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Posté(e)

Bonsoir,

J'ai des GS depuis quelques années, et je dois dire que je suis perdue en phonologie depuis les programmes de 2008.

J'ai dans un premier temps perçu les sons listés comme devant tous être étudiés un à un. Alors, avec le travail sur les syllabes, les rimes et les attaques, je me suis vite sentie débordée par cette phonologie.

Motivée pour être mieux organisée l'an prochain, je souhaiterais savoir comment vous programmez vos activités sur l'année :

- un trimestre sur les syllabes, puis passage aux phonèmes

(Si vous ne travaillez sur les phonèmes qu'en deuxième partie d'année, comment vous y prenez-vous par rapport aux programmes ?)

ou

- travail sur les syllabes, les rimes et les attaques sur toute l'année, avec en parallèle l'étude des sons des programmes en commençant par les plus simples (voyelles ?) ?

Merci de votre aide :blush:

Izabelle

Posté(e)

Depuis trois ans, je travaille avec De l'écoute des sons à la lecture. La progression est toute prête, les fiches élèves sont sur le CDrom, y'aka suivre (tu peux feuilleter en ligne le livre du maître).

Bonjour,

Merci pour cette référence.

Le fait de pouvoir feuilleter le livre du maître en ligne donne déjà un bon aperçu de la méthode.

Effectivement elle est bien structurée.

Je suis malgré tout toujours ouverte à d'autres documents qui se réfèreraient directement aux programmes de 2008 (reprise des phonèmes cités...).

Merci,

Izabelle

Posté(e)

il y a phono qui est pas mal aussi

sinon tu as aussi la méthode des alphas avec laquelle les enfants accrochent super bien ( elle lie phonologie et apprentissage de lecture...tout ceci de façon très ludique)

Posté(e)

:D :D

Des liens très intéressants donnés sur ce post :

MCD

Posté(e)

Bonjour,

Merci pour ces réponses.

Je reviens néanmoins sur ce qui me pose toujours question : travaillez-vous successivement, ou simultanément, la partie "syllabes-rimes-attaques" et la partie "phonèmes" ? C'est vraiment l'idée de programmation qui me soucie.

Merci d'avance,

Izabelle

Posté(e)

Bonjour,

Merci pour ces réponses.

Je reviens néanmoins sur ce qui me pose toujours question : travaillez-vous successivement, ou simultanément, la partie "syllabes-rimes-attaques" et la partie "phonèmes" ? C'est vraiment l'idée de programmation qui me soucie.

Merci d'avance,

Izabelle

:D :D

Quand on lit ça, peut-on encore se poser la question d'une programmation d'apprentissages ?

La métaphonologie

Les aptitudes métaphonologiques sont des capacités qui exigent de l'enfant une prise de conscience de la structure segmentale des mots en syllabes ( conscience syllabique ) et en phonèmes ( conscience phonèmique ) et la possibilité de manipuler ces segments. Des travaux montrent qu'avant l'âge de six ans les enfants sont pratiquement incapables de compter les phonèmes alors que leurs performances dans le comptage des syllabes est relativement bonne.

Par contre, J E GOMBERT fait une distinction théorique entre "capacité épiphonologique" et "capacité métaphonologique". Les aptitudes épiphonologiques sont des capacités utilisées automatiquement par l'enfant, lui permettant, par exemple, d'identifier la rime commune à plusieurs mots et de découvrir l'intrus (oiseau, maillot, poisson, chapeau). Cette discrimination précoce des sons langagiers a vraisemblablement chez le bébé comme chez l'adulte un caractère automatique et obligatoire. Il existe donc un savoir épiphonologique disponible chez l'enfant.

Tant que nous en restons au jeu, il n'y a donc pas souci :wink:

MCD

Posté(e)

Bonjour,

Merci pour ces réponses.

