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http://www.lyonmag.com/article/67465/rythmes-scolaires-a-lyon-collomb-devait-il-scolariser-ses-filles-dans-le-public

Monsier collomb maire de Lyon. Champion !

Je préfère ne pas faire de commentaires tellement c'est. ..

Oui, c'est scandaleux, et ça confirme bien que: :

1/cette réforme n'est pas dans l'intérédézenfants

2/Le PS et ses alliés se foutent du monde

3/ qu'il y a un objectif , qui est bien celui qu'on pouvait craindre: la municipalisation de l'école ...

4/qu'on se fait avoir sans rien dire...

Ecoeuré. :(

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Médiapart

11/09/14

http://blogs.mediapart.fr/blog/terrains-de-luttes/110914/la-reforme-des-rythmes-scolaires-accroit-les-inegalites-dans-les-ecoles-rurales

La réforme des rythmes scolaires accroit les inégalités dans les communes rurales.

"[...] Terrains de luttes propose de revenir sur les problèmes posés par cette réforme à partir du récit de deux professeur-e-s des écoles travaillant dans des communes rurales du Limousin, tous deux syndiqués au SNUipp-FSU. Fleur est, depuis 8 ans, directrice d’une école maternelle et élémentaire de 4 classes et 85 élèves à Saint-Sylvestre, bourg de 800 habitants situé à trente minutes de Limoges. Guillaume enseigne lui à Bessines-sur-Gartempe (3 000 habitants), depuis 6 ans, dans une école élémentaire de 9 classes. Favorable à une réforme des rythmes scolaires, ils se sont pourtant mobilisés contre le chemin emprunté par le gouvernement socialiste. A Bessines, la mobilisation des parents et des enseignants en 2013 a obligé l’élu PS à revoir sa copie quelques mois avant les élections. A Saint-Sylvestre, le conseil d’école puis le conseil municipal (sans étiquette) ont voté contre la mise en place de la réforme en raison de l’absence de moyens financier pour l’appliquer. Une demande de dérogation pour rester à quatre jours a été déposée, malgré la pression de l’inspection académique. Cette dernière a alors imposé un emploi du temps. [...]"

Lisez l'article en entier, c'est l'exemple type de ce qui se passe dans la grande majorité des écoles. Oui, on est plus que déçus par ce gvt... Bientôt en colère ou totalement résignés?

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Les collègues sont très abattus en ce début d'année, dans ma circonscription.

La réforme amplifie les difficultés dues aux enseignants non formés et aux effectifs de plus en plus importants dans les classes.

Posté(e)
Nouveaux désordres à Marseille à cause des rythmes scolaires
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10 % des écoles ont accueilli les enfants vendredi après-midi dans la cité phocéenne, du fait notamment d'une grève des personnels.

Nouveau vendredi de manifestation à Marseille. Parents en colère, animateurs et personnel de surveillance s'étaient donné rendez-vous comme vendredi dernier devant la mairie centrale pourafficher leur colère et réclamer la mise en place des nouveaux rythmes scolaires, donc des activités éducatives pour les enfants le vendredi après-midi, options choisies par Marseille. Mais la ville a d'abord demandé un moratoire puis proposé du soutien scolaire en guise d'activités périscolaires et n'a commencé à organiser ces activités que mi-juillet. Rien n'est donc prêt et les parents doivent faire garder leurs enfants après l'école le vendredi après-midi où il n'y a plus classe. Une cinquantaine d'écoles seulement, sur 445, assurait une garderie vendredi, certaines grâce à des élus.

«Nous avons refusé de prendre nos postes car nous n'avons pas assez d'animateurs pour faire correctement notre travail »
Alain, éducateur sportif de 47 ans

«Je suis d'autant plus en colère qu'à l'école des Caillols dans le XIIe arrondissement, il devait y avoir les premières activités. Mais l'animateur référent étant en grève, tout est tombé à l'eau! Et on nous dit que vendredi prochain, ce sont les tatas (les personnels de service) qui seront en grève…», s'insurge Virginie, venue manifester avec sa fille de 7 ans.

Un peu plus loin, les animateurs manifestent bruyamment: «Nous avons refusé de prendre nos postes car nous n'avons pas assez d'animateurs pour faire correctement notre travail», explique Alain, éducateur sportif de 47 ans, qui travaille depuis de nombreuses années pour la Ville comme vacataire. «Je gagnais 17 euros de l'heure, et là on me donne 12 euros pour encadrer les activités et l'équipe d'animateurs et assumer beaucoup plus de responsabilités. Nous demandons une intégration et une meilleure rémunération», poursuit-il.

