Azzurine Posté(e) 10 septembre 2009 Posté(e) 10 septembre 2009 le problème, c'est qu'aujourd'hui j'ai enfin réalisé que je ne serai jamais satisfaite. je suis perfectionniste de nature et l'enseignement est un métier dans lequel on n'a jamais fini. j'ai l'impression que quand on est enseignant, on pense sans arrêt au travail ( du style "oh une noix, je pourrais faire une bougie flottante avec", "il me reste encore 3 fiche de prép à faire pour demain donc ce soir, je ne cuisine pas"...)je rêve juste d'un métier où on se dit qu'on a terminé sa journée en claquant la porte le soir, où quand on rentre à la maison, on ne se soucie que de sa petite famille et de sa vie perso. bref j'ai l'impression que le professorat est un des boulots qui empiète le plus sur la vie privée et en réfléchissant bien, je crois que je n'arriverai pas à m'épanouir comme ça. j'ai besoin de décompresser et en sachant que j'ai encore du travail en rentrant le soir, je suis démoralisée. je savais que ce métier demandait un investissement personnel important mais pas à ce point. alors je sais qu'on a certains avantages que le privé ne connaît pas: les mercredis, les vacances... mais si c'est pour les passer à préparer le reste de l'année, la tête dans le guidon (comme cet été en ce qui me concerne), je crois que je préfère encore n'avoir que 5 semaines mais en profiter vraiment. ce qui me rend triste, c'est de me rendre compte que j'ai sacrifié pas mal de choses pour les études pour en arriver là, l'impression d'un immense gâchis... Je n'aurais pas dit mieux, c'est tout à fait ce que je ressens, ce que je vis
Invité Posté(e) 10 septembre 2009 Posté(e) 10 septembre 2009 Bonjour, je me permets de mettre mon grain de sel dans la discussion car j'ai aussi été comme vous. Après une année de suppléances très dure, avec l'impression de n'être qu'un pion pour l'administration, et malgré des collègues vraiment sympa, j'ai fini l'année presque en dépression. Pourtant, avec des parents enseignants, je savais où je mettais les pieds. Résultats: le sentiment d'être d'une incompétence et d'une impuissance totales, aucune reconnaissance, aucun merci de parents-harpies. Motivée, je me lance dans la PE1 pleine d'espoir: j'ai détesté. On nous a sortit des discours entiers de péda à 2 balles, en essayant de nous faire rentrer dans un moule. J'ai rater le concours de mon plein gré et j'ai trouvé un boulot d'adjoint du patrimoine en bibliothèque. Aucun regret !! je ne suis pas très bien payée, je ne suis pas titulaire, le milieu est un peu bouché mais j'adore ce que je fais et surtout aucun stress, c'est un plaisir d'aller travailler. Je vais tenter des concours, je sais que ça va être difficile mais qu'importe ! Ne baisser pas les bras et motivez-vous. Je pense sincèrement que rien ne vaut un boulot que l'on aime et moins bien payé plutôt que d'y aller à reculons avec la sensation que le jeu n'en vaut pas la chandelle. Chibimal
del-23-12-09 Posté(e) 10 septembre 2009 Posté(e) 10 septembre 2009 On dirait un métier de bonne soeur, il faudrait tout sacrifier pour l'enseignement, ne plus avoir de vie... C'est trop usant. 1
titi1109 Posté(e) 10 septembre 2009 Posté(e) 10 septembre 2009 Bonjour tout le monde, je sais qu'il y a un problème au niveau de l'EN, c'est vrai qu'on a l'impression d'être des pions, qu'on a l'impression d'être sous payé, qu'on a aucune reconnaissance.... Mais là, je dois vous dire, bienvenue dans le travail. Je ne juge personne, mais je dis simplement qu'il faut d'abord avoir testé et après se faire une idée. C'est vrai que l'herbe est toujours plus verte chez les autres quand on y regarde de loin, mais de près, c'est pas la même chose. Quand on se dit, je vais changer de métier, ok, mais êtes vous prêts à dire adieu à vos mercredi, à vos vacances toutes les 