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Anecdotes des nouveaux rythmes


cleo17fr

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Cela sera à peu près ça ici aussi ... Avec pause méridienne encadrée par le personnel de cantine.

Mais je suis une enseignante bornée qui n'est pas capable de voir la richesse de la chose. A Trifouillis sur Seine, cela se passe très bien.

Pas sur de comprendre ton argument. Si, lorsque les municipalités s'en donnent les moyens, à Trifouillis-sur-Seine ou ailleurs, cela peut très bien se passer, la "chose" est en effet très riche, au moins de potentialités.

Qu'ensuite, ici ou là (voire presque partout...), l'application concrète soit misérable, c'est une autre affaire. Une affaire de choix, et plutôt démocratique, en l'occurrence, par des élus de proximité. Il y a même des élections municipales dans quelques semaines, qui démultiplient ta capacité à faire entendre tes priorités. Prends contact avec les deux camps en leur demandant quelles sont leurs propositions sur le périscolaire, et en faisant savoir que tu voteras et feras voter pour celui qui a les plus "riches"...

Cette solution ne marche que si on travaille dans notre commune de résidence...
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:bye2:

Bon, je n'ai pas lu tout le post mais ton message me fait réagir lyne47. J'ai la chance que mon école ne soit pas encore passée à la nouvelle réforme mais ce sera pour septembre. Les cours cesseront à 15h30 et je devrais libérer ma classe pour la laisser à des intervenants...

Cela me met hors de moi : la classe ne sera pas rangée ( suis en mater donc beaucoup de choses, peintures, travaux ... à ranger, à préparer après la classe), le matériel devra être à disposition (tant pis pour mes progressions de jeux mathématiques par exemple et pour les règles de fonctionnement de la classe, de même pour les albums de la classe réservés à certains projets langagiers par exemple ). Ces mêmes intervenants (atsem et/ou animateur ) remettront les enfants à leurs parents dans les classes et j'imagine très bien le plaisir de devenir le référent ...

Comment les enfants vont-ils s'y retrouver dans l'identification des lieux et de leur fonction, des adultes référents tant nécessaires à cet âge ?

Quant à moi, je devrais attendre bien gentiment dans un coin pendant une heure que "ma" enfin "la" classe se libère pour pouvoir l'investir...

Je ne verrai plus les parents (beaucoup sont là à 16h30 tout de même et pour communiquer c'est plutôt pratique) et ne deviendrai qu'un paramètre dans la vie de leur enfant. Je deviens peut être - surement - pessimiste mais je suis écoeurée de voir l'école perdre ainsi toutes ses valeurs.

Je réfléchis de plus en plus à une reconversion professionnelle à moins de ne m'orienter vers le privé puisque non soumis à l'obligation d'appliquer la réforme ?

Dans les faits, cette réforme va obliger beaucoup d'entre-nous à être beaucoup plus rigides :

- tout doit être fini et rangé à l'heure X : OK donc la classe s'arrête suffisamment à l'avance pour que cela soit le cas.

- le matériel scolaire est financé par la mairie mais sur des crédits scolaires donc il n'a pas à être utilisé par d'autres (donc rangement si possible sous clés (même si c'est difficile de tout boucler))

- notre temps de travail est défini, tout ce qui dépasse est à refuser.

Alors, certes, ce n'est pas très cool. Mais si nous souhaitons pouvoir continuer à travail et à avoir une certaine dignité, tout va devoir être parfaitement cadré.

Et ceux qui viennent parler de l'intérêt des enfants, on peut simplement leur expliquer que l'enfant a besoin d'un cadre scolaire de qualité pour effectuer ses apprentissages donc du matériel en bon état et des enseignants concentrés sur leurs missions et sur rien d'autre.

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Cela sera à peu près ça ici aussi ... Avec pause méridienne encadrée par le personnel de cantine.

Mais je suis une enseignante bornée qui n'est pas capable de voir la richesse de la chose. A Trifouillis sur Seine, cela se passe très bien.

Pas sur de comprendre ton argument. Si, lorsque les municipalités s'en donnent les moyens, à Trifouillis-sur-Seine ou ailleurs, cela peut très bien se passer, la "chose" est en effet très riche, au moins de potentialités.

Qu'ensuite, ici ou là (voire presque partout...), l'application concrète soit misérable, c'est une autre affaire. Une affaire de choix, et plutôt démocratique, en l'occurrence, par des élus de proximité. Il y a même des élections municipales dans quelques semaines, qui démultiplient ta capacité à faire entendre tes priorités. Prends contact avec les deux camps en leur demandant quelles sont leurs propositions sur le périscolaire, et en faisant savoir que tu voteras et feras voter pour celui qui a les plus "riches"...

Cette solution ne marche que si on travaille dans notre commune de résidence...

Je ne vois pas en quoi des élections municipales peuvent influer sur un décret.

