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La grève du 3 fevrier


Julieprof

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Tu es un grand rêveur, note qu'il en faut, mais c'est sans moi. Je suis devenue comme tout à chacun dans notre société : tout pour ma pomme!

Le principe même du syndicat va à l'encontre de l'individualisme, individualisme que tu dois certainement critiquer quand il s'agit des élèves et de leurs parents.

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Mais où avez-vous vu que la FSU était financée par vos sous ? Si vous êtes syndiqués, oui, mais alors c'est un choix.

Et où est-il dit que les conditions de travail des enseignants passent après les conditions d'apprentissage des élèves ?

Et oui, la municipalisation est un risque bien plus grand que le fait de travailler le mercredi (ce que font 90 % des salariés, qui ne s'en plaignent pas spécialement d'ailleurs).

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Où je découvre que le snuipp est conscient de la dérive possible/probable vers une municipalisation.

Où je découvre que refuser de voter c'est mieux que voter.

Où je redécouvre que MES conditions de travail passent après les conditions d'apprentissage de mes élèves, dans l'action d'un syndicat (oki, je sais, ils sont plusieurs à faire pareil) , syndicat financé par MES sous (ou pas; maso, mais pas trop).

Où je découvre que le snuipp est conscient de la dérive possible/probable vers une municipalisation.

Où je découvre que refuser de voter c'est mieux que voter.

Où je redécouvre que MES conditions de travail passent après les conditions d'apprentissage de mes élèves, dans l'action d'un syndicat (oki, je sais, ils sont plusieurs à faire pareil) , syndicat financé par MES sous (ou pas; maso, mais pas trop).

C'est aussi cela que je déplore. Défendre le service public, ce devrait surtout être pour le bien -être des travailleurs (à l'envers, je dirais même "le non mal-être" parce qu'on en est là). On se donne bonne conscience en martelant que c'est pour le bien de l'enfant et on occulte toujours le bien des enseignants.

Défendre le service public, c'est défendre tous les salariés. Il est dramatique de voir que des enseignants ne comprennent pas l'intérêt de ce service. Être fonctionnaire, ce n'est pas seulement être salarié. Vous serez donc les premiers satisfaits quand on vous proposera de choisir entre un CDI avec 20 % de salaire en plus et le statut, comme ils l'ont fait à Pôle Emploi. Aujourd'hui, beaucoup regrettent d'avoir fait le premier choix.

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Où je découvre que le snuipp est conscient de la dérive possible/probable vers une municipalisation.

Où je découvre que refuser de voter c'est mieux que voter.

Où je redécouvre que MES conditions de travail passent après les conditions d'apprentissage de mes élèves, dans l'action d'un syndicat (oki, je sais, ils sont plusieurs à faire pareil) , syndicat financé par MES sous (ou pas; maso, mais pas trop).

Où je découvre que le snuipp est conscient de la dérive possible/probable vers une municipalisation.

Où je découvre que refuser de voter c'est mieux que voter.

Où je redécouvre que MES conditions de travail passent après les conditions d'apprentissage de mes élèves, dans l'action d'un syndicat (oki, je sais, ils sont plusieurs à faire pareil) , syndicat financé par MES sous (ou pas; maso, mais pas trop).

C'est aussi cela que je déplore. Défendre le service public, ce devrait surtout être pour le bien -être des travailleurs (à l'envers, je dirais même "le non mal-être" parce qu'on en est là). On se donne bonne conscience en martelant que c'est pour le bien de l'enfant et on occulte toujours le bien des enseignants.

Défendre le service public, c'est défendre tous les salariés. Il est dramatique de voir que des enseignants ne comprennent pas l'intérêt de ce service. Être fonctionnaire, ce n'est pas seulement être salarié. Vous serez donc les premiers satisfaits quand on vous proposera de choisir entre un CDI avec 20 % de salaire en plus et le statut, comme ils l'ont fait à Pôle Emploi. Aujourd'hui, beaucoup regrettent d'avoir fait le premier choix.

Je n'ai pas compris ton commentaire su pôle emploi.

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Tu es un grand rêveur, note qu'il en faut, mais c'est sans moi. Je suis devenue comme tout à chacun dans notre société : tout pour ma pomme!

Le principe même du syndicat va à l'encontre de l'individualisme, individualisme que tu dois certainement critiquer quand il s'agit des élèves et de leurs parents.

Ça me choque un peu de lire ça mais je pense que tes paroles ont dépassé ta pensée, tu ne peux pas dire " tout pour ma pomme" et faire ce métier, c'est incompatible! Je suis bien d'accord que nous devons nous protéger pour tenir bon et dans la durée car nous faisons un métier difficile mais je trouve naturel que les syndicats se battent pour le bien être des élèves et par conséquent pour le notre aussi.

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Mais où avez-vous vu que la FSU était financée par vos sous ? Si vous êtes syndiqués, oui, mais alors c'est un choix.

Et où est-il dit que les conditions de travail des enseignants passent après les conditions d'apprentissage des élèves ?

Et oui, la municipalisation est un risque bien plus grand que le fait de travailler le mercredi (ce que font 90 % des salariés, qui ne s'en plaignent pas spécialement d'ailleurs).

D'ailleurs pendant qu'on y est travaillons 35 h avec élèves. Après tout près de 90% des ouvriers et autres passent ce temps dans leur entreprise.

Moi avant j'étais une loque le mardi soir ou je terminais en apnée. ça allait mieux le jeudi. Maintenant avec le mercredi, mon double niveau sans repos, mes élèves dévoreurs d'énergie, mes cas que je dois sauver seul avec mes super pouvoirs et bien ... je suis une loque toute la semaine.

