Revue de presse sur les rythmes III

[Zarko]

http://www.franceinter.fr/depeche-a-marseille-cest-aux-parents-de-faire-pression-sur-leur-municipalite

Bien des mensonges et des approximations dans le discours de NVB...Il parait que tous les enseignants sont entièrement satisfaits de la réforme pour ceux qui l'ont déjà vécue dès 2013....Ce serait bien que nos syndicats (sauf SE et SGEN) se réveillent ...

[Zarko]

Quelles écoles ont choisi de faire classe le samedi matin ?

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/10/07/quelles-ecoles-ont-choisi-de-faire-classe-le-samedi-matin_4502096_4355770.html

J'aimerais savoir si une commune a choisi le samedi matin en regroupant les TAP sur le vendredi am...Perso, ça me conviendrait !

[Sarri]

A Pau, dont le maire est un ancien ministre de l'EN, "pour le bien-être des enfants" c'est le... bordel :

http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2014/10/08/rythmes-scolaires-ca-chauffe-a-pau,1214309.php

[Lena]

Pour Pau, franchement, il y avait plus souple...

Dans ma commune de travail, il y a en //

- les tap, avec reprise uniquement à la fin (de toute façon, certains se font au gymnase ou à la médiathèque: pas là!)

- la garderie, avec reprise quand la famille le souhaite.

Pas compliqué.

Et ça évite à la commune de financer des tap tous les jours pour tous , c'est maxi 2 soirs sur 4.

[Zarko]

INFOS LOCALES ÉDUCATION - PARTAGE DES SAVOIRS

Gennevilliers : rassemblement contre la réforme des rythmes scolaires

Publié le 9 octobre 2014 |

Gennevilliers |

Un rassemblement contre la réforme des rythmes scolaires est organisé ce vendredi 10 octobre pour faire pression sur la mairie de Gennevilliers.

A part l’obligation d’un cinquième jour travaillé (...) seul point obligatoire de la réforme, personne ne savait jusqu’à la dernière minute ce qu’il en serait des horaires, encore moins des moyens mis en oeuvre pour les "activités périscolaires". Quelles heureuses surprises pourrait-on avoir dans ce domaine où faire des économies est la principale préoccupation, et où l’école, de l’avis-même de ses gestionnaires, n’a pas les moyens de fonctionner normalement (problèmes de locaux, manque de remplaçants, absence de dispositifs d’aide efficaces aux élèves en difficulté, etc.) ? Cette municipalisation de l’école qui accroit les disparités en fonction de la richesse et des exigences des communes opère de fait une sorte de privatisation de l’école, et fait co-gérer l’éducation par les centres de loisir, dont les personnels souffrent encore plus d’un déficit de formation et de mauvaises conditions de travail. [1]

De fait, la mise en oeuvre de cette réforme qui augmente le temps de travail des enfants et des enseignant-e-s sans augmentation de moyens correspondante pose problème très concrètement dans les écoles maternelles de Gennevilliers :

- où les enfants sont sortis de leur lit avant d’avoir fini leur sieste car, les agents sont dans les classes plus longtemps, et ont donc moins de temps pour les missions d’entretien (ils doivent remettre les dortoirs en ordre avant 15h) et il n’y a eu aucune embauche.

- où les élèves de deux et trois ans pleurent parce que certains doivent partir à la cantine avec les animateurs au moment où le copain d’à côté part avec son parent.

- où les élèves, dans certaines écoles maternelles, passent le cahier des effectifs de cantine parce que la directrice de l’école aussi bien que les agents sont en classe. [2]

Mais aussi en élémentaire :

- où les élèves doivent mettre les chaises sur leur table en partant car les agents n’ont plus assez de temps pour accomplir toutes leurs tâches d’entretien (les tables ne sont donc plus essuyées).

