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mère de famille nombreuse et PE2


agnes-rose

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Bonjour,

Je me pose exactement la même question qu'Agnès-Rose :cry: . J'ai commençé cette année de PE2 avec 2 enfants de 3 et 6 ans et suis enceinte du 3e prévu pour février. Ces 2 mois ont été très durs, entre le trajet IUFM (1h20/j), mes enfants matin et soir - même si mon mari m'a bien aidé - et ma grossesse, je tombais de sommeil le soir :sleep: , du coup je me retrouvais avec toute la prep de mon SRF (double niveau Cycle 3) à faire le Week-end :sad: ,ce qui en occupait la majeure partie, et visiblement c'était pas suffisant comme on me l'a reproché lors de ma visite en SRF :blink: . Depuis qq jours, étant arrêtée jusqu'au début de mon congé maternité, ça va donc beaucoup mieux :D , mais j'angoisse :wub: , car je dois refaire l'année entière de PE2 l'année prochaine, donc avec BB de 6 mois + enfants 4 et 7 ans et je me disais que je ne m'ensortirai jamais jusqu'à ce que je tombe sur votre discussion qui me remonte un peu le moral :wink: Ayant trouvé ces 2 mois très dur avec mes 2 enfants, je me dis que ce sera encore plus dur avec un bébé, mais je ne serai plus enceinte...finalement je ne sais pas si ce sera pire ou mieux.. :sad:

Alors toute mon admiration aux mamans :wink: , et plus particulièrement à Dada et Aveclesourire avec leur 4 et 5 enfants. Si tout va bien :angel_not: , pour l'année de T1, je me mettrais à mi-temps, cela me fait donc moins peur, encore faut-il être titularisé en fin de PE2 !

Agnès-Rose, t'en sors tu mieux ?, tu dois avoir comme moi un enfant au CP, donc suivi impératif des devoirs le soir, même si ce n'est pas très long, c'est encore ça en +.

Bon courage à toutes !

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  • 2 semaines plus tard...
bonsoir !

je suis tout à fait d'accord avec ce qui est dit plus haut...

pour ma part, j'ai repris mes études à 27 ans après avoir travaillé dans le privé... j'ai eu ma 2 ème fille 1 mois après avoir eu ma 1ère année de deug... puis la licence en poche, je suis rentrée en pe1 enceinte jusqu'au cou, j'accouche fin novembre de ma 3ème fille, janvier je refais surface à l'iufm, et juin j'avais le concours en poche ! me voilà pe2 avec 3 enfants plus mes 2 beaux enfants que nous avons en garde prolongée.

des choses qui passent à la trappe (ménage, sortie, soirée...) un mari exceptionnel et des litres de café...

je te comprends tout à fait, la pe2 a été très difficile, couchée vers 2-3 heures du mat' en plus de 1h30 de route pour aller bosser, bref tu vois le tableau... et un jour, la visite du piufm qui me dit : "choisir c'est renoncer" et bien j'ai vite compris : au lieu de m'embarquer dans des projets et des séances très originales pour lesquels je mettais des heures de travail, j'ai pris les guides du maitre, des séances sur le net, les situations problèmes des livres de math... que j'avais à disposition. j'ai choisi d'être plus sereine en choisissant la simplicité, mes séances "ne cassaient pas des briques" n'avaient pas la "touch iufmienne" mais elles allaient quand même droit au but.

enfin, une autre piufm m'avait dit aussi (ça c'est pour l'après-PE2): choisissez dans l'année, une matière que vous allez approfondir à fond, et au fil des ans, se constituera un bon bagage (à renouveler de temps en temps bien sûr au gré des nouveaux programmes :wink: ...)

bon courage

C'est marrant on m'a dit exactement pareil, que je faisais un gros boulot de recherche et que j'avais de très bons supports et idées mais à force de prendre du temps poru ça je ne vais plus à l'essentiel et mes visites ne se sont pas super bien passées jusque là! Du coup je tente d'aller à l'essentiel en trouvant des séances ttes pretes.

Sinon je t'ai répondu sur graffiti!

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Et bien pour ma part, je ne suis plus PE2 depuis quelques temps, je dois être T7...

Maman de 2 enfants (5 ans et 20 mois) et ... je songe à quitter l'éducation nationale!

J'ai une classe adorable, des collègues sympas..., un 80%...mais ras le bol d'être en permanence derrière mon PC à préparer la classe, à perdre le temps libre que j'ai à corriger, préparer (et pourtant, pas de fiches de prép... juste cahier j détaillé) + l'aid perso du mercredi....

L'an prochain ce sera le CP pour la grande, donc aussi on entre dans les devoirs, plus ses petits soucis de santé...(elle est épileptique)

Je ne rêve que d'une chose: rentrer le soir et me consacrer à mes filles; ne plus me coucher à 23h minimum...

