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20 élèves. 9 non francophones natifs. 2 dys. un trouble du comportement.

8h30-11h30 et 12h50-15h20 sauf mercredi matin 8h30-12h30.

école de 1350 élèves, 74 classes, 124 instits, une infirmière, 1 psy à 1/2 temps, 1 directeur supérieur hiérarchique, un conseiller péda à 1/2 temps, 2 secrétaires, 40 surveillants et animateurs péri scolaire (payant), cantine avec 3 services de 30 minutes (horaires décalés mater/cp ce1/ce2 cm)

on fait tout sauf le sport et encore ça dépend des années.

une coordination pédagogique par niveau (entre 11 et 12 classes) + une coordination pédagogique par section linguistique. Chaque coordinateur à 1h30 de décharge horaire.

5 à 6 surveillance de récré ou matin ou après les cours (20 minutes)

visite d'un inspecteur tous les 2 à 3 ans.

Bonjour,

J'échange contre un CM2 en ZEP dans le 18ème à Paris !

Tout le monde peut candidater, les postes paraissent au BO tous les ans :

http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=77168

Posté(e)

20 élèves. 9 non francophones natifs. 2 dys. un trouble du comportement.

8h30-11h30 et 12h50-15h20 sauf mercredi matin 8h30-12h30.

école de 1350 élèves, 74 classes, 124 instits, une infirmière, 1 psy à 1/2 temps, 1 directeur supérieur hiérarchique, un conseiller péda à 1/2 temps, 2 secrétaires, 40 surveillants et animateurs péri scolaire (payant), cantine avec 3 services de 30 minutes (horaires décalés mater/cp ce1/ce2 cm)

on fait tout sauf le sport et encore ça dépend des années.

une coordination pédagogique par niveau (entre 11 et 12 classes) + une coordination pédagogique par section linguistique. Chaque coordinateur à 1h30 de décharge horaire.

5 à 6 surveillance de récré ou matin ou après les cours (20 minutes)

visite d'un inspecteur tous les 2 à 3 ans.

Ce doit être en Belgique...non ? :sort:

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Candidater oui, l'obtenir c'est autre chose ! ;)

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HAUTE SOMME Rythmes scolaires, rythmes de la colère

PUBLIÉ LE 19/09/2014

Marion Bertemes

545982017_B973597619Z.1_20140919111502_0La réforme des rythmes scolaires continue de diviser les communes. Il y a celles ou l’organisation est toute trouvée, celles qui tâtonnent et celles où rien ne se passe…

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Collection de liens (2)

Plus de deux semaines après la rentrée, comment se passe l’adaptation aux nouveaux rythmes scolaires ? Des parents mobilisés contre la réforme à l’organisation impeccable de certaines communes, tour d’horizon.

1) D es critiques, mais une mise en place sans trop de heurts

« La réforme doit permettre à tous d’avoir des activités sportives ou culturelles, mais elle est loin d’être égalitaire, dénonce Corinne Vermunt, directrice du regroupement scolaire d’Authies. Dans les villes, il y a des structures pour les activités. Dans les villages, ce n’est pas le cas. Il eut mieux valu laisser le mercredi et faire cours le samedi matin. »

Le syndicat intercommunal scolaire s’occupe des temps d’activités périscolaires (TAP), représentant trois heures par semaine. Pour préparer ces changements, un formulaire avait été envoyé aux parents en fin d’année scolaire. Ils sont peu à y avoir répondu.

À Authies, les TAP se déroulent jusqu’à présent sans problème, appuyés par un contrat aidé recruté pour spécialement pour ces activités.

Mais tout cela a un coût. Combien ? « Nous n’avons pas encore chiffré les dépenses », répond le maire, Honoré Froideval. Ce qui laisse présager de grosses factures, plus encore lorsque le ramassage scolaire sera à la charge des collectivités. « On se décharge de plus en plus sur les communes », remarque un maire. Les parents, eux, auront à payer les TAP et la garderie, soit 2 € de l’heure.

À Doingt-Flamicourt aussi, la réforme s’est faite dans de bonnes conditions. La commune a confié le temps d’apprentissage périscolaire à des éducateurs déjà formés, dans des structures existantes : les associations. Culture, sport, musique… Chaque élève dispose de 150 € à utiliser dans la ou les associations de son choix. « La réforme est faite pour l’enfant,elle doit donc profiter à l’enfant, rappelle le maire Michel Lamur. Cela aide aussi le tissu associatif local. » Un système couplé à trois quarts d’heure de garderie supplémentaires, « ce qui ne déclenche pas l’affluence à laquelle on s’attendait, les parents se sont adaptés ». Des parents satisfaits de cet arrangement. Le maire cite l‘exemple d’une mère de 3 enfants, qui a pu les inscrire à des activités sportives, ce qui lui était jusqu’alors financièrement impossible.