Les communes ont les mains libres pour faire n'importe quoi ( pause méridienne élargie, pas d'animations, animations payantes)

Un maire peut encaisser les subventions pour ne rien proposer du tout en échange, il reste dans le cadre de la loi.

Quand à voter pour le "meilleur", le choix risque d'être limité

Les maires ps suivent la ligne et l'ump en matière d'éducation, non merci

Il n'y a aucun garde-fou.

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J'ai déjà tenté de développer mon argument.

Désolé. J'avoue n'avoir pas lu en détail la grosse centaine de pages du fil.

Je pense qu'il fait partie de la mission de l'Education nationale d'assurer un minimum d'égalité sur son territoire.

Il me semble que c'est toute la question : quel est le périmètre du "territoire" scolaire (domaine plus temporel que spatial, d'ailleurs, dans ce débat).

Pour moi, le Ministère de l'Education Nationale n'a pas vocation à régenter tout ce qui se passe en dehors du temps scolaire. Où s'arrête-t-on, sinon ? Et s'il y a évidemment des arguments très forts en faveur d'un progarmme scolaire unique, je n'en vois pas en ce qui concerne le périscolaire. Que les élèves d'une commune se voient proposer des activités plutôt sportives, et plutôt artistiques pour ceux de la commune voisine : pourquoi pas, au fond ?

Je ne vois pas plus en quoi il devrait s'occuper de l'égalité des enfants en dehors de l'école. Certains ont des parents cultivés, d'autres non ; certains ont des parents aisés, d'autres non ; certains ont... des parents, d'autres non. C'est comme ça, et ce n'est pas égalitaire. Imposer l'uniformité, c'est un réflexe totalitaire.

Non, je ne suis pas d'accord avec l'idée que la population doit se battre localement pour obtenir des moyens

Il ne s'agit pas de se battre pour "obtenir" des moyens, mais de participer au choix démocratique de répartir les moyens existants. Nous sommes tous ici, j'imagine, partisans d'une priorité maximale aux questions éducatives. Mais si nos concitoyens préfèrent que leurs impôts aillent prioritairement à l'accompagnement des personnes agées et à la réfection du stade de foot, c'est leur droit le plus strict. C'est aussi ça, la démocratie.

Il est bien là le problème, Argon: on a laissé aux collectivités locales le devoir et le droit de faire en fait ce qu'ils voulaient.

Ben oui. C'est bien l'idée de la démocratie locale !

Mais le problème n'est pas ma gamine: quelle France voulons-nous?

Précisément. Et la France jacobine, où tout est décidé à Paris par des technocrates qui n'ont jamais rien vu, on connait, on voit où ça nous a mené, et on n'en veut plus forcément.

L''ECOLE être une question de POLITIQUE GENERALE et pas LOCALE.

Certes. Mais le périscolaire n'est pas l'école.

Il y a même des élections municipales dans quelques semaines, qui démultiplient ta capacité à faire entendre tes priorités. Prends contact avec les deux camps en leur demandant quelles sont leurs propositions sur le périscolaire, et en faisant savoir que tu voteras et feras voter pour celui qui a les plus "riches"...
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Oui et non. Un PE bien implanté dans son école a encore un réel pouvoir d'influence, au moins dans les petites communes, même s'il n'y vote pas lui-même.

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J'ai déjà tenté de développer mon argument.

Désolé. J'avoue n'avoir pas lu en détail la grosse centaine de pages du fil.

Je pense qu'il fait partie de la mission de l'Education nationale d'assurer un minimum d'égalité sur son territoire.

Il me semble que c'est toute la question : quel est le périmètre du "territoire" scolaire (domaine plus temporel que spatial, d'ailleurs, dans ce débat).

Pour moi, le Ministère de l'Education Nationale n'a pas vocation à régenter tout ce qui se passe en dehors du temps scolaire. Où s'arrête-t-on, sinon ? Et s'il y a évidemment des arguments très forts en faveur d'un progarmme scolaire unique, je n'en vois pas en ce qui concerne le périscolaire. Que les élèves d'une commune se voient proposer des activités plutôt sportives, et plutôt artistiques pour ceux de la commune voisine : pourquoi pas, au fond ?

Je ne vois pas plus en quoi il devrait s'occuper de l'égalité des enfants en dehors de l'école. Certains ont des parents cultivés, d'autres non ; certains ont des parents aisés, d'autres non ; certains ont... des parents, d'autres non. C'est comme ça, et ce n'est pas égalitaire. Imposer l'uniformité, c'est un réflexe totalitaire.