7 semaines, pour n'en avoir que 5 dans l'année, sans pouvoir les choisir, à travailler le samedi. C'est vrai qu'on a du boulot à la maison le soir, mais quand on travaille, on ne rentre pas la tête vide de tout, oh non, on réfléchit. Comment je pourrais résoudre ce problème, il me saoule ce client, comment je vais faire pour m'en débarasser, et cette réunion? Et le salaire, alors là, je vous invite à aller voir, les millions de smicard et leur demander depuis quand ils travaillent dans leur boite pour 1000E de salaire. Moi perso, j'ai bossé 5 ans dans une banque, et pas la plus petite, et ben au bout de 5 ans: 1100E de salaire! 1ère année d'IUFM: 1350E et ben y a pas photos. Ma meilleure amie travaille depuis 7 ans dans sa boite d'assurance: 1200E. En 1 an d'ancienneté, je touche plus que ma mère après 9 ans de travail dans la même boite. Donc côté salaire, Maintenant pour la reconnaissance, dans aucun boulot vous ne serez reconnus, il faut se faire à l'idée. Et monter sa boite, et ben, bon courage! Parce que c'est beaucoup de frais, beaucoup de temps, pour beaucoup d'aléas. Les gens qui souhaitent monter leur boite ne sont pas aidés, il faut des fonds importants et une idée démente. Alors, oui, l'EN c'est pas la panacée, mais le jour où on trouvera un boulot merveilleux, parlez m'en! Bonsoir à tous, Tout n'est pas forcement tout blanc ou tout noir. Il y a des avantages et des inconvégnients dans le privé comme dans le public. Je travaille dans le privé depuis maintenant 9 ans comme technicien informatique. J'ai un bac +2, je fais 35h par semaine et pas une de plus. J'ai en effet 5 semaines de congés payés par an que je pose quand bon me semble (en accord avec mes collègues évidemment) et je gagne 2000 euros par mois (n'est ce pas ce que gagne environ un enseignant en fin de carrière ?). Lorsque je quitte le travail, ma journée est réellement finie. Je ne passe pas ma soirée à gamberger à propos de mon travail. Je suis conscient d'être "privilégié" mais je suis loin d'être le seul.Evidemment que dans le privé il y a beaucoup de smicards mais comme dans le secteur public. A diplôme égal, je pense que les rémunérations sont meilleures dans le secteur privé (surtout pour les plus diplômés) et les perspectives de carrière plus intéressantes (pas uniquement basées sur l'ancienneté mais également sur le mérite). Mon amie est PE et je n'échangerais ma place contre la sienne pour rien au monde. Avant de la rencontrer, j'aurai pu tenir à quelque chose près le même discours que le tien. Aujourd'hui mon avis est complètement différent. Le métier d'enseignant est vraiment usant et accaparant. Sa journée n'est jamais réellement finie, la mienne non plus d'ailleurs (à elle les corrections et à moi le découpage lol). Pour ce qui est du mercredi, il ne s'agit là que d'une journée supplémentaire dédiée à la préparation des cours. Concernant les vacances, c'est vrai qu'il y en a beaucoup mais là pour le coup elles sont réellement imposées. Finies les vacances au ski sur les pistes désertes à prix raisonnables, les vols à prix cassés... Et ces jours de "repos" sont pour elle une délivrance... Aujourd'hui elle souhaite se reconvertir et je la soutiens. Je pense qu'il faut se sentir bien dans son travail et qu'il ne faut pas s'acharner à exercer un métier que tout le monde dit "extraordinaire" mais qui vous bouffe. Et oui, ce n'est politiquement pas correct de dire que le métier d'enseignant est loin d'être le plus beau métier du monde...et ça dérange beaucoup de gens, mais c'est comme ça! Voilà je voulais juste dresser un portrait un peu moins noir et je l'espère plus réaliste du secteur privé et souhaiter à tous ceux qui veulent changer de métier de réussir dans leur démarche même si ce n'est jamais très facile mais le jeu en vaut la chandelle.
