montagny Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 En quoi les maîtres spé sont-ils plus rentables électoralement que les directeurs ? Sont-ils plus nombreux ? Non, loin de La différence c'est que la FNAME fait des propositions qui vont dans l'intérêt de tous, pas le GDID... Ça doit leur coûter cher en foin au snuipp avec des membres comme toi!
Frédo45 Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 De la part d'un membre du GDID, c'est un compliment. Mais vous savez, plutôt que d'adhérer au GDID, adhérez directement à l'UMP... Ca sera plus simple...
Frédo45 Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Donner un statut juridique aux établissements de premier degré et à leur directeur. Cette mesure consiste donc à doter l’école, actuellement dépourvue de la personnalité morale à la différence des collèges et des lycées, d’un statut juridique qui en permette une gestion pédagogique moderne et efficace. Elle permettrait de créer un véritable statut d’emploi pour les directeurs d’établissements publics d’enseignement primaire. Les écoles de petite taille pourraient être associées en un seul établissement, éclaté, pour permettre ainsi une émulation pédagogique et une mutualisation des moyens humains, pédagogiques et financiers au bénéfice des élèves. Pour restaurer la confiance dans l’Éducation nationale, il faut des responsables identifiés, avec des vraies marges de manœuvre, des responsables qui s’engagent sur des objectifs et qui rendent compte de leurs résultats. Nous voulons donc donner davantage d’autonomie aux directeurs d’établissements scolaires primaires et secondaires afin qu’ils puissent, en lien avec leurs équipes pédagogiques, s’adapter aux priorités locales et définir un projet d’établissement adapté. Le renforcement de l’autonomie des établissements doit signifier la possibilité pour le chef d’établissement (principal de collège, proviseur de lycée, directeur d’école) de gérer son budget comme il l’entend mais aussi et surtout de recruter librement son équipe enseignante et d’administration, en fonction du projet de son établissement. Une telle évolution doit naturellement s’accompagner d’une formation à la GRH des chefsd’établissement et un renforcement de l’équipe de direction. Elle doit aussi signifier l’autonomie pédagogique qui pourrait être consacrée aux approfondissements des programmes (le socle commun de connaissance restant la base commune), à l’organisation du travail des enseignants et à la possibilité d’aménager autrement les horaires des élèves, sur les modes privilégiés de groupement des élèves (groupes de compétence par exemple) sur une utilisation plus grande des postes à profil particulier.
Sarri Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Petit rappel : La FNAME est une association de maitres E qui défend donc les intérêts des maîtres E. Les autres options d'enseignants spécialisés ne comptent pas d'association aussi puissante que la FNAME. Fredo45, tu ne pars pas un peu en vacances cette année? Tu n'as pas un jardin au fond duquel tu pourrais planter ta tente en n'oubliant évidemment pas de couper quelques jours ton WIFI???
montagny Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 De la part d'un membre du GDID, c'est un compliment. Mais vous savez, plutôt que d'adhérer au GDID, adhérez directement à l'UMP... Ca sera plus simple... Tu le diras aux dirlos du snuipp adhérant au gdid. Ta dernière remarque est la preuve de ton manque d arguments. Au gdid il y a justement des dirlos de tous les horizons (se sgenn fo snuipp...) qui propose une ligne et la même depuis le début...alors pour toi c est difficile à suivre!
Goëllette Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Je pense que ce que Zarko veut dire, et qu'on peut vérifier à chaque mouvement, c'est que ce n'est pas le statut (ou son absence) qui fait que les postes de direction sont attractifs ou pas, ce sont les décharges et les indemnités. Disons que lorsqu'un adjoint se pose la question de prendre une direction, ce n'est peut-être pas l'absence de statut qui fait qu'il ne franchit pas le pas. Par contre, s'il y avait un statut, peut-être que beaucoup moins de directeurs en place jetteraient l'éponge, et que ceux qui ont repris un poste d'adjoint redemanderaient des directions.
Polythene Pam Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 De la part d'un membre du GDID, c'est un compliment. Mais vous savez, plutôt que d'adhérer au GDID, adhérez directement à l'UMP... Ca sera plus simple... Bravo. Du grand art.....
Zarko Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Je pense que ce que Zarko veut dire, et qu'on peut vérifier à chaque mouvement, c'est que ce n'est pas le statut (ou son absence) qui fait que les postes de direction sont attractifs ou pas, ce sont les décharges et les indemnités. Disons que lorsqu'un adjoint se pose la question de prendre une direction, ce n'est peut-être pas l'absence de statut qui fait qu'il ne franchit pas le pas. Par contre, s'il y avait un statut, peut-être que beaucoup moins de directeurs en place jetteraient l'éponge, et que ceux qui ont repris un poste d'adjoint redemanderaient des directions. Pas certain du tout...Avec un statut qui te met à la botte des élus locaux ou qui te met un groupe d'écoles sous ta responsabilité, c'est pas du tout le même boulot...Ne croyez pas qu'il vous donneront un statut de "proviseur de primaire"...
