stece Posté(e) 2 février 2008 Posté(e) 2 février 2008 J'hésite encore entre privé et public et j'aimerais savoir ce qui vous a fait pencher vers le privé. Merci !
cath056 Posté(e) 2 février 2008 Posté(e) 2 février 2008 Personnellement j'ai penché pour le publique, et je peux l'expliquer : C'est une question de conviction : si tu crois à l'école pour tous, laïque et gratuite, tu penches pour le publique. Si tu penses qu'il est important que les enfants bénéficient d'une éducation religieuse pour leur développement et leur culture, alors tu penches pour le privé. Je sais que c'est très manichéen comme réponse, certains auront peut-être des avis plus nuancés.
Nath79 Posté(e) 2 février 2008 Posté(e) 2 février 2008 Personnellement j'ai penché pour le publique, et je peux l'expliquer : C'est une question de conviction : si tu crois à l'école pour tous, laïque et gratuite, tu penches pour le publique. Si tu penses qu'il est important que les enfants bénéficient d'une éducation religieuse pour leur développement et leur culture, alors tu penches pour le privé. Je sais que c'est très manichéen comme réponse, certains auront peut-être des avis plus nuancés. SI j'ai choisi le privé ce n'est aboslument pas pour le côté religieux (puique même pas baptisée) mais pour le coté relationnel, humain, qui prend en compte les différences , une école proche. Quant à l'école gratuite , ce n'est pas non plus dans le pulic qu'on va la trouver quand on voit la liste de founiture demandée en début d'année dans la majorité des écoles publiques. Cela, c'est malheureusement une utopie, quoique , ici il y a des rétributions en début d'année mais le matériel scolaire étant fourni, cela revient au même au final. L'école catholique accueille des enfants de confessions juive, protestante ou encore musulmane dont les parents ont choisi l'école privée pour ses valeurs avec le respect de leur culture propre. Maintenant , l'école privée avec la cathéchèse tous les jours , la religion très présente ... ce n'est plus d'actualité. Par contre, les fêtes catholique sont célébrées, expliquées. Fêter l'Avent, Noël, et Pâques dans une école catholique l c'est le minimum.
Dominique Posté(e) 2 février 2008 Posté(e) 2 février 2008 L'école catholique accueille des enfants de confessions juive, protestante ou encore musulmane dont les parents ont choisi l'école privée pour ses valeurs avec le respect de leur culture propre. Maintenant , l'école privée avec la cathéchèse tous les jours , la religion très présente ... ce n'est plus d'actualité. Si l'école privée catholique ne s'occupe plus d'éveil à la foi catholique, je ne vois pas ce qui peut encore justifier son existence ...
VinceEDP Posté(e) 3 février 2008 Posté(e) 3 février 2008 ... mais pour le coté relationnel, humain, qui prend en compte les différences , une école proche. Bonjour, Tu sous-entends que c'est un aspect non fondateur de l'école publique, que c'est une spécificité de l'école privée ? Vince
Lady Oscar Posté(e) 3 février 2008 Posté(e) 3 février 2008 Bonjour, Pour répondre à ton post et n'étant pas d'humeur à la polémique je te laisse un MP.
Nath79 Posté(e) 3 février 2008 Posté(e) 3 février 2008 Pour répondre à ton post et n'étant pas d'humeur à la polémique je te laisse un MP. Pas de polémique dans ce post mais des choix personnels expliqués c'est tout Donc , l'école catholique s'occupe toujours de l'éveil à la foi, et c'est naturel puisque c'est tout de mêmesa première spécificité. Ici j'entend par école privée école catholique évidemment et non pas les écoles privées suivant une pédagogique novatrice. Par contre pour le coup autant je comprend qu'on y fête Noel, l'Avent et toutes les autres fêtes religieuse, autant je ne comprend pas ce que l'exploitation de ces fêtes catholiques fait dans l'enseignement public. Pour ce qui est d'une école axée sur le relationnel et la prise en compte des différences, c'est juste le point fort de la majorité des projets d'école et de l'enseignement catholique. Mais surtout, c'est mon expérience personnelle qui me fait parler là, un soutien de la part des personnes au dessus de moi et l'impression que ne pas être qu'un numéro. J'ai été soutenu en temps que suppléante dans l'enseignement catholique pendant tout le temps où j'ai passé le concours par la DDEC . Malheureusement, cela n'a pas été le cas pendant mon année d'IUFM.