Tous espéraient être reçus par un représentant de la municipalité. «On veut obliger la Ville à nous associer à l'organisation d'activités périscolaires de qualité», commente Séverine Gil, présidente du collectif indépendant de parents d'élèves, MPE13. Elle a écrit à la ministre de l'Éducation, Najat Vallaud-Belkacem, qui devrait se rendre dans quelques jours à Marseille, pour réclamer «un plan d'urgence pour les écoles marseillaises et contraindre la Ville à prendre ses responsabilités».

https://www.facebook.com/groups/609556085733767/786199691402738/?notif_t=group_comment

Elle va avoir du boulot...Là elle va s'en prendre à Gaudin, mais dans les villes PS où il y a une contestation contre cette réforme malgré la mise en oeuvre des NAP ? Qui du calendrier scolaire national ? (ponts, rattapages etc.)?

Posté(e)

Apparemment des villes "résistent" toujours !

Rythmes scolaires: la ville lance un appel aux parents
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14/09/2014 à 10h35
Par C.Lombard
La ville de Port-Saint-Louis-du-Rhône poursuit son offensive contre la réforme des rythmes scolaires et surtout contre l'école le mercredi matin. Cette semaine la municipalité appelle de nouveau les parents à se mobiliser avec un communiqué signé par le maire Martial Alvarez :

« Suite à la forte mobilisation de ce mercredi 10/09/2014 où plus de 80% des familles n'ont pas mis leur enfant a l'école, les associations de parents d'élèves ont souhaité unanimement poursuivre le mouvement et appelle à ne pas scolariser les enfants mercredi 17/09/2014.
Ceci conforte la décision prise en conseil municipal par l'ensemble des élus de la ville de Port Saint Louis du Rhône de s'opposer à la mise en place de la nouvelle réforme des rythmes scolaires.
Aussi pour témoigner de notre soutien à cette démarche, j'ai décidé, avec l'accord de l'ensemble des élus, d'ouvrir gratuitement le centre aéré toute la journée de ce mercredi 17/09/2014. »
Posté(e)

Rythmes scolaires : le bras de fer entre parents d’écoliers et élus de Bouchain

PUBLIÉ LE 13/09/2014

Par Francis THUILLIEZ

C’est une réunion explosive qui s’est déroulée ce samedi à Bouchain : d’un côté, des élus qui appliquent, contraints et forcés, la réforme des rythmes scolaires ; de l’autre, des parents qui se disent otages.

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Vendredi soir, les parents de Jean-Zay s’étaient réunis dans la cour de leur école pour préparer la rencontre avec le maire du lendemain. Ceux de « l’école ronde » (Albert-Douay) l’avaient fait quelques jours plus tôt.

Comme prévu, les parents d’élèves des écoles Jean-Zay et Albert-Douay de Bouchain, remontés comme des coucous suisses, ont porté leur mécontentement sur la place publique. Plus de cent cinquante personnes (enfants compris) se sont rendues à l’hôtel de ville. Mais c’est à la salle de réception que le maire et treize membres de sa majorité, attendaient les pétitionnaires. On pensait qu’une simple délégation serait reçue par le premier magistrat, mais ce dernier avait choisi le (dangereux) face-à-face. Comme on pouvait s’y attendre, on a eu droit à une guerre de tranchées.

Tout avait bien commencé

Pourtant, tout avait bien commencé. Arnaud Ryckewarde, membre du comité Jean-Zay, a synthétisé d’entrée le décalage entre la délibération prise par le conseil municipal le 3 septembre (les TAP – temps d’activités périscolaires – se tiendront lors de la pause méridienne) et le point de vue des parents qui ne souhaitent pas, en majorité semble-t-il, être obligés de participer, monnaie sonnante et trébuchante, aux TAP dès lors que leurs enfants mangent à la cantine, préférant qu’elles se déroulent par exemple le vendredi après-midi, comme cela se fait, et souvent gratuitement, dans les communes voisines. « Nous, on ne veut que payer le service rendu, et ne pas être obligés de s’acquitter de quatre jours de cantine alors que nos enfants ne mangeront qu’une ou deux fois. C’est un choix de vie que vous nous imposez ! », clame un parent, résumant l’opinion générale.

Le maire : « Vous avez fait des enfants, il faut assumer ! »

Dans une telle assemblée, chacun voit midi à sa porte et des cas très particuliers veulent devenir vérité collective. Bref, on a beaucoup crié, applaudi, critiqué, proposé… Certains parents ne comprennent pas que ce qui réussit ailleurs ne peut pas s’appliquer à Bouchain. Il y a eu aussi des reproches (« La plupart des élus sont d’un âge où il y a déjà longtemps qu’ils n’ont plus d’enfants en primaire ! ») et des phrases malheureuses, qui ont fait hurler les parents : « Vous avez des enfants, il faut les assumer ! » (Jacques-Pierre Boltz).

