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sauter la GS


natsnany

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On peut discuter longtemps des problèmes posés par les passages anticipés. On ferait mieux de lister les avantages... on se rendrait compte que c'est assez limité.

Les enfants précoces s'ennuient en classe. Je le comprends très bien, mes premières années d'école primaire ont été un calvaire... mais je me serais aussi ennuyée avec un an d'avance, je pense. L'école d'autrefois était assez ennuyeuse, quand on ne faisait que du français et des maths.

La solution à cet ennui serait que l'instit propose un travail adapté à cet élève qui sait déjà ce que les autres sont en train d'apprendre. Peu d'enseignants se donnent ce mal, et c'est dommage. Ils préfèrent éjecter cet élève gênant et lui faire sauter une classe, le séparant de sa classe d'âge. Ce serait bien que des gens qui ont eu un an ou deux d'avance viennent nous dire comment ça s'est passé avec leurs copains de classe. De ce que je vois dans mes élèves, ça se passe souvent mal. Et je me souviens très bien que ceux qui avaient un an d'avance étaient exclus, au collège et au lycée. Or, à l'adolescence, les copains, c'est ce qu'il y a de plus important.

Je n'argumenterai pas davantage. Chaque argument peut être contesté individuellement, mais quand je considère la question dans sa globalité, je constate que les passages anticipés sont assez largement préjudiciables à l'élève, et encore bien plus à l'enfant. :wink:

Avantage ? Une année de moins à bayer aux corneilles dans les petites classes ?

Je n'ai pas fait les mêmes observations avec mes élèves. Je n'ai jamais observé que l'âge, en lui-même, posait problème.

On peut aussi parler du décalage de l'enfant précoce dans sa classe d'âge. J'ai beaucoup souffert de ce décalage, personnellement. Bon, cela dit, il y a fort à parier que même avec une année d'avance, j'aurais souffert du même décalage. J'avais des centres d'intérêt qui étaient différents de ceux de mes camarades, pas "en avance". Genre la politique à partir de 11-12 ans. Si j'avais été avec des 12-13 ans à ce moment-là, ça n'aurait pas modifé fondamentalement le problème ... J'ai bien essayé de m'intéresser aux fringues et aux chanteurs à la mode, mais ce n'était pas moi. Je me forçais et ça devait se voir ;) Ma fille est normalement intégrée dans sa classe, mais elle fait d'énormes efforts d'adaptation, elle joue beaucoup ... mais ce n'est pas parce qu'elle est immature : elle trouve les autres - qui de quelques mois à deux ans de plus qu'elle - "gamins", en général (bon, elle a quelques bonnes copines tout de même, et aussi une grande copine avec qui elle sait être elle-même, ce qui est précieux).

Son petit camarade, qui a sauté une classe en même temps qu'elle, est comme il a toujours été : rêveur. Il aurait été aussi rêveur dans la classe du dessous. C'est sa façon d'être. Point sympa pour lui : en sautant une classe, il a atterri dans la classe de son meilleur ami de toujours.

Le saut est sans doute un pis-aller pédagogique. Je ne le conteste pas. Mais en attendant, tes arguments ne me semblent guère recevables. Et les statistiques ne plaident pas franchement en défaveur de cette pratique. Depuis qu'elle ne concerne qu'un faible nombre d'élèves - et non un sur cinq comme dans les années 60 - il faut tout de même accepter de voir que les élèves qui effectuent ces sauts sont suffisamment bien choisis pour que cela ne nuise pas à leur scolarité.

http://media.education.gouv.fr/file/32/2/6322.pdf

http://media.education.gouv.fr/file/06/1/5061.pdf

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Invité vudici

Chez nous le saut de classe est beaucoup plus rare qu'en France, même aujourd'hui. Il n'existe quasi qu'en maternelle. Il avait été proposé pour moi à mes parents (je suis née en janvier), mais ils avaient refusé (pas très "liante", et ma meilleure amie restait en maternelle).

Je ne sais donc pas comment ça se serait passé avec une année d'avance, mais je peux témoigner des difficultés qu'a représentées l'adolescence. Les autres ados me paraissaient des Martiens et je ne parlais quasi qu'avec les adultes, à la cantine je ne mangeais jamais avec ceux de mon âge (qui d'ailleurs me rejetaient avec une certaine violence); j'ai un excellent souvenir (le seul!) de mes repas de 2e secondaire (4e pour vous) où j'étais bien intégrée ... dans un groupe de rhétos (terminales pour vous)!

Dommage de ne pas avoir rencontré JulieMarmotte à l'époque... :bleh:

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Moi, j'ai sauté la GS. Petite fille d'instit, ma mère a été un peu poussée à accepter, par sa mère..(je suis arrivée en cp dans l'école de ma grand mère...)

