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Trouvez-vous cette programmation de géographie de période 1 logique


carrie62

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Et bien ce n'est pas ce que j'ai lu dans les programmes de cycle 3, c'est tout.

Ce que je voulais dire au départ c'est que la progression proposée ne me semblait pas bête et au contraire plus cohérente dans les pratiques actuelles de la géographie. Le clivage géo physique/humaine n'est plus vraiment à la mode...

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Bonjour,

Je suis prof de lycée en hist-géo et je ne suis pas d'accord avec vous sur le fait de commencer par la géo physique.. Je vous rappelle que la géographie étudie les hommes et leur rapport au territoire et il faut donc partir des hommes, de leur répartition.

Commencer par les reliefs et climats serait ce qu'on appelle du déterminisme, de la géographie d'il y a 60 ans quoi ! Cela met des idées fausses dans la tête des élèves qui nous sortent jusqu'en seconde que c'est la chaleur qui explique la répartition de la population :scratch:

Bonjour. Penser que nous sommes, enseignants de cycle 3, responsables du fait que les élèves sortent en seconde que c'est la chaleur qui explique la répartition des populations est une méconnaissance totale de ce que nous faisons. En CE2 ne connaissent rien au monde dans lequel ils vivent. Pour certains, pas leur adresse, le nom de leur commune... donc on commence par le planisphère, et ensuite par ce dont nous avons besoin en classe dans d'autres disciplines, en sciences, en EPS ou en maths. La géographie physique décrit la Terre, c'est plutôt une science de la Terre que l'étude des hommes et leur rapport au territoire, à l'école élémentaire en tout cas. Cela permet aux élèves de comprendre la notion d'espace, qui leur est totalement étrangère et reste très abstraite pour eux. Les élèves apprennent par exemple la lecture de paysage, la lecture de cartes, du vocabulaire, les notions d'échelle, de densité. Des choses très "basiques".Entre le CE2 et la seconde, il y a un certain nombre d'années... les élèves deviennent capables de conceptualiser les choses avec le temps, mais c'est hors de leur portée en cycle 3. La géographie humaine est bien un des aspects de la géographie, personne ne le nie. Elle fait d'ailleurs partie des programmes officiels, au même titre que la géographie physique. Mais nous devons tenir compte des élèves, car les "gaver" de choses inaccessibles pour eux... qu'en resterait-il en seconde ? Alors peut-être est-ce de la géographie d'il y a 60 ans (je ne sais pas, je n'étais pas là pour voir) mais c'est ce que les élèves peuvent apprendre et ce dont ils sont besoin dans d'autres disciplines et plus tard en géographie dans le secondaire.

Bonjour,

Je vais essayer de "réconcilier" ces deux approches...Effectivement, il convient de ne pas tomber dans un certain déterminisme qui a vécu et qui, malheureusement, règne encore pas mal dans la tête de nombreux enseignants de l'élémentaire. Partir de la répartition de la population n'est pas une mauvaise chose pour comprendre pourquoi les hommes se sont installées là et pas ailleurs et qu'ils sont contraints par différents phénomènes physiques (climat et relief, quoiqu'il existe des exceptions, la cordillère des Andes, par exemple, qui est bien peuplée pour une zone montagneuse). La géographie d'aujourd'hui est résolument humaine et s'intéresse vraiment à la façon dont les hommes vivent et surtout organisent leurs espaces.

Mais, effectivement, la faute n'est pas à rejeter sur les enseignants du primaire qui œuvrent dans un contexte de réel sinistre de la géographie. Nous ne sommes absolument pas formés, ni de manière initiale ni continue et la plupart des manuels véhicules des schémas et analyses assez conformes à ces visions anciennes, souvent car ils sont historiens...les programmes ne sont pas non plus pour aider. Le pourcentage de géographes chez les PE est dérisoire...

Donc, en effet, en CE2, on part de presque rien. Si les élèves ont eu la chance de faire un peu de découverte du monde en CP-CE1, ils peuvent avoir quelques bases mais il s'agit bien là de débuter réellement une nouvelle discipline.

Les planisphères et autres cartes sont des outils difficiles qu'il me semble important de découvrir dès le CE2, en essayant autant que possible de revenir dessus après.

Un gros travail sur la photo doit être mené en amont pour saisir comment on passe d'une vue au sol à une vue aérienne et d'une vue aérienne à une carte. On va vers l'abstraction, doucement mais surement. On apprend à changer d'échelle. On doit aussi installer la difficile notion de densité. Ces choses ne sont pas si basiques je trouve ! Ce sont des concepts clés de la discipline qu'il nous faut asseoir correctement.

