mayre Posté(e) 18 octobre 2013 Posté(e) 18 octobre 2013 certaine qu'in fine, je ne serai pas soutenue y compris par les syndicats... Bref, manque d'audace. Ca, pas sûre. Je suis d'accord avec Goëllette, règle le souci au plus vite!
alena Posté(e) 19 octobre 2013 Posté(e) 19 octobre 2013 Pour info, dans ma circo, certains ZIL ont déjà eu des matinées libérées ( souvent le mercredi matin) pour compenser leur dépassement d'horaires.... alors n'hésites pas à te renseigner
Sayan Posté(e) 19 octobre 2013 Posté(e) 19 octobre 2013 Pour info, dans ma circo, certains ZIL ont déjà eu des matinées libérées ( souvent le mercredi matin) pour compenser leur dépassement d'horaires.... alors n'hésites pas à te renseigner Ce fut une faute du législateur de ne pas anticiper le problème des dépassements d'horaire par les remplaçants, au moment de l'écriture du décret sur la réforme des rythmes. A cette faute initiale, l'administration répond par un bricolage tout aussi fautif : nous dégager de nos obligations statutaires sans raison légale valable. Le fait de ne pas aller dans nos écoles de rattachement est constitutif d'un abandon de poste, avec ou sans la bénédiction des inspections. Que certaines inspections l'aient déjà fait, c'est sympa pour les collègues, mais c'est administrativement une faute, et ça me choque. On ne répond pas à une infraction à la loi par une autre infraction.
Goëllette Posté(e) 19 octobre 2013 Posté(e) 19 octobre 2013 Pour info, dans ma circo, certains ZIL ont déjà eu des matinées libérées ( souvent le mercredi matin) pour compenser leur dépassement d'horaires.... alors n'hésites pas à te renseigner Quand ça les arrangeait eux ? Combien de temps à l'avance pour qu'ils en fassent quelque chose de valable ? Avec un écrit de l'IEN ? Et qu'adviendra-t-il s'ils ont un accident ce jour-là ? En plus, le mercredi, pour les ZIL à 4 jours, c'est déjà un jour chômé, donc c'est de l'arnaque !
alena Posté(e) 19 octobre 2013 Posté(e) 19 octobre 2013 Le mercredi matin, cela concerne les ZIL rattachés à des écoles à 4 jours et demi dont je fais partie. Pour les ZIL à 4 jours, il ne remplace quasiment pas le mercredi matin et de ce fait une demi journée dans la semaine est dégagée. Concernant les modalités, les demi journées libérées sont accordées assez vite en ce moment. Dès que nous avons atteint le nombre d'heures pour se faire libérer une matinée, nous appelons la circo qui nous propose une date. Pour l'accord écrit, je vous dirai cela après les vacances car je vais bientôt arriver à 3h donc je vais me renseigner.
Goëllette Posté(e) 19 octobre 2013 Posté(e) 19 octobre 2013 De toutes façons, d'après la loi, vous ne devez pas enseigner plus de 24h par semaine devant les élèves ... Et ce n'est pas un accord écrit, c'est une sorte d'ordre de mission écrit qui fait en sorte qu'en cas d'accident, tu sois couverte.
filippe Posté(e) 19 octobre 2013 Posté(e) 19 octobre 2013 "Et qu'adviendra-t-il s'ils ont un accident ce jour-là ?" Je ne vois pas où est le problème dans ce cas ? Ce ne sera pas un accident du travail, puisque là on n'est pas au travail mais en récupération. Sinon quel problème peut-il y avoir ? Qui veut ignorer que les conseillers pédagogiques et CPC rattrapent certains temps de travail du mercredi (animations pédagogiques, etc...) sur du temps scolaire ? Et ça se pratique depuis des dizaines d'années. Je ne vois vraiment pas ce qui peut poser problème. Certains répondront "On sort des obligations statutaires". Et alors ?
