bluenote33 Posté(e) 25 février 2009 Auteur Posté(e) 25 février 2009 merci pour ton témoignage cécé oui pour le petit groupe réconfortant mais effectivement le niveau est très bas paraît il. dommage qu'il n'existe pas de ces soupapes de sécurité pour les enfants qui ont des capacités normales mais une angoisse handicapante! j'avais oublié de te répondre Dajta, au sujet de l'education à domicile! Je ne m'en sens évidemment absolument pas capable! Ni le statut de prof de collège, ni la capacité cognitive d'enseigner jusqu'à 16 ans toutes les matières : y a des gens qui savent faire ça ?? par contre le père s'y croit lui, capable, dans sa grande mégalomanie mamamia!!
dhaiphi Posté(e) 25 février 2009 Posté(e) 25 février 2009 oui pour le petit groupe réconfortant mais effectivement le niveau est très bas paraît il. C'est une certitude dommage qu'il n'existe pas de ces soupapes de sécurité pour les enfants qui ont des capacités normales mais une angoisse handicapante! Evidemment. par contre le père s'y croit lui, capable, dans sa grande mégalomanie mamamia!! Image du père dégradée, décidément, pauvre gosse (je plaisante naturellement, quoique...).
roadrunner Posté(e) 26 février 2009 Posté(e) 26 février 2009 Qui n'a pas eu d'enfant (en tant que parent) en souffrance, qui n'a pas soit même été un élève qui a souffert, passe souvent, je crois, à côté de certains élèves qui dérangent par la remise en question de nos capacités à enseigner.J'aimerais donc aussi les avis de ceux qui sont dans ce cas...merci J'ai vécu cela. Personne ne veut entendre et c'est toujours la faute de la mère, bien sûr. Jusqu'à ce que je réussisse à faire diagnostiquer mes fils : Trouble du déficit de l'attention, dyslexie et HQI. Alors, les collègues qui ne voulaient pas se déjuger depuis dix ans ont considéré que c'étaient des maladies inventées pour les besoins de parents incapables. Au Collège, j'ai mis mes enfants dans le privé. Trop tard pour l'aîné.
bluenote33 Posté(e) 26 février 2009 Auteur Posté(e) 26 février 2009 clin d'oeil oui je comprends je t'embrasse!
valou24 Posté(e) 28 février 2009 Posté(e) 28 février 2009 Le collège privé de Bordeaux dont il a été question dans ce post est le collège Saint-Julien Victoire.
roadrunner Posté(e) 4 mars 2009 Posté(e) 4 mars 2009 Suite des explications... je maintiens que ça ne relève plus de la compétence d'e l'EN mais d'un psy clinicien et je complète avec une spécialisation en thérapie familiale... Ah oui, nous avons eu droit à ça, aussi...
roadrunner Posté(e) 4 mars 2009 Posté(e) 4 mars 2009 Alors rien. Aucune utilité, aucun intérêt, le problème n'était pas là. Cela nous a bien cassés, en voulant rendre les parents responsables de l'échec et du malaise de leurs enfants, cela a créé chez nous de la culpabilité, alors qu'il y en a déjà bien assez quand les enfants sont en échec. Les choses ont évolué quand il a été reconnu que les garçons étaient TDA/H, dys et HQI, que nous n'y étions pour rien, sinon l'hérédité et qu'il fallait que leur scolarisation en tienne compte. Que cela plaise ou non aux enseignants. Avant toute thérapie psy, il faut déjà éliminer le reste. Prendre le problème dans l'autre sens ne fait que retarder le traitement approprié.
dhaiphi Posté(e) 4 mars 2009 Posté(e) 4 mars 2009 Suite des explications... je maintiens que ça ne relève plus de la compétence d'e l'EN mais d'un psy clinicien et je complète avec une spécialisation en thérapie familiale... Ah oui, nous avons eu droit à ça, aussi... Il me semble que Dajta adressait plus sa réflexion à Bluenote33.
roadrunner Posté(e) 4 mars 2009 Posté(e) 4 mars 2009 et bluenote demandait aux parents qui avait vécu cela du mauvais côté de s'exprimer. Quant au fait de ne rien savoir sur la dyslexie, ou autre, cela peut se comprendre en tant qu'enseignant. Dans ce cas, autant éviter les conseils en psychothérapie et autres raccourcis remettant en cause les parents. Chacun son job...
roadrunner Posté(e) 4 mars 2009 Posté(e) 4 mars 2009 Maintenant, si tu considères que le boulot d'enseignant c'est de dire amen à tous les parents et d'assumer leurs problèmes psychologiques en sacrifiant leurs enfants, ne compte pas sur nous : nous sommes des professionnels et avons, en plus et honte à nous, une conscience professionnelle.Quant au fait de ne rien savoir sur le boulot d'enseignant, cela peut se comprendre en tant que parent. Dans ce cas, autant éviter les conseils en psychopédagogie comme en pédagogie et autres raccourcis remettant en cause les enseignants. Je fais partie de ce "nous", je suis enseignante. Depuis plus de vingt ans. Je ne vois pas où j'ai dit qu'il fallait sacrifier les enfants. Et là, justement, il s'agit de ne pas faire porter aux parents et donc aux enfants des problèmes psys imaginaires. Psychothérapie n'est pas pédagogie.
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