul département d'accueil, le premier dans l'ordre des voeux, participe à la deuxième phase du traitement informatique. En deuxième phase, la technique est la suivante : Tous les voeux n° 1 sont successivement testés par rétro-interrogations. Dès que les tests font apparaître une possibilité d'échange entre deux candidats, la permutation s'opère sur les candidats dotés, l'un et l'autre, du barème le plus élevé AU NIVEAU DE LEUR DEPARTEMENT DE RATTACHEMENT. En deuxième phase, par conséquent, il n'est plus tenu compte du barème le plus élevé au niveau national, contrairement à la technique de la première phase. Exemple : un candidat ''A'', rattaché au département 006, doté d'un barème de 60 points, a demandé une permutation pour le département 004, ce voeu étant le 1er. Parallèlement, un candidat "B", rattaché au département 004, doté d'un barème de 55 points, a demandé une permutation pour le département 006, ce voeu étant également le 1er. Chacun de ces deux candidats a, dans son département de rattachement, le barème le plus élevé parmi tous les candidats qui ont demandé, soit le 004, soit le 006. A cause de la situation géographique de ces deux départements de l'extrême-sud (les statistiques sur les résultats en apportent la preuve), les tests de rétro-interrogations débouchent sur un échange direct entre ces deux candidats, dotés, l'un et l'autre, du barème le plus élevé dans leur département respectif de rattachement. Si l'on se borne à la logique d'échanges nombre pour nombre entre deux départements EN VIS-A-VIS DIRECT, ce type de permutation résulte d'une combinaison linéaire simple, parmi beaucoup d'autres combinaisons possibles. En fait, l'analyse des résultats individuels (nombres de départs rapprochés des nombres d'arrivées, de départements de rattachement à départements d'accueil) met en relief un ensemble de chaînages balayant systématiquement, en deuxième phase, la totalité des voeux n° 1 dans tous les départements, que ces derniers soient, ou non, en vis-à-vis direct. Ce n'est qu'en fin de chaînages que l'on doit retrouver l'égalité entre les départs et les arrivées au niveau d'un même département : ce principe logique est forcément appliqué dans tous les cas de figure. Cependant, il peut arriver qu'un candidat "C'', doté par exemple d'un barème de 150 points, appartenant à un département du nord ou de l'est, soit également demandeur d'une permutation dans le département 004, ce voeu étant indicé ''P'', ET N'OBTIENNE PAS SATISFACTION. Cette situation, très fréquente, soulève de nombreuses interrogations. Le paradoxe n'est pourtant qu'apparent, car, dans cet exemple qui reflète la quasi généralité des cas, aucun candidat rattaché à un département méridional, que ce soit le 004 ou tout autre département ''attractif'', n'a sollicité une permutation pour un département du Nord ou de l'Est. Sur la moyenne de 1980 à 1988, en effet : - à peu près 85 % des candidatures sont exprimées à partir de départements situés au nord d'une ligne joignant La Rochelle à Gap, via Nîmes, à destination d'un des vingt départements du Midi-Méditerranée ou du ''Grand Sud 0uest'' ; - moins de 1 % des candidatures sont exprimées à partir de départements situés au sud de la ligne La Rochelle Gap via Nîmes, à destination d'un des quatre-vingts départements situés au nord de cette ligne ; - le reste englobe les candidatures exprimées pour des départements situés à l'intérieur de la région géo-climatique même où les postulants sont en fonction. En 1988, le rendement de la deuxième phase du traitement par ordinateur a été de 2 485 admissions, sur un total de 2 704 pour l'ensemble des trois phases, soit 92 % d'admissions. Ce résultat, plus de vingt fois supérieur à celui de la première phase, se retrouve chaque année, à un ou deux points près. 4.2.4. La troisième phase A l'issue des résultats des deux premières phases, on a constaté que, pour une centaine de candidats non admis, il était encore possible de réaliser des échanges nombre pour nombre. Ce reliquat de candidats non admis, mais cependant ''rattrapables'', s'analyse ainsi : en deuxième phase, seul est traité le voeu n°1. Ensuite, les chaînages ordinateur traitent la totalité des premiers voeux en rétro-interrogations. La troisième phase est déclenchée automatiquement, hors de toute saisie à la source d'informations spécifiques contenues dans une rubrique particulière de la fiche barème. Elle commence par un balayage d'un fichier de manoeuvre des candidats non admis à l'issue des deux premières phases, et s'achève par l'extraction des candidats en faveur desquels des ''croisements'' directs, nombre pour nombre, apparaissent techniquement réalisables. Il n'est donc plus tenu compte, en troisième phase, de la logique qui mettait en correspondance, pour réaliser des permutations, des voeux réciproquement n°1. Il va de soi que, dans cette phase, la règle du barème le plus élevé est appliquée dans la sélection automatique des candidats à échanger. Cette règle vaut également pour les conjoints liés de façon INDISSOCIABLE. En effet, c'est le barème moyen lié du couple INDISSOCIABLE qui constitue le déterminant. Or ce critère de sélection informatique conduit à éliminer systématiquement des candidats dotés individuellement d'un barème inférieur à celui d'un des conjoints liés (sur ce point, bien étudier le titre 4.3.2.3° ci-après).
Lou Posté(e) 3 novembre 2005 Auteur Posté(e) 3 novembre 2005 J'ai lu ton message Lilie...j'en arrive à me demander si j'en aurais assez de mes 146 points cette année
lilie2fr Posté(e) 3 novembre 2005 Posté(e) 3 novembre 2005 J'ai lu ton message Lilie...j'en arrive à me demander si j'en aurais assez de mes 146 points cette année <{POST_SNAPBACK}> Mais si Je trouve au contraire ce message positif car il montre qu'il y a beaucoup de possibilités!
~didou~ Posté(e) 3 novembre 2005 Posté(e) 3 novembre 2005 Merci pour les infos. Je suis allée vour sur les sites des syndics et j'ai moins de points que prévu: - le 2° enfant doit naître en février donc après la date max. - l'éxéat de l'an dernier ne compte pas en ancienneté car je suis titulaire seulement depuis septembre - le département est frontalier, donc je n'ai pas tous les points de rapprochement de conjoint Je rage, et en plus on fait construire encore plus loin: ce sera encore 35 km à rajouter aux 125. L'aller-retour tous les jours va être chaud, surtout avec 2 enfants!!!!!!!!!!!
genireves Posté(e) 3 novembre 2005 Posté(e) 3 novembre 2005 Pike, où as-tu trouvé le barème pour savoir combien de points on a exactement. Je ne le trouve pas... <{POST_SNAPBACK}> dans le BO de cette année! Merci Au fait, c'est quoi la LOFL
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