Je reviens néanmoins sur ce qui me pose toujours question : travaillez-vous successivement, ou simultanément, la partie "syllabes-rimes-attaques" et la partie "phonèmes" ? C'est vraiment l'idée de programmation qui me soucie.

Merci d'avance,

Izabelle

:D :D

Quand on lit ça, peut-on encore se poser la question d'une programmation d'apprentissages ?

La métaphonologie

Les aptitudes métaphonologiques sont des capacités qui exigent de l'enfant une prise de conscience de la structure segmentale des mots en syllabes ( conscience syllabique ) et en phonèmes ( conscience phonèmique ) et la possibilité de manipuler ces segments. Des travaux montrent qu'avant l'âge de six ans les enfants sont pratiquement incapables de compter les phonèmes alors que leurs performances dans le comptage des syllabes est relativement bonne.

Par contre, J E GOMBERT fait une distinction théorique entre "capacité épiphonologique" et "capacité métaphonologique". Les aptitudes épiphonologiques sont des capacités utilisées automatiquement par l'enfant, lui permettant, par exemple, d'identifier la rime commune à plusieurs mots et de découvrir l'intrus (oiseau, maillot, poisson, chapeau). Cette discrimination précoce des sons langagiers a vraisemblablement chez le bébé comme chez l'adulte un caractère automatique et obligatoire. Il existe donc un savoir épiphonologique disponible chez l'enfant.

Tant que nous en restons au jeu, il n'y a donc pas souci :wink:

MCD

Je découvre ici des aspects de la phonologie qu m'étaient inconnus.

Ca donne envie de se pencher encore plus sur la question.

Merci pour ces réponses,

Izabelle

Posté(e)

:D :D

Sauf que mes GS écrirons...

EXPOSITION

LE ...

VENEZ A L'ECOLE !

en capitale, sur des affiches et

" venez voir notre exposition à l'école..."

en cursive sur les invitations.

Le bol, ils le mettent sur la table de la cuisine quand ils jouent à la dinette; il ne l'écrivent pas :smile:

MCD

Posté(e)

Donne-leur un poisson et ils mangeront un jour, apprends-leur à pêcher et ils auront toujours à manger ! :D:D:D

Et toc !! :D:D:D

Posté(e)

ou "Il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs" (certes, c'est plus originale, mais bon, on n'est pas prêt de pouvoir semer.)

Sais-tu qu'il existe des tracteurs qui poussent la charrue devant eux?

Et puis, mainenant, les agriculteurs pratiquent "le non labour", c'est plus respectueux de l'environnement parce que cela évite le ravinement...

Posté(e)

ou "Il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs" (certes, c'est plus originale, mais bon, on n'est pas prêt de pouvoir semer.)

Sais-tu qu'il existe des tracteurs qui poussent la charrue devant eux?

Et puis, mainenant, les agriculteurs pratiquent "le non labour", c'est plus respectueux de l'environnement parce que cela évite le ravinement...

Sauf que la récolte est mauvaise la première année, pitoyable la deuxièmes, catastrophique la troisième, et il n'y a pas de récolte la quatrième l'agriculteur s'étant pendu dans sa grange. :sleep:

Tsss, tsss...

Pour la pédogogie, tu es une pro...

Pour l'agriculture, faudra te perfectionner !!! :bleh:

Le non-labour respecte la structure du sol, respecte le travail des vers de terre qui remuent suffisamment la terre, évite le ravinement des couches remuées par le labour qui glissent (les couches de terre, pas le tracteur !) en cas de grosses pluies sur les terrains en pentes...

Au printemps, c'est semis direct avec une machine qui gratouille la terre superficiellement pour que la graine y fasse son nid...

Ce sont de longues recherches agronomiques qui ont permis cette avancée grâce aux chercheurs et aux agriculteurs qui assistent à des conférences et appliquent dans leurs champs......

Plus de 20 ans de pratique ici, et à partir de l'année prochaine, c'est obligatoire pour tous...

Les marchands de charrues ont du souci à se faire... :lol:

Posté(e)

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