PES au bord de la démission

[benoit10]

Pomme d'api, je fais la différence entre supporter et accepter : on peut très bien supporter la difficulté d'un boulot et ne pas accepter de faire ce boulot.

Bidulbuk, c'est ce facteur "chance" que je n'accepte pas d'où mon idée de "choix d'être libre". Je vois bien que Goellette l'a mal pris mais je ne sais pas comment le dire autrement ou alors : entre etre Professeur des ecoles et etre libre, j'ai choisi d'être libre de mon choix.

Non en fait c'est tout que je n'ai pas accepté !

[Maethina]

Excuse-moi Benoît , je ne vois pas en quoi goélette est en désaccord avec toi.... Quelque chose m'a échappé ?

[katarinabellachichi]

Benoît10, ce que tu as écrit est vrai.

Par contre je te confirme qu'il y a une affaire de chance : certains ne connaîtront jamais le cocktail terrible du débutant + classes pourries + trajets interminables, se retrouvant dans des petites écoles pépères. En tant que TR, quand je tournais au début, je croisais d'anciennes collègues d'IUFM et chacune avait son propre vécu, du plus facile au plus dur. C'était parfois très déconcertant.

Il y a aussi ceux qui l'ont connu mais l'ont mieux pris, se disant que c'était un mauvais moment à passer.

Dans ma promotion, aucun collègue n'est tombé dans une école facile ou alors, sur un poste "pourri", la première année.

Par contre, comme l'ancienneté était l'élément essentiel pour le mouvement, il n'y avait quasiment aucun passe-droit, donc on pouvait obtenir un poste plus sympa assez vite.

A chanter sur la musique adéquate : Je vous parle d'un temps que les moins de cinquante ans ne peuvent pas connaître...

Ha ha ha ! Qu'est-ce que tu es drôle!

[Goëllette]

Benoît10, ce que tu as écrit est vrai.

Par contre je te confirme qu'il y a une affaire de chance : certains ne connaîtront jamais le cocktail terrible du débutant + classes pourries + trajets interminables, se retrouvant dans des petites écoles pépères. En tant que TR, quand je tournais au début, je croisais d'anciennes collègues d'IUFM et chacune avait son propre vécu, du plus facile au plus dur. C'était parfois très déconcertant.

Il y a aussi ceux qui l'ont connu mais l'ont mieux pris, se disant que c'était un mauvais moment à passer.

Dans ma promotion, aucun collègue n'est tombé dans une école facile ou alors, sur un poste "pourri", la première année.

Par contre, comme l'ancienneté était l'élément essentiel pour le mouvement, il n'y avait quasiment aucun passe-droit, donc on pouvait obtenir un poste plus sympa assez vite.

A chanter sur la musique adéquate : Je vous parle d'un temps que les moins de cinquante ans ne peuvent pas connaître...

Vilaine !

Tu verras quand tu auras mon âge !

[Goëllette]

Pomme d'api, je fais la différence entre supporter et accepter : on peut très bien supporter la difficulté d'un boulot et ne pas accepter de faire ce boulot.

Bidulbuk, c'est ce facteur "chance" que je n'accepte pas d'où mon idée de "choix d'être libre". Je vois bien que Goellette l'a mal pris mais je ne sais pas comment le dire autrement ou alors : entre etre Professeur des ecoles et etre libre, j'ai choisi d'être libre de mon choix.

Non en fait c'est tout que je n'ai pas accepté !

Mais tu ne nous expliques toujours pas quel merveilleux métier tu as choisi pour être libre. Nous sommes en attente.

Excuse-moi Benoît , je ne vois pas en quoi goélette est en désaccord avec toi.... Quelque chose m'a échappé ?

A moi aussi ?

[Goëllette]

Bah oui. Où est le problème ?

Et je note que, malgré au moins 5 demandes, et contrairement à ce en quoi tu t'étais engagé, tu ne nous le donnes toujours pas, ce fameux métier.

[benoit10]

Bah oui. Où est le problème ?

Et je note que, malgré au moins 5 demandes, et contrairement à ce en quoi tu t'étais engagé, tu ne nous le donnes toujours pas, ce fameux métier.

Je ne m'étais pas engagé à te donner de métier. Je m'étais engagé à te "répondre". Laisse moi la liberté de te répondre de la manière que je souhaite.

Je t'ai répondu de la meilleure manière que je pouvais. Si tu ne comprends pas, je ne peux rien faire de plus.

Bonne soirée.

[HappyPomme]

Bah oui. Où est le problème ?

Et je note que, malgré au moins 5 demandes, et contrairement à ce en quoi tu t'étais engagé, tu ne nous le donnes toujours pas, ce fameux métier.

Je ne m'étais pas engagé à te donner de métier. Je m'étais engagé à te "répondre". Laisse moi la liberté de te répondre de la manière que je souhaite.

Je t'ai répondu de la meilleure manière que je pouvais. Si tu ne comprends pas, je ne peux rien faire de plus.

Bonne soirée.

+ 1

[Goëllette]

Permettez-moi de vous contredire en citant dans son intégralité le post en question :

Entre être Professeur des écoles et être libre, j'ai choisi d'être libre.

Et quel métier fait-il exercer pour être libre ?

attends goellette je vais te repondre !

[Goëllette]

Ce n'est pas moi qui ai mis les collègues en haleine, ma question était totalement dépourvue d'ironie et j'ai été respectueuse et polie, tu m'excuseras.

[HappyPomme]

Il ne nous a pas vraiment mis "en haleine". C'était surtout une façon de dire qu'il ne se sentait pas libre dans le métier d'enseignant. Enfin, je le perçois comme ça. Et pareil, j'ai trouvé l'insistance étonnante.

(puis, je ne suis pas sure qu'il existe un métier absolument, totalement, complètement merveilleux... il y a toujours un couac quelque part )

[Goëllette]

A chacun son ressenti en effet.

Personnellement, je n'ai pas eu l'impression d'avoir un collègue dépressif "devant moi" mais juste quelqu'un qui s'exprimait sur ce sujet pour donner son expérience : j'en avais marre de ce métier et j'ai trouvé le métier idéal. D'où ma question. C'est tout.