Donc, sans doute que la situation en lycée n'est pas satisfaisante mais la faute n'est-elle pas à rejeter également du côté du collège qui, comme le lycée avec le bac, attend une épreuve clé du brevet assez formatée et parfois bien vide d'ambition scientifique. Voyez le sujet 2011 où l'élève devait citer des noms de pays sans échelle, sans repère, sans "voisin(s)": http://asset.rue89.com/files/brevet_college_corse_italie_grand.jpg

Nous faisons ce que nous pouvons en élémentaire, souvent bien seuls...

Voici un article que j'ai fait sur les derniers programmes si cela peut être utile dans ce débat: http://cybergeo.revues.org/25131

Bon courage à tous quoiqu'il en soit !

Je n'avais pas vu cette réponse. Désolée. Du coup il doit y avoir une incompréhension de ma réponse précédente :sweatingbullets:

Oui j'ai bien conscience de tout cela.. j'ai enseigné quelques années au collège aussi, et les repères de 2011 resteront dans les annales de la bêtise !

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Et bien ce n'est pas ce que j'ai lu dans les programmes de cycle 3, c'est tout.

Ce que je voulais dire au départ c'est que la progression proposée ne me semblait pas bête et au contraire plus cohérente dans les pratiques actuelles de la géographie. Le clivage géo physique/humaine n'est plus vraiment à la mode...

Qu'est ce qui n'est pas dans les programmes du cycle 3 ? Ce dont nous avons parlé est dans le BO des programmes 2008 ou dans la grille du socle commun, donc dans les programmes, qui parlent bien de géographie physique et de géographie humaine. Les progressions 2012 sont données à titre indicatif, il n'y a pas obligation de les suivre à la lettre sur l'ordre des notions, l'important est que tous les élèves aient vu toutes les notions à la fin du CM2. D'ailleurs dans certaines disciplines, les progressions sont pleines de lacunes et d'incohérences, il est donc important de les compléter ou modifier. En fonction des nécessités (des élèves, des projets, de la classe, de l'école....) nous avons la liberté de traiter les notions dans l'ordre qui nous semble le plus judicieux.

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Et bien ce n'est pas ce que j'ai lu dans les programmes de cycle 3, c'est tout.

Ce que je voulais dire au départ c'est que la progression proposée ne me semblait pas bête et au contraire plus cohérente dans les pratiques actuelles de la géographie. Le clivage géo physique/humaine n'est plus vraiment à la mode...

Qu'est ce qui n'est pas dans les programmes du cycle 3 ?

Et bien ce n'est pas ce que j'ai lu dans les programmes de cycle 3, c'est tout.

Ce que je voulais dire au départ c'est que la progression proposée ne me semblait pas bête et au contraire plus cohérente dans les pratiques actuelles de la géographie. Le clivage géo physique/humaine n'est plus vraiment à la mode...

Qu'est ce qui n'est pas dans les programmes du cycle 3 ?

Les questions listées dans le 1er message.

Bon après je ne suis pas PE, mais j'ai lu plutôt qu'on commençait par des paysages, non ?

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Oups, j'éditais mon message, qui s'est croisé avec le tien, pour apporter des précisions sur les programmes.

Justement dans ma progression (celle que j'avais faite pour ma classe de CE2-CM1-CM2) j'ai ajouté aux notions listées dans les programmes les questions du 1er message comme "objectifs intermédiaires" pour débuter en géographie, parce que cela fait partie des choses sans lesquelles les élèves de CE2 sont incapables de poursuivre dans cette discipline.

Par contre, où as-tu lu qu'on commençait par les paysages ?

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dans le BO de 2008 :

" les paysages de village, de ville ou de quartier, la circulation des hommes et des biens, les principales activités économiques "

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Oui, mais encore une fois, le programme "peut s'étudier" dans l'ordre de sa présentation....PEUT...NE DOIT PAS (FORCEMENT)...même si la notion de paysage, de manière plus générale que cette approche du BO, peut être intéressante pour démarrer le cycle car assez concrète pour des plus jeunes comme les CE2..

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Je suis prof de lycée en hist-géo et je ne suis pas d'accord avec vous sur le fait de commencer par la géo physique.. Je vous rappelle que la géographie étudie les hommes et leur rapport au territoire et il faut donc partir des hommes, de leur répartition.

La géographie étudie entre autres les hommes et leur rapport au territoire et ton "il faut donc" me semble un peu court, pour le moins.

En appliquant ton raisonnement, on pourrait tout aussi bien "te rappeler" que la géographie étudie les reliefs, et que "il faut donc" partir de leur étude — comme de celle de trois douzaines d'autres éléments. La contradiction logique est évidente.

