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Nouveau statut des directeurs?


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Mais pourquoi revendiquer un statut et un concours qui présente plus de menaces que de revendiquer une amélioration sur ces 4 points à l'intérieur de corps des PE? De nouveau diviser? Ne voyez-vous pas que créer un corps pourrait permettre de faire passer les bases de l'EPEP, ce qui est dans les cartons depuis des années?

Oui et l'EPEP pourrait être une bonne chose.

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Je ne vois toujours pas pourquoi un statut serait essentiel, désolée.

Je vois toujours ce qui pourrait arriver avec un statut, notamment la territorialisation.

Très cher Pascal, le mépris de certains syndicats m'affligera toujours, et ce quelque soit le syndicat concerné. Le désaccord argumenté, oui, il me semble essayer de rester là-dedans, même si parfois cela me démange. Le mépris à coup de grandes phrases caricaturales m’écœure franchement.

Oups, puisqu'il faut montrer patte blanche quand on critique, je rappelle donc que j'ai en tout "que" 5 ans de direction derrière moi, et une nouvelle devant... Mais il est vrai que je suis le "mal absolu" à cause de mon appartenance syndicale. D'ailleurs, pour la culture personnelle de chacun, les revendications du dernier congrès concernant les directeurs sont celles-ci:

Le Congrès revendique :

  • le maintien d’un directeur par école, fonctionnaire d’état, garant de la laïcité et de la neutralité de l’école ;
  • l’arrêt de toutes les tentatives de l’administration de reporter sur les directeurs d’école des responsabilités qui ne sont pas les leurs (PPMS, DUER, remplacement des maîtres absents…) ;
  • l’arrêt de toutes les obligations qui ne leur incombaient pas (Afelnet…) et qui leur ont été transférées ;
  • l’amélioration du régime de décharges de service pour tous les directeurs, pas un directeur sans décharge statutaire (2 jours par mois pour les directeurs à classe unique, 6 h par semaine pour les directeurs de 2 et 3 classes, 12 h par semaine pour les directeurs de 4 à 7 classes, temps complet pour les directeurs de 8 classes et plus) ;
  • une réelle amélioration financière (100 points d’indice pour tous), le versement aux « faisant-fonction » d’une rémunération identique à celle des directeurs qu’ils remplacent ;
  • l’allègement des tâches et le respect du décret de 89 ; aucune obligation d’effectuer les APC pour les enseignants chargés de direction quelle que soit la quotité de décharge ;
  • l’arrêt et la suppression des fusions des écoles maternelles et élémentaires supprimant des postes de direction, facilitant les fermetures de classes et menaçant l’existence des écoles maternelles ;
  • l’abandon du protocole de direction ;
  • l’abandon des commissions de recrutement au profil pour les directeurs des écoles de 10 classes et plus, entre autres ;
  • l’abandon de la circulaire de 2002 sur les PPMS et le strict respect de la loi de 2004 sur la sécurité civile qui confie aux maires et aux préfets l’exclusivité des plans de sauvegarde des populations

Je précise que d'autres syndicats partagent ces revendications. Alors, maintenant, discutons: concrètement, qu'est-ce que le statut donnerait de plus que d'autres revendications?

Ben voilà, on peut avancer avec ce genre d'argumentaire ! Merci Mayre, enfin un peu de bon sens.

Je veux bien essayer de répondre à ta question : pourquoi un statut ?

Je réponds d'abord par d'autres questions : pourquoi tous les autres acteurs du primaire ont un statut (Psy, maître G, IEN, CPC etc...) et pas le dirlo ?

Ensuite, à mon humble avis, le statut est d'abord une protection, puis une reconnaissance, qu'elle soit institutionnelle ou sociale.

D'ailleurs, c'est peu ou prou ce que dit le Larousse

Ensemble des dispositions législatives ou réglementaires fixant les garanties fondamentales (droits et obligations) accordées à une collectivité publique ou à un corps de fonctionnaires ou d'agents publics (statut général de la fonction publique, statut des magistrats).