Finalement, après plus d’une heure et demie de palabres, le maire, pressé d’inaugurer le nouveau club-house du tennis, a clos la réunion : « Jusqu’au 8 octobre (date du prochain conseil municipal), vous ne paierez que la cantine et on gardera les enfants jusqu’à 13 h 35. Je ferai de la garderie, pas de l’animation. Les enfants seront lâchés à 16 heures et il y aura la possibilité d’intégrer le périscolaire au prix forfaitaire de 2,60 €. »

Les élus de Bouchain, pas dans le rythme (scolaire)

Le conseil municipal de la capitale de l’Ostrevant n’a pas été dans la classe des bons élèves pour l’application de la réforme des rythmes scolaires (l’idée générale étant d’alléger les heures quotidiennes de chaque jour en étalant la semaine sur quatre jours et demi). « La loi a changé plusieurs fois et c’est à l’État, qui nous impose la charge financière, d’assumer », a plusieurs fois martelé le maire, avant de mettre en place à la dernière rentrée, un peu le couteau sous la gorge, un dispositif minimal. D’ailleurs, lors de la séance du 4 juin 2014, le conseil avait voté majoritairement contre (par vingt voix), les sept membres de l’opposition préférant s’abstenir.

Les dernières vacances d’été ont été mises à profit pour instaurer les temps d’activités périscolaires (TAP) dans les deux écoles bouchinoises à partir du 29 septembre (en cinq périodes de 6 à 8 semaines). En résumé, les enfants peuvent être accueillis en TAP les lundi, mardi, jeudi et vendredi, lors de la pause méridienne (entre 13 heures et 13 h 45), moyennant 1,5 € (somme maxi, 2 € pour les non Bouchinois). Ce qui ne satisfait pas beaucoup de parents et notamment ceux qui travaillent et dont les enfants mangent à la cantine : « Nous sommes pris en otage puisque la municipalité oblige la participation des enfants demi-pensionnaires », déplorent la pétition et la lettre qui a été envoyée au préfet.

Aujourd’hui, sous la pression, Jacques-Pierre Boltz fait machine arrière (lire ci-dessus) et nous voilà quasiment revenus à la situation de la rentrée 2013-2014. Au moins jusqu’au conseil municipal du 8 octobre où il faudra remettre l’ouvrage sur le métier.

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Sur le site du SIEN :

"A défaut de bonnets rouges, des gilets jaunes ! Verts de rage, tous broient du noir ou voient rouge à cause des éléphants roses et d'un président qui, pour ses détracteurs, est un vrai bleu ! Quant à l'IEN, il agite le drapeau blanc, rit jaune et, parfois, se sent marron..."

Posté(e)

Sur le site du SIEN :

"A défaut de bonnets rouges, des gilets jaunes ! Verts de rage, tous broient du noir ou voient rouge à cause des éléphants roses et d'un président qui, pour ses détracteurs, est un vrai bleu ! Quant à l'IEN, il agite le drapeau blanc, rit jaune et, parfois, se sent marron..."

Pas mal ! :) ...et les PE aimeraient ne pas devenir pâles ou transparents !

Posté(e)

Intervention en tant que modérateur :

La revue de presse sur les rythmes scolaires, c'est ici, pas la peine d'ouvrir de nouveaux sujets avec un article sur les rythmes. Merci, encore une fois, de donner clairement le titre du journal ou de la revue, ainsi qu'un lien.

Posté(e)

Rythmes scolaires à Ablon. Fronde des parents d'élèves

Ablon - 10h37
  • fronde-des-parents-deleves_0.jpgUne quarantaine de parents étaient présents. | OF.
Lundi soir, une quarantaine de parents d'élèves ont interpellé le maire, Xavier Canu.

Après l'affaire du bus qui risquait de ne pas passer le mercredi matin, officiellement réglée « sans que cela ne nous coûte quoi que ce soit », a confirmé le maire ; reste le souci de la mise en place des nouveaux rythmes scolaires. Et surtout de leur coût, 1 € demandé aux parents par activité de 3/4 d'heure, qui se tient quatre après-midis par semaine.

« Moi j'ai deux enfants, je ne peux pas sortir 8 € par semaine », annonce ce père. « Mais si je ne vous demande pas ces 1 €, je devrai faire comme de nombreuses autres communes pour rémunérer les intervenants : augmenter les impôts », se défend Xavier Canu.

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>>> Retrouvez cet article dans son intégralité dans votre édition Ouest-France pays d'Auge page Honfleur de mercredi 17 septembre

http://www.ouest-france.fr/rythmes-scolaires-ablon-fronde-des-parents-deleves-2830712

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