2) M anque de moyens ou boycott, quand la réforme ne passe pas

Romuald Deal est un papa en colère… et motivé. Impliqué dans le mouvement national contre la réforme scolaire, les Gilets jaunes, se déclinant en antennes régionales, il se veut porte-parole de l’opposition chez les parents de Moislains. Les Gilets Jaunes ont déclaré le 1er octobre journée de boycott et le papa s’applique à faire circuler l’information. « Nous nous battons pour la semaine de 4 jours, cette réforme a des effets néfastes sur les enfants », martèle-t-il, racontant que son fils de 5 ans est « épuisé ».

Le RPC de Moislains propose bien des TAP, dont les activités sont gratuites. Selon Romuald Deal, pâtisserie, tennis, couture, jeux de société ou art plastiques ne peuvent accueillir que 80 enfants sur les 150 scolarisés. « Les autres sont mis dehors à 15 heures, et il n’y a pas de bus pour qu’ils rentrent chez eux », s’indigne le papa. Jacqueline Rossie, première adjointe et présidente du RPC de Moislains, tient à préciser la situation : « Les TAP ne sont pas limitées en place. Les rares enfants sur liste d’attente sont ceux dont les parents n’ont pas souscrit à temps aux ateliers. La situation devrait très vite se débloquer. »

Entre élus, professeurs et membres des Gilets jaunes, l’ambiance ne semble pas au beau fixe. Comme avec un « mot d’excuse » du collectif, destiné à l’école et justifiant l’absence des enfants « pour protester contre les rythmes solaires ». Pour la directrice du RPC, Jacqueline Brohard : « Ces bulletins viennent d’Internet, nous n’en connaissons pas l’origine et ne pouvons les accepter. » Jacqueline Rossie déplore une opposition systématique, alors que « la loi est obligatoire et s’applique à tout le monde ». Beaucoup de bruit, pour une réforme « qui a tout de même permis de créer plus de 3 emplois ».

Tout en espérant une reculade pure et simple, Romuald Deal dit attendre de voir combien de parents participeront au boycott le 1er octobre. « Si c’est plus de 50 %, on enchaîne avec d’autres actions. Des réformes ont déjà été annulées, comme le CPE, alors c’est possible. »

Faire participer ou non ses enfants aux TAP est un problème qui ne se pose pas à Chaulnes. En effet, l’école n’en propose pas. « Faute de moyens, matériels comme humains, nous sommes dans l’impossibilité de mettre ces TAP en place », explique le maire Thierry Linéatte. Si les enfants sont bien présents pour les deux heures d’école du mercredi matin – « il y a obligation de venir, c’est la loi » – la colère gronde tout de même. « Personne n’est content, ni les enseignants, ni les élus, ni les parents, ni les enfants », énumère Thierry Linéatte. Ici aussi, la fatigue des petits et les emplois du temps chamboulés sont dénoncés.

Malgré le ras-le-bol général, l’appel des Gilets Jaunes n’a pas trouvé d’écho Moislains : « Nous nous attendions à un fort taux d’absentéisme, mais ça n’est pas le cas. »

D’une réforme née et gérée dans la précipitation, il faut maintenant passer à « une mise en place dans le calme, pour agir de la meilleure façon », conclut le maire.

Coup de gueule

« Cette réforme a été conçue pour les Parisiens, pour soulager les garderies surchargées et on l’a présentée comme une mesure pour alléger les journées des enfants. Depuis la rentrée de mon fils, ses horaires n’ont pas évolué. L’école commence à 9 heures, et il rentre le soir peu avant 17 heures après avoir pris le car, comme avant. Où est la différence ? Le mercredi, il a classe… de 9 à 11 heures. Au début, j’ai cru à une blague. Jusqu’à l’année dernière, on se débrouillait, on arrivait soit à le garder en posant une journée, soit en le confiant à mes parents, qui habitent à 25 kilomètres, car nous travaillons tous les deux toute la journée, et assez loin de notre domicile. Maintenant c’est impossible à cause de ces 2 heures de classe. Résultat, notre fils se lève tous les matins à 7 h 30 et le vendredi soir, il est crevé. Et que faisons-nous de lui le mercredi ? Qui va s’en occuper ? Qui payera les frais si nous prenons une nourrice ? Et nous n’aurons droit à aucune aide, comme d’habitude, car nous travaillons… J’ai posé une journée de repos le premier mercredi, et il y a 3 jours, mes parents sont venus le chercher. Mais nous ne ferons pas ça toute l’année : nous envisageons de ne plus le mettre à l’école le mercredi. Si tous les parents ne mettaient plus leurs enfants le mercredi, ça ferait évoluer les choses »