- où l’accès aux structures municipales (gymnase, piscine, etc.) est drastiquement retsreint, tandis que le partenariat avec d’autres structures (bibliothèque, conservatoire, Ecole Manet) fond comme neige au soleil pour les écoles. [3]

Ce rythme accéléré fatigue enfants et adultes qui doivent manger plus vite et finir plus tard. L’éducation paye ainsi le prix fort des mesures d’affichage et des petites guerres politiciennes droite-gauche. Derrière les façades bleues ou roses, on comprend surtout que l’école rentable, capitaliste et autoritaire n’est jamais réellement remise en question, et que les directives adaptent plus l’école au marché qu’aux besoins humains.

Depuis la rentrée les agents municipaux ont engagé une mobilisation contre leurs conditions de travail et de rémunération : à Colombes (grève à la rentrée), Clichy (4 jours de grève), Rueil. [4]

Il y a aussi eu des mobilisation de parents qui refusent de mettre leurs enfants à l’école le mercredi matin, en particulier à Montreuil. Un peu partout, le beau dispositif pensé dans les bureaux du ministere craque aux jointures dans sa mise en pratique. Enfants et adultes sortent épuisés de cette augmentation des cadences, mais ne nous laissons pas écraser ! A nous de profiter des failles pour impulser des luttes et remettre en question l’école rentable et autoritaire...

http://paris-luttes.info/gennevilliers-rassemblement-contre

[Zarko]

RYTHMES SCOLAIRES

Ratenelle (71) : encore 17 enfants absents

Notez cet article :

le 09/10/2014 à 05:00 | P. A. Vu 529 fois

Bruno Renault commence manifestement à se lasser de ses visites à Ratenelle chaque mercredi matin, pour compter les élèves. Hier, l’inspecteur de la circonscription de Louhans ne s’est pas satisfait du retour d’une vingtaine d’élèves en classe par rapport à la semaine précédente. Car 17 enfants manquaient encore à l’appel. 27 élèves sur 44 (8 en maternelle, 19 en primaire) étaient présents ce mercredi, contre 8 mercredi 1er octobre.

Cette nouvelle absence massive ne change rien en ce qui concerne la procédure déjà entamée par l’Éducation nationale contre les sept familles qui ont absenté leurs enfants au moins quatre demi-journées durant le mois de septembre. Les parents concernés seront convoqués en milieu de semaine prochaine par le directeur académique de Saône-et-Loire.

http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2014/10/09/encore-17-enfants-absents

[Zarko]

Grève des agents communaux. 15 cantines fermées à Saint-Brieuc

Saint-Brieuc - 16h05

La grève illimité des agents communaux des écoles se poursuit, 15 cantines étaient encore fermées, ce vendredi midi.

Agents communaux des écoles et parents manifestaient, ce midi, devant la mairie Agents communaux des écoles et parents manifestaient, ce midi, devant la mairie | Ouest-France

Cinquième jour consécutif que la grève illimité des agents communaux des écoles se poursuit à Saint-Brieuc. Quinze cantines briochines sur 27 étaient encore touchées par ce mouvement de grève ce vendredi.

Les agents communaux des écoles et certains parents sont venus manifester sur le parvis de l'hôtel de ville, ce midi, pour exprimer leur mécontentement. Ils demandent un «retour en arrière du maire sur la réforme des rythmes scolaires ».

«La grève est reconduite pour la semaine prochaine. Jeudi prochain, une manifestation départementale est prévue avec les enseignants et tout le personnel territorial, en plus des agents communaux des écoles. On ne baissera pas les bras jusqu'aux vacances de la Toussaint » explique Gaëlle Rouault, agent communal dans une école de la Ville.

http://www.ouest-france.fr/greve-des-agents-communaux-15-cantines-fermees-saint-brieuc-2891409

http://www.dailymotion.com/video/x27oaal_greve-des-agents-communaux-des-ecoles-de-saint-brieuc_school

[André Jorge]

Gilets jaunes et bonnets d'âne 22 Sep 2014

La réforme des rythmes scolaires fait bien jaser. Le mouvement des Gilets jaunes s’y oppose farouchement… Les scientifiques affirment qu’elle favorise l’apprentissage scolaire. Ce qui est sûr, c’est qu’il en faudrait bien plus pour aider les enfants à aimer l’école.