Il faut donc un argument supplémentaire pour déterminer la meilleure progression dans un contexte donné — et cet argument a toutes les chances d'être d'ordre pédagogique, de partir des compétences effectives des élèves plutôt que des querelles théoriques entre géographes professionnels.

En l'occurrence, un enseignant du primaire est par essence un généraliste. Ses cours de géographie sont aussi, pour ne pas dire d'abord, des cours de langue et de méthodologie. En ce qui me concerne, c'est cela qui primera et qui déterminera les progressions.

Commencer par les reliefs et climats serait ce qu'on appelle du déterminisme, de la géographie d'il y a 60 ans quoi !

Non. Le déterminisme est une autre idée, celle que les reliefs et les climats déterminent entièrement le rapport des hommes au territoire. Elle est bien sûr fausse (la détermination n'étant que partielle...), mais elle ne dérive en aucun cas de l'ordre dans lequel on introduit les concepts : ce n'est pas parce que je traiterai l'addition avant la géométrie plane, ou l'inverse, qu'on pourra en déduire une quelconque hiérarchie ou une quelconque relation causale entre les deux.

D'autre part, je ne vois pas ce qu'il y aurait de mal à faire de la "géographie d'il y a 60 ans" à l'école primaire, à charge pour les enseignants spécialisés du collège et du lycée de les amener au-delà. Pour rester sur l'exemple mathématique, personne ne voit de problème à faire des "mathématiques d'il y a 2000 ans" à l'école. De toute façon, sans même parler des programmes, les priorités des géographes actuels seront obsolètes quand les gamins auront l'âge de s'y intéresser. Sic transit et tout ça. Et je ne vois pas qu'on perdrait beaucoup au change si les élèves actuels sortaient du primaire avec les bases géographiques de leurs prédécesseurs des années 1950 — quand bien même elles ne concerneraient que la géographie physique, ce serait toujours ça de pris.

Cela met des idées fausses dans la tête des élèves qui nous sortent jusqu'en seconde que c'est la chaleur qui explique la répartition de la population :scratch:

Et alors ? C'est loin d'être une analyse idiote, au niveau d'un collégien. En tout cas, elle est au moins partiellement pertinente : va expliquer autrement les migrations estivales vers le sud, ou le rapport de densité de population entre l'Alaska et le Texas !

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D'autre part, je ne vois pas ce qu'il y aurait de mal à faire de la "géographie d'il y 60 ans" à l'école primaire, à charge pour les enseignants spécialisés du collège et du lycée de les amener au-delà. Pour rester sur l'exemple mathématique, personne ne voit de problème à faire des "mathématiques d'il y a 2000 ans" à l'école. De toute façon, sans même parler des programmes, les priorités des géographes actuels seront obsolètes quand les gamins auront l'âge de s'y intéresser. Sic transit et tout ça. Et je ne vois pas qu'on perdrait beaucoup au change si les élèves actuels sortaient du primaire avec les bases géographiques de leurs prédécesseurs des années 1950 — quand bien même elles ne concerneraient que la géographie physique, ce serait toujours ça de pris.

Arguments très intéressants Argon, merci ! :)

Toutefois, je ne suis pas d'accord, et rejoint du coup, notre collègue du secondaire, avec un point que j'ai repris ci-dessus.

Je ne pense pas qu'il faille se dire "on fait ce qu'on peut en primaire et, même si c'est de la vieille géo, ils rattraperont le coup en collège/lycée"...c'est tentant et un peu légitime de se retrancher vers notre côté généraliste mais il faut voir au delà.

Sur l'aspect "bases de leurs prédécesseurs", à la limite pourquoi pas...mais du point de vue des savoir-faire (lecture, construction de cartes, analyse de photos, de graphiques..) qui se périment moins vites que les savoirs où là, ça coince.

Je pense surtout qu'il ne faut pas donner encore plus de marge au fossé qui séparent les "géographes actuels" et nos gamins. Il y a déjà suffisamment de délai (et de déperdition dans ce délai) entre le moment où un objet de recherche émerge et se consolide et le moment où il débarque dans un programme et des bouquins de primaire. J'en parlais encore ce matin en animant une conf, ça met parfois 20, 30, 40 ans à arriver et dans quel état !

Donc au contraire, favorisons les passerelles pour raccourcir le décalage entre la science et la sphère enseignée...certains parlaient de "transposition didactique"...

Mais j'en conviens, plus facile à dire qu'à faire....avec toutes ces catégories et ces grades qui s'ignorent, qui se toisent et qui se jugent...

Gardons la foi !

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Personnellement je suis la dernière à toiser et juger quiconque hein ! Ma remarque était plutôt pour défendre justement la démarche du remplaçant critiqué dans le premier message.