Je suis de mai. Ca n'a jamais posé aucun problème. AUCUN....

Ah, si, tout le monde disait "Ca va lui poser problème UN JOUR..."

Ben oui, UN JOUR, à 20 ans, j'ai redoublé ma licence de maths...(je l'ai même redoublée 2 fois...)

Voilà, THE problème est arrivé.... :D

Je fais de l'humour....chaque cas est particulier...L'avantage bien sûr est l'enseignant qui s'adapte vraiment....

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Je vais moi aussi enfoncer le clou, même si apparemment ce n'est plus très utile pour l'instigatrice de ce post ! :lol:

J'ai sauté la GS et je pense m'en être pas trop mal sortie pendant toute ma scolarité. Je me souviens avoir un peu angoissé en début de CP car j'arrivais dans la "grande école" alors que mes copines étaient en GS. Mais franchement, ça n'a pas duré longtemps et je n'en ai pas gardé de séquelles ! :D

J'ai fait une scolarité normale, plutôt avec de bons résultats et je n'ai jamais redoublé (contrairement à cpette ! :bleh: ). J'ai toujours eu des copains-copines, je n'ai jamais été exclue. Je crois même que si je n'avais pas dit que j'avais un an d'avance, personne ne s'en serait rendu compte ! :D

Alors franchement je ne pense pas qu'on puisse sortir des vérités toutes faites sans savoir de quoi on parle... :wink:

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  • 4 semaines plus tard...

Non cela relève uniquement du conseil des maîtres. Après rien n'empêche l'avis du psy scolaire, mais il n'est pas obligatoire :wink: . D'ailleurs les bilans de psy privés ont la même valeur.

Il ne faut pas l'avis de la psy scolaire obligatoirement?

Car si la psy privée est ok et pas le conseil des maîtres?

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hum...ça fait trois fois que je raconte ma vie.... :cry: Pas pris le temps de relire l'intégralité du post....ça doit être mon manque...de maturité..... :bleh:

Désolée....

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Encore un témoignage : j'ai sauté la GS, mon instit a même proposé à mes parents de me faire sauter le CM2 (c'était un cours double CM1-CM2, j'avais bouclé le programme disait-il), mais mes parents ont refusé ce 2e saut parce que je me serais retrouvée en 6e avec mon frère qui a 2 ans de plus que moi. Ils craignaient qu'il en prenne un gros coup au moral.

Je ne me suis jamais sentie en décalage avec les autres, j'ai toujours eu des copains. A l'adolescence, j'avais les mêmes centres d'intéret que les autres, j'étais bavarde et assez grande gueule en classe. La seule différence qu'il y avait avec mes copines, c'est que je lisais beaucoup et aussi que j'avais la chance de comprendre et de retenir sans me forcer le contenu des cours.

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Non cela relève uniquement du conseil des maîtres. Après rien n'empêche l'avis du psy scolaire, mais il n'est pas obligatoire :wink: . D'ailleurs les bilans de psy privés ont la même valeur.

Il ne faut pas l'avis de la psy scolaire obligatoirement?

Car si la psy privée est ok et pas le conseil des maîtres?

Non pas d'obligation pour l'avis du psy scolaire. C'est la même démarche que pour le maintien, on ne demande pas l'avis du psy scolaire non plus dans ce cas..., on lui demande plus son soutien en cas de refus des parents ou réorientation CLIS, SEGPA etc... La feuille de déclaration que tu remplis s'intitule d'ailleurs "proposition de maintien ou de réduction de cycle".

D'ailleurs des conseils de maîtres refusant la réduction de cycle malgré l'insistance du psy scolaire sur le bénéfice de la faire ça existe (si, si ça s'est encore produit cette année pour une maman d'EIP).

Pour la psy privée c'est pareil, tu peux t'appuyer dessus pour accepter le saut ou ne pas en tenir compte.

Honnêtement à partir du moment où tu as un test qui établit la précocité et que la/le psy scolaire ou privé(e) le signe, que dans son commentaire il/elle conseille un saut de classe, tu es couvert.

Enfin nous avons déjà procédé à des sauts de classe, sans demander l'avis de quiconque, enfin si des parents :lol: .

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Bonsoir, ma fille qui est en MS cette année et en début de dépression (cause école: établie par la pédiatre et la psy et détectée EIP) s'est vu refuser le saut de classe. Malgré la demande de la psy privée. Les maîtresses (elles sont à mi temps) ont bien vu qu'elle était en avance (surtout qu'elle est de fin d'année) la précocité ne les a pas surpris outre mesure. pour se couvrir on me demande de voir la psy scolaire ( à 3 semaines des grandes vacances, pas évident mais on a mis du temps à comprendre ce qu'avait la loupiotte), pour se couvrir dixit les maitresses.