http://www.courrier-picard.fr/region/haute-somme-rythmes-scolaires-rythmes-de-la-colere-ia181b0n437403

Hé hé, ils commencent à comprendre !! :)

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Candidater oui, l'obtenir c'est autre chose ! ;)

14 écoles à travers l'Europe. Il faut avoir un certain profil. les syndicats donnent les critères dans leur édition partir hors de FRance.

Posté(e)

74 classes, ça doit être énorme. Tout est sur le même lieu ou il y a plusieurs sites ? Et je n'ose imaginer la cantine, ça doit être bien plus grand que le resto d'entreprise d'une grosse usine. Et le gymnase ? Il doit y en avoir plusieurs j'imagine... Ça doit être un truc gigantesque, je serai curieuse de voir ça :blink: Cependant, je sais que c'est courant dans les écoles françaises à l'étranger. J'ai une collègue qui a quitté l'école l'an dernier pour aller dans une école de ce genre en Espagne.

Posté(e)

HAUTE SOMME Rythmes scolaires, rythmes de la colère

PUBLIÉ LE 19/09/2014

Marion Bertemes

« Cette réforme a été conçue pour les Parisiens, pour soulager les garderies surchargées et on l’a présentée comme une mesure pour alléger les journées des enfants. Depuis la rentrée de mon fils, ses horaires n’ont pas évolué. L’école commence à 9 heures, et il rentre le soir peu avant 17 heures après avoir pris le car, comme avant. Où est la différence ? Le mercredi, il a classe… de 9 à 11 heures. Au début, j’ai cru à une blague. Jusqu’à l’année dernière, on se débrouillait, on arrivait soit à le garder en posant

Je ne vois pas comment plus de périscolaire allège la garderie ?

Avant les parents trouvaient parfois un mode de garde le mercredi et du coup, il y avait "peu" d'enfants le mercredi....mnt pour une demie journée c'est plus simple de les mettre au centre de loisirs donc ils sont plus + plus de péri en semaine où ils sont quasi tous là.....

Je vous assure, c'est pas plus adapté à Paris !!! Et c'est certainement plus difficile de faire qch qui tient la route à Paris que dans une commune plus petite !

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HAUTE SOMME Rythmes scolaires, rythmes de la colère

PUBLIÉ LE 19/09/2014

Marion Bertemes

« Cette réforme a été conçue pour les Parisiens, pour soulager les garderies surchargées et on l’a présentée comme une mesure pour alléger les journées des enfants. Depuis la rentrée de mon fils, ses horaires n’ont pas évolué. L’école commence à 9 heures, et il rentre le soir peu avant 17 heures après avoir pris le car, comme avant. Où est la différence ? Le mercredi, il a classe… de 9 à 11 heures. Au début, j’ai cru à une blague. Jusqu’à l’année dernière, on se débrouillait, on arrivait soit à le garder en posant

Je ne vois pas comment plus de périscolaire allège la garderie ?

Avant les parents trouvaient parfois un mode de garde le mercredi et du coup, il y avait "peu" d'enfants le mercredi....mnt pour une demie journée c'est plus simple de les mettre au centre de loisirs donc ils sont plus + plus de péri en semaine où ils sont quasi tous là.....

Je vous assure, c'est pas plus adapté à Paris !!! Et c'est certainement plus difficile de faire qch qui tient la route à Paris que dans une commune plus petite !

Je sais bien, mais cela montre la perplexité des parents devant cette réforme...Ils n'en voient absolument pas l'utilité et se demandent pourquoi on impose ce rythme pas adapté du tout. Il s'inventent donc des explications fausses devant l'absurdité.

