Fran Posté(e) 21 mai 2006 Posté(e) 21 mai 2006 Après si un PE ne croit pas en le "Big-Bang" alors je veux bien qu'il m'explique comment il fait pour expliquer un phénomène en lequel il ne croit pas... Ben voilà, c'était le sens de la question, comme quoi elle n'est pas si limite... Je ne suis pas sure d'être sur la même longueur d'onde. le big bang il n'y a pas , a mon point de vue à y croire ou pas...pour l'enseigner tout au moins...Cela me dérange de mettre sur le même plan sciences et croyance. Il y a des théories explicatives...ce n'est quand même pas la même chose que des croyances. Dans un autre domaine cela reviendrait à mettre sur le même plan la reproduction à un sens biologique du terme et les cigognes... A force de penser que tout est relatif on met religion sciences et philosophie sur la même ligne...Et pour moi ce n'est pas pareil! Mais je continue à penser que les croyances religieuses fortes sont un frein à un enseignement des faits scientifiques ... Dire les croyances religieuses qui existent est extrêmement compliqué pour un PE. Si l'on veut être laïque il faudrait connaître toutes les positions des religions sur un fait scientifique. Cela me semble impossible. D'ailleurs l'enseignement du fait religieux à l'école me semble extrêmement périlleux. Et l'on voit souvent que l'enseignant qui le fait se réfère implicitement à une religion ( voir l'enseignement de l'histoire en secondaire..) Fran:) Mais je partage ton avis à 100% Fran. Je pense que si vraiment on a une croyance qui soit contraire à des faits enseignés ( comme les Témoins de Jéhovah par exemple) alors on ne peut pas choisir de faire PE...c'est comme si je ne supportait pas la vue du sang et que je voulais passer le concours infirmière, cela me parait illogique... En tous cas je ne vois pas enseigner quelquechose qui soit fortement contraire à mes idées... Ceci dit, comme je l'ai dit ci-dessus, les 3 dogmes du christiannisme ne sont pas antinomiques avec le fait d'enseigner car dans les programmes à aucun moment il n'est fait référence explicitement ou implicitement à ceux-ci (enfin je crois ) De toutes façons avoir une croyance forte en quelquechose ( que ce soit religieux, politique...) ne doit pas être facile à moins soit de mettre un mouchoir sur ses idées, soit de ne pas enseigner de façon neutre. A moins de faire preuve d'une tolérance exceptionnelle... Tout a fait!!! Au fait c'est quoi les 3 dogmes , j'ai la flemme de faire la recherche , fais la nous partager!! Fran:)
Anwamanë Posté(e) 21 mai 2006 Posté(e) 21 mai 2006 DOGMES DU CHRISTIANISMEUn dogme est une vérité établie par une Eglise et qui fait article de foi, cette vérité étant établie en conformité avec la Bible. Une personne d'une Eglise ne reconnaissant pas un de ses dogmes, n'est pas reconnu comme appartenant à cette Eglise. Sur Dieu : - la Trinité Sur le Christ : - "vrai Dieu et vrai homme" (institué en 451 au Concile de Chalcédoine) Sur Marie (mère de Jésus) : - Mère de Dieu (institué en 431 au Concile d'Ephèse)
Anwamanë Posté(e) 21 mai 2006 Posté(e) 21 mai 2006 Doutant de la définition du mot "dogme" j'ai fouiné... Et aussi curieux que cela puisse paraitre, la création de l'Univers par Dieu n'est pas un dogme du christiannisme. Et si on regarde bien les 3 dogmes du christiannisme ne sont pas incompatibles avec 'enseignement dans les écoles de la république car à aucun moment on n'a besoin de parler de ceux-ci ( "programmement parlant j'entends). Un dogme est une vérité absolue, dont on ne peut douter, sans que soit remise en cause son appartenance à une religion. Après une personne peut se dire croyante même si l'Eglise ne le reconnait pas en tant que tel... J'ai mal à la tête :P A ce stade, ne jouons pas sur les mots, c'était évidemment dans le sens premier dogme n. m. 1. Principe établi; enseignement reçu et servant de règle de croyance, de fondement à une doctrine. Le dogme de la Trinité. Dogme philosophique, politique. Mais euh ! :P Je ne jouais pas sur les mots mais n'était vraiment plus sûre de la définition