Les psy, les maîtres spécialisés, les IEN, les CPC, ont tous une formation. Les dirlos non (je n'appelle pas formation 8 malheureux jours de stage, c'est ridicule).

Pourquoi ? Parce que c'est un métier qui n'existe pas.

Bref : une reconnaissance statutaire induirait la reconnaissance d'un vrai métier, avec formation approfondi à la clé, bien entendu.

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Quant au cumul, représentant syndical et directeur d'école, il ne devrait pas être autorisé.

Ah ah ah... :getlost:

T'entends, Dajta, toi et moi, on doit faire notre mouvement!

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Je réponds d'abord par d'autres questions : pourquoi tous les autres acteurs du primaire ont un statut (Psy, maître G, IEN, CPC etc...) et pas le dirlo ?

Mais, Polythene (désolée, je n'avais pas vu ta réponse): les psy, maître G et CPC n'ont pas de statut particulier!! De ceux que tu cites, seul l'IEN a un statut à part parce qu'il passe un concours, les autres ont "juste" passé un examen!

Pour la formation je suis tout à fait d'accord avec toi...

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Mais pourquoi revendiquer un statut et un concours qui présente plus de menaces que de revendiquer une amélioration sur ces 4 points à l'intérieur de corps des PE? De nouveau diviser? Ne voyez-vous pas que créer un corps pourrait permettre de faire passer les bases de l'EPEP, ce qui est dans les cartons depuis des années?

Oui et l'EPEP pourrait être une bonne chose.

L'EPEP pourrait être une mauvaise chose, pour les raisons déjà évoquées plus haut.

(Pitié, ne me dis pas que dans la majorité des pays d'Europe ça se passe comme ça, car je te rappellerais que la France est la plus étendue, avec une population très éparpillée, dans une géographie très variée, ce qui n'est le cas nulle part ailleurs - à part peut-être l'Espagne, et encore-: on a logiquement des plus petites structures dans les villages isolés et des structures comparables en ville)

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Les lectures sélectives des posts me fatiguent. (non, je ne rêve pas de pouvoir virer les adjoints toxiques, je voudrais juste pouvoir leur dire, sans avoir de menaces de harcèlement au travail ou de convocation chez l'IEN parce que, vous comprenez Mme Polythene, il ne faut pas dire de vilaines choses même si, enfin, vous voyez.....et puis oser dire qu'untel est une calamité, ça ne se fait pas)

Mais qui es-tu pour pouvoir juger le travail des autres ? Et qui te dit que certains adjoints ne pensent pas la même chose de toi et aimerait pouvoir te dire en face ce qu'ils pensent de toi sans risquer de s'attirer les foudres de l'IEN ? C'est vrai ça, les incompétents,c 'est toujours les autres. Les fainéants, c'est toujours les autres. Les névrosés, les arrivistes, les gens pas faits pour ce métier, les intolérants, les nerveux, les trop sévères, les trop laxistes, ce sont toujours les autres. Tes collègues ne sont pas des élèves que tu évalues et à qui tu décernes les bons et mauvais points.

Les "c'est celui qui dit qu'y est" sont infantiles et ne mènent à rien. J'ai parlé du point Godwin, parce qu'effectivement, on n'en est pas loin, et je n'ai pas souvenir d'avoir traité qui que ce soit de despote, de tyran, de dictateur....

On n'en est pas loin. C'est toi qui en parles. Pour l'instant, personne n'a parlé des nazis... C'est vous qui amenez cela dans la conversation et qui après, venez passer pour des victimes en invoquant Godwin.

Le dialogue, les bonnes relations entre collègues sont le ciment d'une équipe qui tourne, même si on n'a pas forcément envie de partir en vacances ensemble ni même de partager le même bouquin de maths....

En attendant, c'est moi que l'on convoque au commissariat en cas de plainte, moi qui fais tampon entre un papa alcoolisé et un collègue, moi qui me fait eng... par l'IEN si les collègues ne rendent pas à temps ceci ou cela (!!!), moi encore qui me fait agresser par les parents lorsqu'une voiture, mal garée devant l'école, les empêchent de partir.