Frédo45 Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 De la part d'un membre du GDID, c'est un compliment. Mais vous savez, plutôt que d'adhérer au GDID, adhérez directement à l'UMP... Ca sera plus simple... Tu le diras aux dirlos du snuipp adhérant au gdid. Ta dernière remarque est la preuve de ton manque d arguments. Au gdid il y a justement des dirlos de tous les horizons (se sgenn fo snuipp...) qui propose une ligne et la même depuis le début...alors pour toi c est difficile à suivre! Tu sais... je connais des dirlos qui transfèrent discrètement les messages du GDID. Ils ne s'en vantent pas... C'est bien qu'il y a quelque chose de honteux dans vos propositions...
Frédo45 Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Donner un statut juridique aux établissements de premier degré et à leur directeur. Cette mesure consiste donc à doter l’école, actuellement dépourvue de la personnalité morale à la différence des collèges et des lycées, d’un statut juridique qui en permette une gestion pédagogique moderne et efficace. Elle permettrait de créer un véritable statut d’emploi pour les directeurs d’établissements publics d’enseignement primaire. Les écoles de petite taille pourraient être associées en un seul établissement, éclaté, pour permettre ainsi une émulation pédagogique et une mutualisation des moyens humains, pédagogiques et financiers au bénéfice des élèves. Pour restaurer la confiance dans l’Éducation nationale, il faut des responsables identifiés, avec des vraies marges de manœuvre, des responsables qui s’engagent sur des objectifs et qui rendent compte de leurs résultats. Nous voulons donc donner davantage d’autonomie aux directeurs d’établissements scolaires primaires et secondaires afin qu’ils puissent, en lien avec leurs équipes pédagogiques, s’adapter aux priorités locales et définir un projet d’établissement adapté. Le renforcement de l’autonomie des établissements doit signifier la possibilité pour le chef d’établissement (principal de collège, proviseur de lycée, directeur d’école) de gérer son budget comme il l’entend mais aussi et surtout de recruter librement son équipe enseignante et d’administration, en fonction du projet de son établissement. Une telle évolution doit naturellement s’accompagner d’une formation à la GRH des chefsd’établissement et un renforcement de l’équipe de direction. Elle doit aussi signifier l’autonomie pédagogique qui pourrait être consacrée aux approfondissements des programmes (le socle commun de connaissance restant la base commune), à l’organisation du travail des enseignants et à la possibilité d’aménager autrement les horaires des élèves, sur les modes privilégiés de groupement des élèves (groupes de compétence par exemple) sur une utilisation plus grande des postes à profil particulier. Je replace ça... Du grand art en effet...
Zarko Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Donner un statut juridique aux établissements de premier degré et à leur directeur. Cette mesure consiste donc à doter l’école, actuellement dépourvue de la personnalité morale à la différence des collèges et des lycées, d’un statut juridique qui en permette une gestion pédagogique moderne et efficace. Elle permettrait de créer un véritable statut d’emploi pour les directeurs d’établissements publics d’enseignement primaire. Les écoles de petite taille pourraient être associées en un seul établissement, éclaté, pour permettre ainsi une émulation pédagogique et une mutualisation des moyens humains, pédagogiques et financiers au bénéfice des élèves. Pour restaurer la confiance dans l’Éducation nationale, il faut des responsables identifiés, avec des vraies marges de manœuvre, des responsables qui s’engagent sur des objectifs et qui rendent compte de leurs résultats. Nous voulons donc donner davantage d’autonomie aux directeurs d’établissements scolaires primaires et secondaires afin qu’ils puissent, en lien avec leurs équipes pédagogiques, s’adapter aux priorités locales et définir un projet d’établissement adapté. Le renforcement de l’autonomie des établissements doit signifier la possibilité pour le chef d’établissement (principal de collège, proviseur de lycée, directeur d’école) de gérer son budget comme il l’entend mais aussi et surtout de recruter librement son équipe enseignante et d’administration, en fonction du projet de son établissement. Une telle évolution doit naturellement s’accompagner d’une formation à la GRH des chefsd’établissement et un renforcement de l’équipe de direction. Elle doit aussi signifier l’autonomie pédagogique qui pourrait être consacrée aux approfondissements des programmes (le socle commun de connaissance restant la base commune), à l’organisation du travail des enseignants et à la possibilité d’aménager autrement les horaires des élèves, sur les modes privilégiés de groupement des élèves (groupes de compétence par exemple) sur une utilisation plus grande des postes à profil particulier. Je replace ça... Du grand art en effet... Oui , effectivement, ça craint un peu...Je ne retrouve pas ces propositions sur le site du GDID....Rien n'empêche à celui qui a écrit cet article de créer sa propre école privée, hors contrat...
ColdTurkey Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Pour restaurer la confiance dans l’Éducation nationale, il faut des responsables identifiés, avec des vraies marges de manœuvre, des responsables qui s’engagent sur des objectifs et qui rendent compte de leurs résultats. Est-ce ce que vous souhaitez pour votre école et pour vos enfants?
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