Anwamanë Posté(e) 21 mai 2006 Posté(e) 21 mai 2006 DOGMES DE L'ISLAM Existe-t-il une liste exhaustive des dogmes de l'islam ? Voici du moins les plus importants : - l'unicité (tawhid) de Dieu (Allah), dont le musulman témoigne dans leur profession de foi (chahâda) - les anges - les Écritures saintes (le Coran, mais également la Torah, les Psaumes, et l’Evangile...) - les messagers de Dieu (Mahomet et tous les prophètes reconnus par l'islam [dossier islam]) - le jour du Jugement Dernier - le bien et le mal http://portail-religion.com/FR/encyclopedi...dogme/index.php
Fran Posté(e) 21 mai 2006 Posté(e) 21 mai 2006 Dogme musulman: 1 - Le dogme Le dogme musulman s’exprime dans un certain nombre de formules coraniques. La plus simple est la profession de foi en Dieu Un et en Mohammad, l’Envoyé de Dieu. Un verset du Coran plus complet distingue cinq points du dogme, auquel on a coutume d’ajouter un sixième : 1. Foi en Dieu Unique et Tout-Puissant. 2. Foi dans les Anges, spécialement Gabriel, ..... 3. Foi dans les Livres Sacrés révélés aux hommes de la part de Dieu par les Envoyés de Dieu. Le musulman croit ainsi à la Torah, aux Psaumes, à l’Evangile, et au Coran. En pratique, seule la foi au Coran a de l’importance – car il affirme que les autres livres ont été manipulés, et ne sont pas sûrs. Seul le Coran est sûr : il suffit au musulman. Une telle position rejetant pratiquement nos Ecritures a marqué d’un poids très lourd les relations islamo-chrétiennes. 4. Foi dans l’envoi par Dieu de prophètes. Ces envoyés apportent aux hommes des messages, les plus grands apportent des livres révélés. Jusqu’ici, la théorie de la révélation affirme que les livres ont été transmis intégralement du ciel, le prophète n’ayant aucun rôle à jouer dans sa rédaction. Ces prophètes-envoyés se distinguent des simples prophètes inspirés ou Nabis, qui, eux, sont très nombreux (124 000 d’après une tradition). L’Islam reconnaît comme prophètes-envoyés les grands noms de la Bible : Adam, Noé, Abraham, Isaac, Ismaël, Jacob, Joseph, Moïse, David, Salomon, Jésus, etc… mais ils ont un visage musulman, étant au service de l’Islam qu’ils annoncent et préfigurent. Jésus dans le Coran a fort peu de traits qui correspondent à ceux de nos évangiles : c’est un tout autre personnage, mobilisé au service de l’Islam. L’Islam a besoin de lui pour lui faire prédire la future venue de Mohammad. En revanche, des prophètes comme Isaïe, Jérémie, Ezéchiel sont quasiment inconnus de l’Islam. L’Islam insiste beaucoup sur la prophétie et les prophètes en vue d’exalter Mohammad, présenté comme prédit par les autres prophètes. En fait, c’est Mohammad qui est au centre de l’histoire, c’est lui qui est au centre du Coran. C’est sa personne qui domine tout dans l’Islam. Aussi ne s’étonnera-t-on pas de voir avec quelle ferveur et quelle dévotion les musulmans pensent à lui, le louent et l’aiment. La fête de sa naissance, au cours du 3ème mois de l’année (le 12 Rabi’ al-Awwel) est une des plus populaires du cycle liturgique. 5. Les fins dernières. Jugement, ciel et enfer. Le ciel est représenté comme le paradis qu’une secte, celle des millénaristes, annonçait durant les premiers siècles de l’histoire de l’Eglise. Ce bonheur était caractérisé par des plaisirs sensuels avec des houris, ces beautés dont jouiront les élus, etc… dans un cadre vertueux d’épicurisme dévot. Certains textes musulmans médiévaux sur le paradis sont d’une crudité insupportable aujourd’hui, avec des vierges déflorées dont la virginité est sans cesse recréée, etc… Il est certain que la sexualité est envisagée dans l’Islam sous un angle très différent de l’angle chrétien : il est bon de ne pas l’oublier. Une étude sur ce sujet a été faite par un musulman tunisien, il y a quelques années. Cependant n’oublions pas non plus que, pour une minorité de musulmans plus spirituels, la description des joies du paradis est avant tout le symbole d’autres joies indicibles ; et, pour tous les théologiens, les descriptions des réalités de l’au-delà ne peuvent