Avec toutes les attaques racistes et machistes que doit encaisser Najat Vallaud-Belkacem en ce moment, ce ne sont pas les opposants à la réforme des rythmes scolaires qui devraient trop la perturber. Vingt-trois maires qui ont fermé les écoles et quelques centaines de Gilets jaunes dans les rues de Paris samedi dernier : on a vu pire contre un ministre de l’Éducation nationale.

N’empêche qu’une réforme de rythmes scolaires n’est jamais anodine. En 1882, Jules Ferry supprimait l’école le jeudi pour permettre aux enfants d’aller au catéchisme… En 1922, les vacances scolaires étaient allongées de deux semaines pour que les gosses participent à la reconstruction du pays détruit par la guerre… Dans les années 1960, le zonage des vacances était instauré pour favoriser le tourisme…. En 2008, la semaine de cours était réduite à quatre jours pour faciliter la garde des enfants par les parents divorcés… En somme, du lobby des curés à celui du tourisme ou des parents, les rythmes scolaires ont été dictés par toutes sortes d’intérêts… excepté le bien-être de l’enfant.

JE M’ENNUIE,TU T’ENNUIES…

Aujourd’hui, on commence enfin à tenir compte des travaux des chronobiologistes. Lesquels sont plutôt convergents: l’attention des élèves est maximale vers 10-11 heures, elle décroît en début d’après-midi et augmente à nouveau vers 15-16 heures. Il faut donc finir les cours plus tôt l’après-midi et, pour garder le même nombre d’heures de cours, revenir à quatre jours et demi d’école… comme avant 2008.

Les adversaires de cette réforme prétendent qu’elle entraînera des activités périscolaires à la charge des communes, d’où des inégalités géographiques dont pâtiront les enfants. Pour sûr, le risque existe: si la liberté de fin de journée permet aux gosses de riches de suivre des cours d’équitation, pendant que les autres traînent dans la rue, bonjour le bénéfice pédagogique. C’est aussi l’avis du chronopsychologue François Testu, dans une étude réalisée pour le ministère de l’Éducation nationale : « sans accompagnement péri et extrascolaire, la libération du temps n’est pas synonyme d’épanouissement. Il suffit, pour s’en convaincre de regarder les taux d’écoute télévisuelle en fonction de la zone d’éducation ou bien en fonction des emplois du temps proposés ». En effet, l’Angleterre et l’Allemagne sont souvent pris pour modèles scolaires, avec leurs après-midi libres… Mais on dit moins que ces pays sont aussi ceux où les enfants passent le plus de temps devant la télé(1)! Si on laisse faire, la réduction de la journée d’école profitera surtout aux chaînes qui développeront des programmes débiles subventionnés par des pubs pour confiseries ou jeux vidéo.

Pour en revenir au bien-être de l’élève, c’est bien de finir la journée plus tôt. Mais ce serait bien, aussi, de la commencer plus tard. Obliger un élève à se lever chaque jour à 7 heures du matin est un acte de torture sans bénéfice pédagogique, à en croire un rapport de l’Académie de médecine de 2010 : « L’enfant arrive fatigué à l’école (8 h 30) quelle que soit la durée de son sommeil la nuit précédente. » Ce qui fait dire à la chronobiologiste Claire Leconte qu’il « il faut retarder l’heure d’arrivée au collège et au lycée ». En somme, commencer l’école à 9 heures ou à 10 heures, quitte à faire des matinées plus longues. Personnellement, j’aurais bien aimé, étant gosse.