Posté(e)

HAUTE SOMME Rythmes scolaires, rythmes de la colère

PUBLIÉ LE 19/09/2014

Marion Bertemes

« Cette réforme a été conçue pour les Parisiens, pour soulager les garderies surchargées et on l’a présentée comme une mesure pour alléger les journées des enfants. Depuis la rentrée de mon fils, ses horaires n’ont pas évolué. L’école commence à 9 heures, et il rentre le soir peu avant 17 heures après avoir pris le car, comme avant. Où est la différence ? Le mercredi, il a classe… de 9 à 11 heures. Au début, j’ai cru à une blague. Jusqu’à l’année dernière, on se débrouillait, on arrivait soit à le garder en posant

Je ne vois pas comment plus de périscolaire allège la garderie ?

Avant les parents trouvaient parfois un mode de garde le mercredi et du coup, il y avait "peu" d'enfants le mercredi....mnt pour une demie journée c'est plus simple de les mettre au centre de loisirs donc ils sont plus + plus de péri en semaine où ils sont quasi tous là.....

Je vous assure, c'est pas plus adapté à Paris !!! Et c'est certainement plus difficile de faire qch qui tient la route à Paris que dans une commune plus petite !

Et c'est certainement plus difficile de faire qch qui tient la route à Paris que dans une commune plus petite !

Pas sûr non plus ! :)

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Rythmes scolaires: ça grogne en Jarnacais

Le 18 septembre à 06h00 par Gilles BIOLLEY

Des parents des petites communes du Jarnacais s’élèvent contre les "galères" causées par l’école le mercredi. Et fustigent le manque de soutien de la CDC.

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Ecole de Houlette, hier: la grogne des parents est patente. Certains envisagent d’envoyer leurs enfants à Jarnac l’an prochain, un vrai risque pour l’école communale.. PHOTO/ G.B

Ils sont agacés, dépités pour certains, en rogne pour d’autres. "On est dans la galère complète tous les mercredis après-midi avec ces foutus rythmes scolaires", résume un père de famille venu récupérer hier midi ses enfants à l’école de Houlette, un établissement de la communauté de communes de Jarnac en Regroupement Pédagogique Intercommunal (RPI) avec le village voisin de Réparsac.

"Avec ma femme, poursuit-il, on en est à prendre à tour de rôle des demi-journées pour récupérer les enfants le mercredi après-midi. Et encore, ce n’est pas suffisant, alors on fait parfois garder le petit par son grand frère de 14 ans. Sans compter que tous ces congés pris seront des vacances en moins à passer avec eux. On marche sur la tête".

"Moi, j’ai dû poser mon congé parental, avec tous les sacrifices financiers que ça engendre", déplore de son côté une maman de deux enfants, dont le dernier de huit mois. Houlette, Réparsac, mais aussi à Sigogne, à Saint-Même-Les-Carrières ou Chassors, dans de nombreuses communes rurales de la CDC de Jarnac, la grogne monte.

Une tournée de bus "pas réalisable"

De plus en plus de parents d’élèves disent leur ras-le-bol face à l’instauration de la demi-journée de classe du mercredi matin et son impact sur l’organisation de leur temps de travail. Disent aussi leur colère à l’encontre de la CDC qui refuse de mettre en place une tournée de bus pour leur venir en aide et transporter ainsi leurs enfants au centre de loisirs de Jarnac où la plupart d’entre eux étaient inscrits avant la réforme.

"On nous dit débrouillez-vous. Si c’était facile avant puisqu’on les déposait au centre le matin en allant embaucher, là c’est différent, se désole une maman de Réparsac. Il nous faut les récupérer à l’école du village, donc débaucher de bonne heure selon où on travaille, puis repartir ensuite à Jarnac, 10 km, pour les déposer. En matière d’organisation du temps de travail, c’est ingérable. On est contraint aux congés".

Co-voiturage, appel aux assistantes maternelles: c’est en résumé les seules solutions proposées par la CDC en réponse à ces parents.

"Dans l’immédiat", tient cependant à préciser son président Annick-Franck Martaud"conscient du problème posé aux parents et contre cette réforme à la base.""Avec 18 communes et 22 établissements, mettre en place un système de ramassage, c’est techniquement pas réalisable, dit-il. Et matériellement non plus car nous n’avons pas la capacité d’accueillir ensuite de 150 à 200 gamins au centre de loisirs. Pour autant, rien ne dit qu’on ne trouvera pas une solution non plus".