être qu’imparfaites, approximatives. Il est aussi certain que le sommet du bonheur au paradis est d’être satisfait de Dieu tout en étant l’objet des satisfactions divines. « O toi, âme en paix, Reviens vers ton Seigneur, Satisfaite de Lui et Lui de toi. Entre au milieu de mes serviteurs ; entre dans mon paradis. » (Coran 89, 27-30) Quant à l’enfer, il est décrit avec des images classiques de l’apocalyptique judéo-chrétienne : feu, fumée, démons, tourments, etc… Ciel et enfer sont éternels ; mais un musulman qui a au cœur un atome de foi ne restera pas éternellement dans l’enfer. Le seul vrai péché mortel est de n’être pas musulman. Cependant les théologiens admettent des circonstances atténuantes pour les non-musulmans qui sont de bonne foi ; Dieu ne les condamnera pas forcément : l’affaire est remise à sa miséricorde. Mais une masse de musulmans fondamentalistes ou d’esprit plus étroit n’ont pas cette largeur de vues. 6. La foi dans le décret de Dieu pour le doux et pour l’amer. Il s’agit d’admettre de bon cœur le sort que Dieu a décidé pour chacun. Cette attitude est cultivée par l’éducation, enseignant à chacun à être satisfait de ce qui lui arrive. Les modernes, malgré tout, rappellent à l’homme le devoir qui lui incombe d’agir, et ils s’opposent au fatalisme dans la mesure où s’ouvrent des perspectives d’action. Mais pour tout ce qui nous arrive et ne dépend pas de notre volonté, la règle est d’y voir le décret de Dieu, de se soumettre, et d’adorer. Ce dogme, extrêmement simple, est redit sans cesse au musulman – d’abord par les récitations continuelles du Coran, qui ont lieu à toute occasion et auxquelles souvent les obligations sociales font un devoir d’assister, ensuite par des formules utilisées dans la vie courante. Enfin, les grandes obligations religieuses qui incombent personnellement au musulman sont l’expression de cette foi. Il n’y a pas d’hiatus entre le dogme et la vie. Le dogme de la toute-puissance de Dieu, créateur et maître de l’Univers, est à la base de toute prière : la profonde unité qui existe entre le dogme et la prière est certainement un facteur de force pour l’Islam. Tiré de : http://biblio.domuni.org/cours/sce_rel/isl...m_jomier-04.htm
Anwamanë Posté(e) 21 mai 2006 Posté(e) 21 mai 2006 LOL On a ecrit en même temps!! Fran:) Ce post est passionnant...tous les soirs je me couche moins bête ! ( qui a dit qu'il n'y avait pas de mal <_< :P )
un_sourire Posté(e) 21 mai 2006 Posté(e) 21 mai 2006 Personnellement, je ne pense pas qu'on puisse être toujours à 100 % d'accord avec ce qu'on enseigne. C'est valable du point de vu religieux, mais c'est aussi valable du point de vue politique. Par exemple, la partie sur le colonialisme , dans les manuels scolaires, me fait souvent bondir. Je ne pourrai jamais dire à mes élèves que le colonialisme a eu des côtés positifs, mais je ne pourrai pas non plus dire ce que j'en pense réellement, à savoir que c'est une pure bêtise!!!! Tout comme Bonaparte, perso, je ne peux pas le blairer, pour la seule et unique raison qu'il ait rétabli l'esclavage et pourtant, il faudra bien qu'en classe, je fasse abstraction de mes sentiments pour dire ce qu'il a fait de bien et les héritages qu'il a laissé! La deuxième guerre mondiale et la shoah, je ne comprends pas pourquoi on dit que la shoah est un crime contre l'humanité alors que pour les autres génocides, ce sont de simples génocides... Et pourtant, aurai-je le choix d'exprimer librement mes opinions en classe? Non, car g un devoir de réserve! Les programmes sont là pour nous dire quoi apprendre et souvent, comment le faire. Bien sûr, il y a une large part de liberté, mais notre morale de PE, je l'espère, nous interdira d'en profiter pour y faire passer nos idées politiques ou religieuses... A partir de là, je crois qu'un PE ce n'est pas un athé sans conviction politique, mais une personne profondément instruite et ouverte aux autres capable de sortir de son contexte socio-politico-religieux pour apporter un enseignement riche et le plus neutre possible.
