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Nouveau statut des directeurs?


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Ce n'est pas tout à fait l'impression qu'en ont les adjoints ex dirlos qui en sont partis.

Et puis cette association a connu un virage récent un peu "jusque boutiste" qui me convient moins.

Tes propos et ta façon de les exprimer me semblent l'illustrer.

Je ne lisais pas ce type d'arguments autrefois.

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Cela passe simplement par une redéfinition très précise de ce qui relève des directeurs et de ce qui ne relève pas d'eux.

Il serait simple de supprimer tout un tas de démarches administratives et d'enquêtes :

- Inscription des élèves par les mairies (Elles ont des secrétaires). On limiterait ainsi notre partie aux répartitions.

- Réduction importante de tous les documents concernant les projets d'école (d'autres choses de plus importantes à faire que de remplir des portfolios).

- Simplification de toutes les démarches via de vrais outils informatiques (afin de ne plus faire maintes fois les mêmes papiers pour les mêmes actions).

- Gestion des 108h est du domaine de chaque enseignant (donc l'IEN vérifie lors de ses visites aux enseignants).

- Gestion de l'anglais ou d'autres activités (IDEM), et on peut mettre là-dedans un bon nombre d'enquêtes.

- PPMS, c'est le rôle de la mairie

Et je suis certain que vous pouvez ajouter tout un tas de lignes qui libéreraient du temps et de l'énergie.

Alors, si on laissait la mairie faire, elle nous imposerait tous les dérogataires sans prendre en compte la taille des classes (certaines ridicules), ni nos enfants lourdement handicapés (ceux détectés, les autres...) et on aurait donc 32 enfants par classe en mater.

Parce que l'intérêt de la mairie, ce n'est pas les enfants, c'est d'éviter de devoir ouvrir des classes et de construire des écoles.

Donc, confier ça à la mairie, c'est dangereux.

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C'est le côté administratif dont je parle.

Ceci étant dit, ce sont bien les mairies qui inscrivent les élèves et elles qui choisissent où ils vont.

Donc autant qu'elles remplissent base élèves.

Ensuite concernant la taille des classes, c'est du ressort de l'EN de mettre en place le nombre d'enseignants correspondant au nombre d'élèves et aux difficultés particulières. Sur ce dernier point (et en particulier sur celui de l'intégration), notre ministère s'est largement laissé aller et n'a pas mis en place les actions nécessaires à un vrai accueil des enfants porteurs de handicap. D'ailleurs, dans l'ensemble, l'accueil des élèves s'est dégradé au fil des dernières années.

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Ce n'est pas tout à fait l'impression qu'en ont les adjoints ex dirlos qui en sont partis.

Et puis cette association a connu un virage récent un peu "jusque boutiste" qui me convient moins.

Tes propos et ta façon de les exprimer me semblent l'illustrer.

Je ne lisais pas ce type d'arguments autrefois.

Je ne parle qu'en mon nom et mon côté ironique et provocateur est purement personnel.

Je ne suis qu'un adhérent du GDID et le fait que cette association soit reçue avant les syndicats montre bien que les responsables sont sur le bon chemin. Il n'y a qu'à lire le projet de statut pour se faire une idée :

http://www.dirlo.fr/perso/oneclick/statut.html

C'est comme pour tout, il vaut mieux lire l'original plutôt que les opposants qui le déforme...

NB : ma manière de m'exprimer est toujours en relation avec le ton d'un autre...

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C'est le côté administratif dont je parle.

Ceci étant dit, ce sont bien les mairies qui inscrivent les élèves et elles qui choisissent où ils vont.

Donc autant qu'elles remplissent base élèves.

Ensuite concernant la taille des classes, c'est du ressort de l'EN de mettre en place le nombre d'enseignants correspondant au nombre d'élèves et aux difficultés particulières. Sur ce dernier point (et en particulier sur celui de l'intégration), notre ministère s'est largement laissé aller et n'a pas mis en place les actions nécessaires à un vrai accueil des enfants porteurs de handicap. D'ailleurs, dans l'ensemble, l'accueil des élèves s'est dégradé au fil des dernières années.

Dans certaines écoles de ma ville, le directeur ne savait même pas que la mairie avait "détourné" 25 enfants du secteur... Une ouverture de classe quoi. (pour les dispatcher dans les autres écoles de la ville en faisant peur aux parents "attention, si vous vous dépêchez pas de choisir, vous irez là (école pourrie)")

Pour moi, les mairies de devraient pas choisir que certains enfants n'aient pas accès à leur école de secteur, tout ça pour faire des économies et ne pas construire de locaux. Ce qui fait qu'on a souvent des classes de 32 en mater chez nous...

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Cela passe simplement par une redéfinition très précise de ce qui relève des directeurs et de ce qui ne relève pas d'eux.

Il serait simple de supprimer tout un tas de démarches administratives et d'enquêtes :

- Inscription des élèves par les mairies (Elles ont des secrétaires). On limiterait ainsi notre partie aux répartitions.