edwin Posté(e) 10 septembre 2009 Posté(e) 10 septembre 2009 Bonsoir à tous,Tout n'est pas forcement tout blanc ou tout noir. Il y a des avantages et des inconvégnients dans le privé comme dans le public. Je travaille dans le privé depuis maintenant 9 ans comme technicien informatique. J'ai un bac +2, je fais 35h par semaine et pas une de plus. J'ai en effet 5 semaines de congés payés par an que je pose quand bon me semble (en accord avec mes collègues évidemment) et je gagne 2000 euros par mois (n'est ce pas ce que gagne environ un enseignant en fin de carrière ?). Lorsque je quitte le travail, ma journée est réellement finie. Je ne passe pas ma soirée à gamberger à propos de mon travail. Je suis conscient d'être "privilégié" mais je suis loin d'être le seul.Evidemment que dans le privé il y a beaucoup de smicards mais comme dans le secteur public. A diplôme égal, je pense que les rémunérations sont meilleures dans le secteur privé (surtout pour les plus diplômés) et les perspectives de carrière plus intéressantes (pas uniquement basées sur l'ancienneté mais également sur le mérite). Mon amie est PE et je n'échangerais ma place contre la sienne pour rien au monde. Avant de la rencontrer, j'aurai pu tenir à quelque chose près le même discours que le tien. Aujourd'hui mon avis est complètement différent. Le métier d'enseignant est vraiment usant et accaparant. Sa journée n'est jamais réellement finie, la mienne non plus d'ailleurs (à elle les corrections et à moi le découpage lol). Pour ce qui est du mercredi, il ne s'agit là que d'une journée supplémentaire dédiée à la préparation des cours. Concernant les vacances, c'est vrai qu'il y en a beaucoup mais là pour le coup elles sont réellement imposées. Finies les vacances au ski sur les pistes désertes à prix raisonnables, les vols à prix cassés... Et ces jours de "repos" sont pour elle une délivrance... Aujourd'hui elle souhaite se reconvertir et je la soutiens. Je pense qu'il faut se sentir bien dans son travail et qu'il ne faut pas s'acharner à exercer un métier que tout le monde dit "extraordinaire" mais qui vous bouffe. Et oui, ce n'est politiquement pas correct de dire que le métier d'enseignant est loin d'être le plus beau métier du monde...et ça dérange beaucoup de gens, mais c'est comme ça! Voilà je voulais juste dresser un portrait un peu moins noir et je l'espère plus réaliste du secteur privé et souhaiter à tous ceux qui veulent changer de métier de réussir dans leur démarche même si ce n'est jamais très facile mais le jeu en vaut la chandelle. Sincèrement merci titi1109 ! Moi, je suis en pleine remise en question (et dépression ) et je culpabilise de ne pas me réjouir d'être PE puisque d'après beaucoup de gens, je ne me rends pas compte de la chance que j'ai ! Alors voilà, ton message très juste me fait du bien !
Silen Posté(e) 11 septembre 2009 Posté(e) 11 septembre 2009 merci également pour ce message personnellement j'attaque mon quatrième jour et je suis déjà sur les rotules physiquement et moralement . je me suis endormi hier sur mon travail avant même d'avoir pu le commencer.ce qui fait que ce matin, je suis debout aux aurores pour tenter de trouver des activités pour la journée. je n'en peux plus de toute cette paperasse, ces compétences-objectifs, cette différenciation, cette responsabilité pédagogique... je n'arrive pas à me remettre à travailler le soir en rentrant chez moi. j'ai tellement donné pendant mes études pour toujours avoir les meilleurs résultats, les meilleurs classements, en espérant que cela aboutirait à un travail qui me plaît et qui me laisse du temps pour moi. et bien c'est tout le contraire! et je ne me vois pas me forcer à travailler tous les soirs, à aller au boulot à contre-coeur. bref ma carrière commence bien mal et je regrette de m'être orientée vers cette filière. d'autant qu'avec un deug de biologie et une licence de sciences de l'éducation-formation d'adulte, je ne vois pas dans quoi me reconvertir?! si quelqu'un a une idée...