juju2 Posté(e) 3 février 2008 Posté(e) 3 février 2008 Salut, Nath86, es tu allée au CFP pour préparer le concours? ou l'as tu passé en candidat libre? Parce que l'année dernière je suis allée a l'IUFM et j'ai raté le concours à Paris et cette année je fais des suppléances dans le privée à Paris et je repasse le concours public à Versailles. Mais si je le rate encore ça me dirait bien d'aller dans le privé. Y a t'il beaucoup de place dans le privé (pour Paris)? Sommes nous obligé d'aller au cfp? Ou les suppléances sont bien vu à l'oral et donc pas obligation d'aller au cfp? Merci
Nath79 Posté(e) 3 février 2008 Posté(e) 3 février 2008 Salut,Nath86, es tu allée au CFP pour préparer le concours? ou l'as tu passé en candidat libre? Parce que l'année dernière je suis allée a l'IUFM et j'ai raté le concours à Paris et cette année je fais des suppléances dans le privée à Paris et je repasse le concours public à Versailles. Mais si je le rate encore ça me dirait bien d'aller dans le privé. Y a t'il beaucoup de place dans le privé (pour Paris)? Sommes nous obligé d'aller au cfp? Ou les suppléances sont bien vu à l'oral et donc pas obligation d'aller au cfp? Merci J'ai préparé tout d'abord le concours par l'IUFM puisque je ne connaissais même pas l'existence du CFP en venant du public. Puis je suis passée par les suppléances dans l'enseignement catholique avant d'avoir le concours. Mais je ne suis pas passée par le CFP. Cependant, il est rare de réussir le concours en candidat libre en externe. Je l'ai passé en second concours interne. Pour ce qui est de l'oral, ce sont pour moitié des examinateurs (dans le jury) issus du privé et du public, donc je ne sais pas s'il est bon de parler de nos suppléance. Le concours interne est particulier car les candidats sont uniquement des suppléants. Le jury le sait et te posent énormément de questions pratiques sur des situations de classe, comme pour l'interne dans le public. Il faut montrer que tu a réfléchi à la théorie par rapport à ta pratique.
Dominique Posté(e) 3 février 2008 Posté(e) 3 février 2008 Ici j'entend par école privée école catholique évidemment et non pas les écoles privées suivant une pédagogique novatrice. Qu'entends-tu par pédagogie novatrice ? Pour ce qui est d'une école axée sur le relationnel et la prise en compte des différences, c'est juste le point fort de la majorité des projets d'école et de l'enseignement catholique. Qu'est-ce qui te permet d'affirmer que l'école privée prend plus en compte les différences que l'école publique ? Beaucoup de parents d'ailleurs inscrivent maintenant leurs élèves dans le privé non par conviction religieuse mais pour éviter autant que faire se peut la mixité sociale et donc les trop grosses différences ... Mais surtout, c'est mon expérience personnelle qui me fait parler là, un soutien de la part des personnes au dessus de moi et l'impression que ne pas être qu'un numéro. J'ai été soutenu en temps que suppléante dans l'enseignement catholique pendant tout le temps où j'ai passé le concours par la DDEC . Malheureusement, cela n'a pas été le cas pendant mon année d'IUFM. C'est ton expérience mais on ne peut pas généraliser.
VinceEDP Posté(e) 3 février 2008 Posté(e) 3 février 2008 Pour ce qui est d'une école axée sur le relationnel et la prise en compte des différences, c'est juste le point fort de la majorité des projets d'école et de l'enseignement catholique. Qu'est-ce qui te permet d'affirmer que l'école privée prend plus en compte les différences que l'école publique ? Beaucoup de parents d'ailleurs inscrivent maintenant leurs élèves dans le privé non par conviction religieuse mais pour éviter autant que faire se peut la mixité sociale et donc les trop grosses différences ... C'est effectivement ce que j'avais cru comprendre dans le post de départ. Les projets des écoles publiques (puisque tu te réfères à cela comme élément-clé du relationnel et de la prise en compte des différences) ont elles aussi comme axes principales d'action les différents niveaux de relation de la communauté scolaire (école-parents, enseignants-enseignants, enseignants-élèves, élève-savoirs) avec une prise en compte des différences de chacun pour la réussite de tous. Il ne s'agit pas de comparer publique/privé sur ses aspects-là, car il s'agit des missions de l'école, quelle soit publique ou privée sous contrat. Je ne suis pas sûr que les écoles privées réussissent mieux ou moins bien que les publiques dans ce domaine. Et je reste assez sur la remarque de Dominique quant aux choix qui sont derrière. Vince
juju2 Posté(e) 4 février 2008 Posté(e) 4 février 2008 Merci Nath86 de ta réponse Comment as tu fait pour le passé en second concours interne? Tu as travaillé beaucoup d'années en tant que suppléante?
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