Non, je ne suis pas d'accord avec l'idée que la population doit se battre localement pour obtenir des moyens

Il ne s'agit pas de se battre pour "obtenir" des moyens, mais de participer au choix démocratique de répartir les moyens existants. Nous sommes tous ici, j'imagine, partisans d'une priorité maximale aux questions éducatives. Mais si nos concitoyens préfèrent que leurs impôts aillent prioritairement à l'accompagnement des personnes agées et à la réfection du stade de foot, c'est leur droit le plus strict. C'est aussi ça, la démocratie.

Il est bien là le problème, Argon: on a laissé aux collectivités locales le devoir et le droit de faire en fait ce qu'ils voulaient.

Ben oui. C'est bien l'idée de la démocratie locale !

Mais le problème n'est pas ma gamine: quelle France voulons-nous?

Précisément. Et la France jacobine, où tout est décidé à Paris par des technocrates qui n'ont jamais rien vu, on connait, on voit où ça nous a mené, et on n'en veut plus forcément.

L''ECOLE être une question de POLITIQUE GENERALE et pas LOCALE.

Certes. Mais le périscolaire n'est pas l'école.

Il y a même des élections municipales dans quelques semaines, qui démultiplient ta capacité à faire entendre tes priorités. Prends contact avec les deux camps en leur demandant quelles sont leurs propositions sur le périscolaire, et en faisant savoir que tu voteras et feras voter pour celui qui a les plus "riches"...
Cette solution ne marche que si on travaille dans notre commune de résidence...

Oui et non. Un PE bien implanté dans son école a encore un réel pouvoir d'influence, au moins dans les petites communes, même s'il n'y vote pas lui-même.

+1

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Mais qu'est ce que ça veut dire "bien implanté dans son école ?"

Qui a su se faire bien voir du maire et de tous les parents ? Dont tous les élèves réussissent au collège puis au lycée puis à l'université ? Qui a fait son boulôt d'instit du mieux qu'il le pouvait sans pouvoir toujours éviter les frictions avec telle ou telle famille (on a tou-te-s des exemples en tête) ou tel personnel municipal, et qui du coup, est "moins bien implanté dans son école" que le collègue du quartier voisin, bien plus coulant-copain-copain avec tout le monde et qui n'hésite pas à poser son chapeau sur certaines obligations pour ne pas se mettre des gens à dos ?

Les "risques" liés à la diversité de nos situations professionnelles en tant qu'instits / PE pouvaient jusqu'à maintenant être contre-balancés par un cadre national qui régissait notre statut de fonctionnaire d'état. Désormais, il faudra copiner avec les maires pour du matériel, des horaires, des contenus de PEDT, etc. Pour quelle contre-partie ? 350€ net / an, moins de 10€ par semaine de classe... Franchement, ça ne me fait pas rêver...

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Je suis bien implantée dans mon école, j'y bosse depuis 20 ans, et je n'ai jamais vu un élu local au conseil d'école..

Les parents?

Je vais leur dire pour qui voter?

Je n'ai de l'influence sur rien.

Ah si, j'ai pu choisir la couleur des murs de ma classe.

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Bien sûr qu'en tant qu'enseignant et encore plus en tant que directeur tu es dans le relationnel car tu est l'interface entre l'école et la commune. Les obligations sont claires pour les communes et cela reste dans le domaine régalien pour l'Etat.

Le raccourci "bien avec le maire donc copinage et fermer les yeux sur certaines choses" me paraît grossier et peu respectueux des gens qui font vivre les écoles !

La municipalisation des écoles est un fait depuis l'origine de l'école communale obligatoire. Regarde la diversité des budgets alloués aux écoles sur un même secteur : du simple au double. Le mobilier, les jeux, l'entretien des locaux ...tout ceci est déjà différent d'un endroit à l'autre, rien de nouveau sous le soleil.

On dirait que les nouveaux rythmes font découvrir l'eau tiède!

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La municipalisation des écoles est un fait depuis l'origine de l'école communale obligatoire. Regarde la diversité des budgets alloués aux écoles sur un même secteur : du simple au double. Le mobilier, les jeux, l'entretien des locaux ...tout ceci est déjà différent d'un endroit à l'autre, rien de nouveau sous le soleil.

On dirait que les nouveaux rythmes font découvrir l'eau tiède!

Certes, la municipalisation des écoles est un fait. Il y avait déjà des dérives, je ne découvre pas l'eau tiède.

Mais ce n'est pas un argument pour dire qu'il faut continuer en ce sens, et en rajouter une couche.

Revendiquer une répartition plus égalitaire des moyens, un cadre national concernant l'emploi du temps, et un minimum de cohérence concernant le contenu des TAP ne fait pas de nous des vieux machins-jacobins-totalitaires-opposés à la démocratie locale.

"Je ne vois pas plus en quoi il devrait s'occuper de l'égalité des enfants en dehors de l'école. Certains ont des parents cultivés, d'autres non ; certains ont des parents aisés, d'autres non ; certains ont... des parents, d'autres non. C'est comme ça, et ce n'est pas égalitaire. Imposer l'uniformité, c'est un réflexe totalitaire."