Et là le verdict tombe pas de saut de classe envisageable, elle est bien en avance mentalement (a le niveau d'une enfant de 6 ans et demi voir 7 ans) mais trop excitée, trop "despote" :devil_2: (la psy s'est fait manipuler par ma fille d'après elle :blink: ), elle comprend parfaitement les consignes des exercices plus durs, mais ne les fait que partiellement, elle est trop dans son trip :blink: ...heuuuu c'est quoi??? Ben elle a su éviter l'explication la psy!!!!

On se retrouve dans une situation particulière, la louloute est contente elle va chez les Grands, mais combien de temps cela va durer? Tous les débuts d'année elle est contente et après c'est pas vraiment ça.

Que dois-je faire? Que puis-je faire?

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Bonsoir, ma fille qui est en MS cette année et en début de dépression (cause école: établie par la pédiatre et la psy et détectée EIP) s'est vu refuser le saut de classe. Malgré la demande de la psy privée. Les maîtresses (elles sont à mi temps) ont bien vu qu'elle était en avance (surtout qu'elle est de fin d'année) la précocité ne les a pas surpris outre mesure. pour se couvrir on me demande de voir la psy scolaire ( à 3 semaines des grandes vacances, pas évident mais on a mis du temps à comprendre ce qu'avait la loupiotte), pour se couvrir dixit les maitresses.

Et là le verdict tombe pas de saut de classe envisageable, elle est bien en avance mentalement (a le niveau d'une enfant de 6 ans et demi voir 7 ans) mais trop excitée, trop "despote" :devil_2: (la psy s'est fait manipuler par ma fille d'après elle :blink: ), elle comprend parfaitement les consignes des exercices plus durs, mais ne les fait que partiellement, elle est trop dans son trip :blink: ...heuuuu c'est quoi??? Ben elle a su éviter l'explication la psy!!!!

On se retrouve dans une situation particulière, la louloute est contente elle va chez les Grands, mais combien de temps cela va durer? Tous les débuts d'année elle est contente et après c'est pas vraiment ça.

Que dois-je faire? Que puis-je faire?

Attention, il faut se méfier de l'équation EIP = saut de classe. Les sauts de classes sont loin d'être une panacée !

Mon fils, qui est était en MS jusqu'à tout à l'heure a eu une PS et un début de MS très difficiles. Tentative de fugue de l'école, crises en arrivant à l'école, crises en classe (c'est un enfant qui n'a JAMAIS fait une seule crise, ni aucune colère, en dehors de ce contexte) ... Psy vu en urgence en septembre devant une situation se dégradant à vitesse grand V, confirmation de sa précocité, mais la seule à avoir envisagé un temps le glissement est la maîtresse, qui aurait été trop heureuse de s'en débarrasser. Bref : discussion avec la psy (spécialisée EIP), beaucoup de discussions avec la maîtresse, beaucoup de valorisation de l'école (de ce qu'elle est, pas de ce qu'on pourrait fantasmer qu'elle fût) de notre côté et nous avons aujourd'hui un petit garçon qui se sent beaucoup mieux dans sa classe, dans son école, qui s'est fait des copains et des copines.Il va encore passer une année en maternelle, où il a certes peu d'acquis scolaires à effectuer (il sait lire comme un CE1, compter comme un CP), mais où il a encore à apprendre socialement, et en graphisme. On verra bien dans un an s'il est opportun de lui faire faire un CP, à la lumière de son année de GS, de ses acquis, de son adaptation scolaire. Dans son cas, demander l'avis de la psy sco sera sans doute utile. Et il ne s'agit nullement de juger son aptitude intellectuelle à effectuer un CE1 sans passer par la case CP (il a un test de QI qui ferait dire à certains psys : "deux sauts avant le CM2", comme on l'a dit pour son aînée, pour qui nous n'envisageons pas de second saut, d'ailleurs).

Des sauts chez des enfants qui ne sont pas adaptés aux demandes scolaires, qui n'en font qu'à leur tête, ce n'est pas forcément une réussite. Il vaut mieux régler cet aspect des choses avant de faire sauter plutôt que compter sur le saut pour le régler. Vu cette année dans mon collège, malheureusement.

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Bonsoir, ma fille qui est en MS cette année et en début de dépression (cause école: établie par la pédiatre et la psy et détectée EIP) s'est vu refuser le saut de classe. Malgré la demande de la psy privée. Les maîtresses (elles sont à mi temps) ont bien vu qu'elle était en avance (surtout qu'elle est de fin d'année) la précocité ne les a pas surpris outre mesure. pour se couvrir on me demande de voir la psy scolaire ( à 3 semaines des grandes vacances, pas évident mais on a mis du temps à comprendre ce qu'avait la loupiotte), pour se couvrir dixit les maitresses.

