Goëllette Posté(e) 16 septembre 2014 Partager Posté(e) 16 septembre 2014 Je choisis ta deuxième solution, mais je ne sais pas si vous avez reçu votre liste d'animations pédagogiques, notamment en distanciel, il y a des endroits où c'est carrément de l'auto-formation dans ces matières plus spécialisées, avec demande de créer des séquences et de faire la classe virtuellement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Zarko Posté(e) 16 septembre 2014 Auteur Partager Posté(e) 16 septembre 2014 Je choisis ta deuxième solution, mais je ne sais pas si vous avez reçu votre liste d'animations pédagogiques, notamment en distanciel, il y a des endroits où c'est carrément de l'auto-formation dans ces matières plus spécialisées, avec demande de créer des séquences et de faire la classe virtuellement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Franck68 Posté(e) 17 septembre 2014 Partager Posté(e) 17 septembre 2014 Je choisis ta deuxième solution, mais je ne sais pas si vous avez reçu votre liste d'animations pédagogiques, notamment en distanciel, il y a des endroits où c'est carrément de l'auto-formation dans ces matières plus spécialisées, avec demande de créer des séquences et de faire la classe virtuellement. En tous cas ça a le mérite de la constance, le "néant" des formations proposées avant le tout numérique sur une semaine en présentiel est devenu du rien en auto-formation... Des formations virtuelles proposées par un encadrement virtuel en vue d'une exploitation virtuelle. Il n'y a plus qu'a virtualiser parents et enfants et la boucle sera bouclée ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Goëllette Posté(e) 17 septembre 2014 Partager Posté(e) 17 septembre 2014 Imaginez le profit : Pour valider votre auto-formation virtuelle de musique, vous devrez donner un cours virtuel à des élèves d'un autre coin de France (d'Outre-Mer ou avec une autre organisation de semaine) ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Zarko Posté(e) 20 septembre 2014 Auteur Partager Posté(e) 20 septembre 2014 Ad by TV Wizard Indre-et-Loire - Tours, Ballan-Miré, Saint-Pierre-des-Corps - Éducation Les collèges dépossédés de leurs heures de piscine 17/09/2014 05:46 Nombre de commentaires réagir(1) Envoyer par mail Imprimer Valider Une répartition différente des créneaux d'occupation de la piscine a dû être repensée entre les écoles et les collèges, pour caler la programmation sportive de tout le monde. (Archives NR) - Une répartition différente des créneaux d'occupation de la piscine a dû être repensée entre les écoles et les collèges, pour caler la programmation sportive de tout le monde. (Archives NR)Une répartition différente des créneaux d'occupation de la piscine a dû être repensée entre les écoles et les collèges, pour caler la programmation sportive de tout le monde. (Archives NR) Une répartition différente des créneaux d'occupation de la piscine a dû être repensée entre les écoles et les collèges, pour caler la programmation sportive de tout le monde. (Archives NR) Réforme oblige, les municipalités ont été contraintes de réquisitionner des équipements sportifs pour occuper les enfants à la sortie des classes. Pour cette rentrée, certains collèges du département ont dû revoir leurs plannings. « Les établissements ont été très gênés pour définir leurs emplois du temps, car les municipalités ont réservé des équipements sportifs pour occuper les enfants pendant les temps d'activités périscolaires (TAP) », affirme Christine Chafiol, secrétaire départementale du Syndicat national de l'éducation physique, et professeur d'EPS au collège Pablo-Neruda, à Saint-Pierre-des-Corps. Casse-tête pour les enseignants Dans son collège, « l'emploi du temps des élèves avait été calé mi-juillet. Mais une répartition différente des créneaux d'occupation de la piscine a été repensée entre les écoles, le collège et le chef de bassin, pour caler la programmation sportive de tout le monde. » Même écueil à Ballan-Miré, au collège René-Cassin, où les emplois du temps ont été établis tardivement : « les réunions de coordination pour fixer les différents créneaux se sont déroulées début juillet », confie la directrice. Au collège Anatole-France, à Tours, les professeurs d'EPS ont été informés mi-juin que des changements allaient intervenir dans les créneaux d'occupation des différents équipements sportifs. « Les emplois du temps étaient déjà faits. Les enseignants ont été obligés de modifier tout le travail réalisé en amont, en concertation avec les services des sports de Tours », indique Brigitte Dogna, principale du collège. Car à partir de 15 h 30, les équipements sportifs sont dorénavant utilisés par les écoles. Un casse-tête pour les enseignants, qui ont dû trouver un nouveau planning pour caser toutes leurs classes. « Deux soirs par semaine, on ne dispose plus des installations louées par la mairie. On ne peut plus envoyer nos élèves dans le gymnase et sur la piste d'athlétisme de la rue des Jacobins, au stade municipal de l'Île Aucard, et au dojo. Avant, on utilisait ces équipements de 15 h 30 à 17 h. » A présent, les 515 élèves d'Anatole-France n'ont plus de cours d'EPS en fin de journée, mais le matin. La réforme des rythmes scolaires implique de trouver un nouveau tempo, et pas seulement dans les écoles. à chaud Les clubs sportifs concernés aussi A Saint-Pierre-des-Corps, l'USSP natation ne peut plus utiliser les lignes de piscines le mercredi matin. Ces heures ont été récupérées par la municipalité pour les écoles. Le problème, c'est que pour le moment, aucun nouveau créneau n'a été proposé en échange. « On sait juste qu'on perd notre créneau de trois heures le mercredi, mais on ne sait pas si ce créneau est reporté, s'inquiète Alexandre Niquet, entraîneur principal du club. On a renvoyé un courrier à la municipalité de Saint-Pierre-des-Corps en juin, pour savoir quels nouveaux horaires ils allaient nous proposer. Mais pour le moment, nous n'avons pas eu de réponse. On aimerait récupérer nos trois heures. On avait le bassin complet, alors s'ils nous redonnent juste une ligne de nage, ca va être compliqué : les enfants apprennent à nager dans la largeur du bassin. Pour le moment, nous avons une centaine d'adhérents sur la touche. Nous les avons mis sur une liste d'attente mais on ne sait pas si on va pouvoir les accueillir. Si on perd ces adhérents, c'est plus de 13.000 € en moins pour le club. » Pauline Jahan http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/Education/n/Contenus/Articles/2014/09/17/Les-colleges-depossedes-de-leurs-heures-de-piscine-2048412 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
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