Mais, au fond, le principal problème des élèves, c’est surtout l’ennui. Sur ce plan, on ferait bien de s’inspirer des pédagogies alternatives. Par exemple, pour Catherine Chabrun, adepte de la pédagogie Freinet (qui s’appuie sur l’expression de l’élève, à travers des ateliers, la réalisation d’un journal, etc.), le bien-être de l’enfant ne se réduit pas à un calcul horaire : « un élève peut passer 6 heures dans une classe Freinet et ce n’est pas trop, car il n’est pas sous pression ». Malheureusement, dans l’Éducation nationale, les pédagogies alternatives sont cantonnées à une poignée d’établissements: seulement trois écoles primaires et neufs collèges et lycées pour toute la France. Le plus absurde, c’est que ces écoles sont dites « expérimentales ». Si c’est expérimental, soit ça ne marche pas et on abandonne… soit ça marche et on développe. Or ces établissements existent depuis des années, et leur efficacité pédagogique est largement démontrée. Alors, pourquoi ne pas en créer davantage, au lieu de les conserver comme des sortes de gadgets ? On pourrait attendre d’un gouvernement prétendument socialiste qu’il ne se contente pas de réformer les rythmes scolaires, mais qu’il fasse preuve de bien plus d’audace pour lancer des expériences pédagogiques permettant à chaque élève d’aller à l’école la joie au coeur plutôt que la boule au ventre (2).

http://www.charliehebdo.fr/news/rythmes-scolaires-1275.html

Cela dit, les inégalités n'ont pas attendu la dernière réforme pour exister : les écoles des grandes villes disposent depuis longtemps de beaucoup plus de moyens et de personnel que celles des petites villes.

[Goëllette]

Les agents communaux des écoles et certains parents sont venus manifester sur le parvis de l'hôtel de ville, ce midi, pour exprimer leur mécontentement. Ils demandent un «retour en arrière du maire sur la réforme des rythmes scolaires ».

Encore des personnes très au courant de la responsabilité de la réforme !

[Goëllette]

Gilets jaunes et bonnets d'âne 22 Sep 2014

Entre les gilets jaunes et l'auteur de cet article, on peut se demander qui est l'âne.

[Zarko]

Gilets jaunes et bonnets d'âne 22 Sep 2014

La réforme des rythmes scolaires fait bien jaser. Le mouvement des Gilets jaunes s’y oppose farouchement… Les scientifiques affirment qu’elle favorise l’apprentissage scolaire. Ce qui est sûr, c’est qu’il en faudrait bien plus pour aider les enfants à aimer l’école.

Avec toutes les attaques racistes et machistes que doit encaisser Najat Vallaud-Belkacem en ce moment, ce ne sont pas les opposants à la réforme des rythmes scolaires qui devraient trop la perturber. Vingt-trois maires qui ont fermé les écoles et quelques centaines de Gilets jaunes dans les rues de Paris samedi dernier : on a vu pire contre un ministre de l’Éducation nationale.

N’empêche qu’une réforme de rythmes scolaires n’est jamais anodine. En 1882, Jules Ferry supprimait l’école le jeudi pour permettre aux enfants d’aller au catéchisme… En 1922, les vacances scolaires étaient allongées de deux semaines pour que les gosses participent à la reconstruction du pays détruit par la guerre… Dans les années 1960, le zonage des vacances était instauré pour favoriser le tourisme…. En 2008, la semaine de cours était réduite à quatre jours pour faciliter la garde des enfants par les parents divorcés… En somme, du lobby des curés à celui du tourisme ou des parents, les rythmes scolaires ont été dictés par toutes sortes d’intérêts… excepté le bien-être de l’enfant.

JE M’ENNUIE,TU T’ENNUIES…

Aujourd’hui, on commence enfin à tenir compte des travaux des chronobiologistes. Lesquels sont plutôt convergents: l’attention des élèves est maximale vers 10-11 heures, elle décroît en début d’après-midi et augmente à nouveau vers 15-16 heures. Il faut donc finir les cours plus tôt l’après-midi et, pour garder le même nombre d’heures de cours, revenir à quatre jours et demi d’école… comme avant 2008.