- Réduction importante de tous les documents concernant les projets d'école (d'autres choses de plus importantes à faire que de remplir des portfolios).

- Simplification de toutes les démarches via de vrais outils informatiques (afin de ne plus faire maintes fois les mêmes papiers pour les mêmes actions).

- Gestion des 108h est du domaine de chaque enseignant (donc l'IEN vérifie lors de ses visites aux enseignants).

- Gestion de l'anglais ou d'autres activités (IDEM), et on peut mettre là-dedans un bon nombre d'enquêtes.

- PPMS, c'est le rôle de la mairie

Et je suis certain que vous pouvez ajouter tout un tas de lignes qui libéreraient du temps et de l'énergie.

Alors, si on laissait la mairie faire, elle nous imposerait tous les dérogataires sans prendre en compte la taille des classes (certaines ridicules), ni nos enfants lourdement handicapés (ceux détectés, les autres...) et on aurait donc 32 enfants par classe en mater.

Parce que l'intérêt de la mairie, ce n'est pas les enfants, c'est d'éviter de devoir ouvrir des classes et de construire des écoles.

Donc, confier ça à la mairie, c'est dangereux.

Je rappelle tout de même que normalement, c'est ce qui doit se faire. D'ailleurs, dans les communes où il y a plusieurs écoles, c'est quand même mieux pour le dirlo parce que si c'est lui qui décide de la carte scolaire, c'est lui donner un pouvoir qu'il n'a pas.

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Ce n'est pas tout à fait l'impression qu'en ont les adjoints ex dirlos qui en sont partis.

Et puis cette association a connu un virage récent un peu "jusque boutiste" qui me convient moins.

Tes propos et ta façon de les exprimer me semblent l'illustrer.

Je ne lisais pas ce type d'arguments autrefois.

Je ne parle qu'en mon nom et mon côté ironique et provocateur est purement personnel.

Je ne suis qu'un adhérent du GDID et le fait que cette association soit reçue avant les syndicats montre bien que les responsables sont sur le bon chemin. Il n'y a qu'à lire le projet de statut pour se faire une idée :

http://www.dirlo.fr/perso/oneclick/statut.html

C'est comme pour tout, il vaut mieux lire l'original plutôt que les opposants qui le déforme...

NB : ma manière de m'exprimer est toujours en relation avec le ton d'un autre...

On doit prendre ça pour une plaisanterie ? Les syndicats sont représentés en CTM donc le GDID n'est pas reçu avant les syndicats puisque les syndicats par l'intermédiaire des instances représentatives sont régulièrement en contact avec le ministère. On en lit des belles ici...

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C'est le côté administratif dont je parle.

Ceci étant dit, ce sont bien les mairies qui inscrivent les élèves et elles qui choisissent où ils vont.

Donc autant qu'elles remplissent base élèves.

Ensuite concernant la taille des classes, c'est du ressort de l'EN de mettre en place le nombre d'enseignants correspondant au nombre d'élèves et aux difficultés particulières. Sur ce dernier point (et en particulier sur celui de l'intégration), notre ministère s'est largement laissé aller et n'a pas mis en place les actions nécessaires à un vrai accueil des enfants porteurs de handicap. D'ailleurs, dans l'ensemble, l'accueil des élèves s'est dégradé au fil des dernières années.

Dans certaines écoles de ma ville, le directeur ne savait même pas que la mairie avait "détourné" 25 enfants du secteur... Une ouverture de classe quoi. (pour les dispatcher dans les autres écoles de la ville en faisant peur aux parents "attention, si vous vous dépêchez pas de choisir, vous irez là (école pourrie)")

Pour moi, les mairies de devraient pas choisir que certains enfants n'aient pas accès à leur école de secteur, tout ça pour faire des économies et ne pas construire de locaux. Ce qui fait qu'on a souvent des classes de 32 en mater chez nous...

C'est le système dérogatoire qui est à remettre en cause. Un enfant devrait être scolarisé dans l'école de son secteur, point. Aucune possibilité de dérogation dès lors que la carte scolaire est connue de tous.

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Ce n'est pas tout à fait l'impression qu'en ont les adjoints ex dirlos qui en sont partis.

Et puis cette association a connu un virage récent un peu "jusque boutiste" qui me convient moins.

Tes propos et ta façon de les exprimer me semblent l'illustrer.

Je ne lisais pas ce type d'arguments autrefois.

Je ne parle qu'en mon nom et mon côté ironique et provocateur est purement personnel.

Je ne suis qu'un adhérent du GDID et le fait que cette association soit reçue avant les syndicats montre bien que les responsables sont sur le bon chemin. Il n'y a qu'à lire le projet de statut pour se faire une idée :

http://www.dirlo.fr/perso/oneclick/statut.html

C'est comme pour tout, il vaut mieux lire l'original plutôt que les opposants qui le déforme...

NB : ma manière de m'exprimer est toujours en relation avec le ton d'un autre...

On doit prendre ça pour une plaisanterie ? Les syndicats sont représentés en CTM donc le GDID n'est pas reçu avant les syndicats puisque les syndicats par l'intermédiaire des instances représentatives sont régulièrement en contact avec le ministère. On en lit des belles ici...