Mais ça, les adjoints le font aussi. Tu n'as jamais vu des adjoints se placer entre un collègue (parfois le directeur) et un parent, c'est bien. Mais ce n'est pas l'exclusivité du directeur, tout comme les convocations à la gendarmerie ou au commissariat.

Qu'il y ait effectivement, des directeurs qui s'octroient des pouvoirs ou qui font capoter des projets, bien sûr qu'ils existent. Aux collègues à s'en insurger, à ne pas se laisser faire..... Moi aussi, j'en ai connus.... Et j'ai aussi connu des adjoints qui ont poussé leur directeur à bout.

Le cas de Jacques Risso est pourtant éloquent, car il illustre parfaitement la nécessité d'une reconnaissance institutionnelle : Jacques a fait 1000 choses formidables en tant qu'enseignant, mais aussi en tant que dirlo, il aura suffi d'un hic, qui en plus n'est même pas avéré, pour que les foudres hiérarchiques se déchaînent, il a été démis de ses fonctions, a subi humiliations et injustice. Du jour au lendemain, il n'était plus directeur. Et on lui a interdit de le redevenir.

Quel autre larbin de l'EN est traité de la sorte ???? C'est sa fonction de directeur qui a été attaquée, et comme il n'y a pas de garde-fou (d'ailleurs, il faut être un peu tapé pour faire ce boulot, pardon, exercer cette fonction), un an après, rien n'est réglé, par le truchement de certains chefs... zélés.....

Un IEN qui fait des erreurs, et il y en a , est protégé par son statut et par ses pairs.

Enfin, je connais un tas de dirlos encartés à FO ou au Snuipp et qui sont aussi membres du GDID..... Et puis d'autres qui sont au SGEN ou au SE et qui ne veulent pas entendre parler de statut.

Mais si ça amuse certains de coller des étiquettes et à ranger les gens dans des boites..... En attendant, ça ne fait vraiment pas avancer le débat, et le mépris affiché par certains reste tout de même éloquent.

Jacques Risso est un directeur, ça aurait pu très bien être un adjoint. Je crois que cette situation n'a rien à voir avec le sujet. Quant au mépris, dans la mesure où l'un des défenseurs explique que nos arguments volent bas, permets-moi de commencer à en avoir assez de votre victimisation.

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Je ne suis pas directrice et j'admets que c'est un poste difficile que je ne voudrais pas occuper, et que leur statut "bâtard" mériterait d'être révisé. Comment ? Pour qui ? Pour quoi ? sont les trois véritables questions.

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Les directeurs n'ont pas de statut...

Je me rends compte que le mot "statut" n'a pas le même sens pour nous tous!

Un statut, c'est l'ensemble des règles qui s'imposent à un groupe: si on fait un statut de directeur, il y aura des nouvelles règles (et obligations) que celles des PE. Les IEN, par exemple, ne peuvent plus enseigner après avoir exercé leurs fonctions, car leur nouveau statut leur fait perdre l'ancien.

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Mais pourquoi revendiquer un statut et un concours qui présente plus de menaces que de revendiquer une amélioration sur ces 4 points à l'intérieur de corps des PE? De nouveau diviser? Ne voyez-vous pas que créer un corps pourrait permettre de faire passer les bases de l'EPEP, ce qui est dans les cartons depuis des années?

Oui et l'EPEP pourrait être une bonne chose.

L'EPEP pourrait être une mauvaise chose, pour les raisons déjà évoquées plus haut.

(Pitié, ne me dis pas que dans la majorité des pays d'Europe ça se passe comme ça, car je te rappellerais que la France est la plus étendue, avec une population très éparpillée, dans une géographie très variée, ce qui n'est le cas nulle part ailleurs - à part peut-être l'Espagne, et encore-: on a logiquement des plus petites structures dans les villages isolés et des structures comparables en ville)

Les EPEP permettrait d'avoir des structures mieux organisées et centralisées : tu travailles mieux (financièrement, matériellement, humainement (répartition des rôles et des compétences)...) dans une structure à 15 classes qu'avec 5 structures à 3 classes.

En quoi les fusions mater élem sont-elles nuisibles? j'ai du mal à voir.

