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cherche poésie sur l'environnement


aline57

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Naturellement : anthologie de poèmes sur la nature

Jean-Marie Henry

Images de Yan Thomas

Préface de Hubert Reeves :wub::wub:

chez Rue du monde

Précises moi ce que tu veux et ton niveau de classe je peux peut-être t'en copier un!

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c'est pr des ce2, et j'accepte ta proposition parce que c'est pour demain

c'est parce qu'on va aborder l'environnement, les déchets dans la nature, suite à l'opération nettoyons la nature

merci d'avance

aline

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Apprenez à ne pas détruire

Apprennez à ne pas détruire

ni l'air ni l 'eau ni la terre

sans quoi s'efface le rire

que vous promet leur mystère.

Jean-Claude Renard

Tant de forêts

Tant de forêts arrachées à la terre

et massacrées

achevées

rotativées

Tant de forêts sacrifiées

pour la pâte à papier

des milliards de journaux

attirant annuellement

l'attention des lecteurs

sur les dangers du déboisement

des bois et des forêts

Jacques Prévert

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Naturellement : anthologie de poèmes sur la nature

Jean-Marie Henry

Images de Yan Thomas

Préface de Hubert Reeves :wub::wub:

chez Rue du monde

Précises moi ce que tu veux et ton niveau de classe je peux peut-être t'en copier un!

Bonjour! :D

J'aimerais bien en avoir une pour mes CM2 !! Nous travaillons justement avec les collègues sur le développement durable et envisageons un nettoyage de site! Merci ! :wub:

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  • 4 mois plus tard...

Un petit Up !!

Est-ce que l'une d'entre vous pourrait me donner une poésie sur le thème del'environnement, l'eau etc à travailler avec mes CM2 ?

meric par avance

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Un petit Up !!

Est-ce que l'une d'entre vous pourrait me donner une poésie sur le thème del'environnement, l'eau etc à travailler avec mes CM2 ?

meric par avance

Le premier poétesà s'être soucié de la nature, c'est Ronsard, tu as le poème "contre les bucherons de la forêt de gastine".

Ecoute, Bûcheron, arrête un peu le bras!

Ce ne sont pas des bois que tu jettes à bas:

Ne vois-tu pas le sang, lequel dégoutte à force

Des Nymphes qui vivaient dessous la duré écorce?

Sacrilège meurtrier, si on pend un voleur

Pour piller un butin de bien peu de valeur,

Combien de feux, de fers, de morts et de détresses

Mérites-tu, méchant, pour tuer des Déesses?

Forêt, haute maison des oiseaux bocagers,

Plus le cerf solitaire et les chevreuils légers

Ne paîtront sous ton ombre, et ta verte crinière

Plus du soleil d'été ne rompra la lumière,

Plus l'amoureux pasteur sur un tronc adossé,

Enflant son flageolet à quatre trous percé,

Son mâtin à ses pieds, à son flanc sa houlette,

Ne dira plus l'ardeur de sa belle Janette.

Tout deviendra muet; Echo sera sans voix;

Tu deviendras campagne et, en lieu de tes bois,

Dont l'ombrage incertain lentement se remue,

Tu sentiras le soc, le coutre et la charrue;

Tu perdras ton silence, et haletants d'effroi

Ni Satyres ni Pans ne viendront plus chez toi.

Adieu, vieille forêt, le jouet de Zéphyre,

Où premier j'accordai les langues de ma lyre,

Où premier j'entendis les flèches résonner

D'Apollon, qui me vint tout le coeur étonner;

Où premier admirant la belle Calliope,

Je devins amoureux de sa neuvaine trope,

Quand sa main sur le front cent roses me jeta

Et de son propre lait Euterpe m'allaita.

Adieu, vieille forêt, adieu têtes sacrées,

De tableaux et de fleurs autrefois honorées,

Maintenant le dédain des passants altérés,

Qui, brûlez en été des rayons éthérés,

Sans plus trouver le frais de tes douces verdures,

Accusent vos meurtriers et leur disent injures.

Adieu, chênes, couronne aux vaillants citoyens,

Arbres de Jupiter, germes Dodonéens,

Qui premiers aux humains donnâtes à repaître!

Peuples vraiment ingrats, qui n'ont su reconnaître

Les biens reçus de vous, peuples vraiment grossiers

De massacrer ainsi nos pères nourriciers!

Que l'homme est malheureux qui au monde se fie!

O Dieux, que véritable est la Philosophie

Qui dit que toute chose à la fin périra

Et qu'en changeant de forme une autre vêtira;

De Tempé la vallée un jour sera montagne

Et la cime d'Athos une large campagne,

Neptune quelquefois de blé sera couvert;

La matière demeure, et la forme se perd.

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tout est dans le titre!

savez vous où je peux en trouver?

merci d'avance

Il y en a une que j'ai faite il n'y a pas longtemps.

C'était sur un arbre, tout seul au milieu de la ville et on demandait à quoi ça servait!! Ce peut être un bon point de départ!!

Cette poésie est de Jacques Charpentreau dans La ville enchantée!

Voilà!

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