flo24 Posté(e) 11 septembre 2009 Posté(e) 11 septembre 2009 merci également pour ce message personnellement j'attaque mon quatrième jour et je suis déjà sur les rotules physiquement et moralement . je me suis endormi hier sur mon travail avant même d'avoir pu le commencer.ce qui fait que ce matin, je suis debout aux aurores pour tenter de trouver des activités pour la journée. je n'en peux plus de toute cette paperasse, ces compétences-objectifs, cette différenciation, cette responsabilité pédagogique... je n'arrive pas à me remettre à travailler le soir en rentrant chez moi. j'ai tellement donné pendant mes études pour toujours avoir les meilleurs résultats, les meilleurs classements, en espérant que cela aboutirait à un travail qui me plaît et qui me laisse du temps pour moi. et bien c'est tout le contraire! et je ne me vois pas me forcer à travailler tous les soirs, à aller au boulot à contre-coeur. bref ma carrière commence bien mal et je regrette de m'être orientée vers cette filière. d'autant qu'avec un deug de biologie et une licence de sciences de l'éducation-formation d'adulte, je ne vois pas dans quoi me reconvertir?! si quelqu'un a une idée... Bonjour! je pense que comme dans tout il faut se fixer certaines limites. Hygiène de vie oblige, et puis ne pas oublier qu'on travaille pour vivre et pas l'inverse!!! Alors voilà un fonctionnement qui permet de se préserver en toute bonne conscience - je me limite à 35 hebdo de travail, point final. Et je ne vais surtout pas courir tous les magasins de ma région pour chercher des chutes de tapisserie : temps perdu, essence consommée , tout ça payé des neffles! et pis quoi encore? Et si en 35 heures tout n'est pas bouclé? bof, ce n'est pas si grave, au moins je suis dispo pour les enfants car reposé(e)! Perso, j'adore l'impro en classe donc je prépare très peu. Voilà pour les conseils !
yanne Posté(e) 11 septembre 2009 Posté(e) 11 septembre 2009 Bonjour! je pense que comme dans tout il faut se fixer certaines limites. Hygiène de vie oblige, et puis ne pas oublier qu'on travaille pour vivre et pas l'inverse!!! Alors voilà un fonctionnement qui permet de se préserver en toute bonne conscience - je me limite à 35 hebdo de travail, point final. Et je ne vais surtout pas courir tous les magasins de ma région pour chercher des chutes de tapisserie : temps perdu, essence consommée , tout ça payé des neffles! et pis quoi encore? Et si en 35 heures tout n'est pas bouclé? bof, ce n'est pas si grave, au moins je suis dispo pour les enfants car reposé(e)! Perso, j'adore l'impro en classe donc je prépare très peu. Voilà pour les conseils ! Ah si seulement j'y arrivais, à me fixer des limites...peut-être en étant moins perfectionniste, en ayant plus confiance en moi. J'en serai pas là c'est sûr !