Plus ça va, et plus je me dis que le métier d'enseignant ce n'est pas le "bon plan pour une maman" comme je m'entends souvent répéter...

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Plus ça va, et plus je me dis que le métier d'enseignant ce n'est pas le "bon plan pour une maman" comme je m'entends souvent répéter...

comme on est sur le forum "Parents" je me permets de répondre; j'ai conscience que le boulot d'enseignant est très dur, du fait principalement de la tension nerveuse représentée par les nombreuses heures seule devant une classe.

cependant il faut aussi relativiser et penser ne serait ce qu'aux contraintes matérielles représentées par le fait d'être présent physiquement 35h par semaine (au moins, certaines mamans cadres font beaucoup plus) sur son lieu de travail - faut gérer le fait que l'étude termine à 18h00, comme votre réunion, alors que vous avez 1h de trajet, il faut gérer les vacances, faut gérer les mercredis (beaucoup de parents n'ont pas la possibilité de prendre le mercredi, et si c'est le cas c'est au prix de 20% de salaire en moins), faut gérer les déplacements professionnels.

Certains boulots sont plus ou moins compatibles avec une vie de famille, certes, ce qui peut faire dire à certaines que leur travail dans le privé était plus tranquille, mais ce n'est quand même pas le cas de la majorité, j'en ai bien peur.

Il m'arrive aussi de me demander, si, comme beaucoup de femmes, certaines enseignantes ne souffrent pas de perfectionnisme: augmenter d'un chouïa la qualité du travail fourni demandera d'y passer 2 fois plus de temps; certes ce sera "mieux", mais au bout du compte le jeu en vaut il la chandelle? N'êtes vous pas finalement piégées par le fait que ce travail de préparation se fait seul, sans limite - effectivement rien ne vous empêche matériellement d'y passer 30h, mais est ce réellement nécessaire?

Quand il y a un problème avec un enseignant, j'ai rarement (jamais) l'impression que c'est un problème de manque de travail mais plutôt d'équilibre psychologique.

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Plus ça va, et plus je me dis que le métier d'enseignant ce n'est pas le "bon plan pour une maman" comme je m'entends souvent répéter...

comme on est sur le forum "Parents" je me permets de répondre; j'ai conscience que le boulot d'enseignant est très dur, du fait principalement de la tension nerveuse représentée par les nombreuses heures seule devant une classe.

cependant il faut aussi relativiser et penser ne serait ce qu'aux contraintes matérielles représentées par le fait d'être présent physiquement 35h par semaine (au moins, certaines mamans cadres font beaucoup plus) sur son lieu de travail - faut gérer le fait que l'étude termine à 18h00, comme votre réunion, alors que vous avez 1h de trajet, il faut gérer les vacances, faut gérer les mercredis (beaucoup de parents n'ont pas la possibilité de prendre le mercredi, et si c'est le cas c'est au prix de 20% de salaire en moins), faut gérer les déplacements professionnels.

Certains boulots sont plus ou moins compatibles avec une vie de famille, certes, ce qui peut faire dire à certaines que leur travail dans le privé était plus tranquille, mais ce n'est quand même pas le cas de la majorité, j'en ai bien peur.

Il m'arrive aussi de me demander, si, comme beaucoup de femmes, certaines enseignantes ne souffrent pas de perfectionnisme: augmenter d'un chouïa la qualité du travail fourni demandera d'y passer 2 fois plus de temps; certes ce sera "mieux", mais au bout du compte le jeu en vaut il la chandelle? N'êtes vous pas finalement piégées par le fait que ce travail de préparation se fait seul, sans limite - effectivement rien ne vous empêche matériellement d'y passer 30h, mais est ce réellement nécessaire?

Quand il y a un problème avec un enseignant, j'ai rarement (jamais) l'impression que c'est un problème de manque de travail mais plutôt d'équilibre psychologique.

Ce n'est pas forcément être perfectionniste mais nous travaillons avec des enfants, des êtres vivants :wink: des adultes en devenir, on entend suffisamment de parents nous dire que tel ou tel instit' a gâché la scolarité de leur enfant car ils ne s'occupaient pas de ses difficultés, etc.

Pour prendre en compte tous les enfants, et leurs difficultés cela demande beaucoup de temps de préparation, sans pour autant être perfectionniste !

J'ai 2 enfants (4 et 2 ans), mon mari est enseignant, certes nous sommes heureux de passer nos vacances et nos week-end avec nos enfants, mais même pendant nos petites vacances, nous bossons (heureusement, nos loulous font encore la sieste, nous avons 2heures pour nous !)

Depuis cette année, avec l'aide personnalisée, ma fille reste à la garderie jusqu'à la fin (heureusement que mon mari peut aller la chercher car les horaires de l'école et de la garderie sont les mêmes que mes horaires d'école et d'aide !)