Il ne s'agit pas d'un temps périscolaire comme on l'entendait avant la réforme. Là, il suffit de lire les témoignages pour comprendre que le périscolaire est entré DANS l'école : dans ses locaux, en empiétant sur son temps. C'est bien le problème : il n'y a plus de frontières clairement tracées.

Et oui, quand on entre à ce point dans l'école, quand on change sa structure même, cela relève à mon sens de l'Education Nationale (qui devrait garantir uniformité et cohérence).

C'est une parenthèse mais certains me font beaucoup marrer :

"on a aboyé sur eux comme un chien sur des petits veaux un peu folatres".

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Mais qu'est ce que ça veut dire "bien implanté dans son école ?"

Pour moi, tout simplement : qui fait bien son boulot, depuis assez longtemps au même endroit pour que beaucoup de gens le sachent et le respectent. Il y en a encore beaucoup, heureusement !

Désormais, il faudra copiner avec les maires pour du matériel, des horaires, des contenus de PEDT, etc. Pour quelle contre-partie ? 350€ net / an, moins de 10€ par semaine de classe... Franchement, ça ne me fait pas rêver...

Comme l'a déjà relevé Montagny, c'est une caricature. Si le maire de ton bled ne fonctionne qu'au copinage — mauvais maire, changer de maire. Ca tombe bien, il y a des élections...

Revendiquer une répartition plus égalitaire des moyens, un cadre national concernant l'emploi du temps, et un minimum de cohérence concernant le contenu des TAP ne fait pas de nous des vieux machins-jacobins-totalitaires-opposés à la démocratie locale.

Personne n'est aussi manichéen ici, et on peut avoir des tendances jacobines sans être nécessairement un vieux machin totalitaire.

Il y a en effet un continuum entre le totalitarisme, qui vise à imposer une vision unique à tous les niveaux, et le localisme effréné, qui s'effarouche de la moindre recommandation gouvernementale. Nous sommes tous quelque part entre les deux, j'en suis persuadé.

Pour autant, tous les discours ne le sont pas. Réclamer une égalité parfaite, ne serait-ce que "pour les enfants", pour moi, revient à revendiquer un droit de regard sur leur vie en dehors de l'école, qui détermine largement les inégalités qu'on constate tous les jours. Les activités périscolaires sont clairement à la marge, et la discussion sur leur niveau d'hétérogénéité est parfaitement recevable. Mais où place-t-on le curseur ? Jusqu'où autorise-t-on l'EN à mettre son nez dans les affaires des parents ? Ne lui poser aucune limite, c'est en effet en faire un organisme totalitaire, au moins potentiellement.

De même, contester a priori la légitimité du maire à faire des choix touchant les enfants de sa commune, oui, c'est mettre en cause la possibilité même d'une démocratie locale.

"Je ne vois pas plus en quoi il devrait s'occuper de l'égalité des enfants en dehors de l'école."

Il ne s'agit pas d'un temps périscolaire comme on l'entendait avant la réforme. Là, il suffit de lire les témoignages pour comprendre que le périscolaire est entré DANS l'école : dans ses locaux, en empiétant sur son temps. C'est bien le problème : il n'y a plus de frontières clairement tracées.

Et oui, quand on entre à ce point dans l'école, quand on change sa structure même, cela relève à mon sens de l'Education Nationale (qui devrait garantir uniformité et cohérence).

Là, pour moi, c'est un tout autre débat. Il ne s'agit plus de savoir ce qu'il convient de proposer aux enfants en périscolaire, ou qui doit en décider, mais en quelque sorte de savoir à qui "appartiennent" les locaux scolaires.

Pour moi, c'est assez clair : aux contribuables, et c'est à leurs représentants élus de décider ce ce qu'on peut en faire ou non. Il va de soi que ma préférence irait à une sanctuarisation totale de locaux scolaires de qualité, réservés à l'instruction sous la responsabilité des enseignants et avec le soutien bienveillant des édiles. Mais les budgets étant ce qu'ils sont, ce n'est malheureusement pas toujours possible. Et il ne nous appartient pas vraiment d'en décider, même s'il va de soi, là encore, que la voix des enseignants doit être prioritairement entendue, en la matière, par les décideurs.

Laisse tomber, éléphant rose, puisqu’on te dit que la gauche ne doit pas lutter contre les inégalités mais les augmenter. On n'a rien compris.

Après des décennies de centralisation de l'EN et d'extension tous azimuts de son champ d'action, les inégalités sont plus criantes que jamais à l'école. Je n'ai personnellement pas vu de différence majeure entre la gauche et la droite en la matière. Mais si "être de gauche" est synonyme de lutter contre les inégalités, je ne suis pas sûr que s'arc-bouter sur ce modèle à bout de course en soit la meilleure preuve.

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