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du point de vue des savoir-faire (lecture, construction de cartes, analyse de photos, de graphiques..) qui se périment moins vites que les savoirs où là, ça coince

Crois-tu ? La recherche de données géographiques de base n'a plus rien à voir avec ce qu'elle était il y a quinze ans (Google émergeait tout juste). Le rapport à la photo a aussi été révolutionné par le numérique (je prends cent photos là où j'en prenais une, et je trie ensuite). La création de graphiques statistiques est désormais une fonction standard de tous les tableurs, et j'ai plus vite fait de trouver un site générant automatiquement des cartes à partir de mes données, quelles qu'elles soient ou presque, que d'en construire une moi-même. Et je ne parle même pas de Google Earth, qui me permet aujourd'hui de littéralement survoler à peu près n'importe quelle partie de la Terre, de la Lune ou de Mars à partir de photos satellitaires de haute résolution, et de le balancer sur un TBI !

Tu veux parier que tout cela sera démodé dans quinze ans, juste après qu'on aura formé tous les enseignants à l'intégrer à leurs cours ?

Bref : concrètement, je n'utilise plus aucun des savoir-faire "géographiques" qu'on m'a appris à l'école primaire. Mais je me souviens encore de mes préfectures et sous-préfectures (je sais, je suis vieux...) qui, elles, n'ont pas beaucoup changé, et je peux improviser un itinéraire sans Mappy...

Je pense surtout qu'il ne faut pas donner encore plus de marge au fossé qui séparent les "géographes actuels" et nos gamins. Il y a déjà suffisamment de délai (et de déperdition dans ce délai) entre le moment où un objet de recherche émerge et se consolide et le moment où il débarque dans un programme et des bouquins de primaire.

Honnêtement, je ne sais pas. Dans la plupart des disciplines, ce fossé n'a aucune importance. On se souvient encore douloureusement de la seule tentative d'introduire les "maths modernes", comme ils disaient, à l'école et au collège, et on n'a jamais recommencé. Et — on est entre nous — l'introduction de la mécanique quantique et de la relativité au programme de physique de terminale S n'est qu'un écran de fumée pour masquer le renoncement à la mécanique traditionnelle (au hasard : on parle de spin, mais on n'enseigne plus au lycée la notion de moment cinétique, ni a fortiori sa conservation. Bon courage aux géographes pour justifier la rotation de la Terre, même en fac !).

La géographie et l'instruction civique comptent parmi les rares disciplines où l'on insiste pour réviser les programmes de fond en comble en fonction des modes, voire des idéologies dominantes. Mais l'intendance suit rarement. J'attends encore un bouquin présentant de façon raisonnablement univoque et honnête le concept de développement durable, par exemple, au niveau PE. Et je ne parle même pas de la façon dont, concrètement, c'est enseigné, au delà du il faut/tu dois, c'est bien/c'est pas bien...

Pour rester sur cet exemple, l'expression même, "développement durable", est un oxymore. Délai ou déperdition ou pas, si le concept était si important, les chercheurs auraient au moins pu se mettre d'accord entre eux et faire le ménage dans leur lexique avant de l'infliger à des PE qui ne leur avaient rien fait !

Donc au contraire, favorisons les passerelles pour raccourcir le décalage entre la science et la sphère enseignée...certains parlaient de "transposition didactique"...
Dans l'idéal, certainement. Mais après que le débroussaillage est fini, et qu'on sait exactement où on va. Et tant pis si la transposition didactique prend le temps qu'elle prend. Mais je crains qu'on ne rencontre plus souvent "certains" autour des chaires de didactique que dans les classes, et que leur temps caractéristique soit surtout le tempo des publications académiques...
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Sur les savoir-faire et les documents, c'est vrai que la technologie change la donne, rapidement en effet...mais le but ne reste-t-il pas de comprendre comment c'est construit plutôt que vouloir faire vite et/ou joli ? Justement tu sais improviser un itinéraire sans Mappy, c'est le but ! On forme à l'analyse de l'espace, des déplacements, des échelles...si on peut le faire avec Mappy c'est bien, mais si n'a pas, ça marche quand même...

Sur le développement durable, bien d'accord avec toi ! Ce fourre-tout oxymore est bien trop récent à l'échelle de l'histoire pour avoir été sérieusement analysé, digéré, contredit...pour en sortir quelque chose de potable à enseigner.

Sur les passerelles, je ne sais que trop que ces mondes s'ignorent...hélas ! Mais il faut pourtant continuer la lutte, rester en éveil sur les pratiques des uns et des autres, publier, faire parler...et discuter sur ce genre de forum justement ! ;)

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