Les adversaires de cette réforme prétendent qu’elle entraînera des activités périscolaires à la charge des communes, d’où des inégalités géographiques dont pâtiront les enfants. Pour sûr, le risque existe: si la liberté de fin de journée permet aux gosses de riches de suivre des cours d’équitation, pendant que les autres traînent dans la rue, bonjour le bénéfice pédagogique. C’est aussi l’avis du chronopsychologue François Testu, dans une étude réalisée pour le ministère de l’Éducation nationale : « sans accompagnement péri et extrascolaire, la libération du temps n’est pas synonyme d’épanouissement. Il suffit, pour s’en convaincre de regarder les taux d’écoute télévisuelle en fonction de la zone d’éducation ou bien en fonction des emplois du temps proposés ». En effet, l’Angleterre et l’Allemagne sont souvent pris pour modèles scolaires, avec leurs après-midi libres… Mais on dit moins que ces pays sont aussi ceux où les enfants passent le plus de temps devant la télé(1)! Si on laisse faire, la réduction de la journée d’école profitera surtout aux chaînes qui développeront des programmes débiles subventionnés par des pubs pour confiseries ou jeux vidéo.

Pour en revenir au bien-être de l’élève, c’est bien de finir la journée plus tôt. Mais ce serait bien, aussi, de la commencer plus tard. Obliger un élève à se lever chaque jour à 7 heures du matin est un acte de torture sans bénéfice pédagogique, à en croire un rapport de l’Académie de médecine de 2010 : « L’enfant arrive fatigué à l’école (8 h 30) quelle que soit la durée de son sommeil la nuit précédente. » Ce qui fait dire à la chronobiologiste Claire Leconte qu’il « il faut retarder l’heure d’arrivée au collège et au lycée ». En somme, commencer l’école à 9 heures ou à 10 heures, quitte à faire des matinées plus longues. Personnellement, j’aurais bien aimé, étant gosse.

Mais, au fond, le principal problème des élèves, c’est surtout l’ennui. Sur ce plan, on ferait bien de s’inspirer des pédagogies alternatives. Par exemple, pour Catherine Chabrun, adepte de la pédagogie Freinet (qui s’appuie sur l’expression de l’élève, à travers des ateliers, la réalisation d’un journal, etc.), le bien-être de l’enfant ne se réduit pas à un calcul horaire : « un élève peut passer 6 heures dans une classe Freinet et ce n’est pas trop, car il n’est pas sous pression ». Malheureusement, dans l’Éducation nationale, les pédagogies alternatives sont cantonnées à une poignée d’établissements: seulement trois écoles primaires et neufs collèges et lycées pour toute la France. Le plus absurde, c’est que ces écoles sont dites « expérimentales ». Si c’est expérimental, soit ça ne marche pas et on abandonne… soit ça marche et on développe. Or ces établissements existent depuis des années, et leur efficacité pédagogique est largement démontrée. Alors, pourquoi ne pas en créer davantage, au lieu de les conserver comme des sortes de gadgets ? On pourrait attendre d’un gouvernement prétendument socialiste qu’il ne se contente pas de réformer les rythmes scolaires, mais qu’il fasse preuve de bien plus d’audace pour lancer des expériences pédagogiques permettant à chaque élève d’aller à l’école la joie au coeur plutôt que la boule au ventre (2).

http://www.charliehebdo.fr/news/rythmes-scolaires-1275.html

Cela dit, les inégalités n'ont pas attendu la dernière réforme pour exister : les écoles des grandes villes disposent depuis longtemps de beaucoup plus de moyens et de personnel que celles des petites villes.

En 1882, Jules Ferry supprimait l’école le jeudi pour permettre aux enfants d’aller au catéchisme… En 1922, les vacances scolaires étaient allongées de deux semaines pour que les gosses participent à la reconstruction du pays détruit par la guerre… Dans les années 1960, le zonage des vacances était instauré pour favoriser le tourisme…. En 2008, la semaine de cours était réduite à quatre jours pour faciliter la garde des enfants par les parents divorcés

En 2013, Peillon a imposé la semaine de 4 jours sans donner de raisons valables...Son successeur n'a pas voulu le désavouer et a créé un assouplissement totalement contraire aux préconisations des chronomachins qui ne s'entendaient déjà pas entre eux...On va voir le résultat !

[Goëllette]

Quelles écoles ont choisi de faire classe le samedi matin ?

A-t-on des témoignages des collègues de ces villes ?