Capauvert Posté(e) 14 septembre 2009 Posté(e) 14 septembre 2009 Bon ben moi c'est fait! Je me suis mise à 75% pour préparer le concours de SAENES (ex-SASU) en interne, et je l'ai eu! Je débute tout juste et la formation se fera "sur le tas", mais bon c'est pas plus mal, ça sera plus concret qu'à l'IUFM (lol). En tout cas quand j'ai fini (16h ou16h30 selon les jours), j'ai FI-NI!!! Et ça me fait tout drôle d'avoir de vraies soirées à moi, de vrais weekends... alors, ouais, peut-être moins de vacances mais 49 jours quand même, à placer comme en veut (pendant les périodes scolaires quand même, et en accord avec les collègues dans l'intérêt du service), enfin c'est plus que pas mal de gens et j'en passerai pas la moitié ou plus à bosser comme quand j'étais PE!!! Le coup de la noix ("tiens, j'en ferai bien une bougie") m'a bien fait rire, il résume le fait qu'on pense toujours plus ou moins à la classe, et c'est ce dont j'avais le plus marre (y'avait d'autres trucs mais bon je vais pas développer, j'ai plus de raisons de me plaindre j'en suis sortie!!! ) Ceux qui ont des questions, vous pouvez m'écrire, je vous répondrai (j'ai le temps maintenant!!! lol) 1
Silen Posté(e) 14 septembre 2009 Posté(e) 14 septembre 2009 Bonjour capauvert! me voilà depuis aujourd'hui en arrêt pour 15j (dépression) et pour l'instant je culpabilise énormément de laisser l'équipe en plan avec la classe. je suis t1 brigade mais en remplacement à l'année dans mon école de rattachement et tout le monde compte sur ma présence pour assurer l'année. mais pour moi c'est plus possible, malgré le fait de n'avoir commencé que depuis une dizaine de jours. la gestion de classe où je fais la police toute la journée avec des élèves qui sont pour certains contents d'être punis; les préparations qui me donnent l'angoisse de la page vide tous les jours, l'omniprésence du métier à l'esprit. je ne prends pas de plaisir dans la classe et je vis tout comme une corvée. en pe2, c'était déjà le cas mais je me disais que c'était à cause de la pression de la validation. et la famille qui me répétait "je t'imagine très bien dans ce travail, il est fait pour toi, c'est vraiment le plus beau métier du monde". alors j'ai fini par les croire et à ne pas me poser de questions. mais aujourd'hui je réalise que je n'ai pas vraiment envie d'éduquer 25 gamins à la fois, en criant toute la journée (d'ailleurs j'ai déjà un traitement pour pharyngite, je n'ai plus de voix).je n'ai pas envie de stresser tous les soirs en pensant à ce que je vais faire le lendemain, à essayer de comprendre ce foutu jargon pédagogique. je ne suis pas heureuse mais angoissée et stressée aussi bien à l'école qu'à la maison. alors je pense sérieusement à la reconversion, notamment les concours administratifs. apparemment celui que tu as préparé est académique donc tu restes dans la région. en quoi consiste ta fonction? et en quoi consistent les épreuves de ce concours? je n'ai aucune formation en secrétariat, comptabilité,droit... je n'ai qu'un deug de biologie et une licence en sciences de l'éduc. merci d'avance pour ta réponse!
sevenjune Posté(e) 14 septembre 2009 Posté(e) 14 septembre 2009 Bonsoir, Je suis bien contente de voir que je ne suis pas la seule après à peine 15 jours de vouloir arrêter ce métier. Ce n'est pas la première fois. Je suis instit depuis presque 10 ans et depuis environ 3 ans, je sature de ce métier. J'ai deux enfants dont je n'ai pas le temps de m'occuper puisque je passe moi aussi toutes mes soirées, la plupart de mes we à bosser. J'en ai marre!!! L'an dernier j'étais dans une école rurale avec 4 niveaux et direction (2 années de bagne), des parents pénibles, des élèves en difficulté et j'ai fini par faire une dépression. j'ai fini l'année sous anti dépresseur. Je pensais qu'en quittant cette école je redémarrerai sur de nouvelles bases, l'envie d'exercer ce métier que j'ai choisi me reviendrai... Mais non !!! Je n'en peux plus, je me demande comment je vais terminer l'année. (Peut-être me remettre sous anti-depresseur afin de m'enlever cette boule au ventre que j'ai tous les matins en partant au boulot??? ) Je suis une formation par correspondance pour pourvoir quitter ce boulot que je n'aime plus. Le problème, c'est que je n'ai pas le temps de bosser ma formation puique je suis accaparée par mes préparations. Et pourtant, j'essaye d'en faire le minimum !! Bref, ca me fait du bien de le dire ici sur ce forum. J'hésite vraiment à démissionner !!! Si je n'avais pas ma famille à assumer, je l'aurai fait depuis longtemps. J'espère avoir le cran de tenir l'année et je pense demander une dispo pour l'année prochaine. Courage à tous !!!
dhaiphi Posté(e) 14 septembre 2009 Posté(e) 14 septembre 2009 Témoignage intéressant qui mérite d'être lu par beaucoup.
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