Goëllette Posté(e) 19 octobre 2013 Posté(e) 19 octobre 2013 "Et qu'adviendra-t-il s'ils ont un accident ce jour-là ?" Je ne vois pas où est le problème dans ce cas ? Ce ne sera pas un accident du travail, puisque là on n'est pas au travail mais en récupération. Sinon quel problème peut-il y avoir ? Qui veut ignorer que les conseillers pédagogiques et CPC rattrapent certains temps de travail du mercredi (animations pédagogiques, etc...) sur du temps scolaire ? Et ça se pratique depuis des dizaines d'années. Je ne vois vraiment pas ce qui peut poser problème. Certains répondront "On sort des obligations statutaires". Et alors ? Ce n'est pas parce qu'on prend parfois le gauche qu'on a le droit ... Je doute qu'un accident de voiture en pleine journée puisse passer en accident du travail ...
filippe Posté(e) 19 octobre 2013 Posté(e) 19 octobre 2013 Mais pourquoi un accident de voiture en pleine journée aurait-il besoin de passer pour un accident du travail ? Si on ne travaille pas, c'est un accident tout court, et c'est normal, non ?
Goëllette Posté(e) 19 octobre 2013 Posté(e) 19 octobre 2013 Mais pourquoi un accident de voiture en pleine journée aurait-il besoin de passer pour un accident du travail ? Si on ne travaille pas, c'est un accident tout court, et c'est normal, non ? J'avais juste mal lu ton com. Non, si on ne travaille pas un jour où on aurait dû, on est en faute. Par contre, s'il arrive un accident à un TR un jour où il est sensé être en classe, il va lui arriver des ennuis ... D'où l'intérêt d'avoir un écrit.
Sayan Posté(e) 19 octobre 2013 Posté(e) 19 octobre 2013 Mais pourquoi un accident de voiture en pleine journée aurait-il besoin de passer pour un accident du travail ? Si on ne travaille pas, c'est un accident tout court, et c'est normal, non ? Le problème n'est pas que l'accident soit qualifié d'accident du travail. Le problème, c'est que si tu as un accident un jour où l'administration t'a gracieusement "libéré" de tes obligations de service, cela signifiera que tu n'étais pas sur ton lieu de travail pendant ton temps légal de service. Ce qui constitue un abandon de poste, donc une faute professionnelle.
ZILprov Posté(e) 20 octobre 2013 Posté(e) 20 octobre 2013 Le problème est double (voire triple) et ne concerne pas un accident où les dommages sont juste matériel, mais bien encas de dommages corporels. Si vous êtes sur le trajet travail-domicile, il s'agit d'un accident de travail, les frais hospitaliers sont entièrement pris en charge ainsi que la rémunération pendant le temps de convalescence. On se dit que ce n'est pas si important mais le jour où ça arrive et où la convalescence dure plus de trois mois (demi traitement après) ou que l'accident engendre une invalidité, cela fait toute la différence. Si l'horaire du trajet ne correspond pas aux horaires de services, il va falloir le justifier. Sans écrit, l'administration assumera-t-elle ses positions (illégales), rien n'est sûr. Si l'accident arrive pendant une période de service et hors du trajet, la sécurité sociale risque d'aller chercher le pourquoi de cette absence sur le lieu de travail. Le risque est de se retrouver à devoir rembourser les frais médicaux (et ça chiffre vite). Le problème n'est pas du tout à prendre à la légère. Ca n'arrive pas toujours qu'aux autres. Pour ce qui est du dépassement des 24h, la seule solution légale est de ne pas accepter la dernière demi-journée (ou de prévenir que l'on ne pourra pas la faire) si cela engendre le dépassement. On finit notre temps de service dans notre école de rattachement, que l'on quitte en arrivant à 24h. Il n'est pas question de rejeter le problème sur la secrétaire, ni de "s'énerver" contre elle, mais juste de lui signaler. Elle fera remonter le problème et mettra une autre personne si possible (sur l'ensemble du remplacement ou sur la dernière demi-journée). La situation, mis à part pour les TR rattachés à 4 jours et demi, est exceptionnelle cette année mais sera hebdomadaire l'année prochaine. Ne laissons pas se dégrader (encore une fois) nos conditions de travail.
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