"Anormal", estime Christophe Roy, le nouvel adjoint à la Vie culturelle de Jarnac et nouveau conseiller communautaire. "On doit veiller à ce que toutes les communes du territoire soient entendues. C’est quand même le rôle de la collectivité de venir en aide aux familles. Surtout dans ce cadre et sachant que la CDC dispose de deux mini-bus. Pourquoi ne pas s’en servir ? Au prochain conseil, on va remettre sur la table ce dossier qui avait été traité par l’ancienne équipe", annonce l’élu qui ne cache pas ses craintes quant au taux de fréquentation d’un centre de loisirs bien parti pour diminuer.

"C’est ce qui se dessine alors qu’on y faisait la queue pour s’inscrire", confirme une parente d’élève de Houlette. "Ou, sinon, reprend-t-elle, il continuera à bien fonctionner puisque si rien n’est fait, il est clair qu’avec d’autres parents, nous inscrirons nos enfants à Jarnac dès l’an prochain, ça réglera notre problème".

Pas une menace, "une contrainte", assure-t-elle, désolée de cette éventualité future qui risque de mettre en péril l’école du village. A moins de 80 élèves, une classe serait en effet menacée. Elle en compte 87 aujourd’hui. Et la même problématique touche d’autres communes.

http://www.charentelibre.fr/2014/09/18/rythmes-scolaires-ca-grogne-en-jarnacais,1914759.php

Tiens, des grincheux ?? :)

Posté(e)

HAUTE SOMME Rythmes scolaires, rythmes de la colère

PUBLIÉ LE 19/09/2014

Marion Bertemes

« Cette réforme a été conçue pour les Parisiens, pour soulager les garderies surchargées et on l’a présentée comme une mesure pour alléger les journées des enfants. Depuis la rentrée de mon fils, ses horaires n’ont pas évolué. L’école commence à 9 heures, et il rentre le soir peu avant 17 heures après avoir pris le car, comme avant. Où est la différence ? Le mercredi, il a classe… de 9 à 11 heures. Au début, j’ai cru à une blague. Jusqu’à l’année dernière, on se débrouillait, on arrivait soit à le garder en posant

Je ne vois pas comment plus de périscolaire allège la garderie ?

Avant les parents trouvaient parfois un mode de garde le mercredi et du coup, il y avait "peu" d'enfants le mercredi....mnt pour une demie journée c'est plus simple de les mettre au centre de loisirs donc ils sont plus + plus de péri en semaine où ils sont quasi tous là.....

Je vous assure, c'est pas plus adapté à Paris !!! Et c'est certainement plus difficile de faire qch qui tient la route à Paris que dans une commune plus petite !

Les enfants ne sont JAMAIS restés aussi longtemps à l'école que depuis qu'on est aux nouveaux rythmes à Paris!!!!!!!

Et on a zéro locaux!!! (à part les salles de classe)

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HAUTE SOMME Rythmes scolaires, rythmes de la colère

PUBLIÉ LE 19/09/2014

Marion Bertemes

« Cette réforme a été conçue pour les Parisiens, pour soulager les garderies surchargées et on l’a présentée comme une mesure pour alléger les journées des enfants. Depuis la rentrée de mon fils, ses horaires n’ont pas évolué. L’école commence à 9 heures, et il rentre le soir peu avant 17 heures après avoir pris le car, comme avant. Où est la différence ? Le mercredi, il a classe… de 9 à 11 heures. Au début, j’ai cru à une blague. Jusqu’à l’année dernière, on se débrouillait, on arrivait soit à le garder en posant

Je ne vois pas comment plus de périscolaire allège la garderie ?

Avant les parents trouvaient parfois un mode de garde le mercredi et du coup, il y avait "peu" d'enfants le mercredi....mnt pour une demie journée c'est plus simple de les mettre au centre de loisirs donc ils sont plus + plus de péri en semaine où ils sont quasi tous là.....

Je vous assure, c'est pas plus adapté à Paris !!! Et c'est certainement plus difficile de faire qch qui tient la route à Paris que dans une commune plus petite !

Et c'est certainement plus difficile de faire qch qui tient la route à Paris que dans une commune plus petite !

Pas sûr non plus ! :)

J'ai bossé un an à Massy....

Lorsqu'on disait qch en conseil d'école, on pouvait être entendu....par exemple, on demandait une asem de plus car les locaux de l'école avait une disposition particulière avec une classe très isolée...

A Paris, la mairie est une instance lointaine pas toujours présente au CE.....A Paris, donner qch à une école c'est multiplier par un très grand nombre d'écoles...

Avoir de l'organisation pour une dizaine d'écoles, c'est plus facile que pour plusieurs centaines.

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