De plus en plus nous devons faire nos animations pédagogiques le mercredi (donc trouver une nourrice pour les enfants scolarisés), l'aide pour certains, voire les réunions. Donc même nos mercredis qui nous sont tellement enviés se réduisent comme peau de chagrin.

Cela dit, j'aime mon métier malgré ces contraintes. Mais le temps avançant, je reconnais que le métier de maman en plus, c'est parfois difficile car nous rentrons toujours avec du travail à la maison, toujours ! (comme certains cadres effectivement)

Comme tous les métiers, notre métier a du bon et du moins bon, sachons-le avant de le commencer.

Bravo aux mamans de plus de 2 enfants (moi avec 2 c'est souvent la course !)

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augmenter d'un chouïa la qualité du travail fourni demandera d'y passer 2 fois plus de temps; certes ce sera "mieux", mais au bout du compte le jeu en vaut il la chandelle?

Ces prépas sont nécessaires face à certains inspecteurs. Alors oui, le jeu en vaut certainement la chandelle s'il s'agit d'une personne PE2 qui attend sa visite de validation ou d'un titulaire inspecté !!!!!

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  • 4 semaines plus tard...

PE2, maman solo de 3 monstres 4,8,12 ans (3 garçons), aide extérieure 0 et pas de lave vaisselle :lol:

oui, les nuits sont très courtes, départ le matin de la maison 7h30, retour 18h...

pétages de plombs très réguliers à la maison, mais j'aime mon métier et je me dis qu'au final ça n'est pas pire que de finir caissière, alors je tiens le coup et j'ai réduit le côté perfectionniste, tant pour la maison que pour le boulot, sinon c'est mission impossible.

Mes priorités ? Mes enfants, mes élèves et ma validation.

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Plus ça va, et plus je me dis que le métier d'enseignant ce n'est pas le "bon plan pour une maman" comme je m'entends souvent répéter...

comme on est sur le forum "Parents" je me permets de répondre; j'ai conscience que le boulot d'enseignant est très dur, du fait principalement de la tension nerveuse représentée par les nombreuses heures seule devant une classe.

cependant il faut aussi relativiser et penser ne serait ce qu'aux contraintes matérielles représentées par le fait d'être présent physiquement 35h par semaine (au moins, certaines mamans cadres font beaucoup plus) sur son lieu de travail - faut gérer le fait que l'étude termine à 18h00, comme votre réunion, alors que vous avez 1h de trajet, il faut gérer les vacances, faut gérer les mercredis (beaucoup de parents n'ont pas la possibilité de prendre le mercredi, et si c'est le cas c'est au prix de 20% de salaire en moins), faut gérer les déplacements professionnels.

Mais nous avons aussi tout cela à gérer en tant qu'enseignante...Plus le travail à la maison car la majorité de ces mamans, une fois rentrées, ont terminé leur travail et peuvent consacrer, par exemple, leurs week end à leurs enfants, ce qui n'est pas le cas des enseignantes très souvent.

Certains boulots sont plus ou moins compatibles avec une vie de famille, certes, ce qui peut faire dire à certaines que leur travail dans le privé était plus tranquille, mais ce n'est quand même pas le cas de la majorité, j'en ai bien peur.

Il m'arrive aussi de me demander, si, comme beaucoup de femmes, certaines enseignantes ne souffrent pas de perfectionnisme: augmenter d'un chouïa la qualité du travail fourni demandera d'y passer 2 fois plus de temps; certes ce sera "mieux", mais au bout du compte le jeu en vaut il la chandelle? N'êtes vous pas finalement piégées par le fait que ce travail de préparation se fait seul, sans limite - effectivement rien ne vous empêche matériellement d'y passer 30h, mais est ce réellement nécessaire?

Quand il y a un problème avec un enseignant, j'ai rarement (jamais) l'impression que c'est un problème de manque de travail mais plutôt d'équilibre psychologique.

Je pense que tu t'avances beaucoup et que ce n'est pas très agréable pour les personnes concernées.

Le souci du "prefectionnisme" vient peut être aussi de l'extérieur, des demandes des supérieurs hérarchiques, des critiques de certains parents etc...

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Bonjour,

Je suis également en PE2 et maman de 3 enfants de 6, 9 et 10ans. Quasiment 2h de trajets par jour, un mari rarement là mais très efficace le week-end.

C'est une année prenante, certes mais ô combien enrichissante. Il faut s'organiser : nous avons fait le choix de prendre une jeune fille à la maison, qui arrive à 7h30 pour s'occuper des enfants et les emmener à l'école, les récupère à 16h45 jusqu'à mon retour à 18h00. Certes, c'est un coût, mais ça nous assure une certaine tranquillité : à mon retour, les enfants ont goûté, les devoirs sont faits, et ils sont tranquille à la maison.