Pour le référentiel métier, le GDID a été reçu avant le Snuipp ; en effet, t'en apprends de belles !

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C'est le côté administratif dont je parle.

Ceci étant dit, ce sont bien les mairies qui inscrivent les élèves et elles qui choisissent où ils vont.

Donc autant qu'elles remplissent base élèves.

Ensuite concernant la taille des classes, c'est du ressort de l'EN de mettre en place le nombre d'enseignants correspondant au nombre d'élèves et aux difficultés particulières. Sur ce dernier point (et en particulier sur celui de l'intégration), notre ministère s'est largement laissé aller et n'a pas mis en place les actions nécessaires à un vrai accueil des enfants porteurs de handicap. D'ailleurs, dans l'ensemble, l'accueil des élèves s'est dégradé au fil des dernières années.

Dans certaines écoles de ma ville, le directeur ne savait même pas que la mairie avait "détourné" 25 enfants du secteur... Une ouverture de classe quoi. (pour les dispatcher dans les autres écoles de la ville en faisant peur aux parents "attention, si vous vous dépêchez pas de choisir, vous irez là (école pourrie)")

Pour moi, les mairies de devraient pas choisir que certains enfants n'aient pas accès à leur école de secteur, tout ça pour faire des économies et ne pas construire de locaux. Ce qui fait qu'on a souvent des classes de 32 en mater chez nous...

C'est le système dérogatoire qui est à remettre en cause. Un enfant devrait être scolarisé dans l'école de son secteur, point. Aucune possibilité de dérogation dès lors que la carte scolaire est connue de tous.

Le problème est que certaines écoles de secteur sont blindées. Donc, pour éviter d'avoir une ouverture de classe et donc d'engager des frais, la mairie dispatchent les enfants du secteur sur les écoles alentours en augmentant par là-même les effectifs de toutes les écoles...

Donc, pour ne pas avoir à ouvrir de classe, la mairie inscrit les dérogataires (ceux qui n'ont pas de place dans leur école de secteur et que la mairie a viré...) jusqu'à 32 dans les autres écoles.

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C'est le côté administratif dont je parle.

Ceci étant dit, ce sont bien les mairies qui inscrivent les élèves et elles qui choisissent où ils vont.

Donc autant qu'elles remplissent base élèves.

Ensuite concernant la taille des classes, c'est du ressort de l'EN de mettre en place le nombre d'enseignants correspondant au nombre d'élèves et aux difficultés particulières. Sur ce dernier point (et en particulier sur celui de l'intégration), notre ministère s'est largement laissé aller et n'a pas mis en place les actions nécessaires à un vrai accueil des enfants porteurs de handicap. D'ailleurs, dans l'ensemble, l'accueil des élèves s'est dégradé au fil des dernières années.

Dans certaines écoles de ma ville, le directeur ne savait même pas que la mairie avait "détourné" 25 enfants du secteur... Une ouverture de classe quoi. (pour les dispatcher dans les autres écoles de la ville en faisant peur aux parents "attention, si vous vous dépêchez pas de choisir, vous irez là (école pourrie)")

Pour moi, les mairies de devraient pas choisir que certains enfants n'aient pas accès à leur école de secteur, tout ça pour faire des économies et ne pas construire de locaux. Ce qui fait qu'on a souvent des classes de 32 en mater chez nous...

C'est le système dérogatoire qui est à remettre en cause. Un enfant devrait être scolarisé dans l'école de son secteur, point. Aucune possibilité de dérogation dès lors que la carte scolaire est connue de tous.

Le problème est que certaines écoles de secteur sont blindées. Donc, pour éviter d'avoir une ouverture de classe et donc d'engager des frais, la mairie dispatchent les enfants du secteur sur les écoles alentours en augmentant par là-même les effectifs de toutes les écoles...

Donc, pour ne pas avoir à ouvrir de classe, la mairie inscrit les dérogataires (ceux qui n'ont pas de place dans leur école de secteur et que la mairie a viré...) jusqu'à 32 dans les autres écoles.

Ca confirme ce que je dis, on doit se tenir à la carte scolaire. Point, aucune dérogation possible !

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Sauf que jusqu'à nouvel ordre, il n'y a pas de membres du GDID en CTM... Et que le SNUipp, comme les autres syndicats, s'entretiennent régulièrement avec le Ministère. Alors, masturbez-vous autant que vous voulez mais ceci est un fait : nous participons aux décisions, pas vous. Vous avez été reçus avant le groupe de travail auquel vous ne participez pas contrairement aux syndicats. Pourquoi le ministre vous aurait-il reçu après la tenue du groupe de travail ? Quel intérêt à cela ?

Outre la grande vulgarité du message, je ne peux m'empêcher de bondir sur le fond. Je ne suis pas au GDID, je ne suis qu'un petit pion qui devrait être représenté par les syndicats parce que normalement, représenter le personnel dans son ensemble et ses demandes c'est ça leur boulot...

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