un_sourire Posté(e) 21 mai 2006 Posté(e) 21 mai 2006 Dogme musulman:1 - Le dogme Le dogme musulman s’exprime dans un certain nombre de formules coraniques. La plus simple est la profession de foi en Dieu Un et en Mohammad, l’Envoyé de Dieu. Un verset du Coran plus complet distingue cinq points du dogme, auquel on a coutume d’ajouter un sixième : 1. Foi en Dieu Unique et Tout-Puissant. 2. Foi dans les Anges, spécialement Gabriel, ..... 3. Foi dans les Livres Sacrés révélés aux hommes de la part de Dieu par les Envoyés de Dieu. Le musulman croit ainsi à la Torah, aux Psaumes, à l’Evangile, et au Coran. En pratique, seule la foi au Coran a de l’importance – car il affirme que les autres livres ont été manipulés, et ne sont pas sûrs. Seul le Coran est sûr : il suffit au musulman. Une telle position rejetant pratiquement nos Ecritures a marqué d’un poids très lourd les relations islamo-chrétiennes. 4. Foi dans l’envoi par Dieu de prophètes. Ces envoyés apportent aux hommes des messages, les plus grands apportent des livres révélés. Jusqu’ici, la théorie de la révélation affirme que les livres ont été transmis intégralement du ciel, le prophète n’ayant aucun rôle à jouer dans sa rédaction. Ces prophètes-envoyés se distinguent des simples prophètes inspirés ou Nabis, qui, eux, sont très nombreux (124 000 d’après une tradition). L’Islam reconnaît comme prophètes-envoyés les grands noms de la Bible : Adam, Noé, Abraham, Isaac, Ismaël, Jacob, Joseph, Moïse, David, Salomon, Jésus, etc… mais ils ont un visage musulman, étant au service de l’Islam qu’ils annoncent et préfigurent. Jésus dans le Coran a fort peu de traits qui correspondent à ceux de nos évangiles : c’est un tout autre personnage, mobilisé au service de l’Islam. L’Islam a besoin de lui pour lui faire prédire la future venue de Mohammad. En revanche, des prophètes comme Isaïe, Jérémie, Ezéchiel sont quasiment inconnus de l’Islam. L’Islam insiste beaucoup sur la prophétie et les prophètes en vue d’exalter Mohammad, présenté comme prédit par les autres prophètes. En fait, c’est Mohammad qui est au centre de l’histoire, c’est lui qui est au centre du Coran. C’est sa personne qui domine tout dans l’Islam. Aussi ne s’étonnera-t-on pas de voir avec quelle ferveur et quelle dévotion les musulmans pensent à lui, le louent et l’aiment. La fête de sa naissance, au cours du 3ème mois de l’année (le 12 Rabi’ al-Awwel) est une des plus populaires du cycle liturgique. 5. Les fins dernières. Jugement, ciel et enfer. Le ciel est représenté comme le paradis qu’une secte, celle des millénaristes, annonçait durant les premiers siècles de l’histoire de l’Eglise. Ce bonheur était caractérisé par des plaisirs sensuels avec des houris, ces beautés dont jouiront les élus, etc… dans un cadre vertueux d’épicurisme dévot. Certains textes musulmans médiévaux sur le paradis sont d’une crudité insupportable aujourd’hui, avec des vierges déflorées dont la virginité est sans cesse recréée, etc… Il est certain que la sexualité est envisagée dans l’Islam sous un angle très différent de l’angle chrétien : il est bon de ne pas l’oublier. Une étude sur ce sujet a été faite par un musulman tunisien, il y a quelques années. Cependant n’oublions pas non plus que, pour une minorité de musulmans plus spirituels, la description des joies du paradis est avant tout le symbole d’autres joies indicibles ; et, pour tous les théologiens, les descriptions des réalités de l’au-delà ne peuvent être qu’imparfaites, approximatives. Il est aussi certain que le sommet du bonheur au paradis est d’être satisfait de Dieu tout en étant l’objet des satisfactions divines. « O toi, âme en paix, Reviens vers ton Seigneur, Satisfaite de Lui et Lui de toi. Entre au milieu de mes serviteurs ; entre dans mon paradis. » (Coran 89, 27-30) Quant à l’enfer, il est décrit avec des images classiques de l’apocalyptique judéo-chrétienne : feu, fumée, démons, tourments, etc… Ciel et enfer sont éternels ; mais un musulman qui a au cœur un atome de foi ne restera pas éternellement dans l’enfer. Le seul vrai péché mortel est de n’être pas musulman. Cependant les théologiens admettent des circonstances atténuantes pour les non-musulmans qui sont de bonne foi ; Dieu ne les condamnera pas forcément : l’affaire est remise à sa miséricorde. Mais une masse de musulmans fondamentalistes ou d’esprit plus étroit n’ont pas cette largeur de vues. 6. La foi dans le décret de Dieu pour le doux et pour l’amer. Il s’agit d’admettre de bon cœur le sort que Dieu a décidé pour chacun. Cette attitude est cultivée par l’éducation, enseignant à chacun à être satisfait de ce qui lui arrive. Les modernes, malgré tout, rappellent à l’homme le devoir qui lui incombe d’agir, et ils s’opposent au fatalisme dans la mesure où s’ouvrent des perspectives d’action. Mais pour tout ce qui nous arrive et ne dépend pas de notre volonté, la règle est d’y voir le décret de Dieu, de se soumettre, et d’adorer. Ce dogme, extrêmement simple, est redit sans cesse au musulman – d’abord par les récitations continuelles du Coran, qui ont lieu à toute occasion et auxquelles souvent les obligations sociales font un devoir d’assister, ensuite par des formules utilisées dans la vie courante. Enfin, les grandes obligations religieuses qui incombent personnellement au musulman sont l’expression de cette foi. Il n’y a pas d’hiatus entre le dogme et la vie. Le dogme de la toute-puissance de Dieu, créateur et maître de l’Univers, est à la base de toute prière : la profonde unité qui existe entre le dogme et la prière est certainement un facteur de force pour l’Islam. Tiré de : http://biblio.domuni.org/cours/sce_rel/isl...m_jomier-04.htm C'est exactement ça :P !!
Anwamanë Posté(e) 21 mai 2006 Posté(e) 21 mai 2006 En dehors du colonialisme où je te suis à 100% et d'ailleurs la loi est actuellement remise en cause et d'ailleurs beaucoup de PE étaient prêts à boycotter ce point du programme Pour le reste il s'agit de point de vue...tu ne remets pas en cause des faits historiques, scientifiques... Tu n'aimes pas Bonaparte, mais les programmes ne te disent pas de le louer...tu énonces des faits... Tu vois ce que je veux dire ?
un_sourire Posté(e) 21 mai 2006 Posté(e) 21 mai 2006 En dehors du colonialisme où je te suis à 100% et d'ailleurs la loi est actuellement remise en cause et d'ailleurs beaucoup de PE étaient prêts à boycotter ce point du programme Pour le reste il s'agit de point de vue...tu ne remets pas en cause des faits historiques, scientifiques... Tu n'aimes pas Bonaparte, mais les programmes ne te disent pas de le louer...tu énonces des faits... Tu vois ce que je veux dire ? Je sais bien, loin de moi l'idée de faire du révisionnisme, c'est juste que c'est difficile de parler de quelqu'un que tu n'aimes pas sans le montrer ! D'ailleurs , bizarrement, ce serait plus difficlie pour moi de parler de bonaparte ou du colonialisme que des origines de la vie version darwin ! Peut-être parce que g grandi moi-même avec ces théories et qu'elles font partie de ma culture, même si je ne les cautionne pas! Alors que bonaparte et le colonialisme, c'est en grandissant que je me suis forgé une autre idée que celle de l'école!!
Anwamanë Posté(e) 21 mai 2006 Posté(e) 21 mai 2006 Je sais bien, loin de moi l'idée de faire du révisionnisme, c'est juste que c'est difficile de parler de quelqu'un que tu n'aimes pas sans le montrer ! Loin de moi l'idée de penser cela ( à propos du révisionnisme) Mais comme tu le dis toi-même : A partir de là, je crois qu'un PE ce n'est pas un athé sans conviction politique, mais une personne profondément instruite et ouverte aux autres capable de sortir de son contexte socio-politico-religieux pour apporter un enseignement riche et le plus neutre possible.
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