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Les directeurs n'ont pas de statut...

Je me rends compte que le mot "statut" n'a pas le même sens pour nous tous!

Un statut, c'est l'ensemble des règles qui s'imposent à un groupe: si on fait un statut de directeur, il y aura des nouvelles règles (et obligations) que celles des PE. Les IEN, par exemple, ne peuvent plus enseigner après avoir exercé leurs fonctions, car leur nouveau statut leur fait perdre l'ancien.

Bah moi, je connais le mot "statue" :sort:

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Les EPEP feraient que des enfants passeraient 1h dans les transports pour aller à l'école (c'est déjà le cas pour mon fils dans un RPI de 9 classes à 4 km, je n'ose imaginer s'il fallait aller à 6 km de plus).

Les EPEP feraient que certains villages n'auraient plus aucun service public si on délocalise. Si on ne délocalise pas, on aura un directeur qui doit se "taper" des sites très éloignés, avec tous les inconvénients que cela présente (réception des parents en colère, des livraisons, gestion de la sécurité sur chaque site, la chasse d'eau qui pète, la bouche d"égout bouchée...)

Les EPEP tels qu'ils sont préconisés par M.Reiss, c'est aussi la mairie et les parents majoritaires au conseil d'EPEP. C'est aussi l'embauche des personnels non-enseignant... Enfin, je me répète.

Les fusions mater et élèm ont plusieurs inconvénients:

- lissage des effectifs aboutissant à fermer plus facilement et/ou ouvrir plus difficilement.

- généraliser les GS/CP (classe que j'aime bien par ailleurs) et y supprimer l'ATSEM (cas de nombreuses communes par chez moi: G=1 ATSEM, GS/CP= 0 ATSEM)

...

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Les lectures sélectives des posts me fatiguent. (non, je ne rêve pas de pouvoir virer les adjoints toxiques, je voudrais juste pouvoir leur dire, sans avoir de menaces de harcèlement au travail ou de convocation chez l'IEN parce que, vous comprenez Mme Polythene, il ne faut pas dire de vilaines choses même si, enfin, vous voyez.....et puis oser dire qu'untel est une calamité, ça ne se fait pas)

Mais qui es-tu pour pouvoir juger le travail des autres ? Et qui te dit que certains adjoints ne pensent pas la même chose de toi et aimerait pouvoir te dire en face ce qu'ils pensent de toi sans risquer de s'attirer les foudres de l'IEN ? C'est vrai ça, les incompétents,c 'est toujours les autres. Les fainéants, c'est toujours les autres. Les névrosés, les arrivistes, les gens pas faits pour ce métier, les intolérants, les nerveux, les trop sévères, les trop laxistes, ce sont toujours les autres. Tes collègues ne sont pas des élèves que tu évalues et à qui tu décernes les bons et mauvais points.

Mais je ne juge pas le travail des autres, j'ai écrit ça où ???? Juste la toxicité de certains, ce n'est pas vraiment la même chose.... Je n'ai pas le droit de penser et de dire qu'untel est dangereux sous prétexte que c'est un collègue ? Et ce n'est pas la directrice qui parle, juste moi, et que celui ou celle qui n'a jamais rencontré de collègue mauvais et/ou toxique me jette la première pierre

Les "c'est celui qui dit qu'y est" sont infantiles et ne mènent à rien. J'ai parlé du point Godwin, parce qu'effectivement, on n'en est pas loin, et je n'ai pas souvenir d'avoir traité qui que ce soit de despote, de tyran, de dictateur....

On n'en est pas loin. C'est toi qui en parles. Pour l'instant, personne n'a parlé des nazis... C'est vous qui amenez cela dans la conversation et qui après, venez passer pour des victimes en invoquant Godwin.

Oh ben c'est juste pour illustrer le "c'est celui qui dit qui y est". J'adore le "pour l'instant", tu vois, on y arrive, on y arrive....

Le dialogue, les bonnes relations entre collègues sont le ciment d'une équipe qui tourne, même si on n'a pas forcément envie de partir en vacances ensemble ni même de partager le même bouquin de maths....