Et là le verdict tombe pas de saut de classe envisageable, elle est bien en avance mentalement (a le niveau d'une enfant de 6 ans et demi voir 7 ans) mais trop excitée, trop "despote" :devil_2: (la psy s'est fait manipuler par ma fille d'après elle :blink: ), elle comprend parfaitement les consignes des exercices plus durs, mais ne les fait que partiellement, elle est trop dans son trip :blink: ...heuuuu c'est quoi??? Ben elle a su éviter l'explication la psy!!!!

On se retrouve dans une situation particulière, la louloute est contente elle va chez les Grands, mais combien de temps cela va durer? Tous les débuts d'année elle est contente et après c'est pas vraiment ça.

Que dois-je faire? Que puis-je faire?

Attention, il faut se méfier de l'équation EIP = saut de classe. Les sauts de classes sont loin d'être une panacée !

Mon fils, qui est était en MS jusqu'à tout à l'heure a eu une PS et un début de MS très difficiles. Tentative de fugue de l'école, crises en arrivant à l'école, crises en classe (c'est un enfant qui n'a JAMAIS fait une seule crise, ni aucune colère, en dehors de ce contexte) ... Psy vu en urgence en septembre devant une situation se dégradant à vitesse grand V, confirmation de sa précocité, mais la seule à avoir envisagé un temps le glissement est la maîtresse, qui aurait été trop heureuse de s'en débarrasser. Bref : discussion avec la psy (spécialisée EIP), beaucoup de discussions avec la maîtresse, beaucoup de valorisation de l'école (de ce qu'elle est, pas de ce qu'on pourrait fantasmer qu'elle fût) de notre côté et nous avons aujourd'hui un petit garçon qui se sent beaucoup mieux dans sa classe, dans son école, qui s'est fait des copains et des copines.Il va encore passer une année en maternelle, où il a certes peu d'acquis scolaires à effectuer (il sait lire comme un CE1, compter comme un CP), mais où il a encore à apprendre socialement, et en graphisme. On verra bien dans un an s'il est opportun de lui faire faire un CP, à la lumière de son année de GS, de ses acquis, de son adaptation scolaire. Dans son cas, demander l'avis de la psy sco sera sans doute utile. Et il ne s'agit nullement de juger son aptitude intellectuelle à effectuer un CE1 sans passer par la case CP (il a un test de QI qui ferait dire à certains psys : "deux sauts avant le CM2", comme on l'a dit pour son aînée, pour qui nous n'envisageons pas de second saut, d'ailleurs).

Des sauts chez des enfants qui ne sont pas adaptés aux demandes scolaires, qui n'en font qu'à leur tête, ce n'est pas forcément une réussite. Il vaut mieux régler cet aspect des choses avant de faire sauter plutôt que compter sur le saut pour le régler. Vu cette année dans mon collège, malheureusement.

Voici une recette pour la plupart des problèmes d'école, non ? :wink:

Par contre, il me semble que le saut MS-CP est plus facile à faire que celui GS-CE1 ... :blink:

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Certains témoignages me rassurent car moi aussi mon fils saute une classe.

En fait, la pédiatre m'avait dit quand il était en TPS qu'il risquait de finir par s'ennuyer... La maîtresse m'avait dit aussi de surveiller (elle changeait d'école).

En PS, fin d'année, sa maîtresse me dit qu'il a acquis les compétences de PS + nombreuses de MS. On décide de lancer un dossier de passage anticipé.

Ce qui s'est passé :

- inscrit en MS début d'année 2008/2009 : mon fils bâcle son travail, il n'attend pas que la maîtresse ait fini de dire la consigne que "sa fiche" est faite...

- Vacances de Toussaint : matin en GS (classe multi-niveaux donc ça ne pose pas de problèmes à l'enseignante)

- en parallèle, je demande un entretien psy car mon fils est peut-être en "avance" dans les apprentissages mais peut-il assumer d'être assis derrière son pupitre toute la journée ? (et il n'est pas précoce, mais très éveillé et en soif d'apprendre)

- janvier : GS toute la journée

- psychologue scolaire : mon fils est prêt, il est demandeur et accepte la difficulté alors qu'avant, il la niait car "je suis le plus fort, je sais tout..."

Il a donc fait une GS pendant sa MS, connaît le sens du travail et est tout excité de passer au cp.

Personnellement, j'ai préféré qu'il suive en GS sur son année de MS car pour moi, le cp reste une classe très importante.

Voilà, après ce qui me fait un peu angoissée ce sont si les copains n'acceptent pas cette année de différence mais on me dit que mon gamin à quelques jours près serait né en 2003 (alors ???).

Voilà mon témoignage. Après c'est propre à chaque enfant, le mien est demandeur et ce n'était pas possible pour moi que l'ennui s'installe : il faut aimer l'école pour avoir envie d'apprendre !!!

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