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Posté(e)

Il y a bien un lien entre le travail/ fonction des dirlos et les rythmes...Passer un mercredi de plus à l'école, être enquiquiné par les TAP et pas de jours de décharge sup.... :(

Posté(e)

Il y a bien un lien entre le travail/ fonction des dirlos et les rythmes...Passer un mercredi de plus à l'école, être enquiquiné par les TAP et pas de jours de décharge sup.... :(

Rien n'oblige les directeurs et directrices à se mêler du périsco. Ceux qui le font choisissent de prendre des responsabilités supplémentaires dont la rémunération doit être assumées par les communes, si elles le souhaitent: ça n'a rien à voir avec les obligations de service.

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Il y a bien un lien entre le travail/ fonction des dirlos et les rythmes...Passer un mercredi de plus à l'école, être enquiquiné par les TAP et pas de jours de décharge sup.... :(

Rien n'oblige les directeurs et directrices à se mêler du périsco. Ceux qui le font choisissent de prendre des responsabilités supplémentaires dont la rémunération doit être assumées par les communes, si elles le souhaitent: ça n'a rien à voir avec les obligations de service.

A moduler quand même selon la taille des écoles et des communes, car dans les petites écoles de petites communes, il est parfois difficiles au directeurs, souvent nommés d'office ou contraints de faire fonction, de résister à la mairie ou aux familles qui se servent de la mairie pour faire pression sur l'école et les collègues.

Dans les grandes villes, je te l'accorde, c'est davantage un choix.

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Il y a bien un lien entre le travail/ fonction des dirlos et les rythmes...Passer un mercredi de plus à l'école, être enquiquiné par les TAP et pas de jours de décharge sup.... :(

Rien n'oblige les directeurs et directrices à se mêler du périsco. Ceux qui le font choisissent de prendre des responsabilités supplémentaires dont la rémunération doit être assumées par les communes, si elles le souhaitent: ça n'a rien à voir avec les obligations de service.

A moduler quand même selon la taille des écoles et des communes, car dans les petites écoles de petites communes, il est parfois difficiles au directeurs, souvent nommés d'office ou contraints de faire fonction, de résister à la mairie ou aux familles qui se servent de la mairie pour faire pression sur l'école et les collègues.

Dans les grandes villes, je te l'accorde, c'est davantage un choix.

Il ne faut jamais oublier de mettre le numéro de la circo bien visible à l'entrée de l'école et de s'entraîner à dire "non" calmement, dans la joie et la bonne humeur. :smile:

Je précise que je n'ai pas travaillé pendant toute ma carrière en ville. ;)

Posté(e)

Je me doute !

Mais as-tu été directeur d'une école à deux classes dans un village reculé, où le Maire veut se faire réélire, donc qu'il obéit au doigt et à l’œil aux parents, et pour se faire, tyrannise les enseignants de son école ?

Tout le monde n'a pas la force de caractère de dire non, et tous les IEN n'aident pas les directeurs dans la mouise à cause d'un Maire, y compris quand le Maire dépasse les bornes.

Posté(e)

Le gvt tentera de diviser...Pourquoi des directeurs auraient une prime perisco (avec la bénédiction de certains syndicats) et pas d'autres (sans parler des adjoints....)

http://www.se-unsa.org/spip.php?article6062

Cette prime, ils y ont renoncé...

Posté(e)

Il y a bien un lien entre le travail/ fonction des dirlos et les rythmes...Passer un mercredi de plus à l'école, être enquiquiné par les TAP et pas de jours de décharge sup.... :(

Je crois qu'on mélange tout. 4 jours ou 4 jours et demi, c'est 24 heures de classe.

Posté(e)

Il y a bien un lien entre le travail/ fonction des dirlos et les rythmes...Passer un mercredi de plus à l'école, être enquiquiné par les TAP et pas de jours de décharge sup.... :(

Rien n'oblige les directeurs et directrices à se mêler du périsco. Ceux qui le font choisissent de prendre des responsabilités supplémentaires dont la rémunération doit être assumées par les communes, si elles le souhaitent: ça n'a rien à voir avec les obligations de service.

A moduler quand même selon la taille des écoles et des communes, car dans les petites écoles de petites communes, il est parfois difficiles au directeurs, souvent nommés d'office ou contraints de faire fonction, de résister à la mairie ou aux familles qui se servent de la mairie pour faire pression sur l'école et les collègues.

Dans les grandes villes, je te l'accorde, c'est davantage un choix.

Mouais... Dans les petites communes, tu as aussi un contact différent avec le maire que tu vois plus souvent. La discussion peut aussi être plus facile et le maire, qui tient à son école, peut écouter plus facilement les enseignants. Les rythmes à la con, je ne pense pas qu'on les trouve davantage dans les petites communes que dans les grandes...

Posté(e)

Je me doute !

Mais as-tu été directeur d'une école à deux classes dans un village reculé, où le Maire veut se faire réélire, donc qu'il obéit au doigt et à l’œil aux parents, et pour se faire, tyrannise les enseignants de son école ?

Tout le monde n'a pas la force de caractère de dire non, et tous les IEN n'aident pas les directeurs dans la mouise à cause d'un Maire, y compris quand le Maire dépasse les bornes.

Moi oui... Et dans un petit village, les rapports sont plus étroits. Donc, quand ça se passe bien, c'est nettement mieux qu'en ville. Par contre, il est vrai que quand les rapports entre la mairie et l'école ne sont pas bons, ça tourne très rapidement au vinaigre.

Posté(e)

Dans les villages moyens, où l'équipe enseignante est pourvue, le directeur installé, peut-être, et encore.

Beaucoup moins dans les villages avec des classes uniques ou deux-trois classes.

Posté(e)

Directeur 3 classes, il y a plus de 20 ans à la montagne, et ce pendant 3 ans, plus par nécessité que par choix réel. Avec une autre collègue qui vivait aussi au village nous étions bénévoles dans une association (club sportif) mais nous ne mélangions pas nos activités bénévoles et professionnelles. Je maintiens que si certains veulent faire les kékés pour se faire bien voir des parents, du maire et de l'IEN, c'est leur choix et ils doivent l'assumer sans essayer de l'imposer aux autres. Pour ceux qui ne le veulent pas, il faut qu'il apprennent à dire non.

Sinon, Frédo a raison: si c'est trop difficle de dire "non" et que ça tourne mal dans ce genre de bled, il faut partir, tant pis. C'est l'inconvénient du rural, et l'avantage d'être fonctionnaire d'état et de pouvoir muter.

Posté(e)

Je pense que dans ces villages, il y a un gros turn over.

Mais je persiste à penser que c'est à notre administration d'être claire et de défendre les collègues, et non à eux à bricoler sur place.

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