En attendant, c'est moi que l'on convoque au commissariat en cas de plainte, moi qui fais tampon entre un papa alcoolisé et un collègue, moi qui me fait eng... par l'IEN si les collègues ne rendent pas à temps ceci ou cela (!!!), moi encore qui me fait agresser par les parents lorsqu'une voiture, mal garée devant l'école, les empêchent de partir.

Mais ça, les adjoints le font aussi. Tu n'as jamais vu des adjoints se placer entre un collègue (parfois le directeur) et un parent, c'est bien. Mais ce n'est pas l'exclusivité du directeur, tout comme les convocations à la gendarmerie ou au commissariat.

Encore heureux.... Il n'empêche que l'interlocuteur privilégié pour le commun des mortels, céki, mmmm ?

Qu'il y ait effectivement, des directeurs qui s'octroient des pouvoirs ou qui font capoter des projets, bien sûr qu'ils existent. Aux collègues à s'en insurger, à ne pas se laisser faire..... Moi aussi, j'en ai connus.... Et j'ai aussi connu des adjoints qui ont poussé leur directeur à bout.

Le cas de Jacques Risso est pourtant éloquent, car il illustre parfaitement la nécessité d'une reconnaissance institutionnelle : Jacques a fait 1000 choses formidables en tant qu'enseignant, mais aussi en tant que dirlo, il aura suffi d'un hic, qui en plus n'est même pas avéré, pour que les foudres hiérarchiques se déchaînent, il a été démis de ses fonctions, a subi humiliations et injustice. Du jour au lendemain, il n'était plus directeur. Et on lui a interdit de le redevenir.

Quel autre larbin de l'EN est traité de la sorte ???? C'est sa fonction de directeur qui a été attaquée, et comme il n'y a pas de garde-fou (d'ailleurs, il faut être un peu tapé pour faire ce boulot, pardon, exercer cette fonction), un an après, rien n'est réglé, par le truchement de certains chefs... zélés.....

Un IEN qui fait des erreurs, et il y en a , est protégé par son statut et par ses pairs.

Enfin, je connais un tas de dirlos encartés à FO ou au Snuipp et qui sont aussi membres du GDID..... Et puis d'autres qui sont au SGEN ou au SE et qui ne veulent pas entendre parler de statut.

Mais si ça amuse certains de coller des étiquettes et à ranger les gens dans des boites..... En attendant, ça ne fait vraiment pas avancer le débat, et le mépris affiché par certains reste tout de même éloquent.

Jacques Risso est un directeur, ça aurait pu très bien être un adjoint. Je crois que cette situation n'a rien à voir avec le sujet

Et pourtant, si.

Quant au mépris, dans la mesure où l'un des défenseurs explique que nos arguments volent bas, permets-moi de commencer à en avoir assez de votre victimisation.

Mais le défenseur dont tu parles a des propos qui n'engagent que lui, je ne vois pas très bien le rapport. Quant à la victimisation dont tu parles aussi, je ne vois pas du tout où elle est évoquée, je ne me rappelle pas avoir écrit que j'étais une petite chose fragile, victime des méchants. Chacun ici ne représente que lui-même, à moins que, effectivement, certains utilisent ces forums pour être le porte-parole d'un groupe, d'un parti, d'un syndicat, que sais-je... mais que ce soit clairement dit alors.

Je suis syndiquée aussi, je donne 20 euros tous les ans au GDID, mais je ne me pose pas en défenseur absolue des idées des uns ou des autres. Ces groupes ont des valeurs qui sont les miennes, mais pas toutes, loin s'en faut.

Alors Fredo45, je ne sais vraiment pas à qui s'adresse le "vous" dont tu uses et abuses. Oui, d'autres que toi, qu'ils soient soit sur ta longueur d'onde ou l'inverse, affichent aussi un certain mépris.

Vois-tu, Mayre, qui n'est pas du tout d'accord avec moi, ne m'a jamais agressée. Ce n'est pas parce que l'on n'est pas d'accord que l'on doit s’invectiver en permanence, dénigrer ou être à la limite de l'insulte.

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