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Calculez l'économie de salaire de ces postes perdus ou non pourvus... Ca fiche le vertige.

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Calculez l'économie de salaire de ces postes perdus ou non pourvus... Ca fiche le vertige.

Ça permet de financer les primes des recteurs, dasen et IEN ?

  • 5 mois plus tard...
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http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/05/30/60-000-postes-dans-l-education-le-gouvernement-encore-loin-du-compte_4929120_4355770.html

Citation

60 000 postes dans l’éducation : le gouvernement encore loin du compte

Le Monde | 30.05.2016 à 16h05 • Mis à jour le 31.05.2016 à 15h47 | Par Adrien Sénécat

« Nous irons jusqu’au bout de ces recrutements, il y en aura bien 60 000 [enseignants] de plus à la fin 2017. » Régulièrement accusé d’avoir fixé un objectif intenable de créations de postes, François Hollande avait réaffirmé une nouvelle fois son engagement de campagne à la rentrée 2015. L’analyse de la Cour des comptes sur le budget de l’Etat l’an dernier, publiée le 25 mai, confirme pourtant que la tâche s’annonce compliquée.

[...]

Le gouvernement a fixé dès 2012 un calendrier précis des créations de postes dans l’enseignement scolaire : 4 326 emplois supplémentaires créés en urgence à la rentrée 2012, puis entre 8 800 et 11 700 postes par an de 2013 à 2017. Année après année, les budgets ont bien prévu les crédits correspondants à ces recrutements. Sauf que les candidats n’ont pas toujours été au rendez-vous.

En 2013, 43 % des postes n’ont pas été pourvus. Les deux exercices suivants ont été meilleurs, mais n’ont pas permis de combler ce retard, même en partie :

Résultat : alors que le gouvernement prévoyait de créer 22 373 postes supplémentaires sur les deux années restantes, il faudra encore en créer 26 447 pour atteindre l’objectif.

Sauf surprise, il n’y aura pas de rattrapage en 2016 : aucune mesure nouvelle relative au recrutement n’a été annoncée et le nombre de postes à pourvoir est fixé depuis des mois.

L’objectif présidentiel sera donc difficile à tenir, sauf à avoir une session de recrutement en 2017 largement meilleure que les années précédentes.

La Cour des comptes déplore par ailleurs les informations « très lacunaires » fournies par le gouvernement sur ces recrutements. Elle recommande, comme pour 2015, que ce point « fasse l’objet d’une présentation détaillée dans les documents budgétaires ». [...]

Au-delà de ces calculs, ces créations de poste ont plusieurs limites qui relativisent leur influence sur le terrain. D’abord, la hausse du nombre d’élèves des premier et second degrés, qui dilue l’effet des recrutements : les effectifs ont grimpé de 12,14 millions en 2012 à 12,35 en 2015 (+ 1,7 %) et augmenteront sans doute plus encore en 2017.

Par ailleurs, la moitié des créations de postes prévues dans l’enseignement scolaire concernent la réforme de la formation, avec 1 000 équivalents temps plein (ETP) créés pour la formation et 26 000 enseignants-stagiaires. Les premiers enseignent à des élèves qui ont quitté le lycée depuis des années et les seconds ne passent que la moitié de leur temps à donner cours, le reste étant dédié à l’apprentissage du métier.

Ces 27 000 recrutements ne représentent donc que l’équivalent de 13 000 temps plein de professeurs devant élèves. C’est justement sur la formation que le gros des recrutements s’est fait depuis 2012. Or, elle se destine aux enseignants eux-mêmes, alors que les difficultés se concentrent surtout sur l’embauche des 22 000 titulaires dans les classes.

C’est ce qui a conduit Jean-Luc Mélenchon à dénoncer un « enfumage » en août 2015. [...]

Pour l’heure, les créations de postes dans l’éducation ont effectivement accompagné des réformes du gouvernement : la « restauration » de la formation, la nouvelle politique de l’éducation prioritaire ou la scolarisation des moins de trois ans. Mais elles ont pris du retard et n’ont joué qu’à la marge sur le gros des classes.

 

 

Posté(e)
Le 06/01/2016 à 17:45, zelda a dit :

Ça permet de financer les primes des recteurs, dasen et IEN ?

Pour les IEN je ne pense pas réellement. L'oncle d'une copine est IEN et honnêtement je ne trouve pas son salaire bien folichon (environ 3500 brut en fin de carrière parait il), ses primes sont très réduites et ce monsieur vivant seul il ne mène pas la vie de château. Bon, il n'est pas à la rue non plus c'est certain et il compte moins les fonds de poche en fin de mois que la plupart d'entre nous. Mais avec ses missions et ses responsabilités, rapportés à son salaire, il n'a pas une situation à envier.

Posté(e)
Il y a 1 heure, Nao a dit :

Pour les IEN je ne pense pas réellement. L'oncle d'une copine est IEN et honnêtement je ne trouve pas son salaire bien folichon (environ 3500 brut en fin de carrière parait il), ses primes sont très réduites et ce monsieur vivant seul il ne mène pas la vie de château. Bon, il n'est pas à la rue non plus c'est certain et il compte moins les fonds de poche en fin de mois que la plupart d'entre nous. Mais avec ses missions et ses responsabilités, rapportés à son salaire, il n'a pas une situation à envier.

http://www.sien-unsa-education.org/images/stories/documentation/carrieres/Carrieres_Indices_IEN.pdf

Posté(e)

Perso je n'envie pas mon IEN qui ne semble plus avoir de vie et qui est électrique parce que toujours sous tension. Il va finir par une crise cardiaque ou un AVC à ce rythme.

Posté(e)

Je ne les envie pas, car au dessus ils ont les dasen qui eux veulent leur prime et qui n ont que des chiffres en point de mire. 

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