Je m'occupe de mes enfants de mon retour à leur coucher, je sais que je ne ferai rien d'autre, et du coup ça ne me pèse pas de ne ps bosser. Mon mari prend le relais le we.

Comme Dada, nous avons choisi de garder une vie sociale, nos engagements à droite et à gauche nous permettent de nous changer les idées. En revanche, je pense que c'est plus les amis que nous "sacrifions" mais si ce sont de vrais amis, ils savent attendre et comprennent.

Je reste néanmoins perplexe quand je vois des jeunes sans enfant, et qui habitent à 2 pas de l'IUFM dirent qu'elles sont débordées, fatiguées. Je pense que cette situation nous oblige à être efficace et à aller à l'essentiel. Et tant mieux ! Je passerai certainement moins de temps à préparer ma classe, mais mes élèves apprendront autant de choses que les leurs ...

Bon courage, il y a de quoi faire :wink:

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  • 4 mois plus tard...

Bon PE2, maman de 3 enfants 2 ans, 5 ans et 7 ans, et en construction donc mari absent le WE et en ce moment jusque tard le soir (on construit nous même). Ca a été très très chaud, mais parce que mon mari a été très absent. La maison est sans dessus dessous il faut être claire, sujet de grandes tensions familiales, j'ai travaillé uniquement les soirs et parfois j'ai volé 2 heures à mon mari par ci par là! Bref c'est dur mais pas infaisable, j'ai aussi msi de côté mon perfectionnisme disons que je seras validée mais euh je ne sais pas si j'ai été très utile pour les enfants sauf 2-3 manières (et ça c'est super dur pour le moral et la motivation c'est le plus dur en fait, le mémoire ça a été la panique également mais bon ouf tout ça c'est derrière reste le dernier stage!) et j'attends l'an prochain avec impatience, un mari plus présent ça aidera forcément en T1!! (on déménage cet été ouf)

Bref sans mari présent c'est chaud, avec c'est faisable il faut juste travailler efficacement quand on le fait et ne pas chercher à être parfaite c'est impossible..

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Je reste néanmoins perplexe quand je vois des jeunes sans enfant, et qui habitent à 2 pas de l'IUFM dirent qu'elles sont débordées, fatiguées. Je pense que cette situation nous oblige à être efficace et à aller à l'essentiel. Et tant mieux ! Je passerai certainement moins de temps à préparer ma classe, mais mes élèves apprendront autant de choses que les leurs ...

Sûrement. Mais encore une fois, on peut être jeune, sans enfant et être réellement débordée et fatiguée. Parce que ça n'empêche pas d'avoir des impératifs, les mêmes que les vôtres : ménage, famille, courses, paperasse, etc.

Et puis, le temps qu'on ne consacre pas aux enfants, on peut le passer à bosser, ce qui peut expliquer la fatigue. Personnellement, je me lève à 6h15, je suis à l'école à 8h00, je repars à 18h30 la plupart du temps, je vis avec mon compagnon mais suis la seule à gérer les tâches ménagères ou presque, ma famille est à 130 km de moi. J'ai un double niveau en cycle 3. Je manque d'expérience, de repères dans le boulot, je suis vite dépassée : je cours partout, je t'assure.

On ne peut pas être sûr que tes élèves apprendront autant que ceux de celles qui y passent le double de temps, ça dépend de plein de choses. Mais tu as raison : le temps avec vos enfants est précieux et ça vous oblige à aller à l'essentiel.

Bon courage les mamans! :wub:

Oh la la Babybelle, je ne cherchais surtout pas à polémiquer. Loin de moi l'idée que les célibataires ne sont pas fatiguées et ne font rien. J'ai des copines célibataires qui bossent comme des cinglées, des collègues célibataires qui ne font rien, même chose pour les mères/pères de famille.

Je ne cherche pas à me faire plaindre, j'ai ce que j'ai voulu (le concours), je savais que cette année serait difficile, elle l'aura été. Je ne pense pas en faire moins que la moyenne des gens, j'ai des collègues PE2 qui en font plus, d'autres beaucoup moins. Je viens de boucler mon mémoire avec une collègue qui a 10 ans de moins que moi, c'est moi qui en fait le plus (on est d'accord toutes les 2 !!).

Néanmoins certains propos m'agacent, c'est tout ! Mais je ne m'attache pas à cela ! Je pense qu'on a chacun son mode de vie et que comprendre l'autre est difficile, comme dans de nombreuses situations d'ailleurs !

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Bonjour,

j'aimerai avoir plus d'expériences de mamans qui ont fait la PE2 tout en étant enceinte, comment cela s'est-il passé ?

J'ai du mal à trouver le bon fil...

merci pour votre aide !

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