Merci le snuipp, l'unsa, les décideurs de l'en....d'avoir permis cela.

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Mais où avez-vous vu que la FSU était financée par vos sous ? Si vous êtes syndiqués, oui, mais alors c'est un choix.

Et où est-il dit que les conditions de travail des enseignants passent après les conditions d'apprentissage des élèves ?

Et oui, la municipalisation est un risque bien plus grand que le fait de travailler le mercredi (ce que font 90 % des salariés, qui ne s'en plaignent pas spécialement d'ailleurs).

Ben pourquoi est-ce un risque ? Allons jusqu'à la privatisation, après tout la majorité des salariés travaille en entreprise et elle ne s'en plaint pas !

Frédo, arrête, tu t'emballes là ! :getlost: Ce genre d'arguments ne fait vraiment pas avancer le débat, et comme tu es l'un des seuls à afficher ton appartenance au SNUIPP, tu le décrédibilises....

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D'ailleurs pendant qu'on y est travaillons 35 h avec élèves. Après tout près de 90% des ouvriers et autres passent ce temps dans leur entreprise.

Moi avant j'étais une loque le mardi soir ou je terminais en apnée. ça allait mieux le jeudi. Maintenant avec le mercredi, mon double niveau sans repos, mes élèves dévoreurs d'énergie, mes cas que je dois sauver seul avec mes super pouvoirs et bien ... je suis une loque toute la semaine.

Merci le snuipp, l'unsa, les décideurs de l'en....d'avoir permis cela.

+1. Le mardi soir et le mercredi me permettaient de me reposer ET de préparer ma classe.

Et j'ai un triple niveau et 1h30 de trajet.

Marre de tirer sur la corde.

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Où je découvre que le snuipp est conscient de la dérive possible/probable vers une municipalisation.

Où je découvre que refuser de voter c'est mieux que voter.

Où je redécouvre que MES conditions de travail passent après les conditions d'apprentissage de mes élèves, dans l'action d'un syndicat (oki, je sais, ils sont plusieurs à faire pareil) , syndicat financé par MES sous (ou pas; maso, mais pas trop).

Où je découvre que le snuipp est conscient de la dérive possible/probable vers une municipalisation.

Où je découvre que refuser de voter c'est mieux que voter.

Où je redécouvre que MES conditions de travail passent après les conditions d'apprentissage de mes élèves, dans l'action d'un syndicat (oki, je sais, ils sont plusieurs à faire pareil) , syndicat financé par MES sous (ou pas; maso, mais pas trop).

C'est aussi cela que je déplore. Défendre le service public, ce devrait surtout être pour le bien -être des travailleurs (à l'envers, je dirais même "le non mal-être" parce qu'on en est là). On se donne bonne conscience en martelant que c'est pour le bien de l'enfant et on occulte toujours le bien des enseignants.

Défendre le service public, c'est défendre tous les salariés. Il est dramatique de voir que des enseignants ne comprennent pas l'intérêt de ce service. Être fonctionnaire, ce n'est pas seulement être salarié. Vous serez donc les premiers satisfaits quand on vous proposera de choisir entre un CDI avec 20 % de salaire en plus et le statut, comme ils l'ont fait à Pôle Emploi. Aujourd'hui, beaucoup regrettent d'avoir fait le premier choix.

Je n'ai pas compris ton commentaire su pôle emploi.

Quand il y a eu fusion entre ASSEDIC et ANPE, on a proposé aux salariés de renoncer à leur statut contre 20 % de hausse de salaire. La plupart ont accepté. Aujourd'hui, leur salaire n'a pas bougé contrairement aux salaires des fonctionnaires qui même si le point d'indice est gelé, continuent de voir leur avancement pris en compte.

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Mais où avez-vous vu que la FSU était financée par vos sous ? Si vous êtes syndiqués, oui, mais alors c'est un choix.

Et où est-il dit que les conditions de travail des enseignants passent après les conditions d'apprentissage des élèves ?

Et oui, la municipalisation est un risque bien plus grand que le fait de travailler le mercredi (ce que font 90 % des salariés, qui ne s'en plaignent pas spécialement d'ailleurs).

D'ailleurs pendant qu'on y est travaillons 35 h avec élèves. Après tout près de 90% des ouvriers et autres passent ce temps dans leur entreprise.

Moi avant j'étais une loque le mardi soir ou je terminais en apnée. ça allait mieux le jeudi. Maintenant avec le mercredi, mon double niveau sans repos, mes élèves dévoreurs d'énergie, mes cas que je dois sauver seul avec mes super pouvoirs et bien ... je suis une loque toute la semaine.

Merci le snuipp, l'unsa, les décideurs de l'en....d'avoir permis cela.

La fatigue est dur au travail le mercredi ? Moi, j'étais déjà fatigué l'an dernier, tout en étant à 4 jours. Et tu parles des 35 heures mais ça n'a rien à voir.

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Mais où avez-vous vu que la FSU était financée par vos sous ? Si vous êtes syndiqués, oui, mais alors c'est un choix.

Et où est-il dit que les conditions de travail des enseignants passent après les conditions d'apprentissage des élèves ?

Et oui, la municipalisation est un risque bien plus grand que le fait de travailler le mercredi (ce que font 90 % des salariés, qui ne s'en plaignent pas spécialement d'ailleurs).

Ben pourquoi est-ce un risque ? Allons jusqu'à la privatisation, après tout la majorité des salariés travaille en entreprise et elle ne s'en plaint pas !

Frédo, arrête, tu t'emballes là ! :getlost: Ce genre d'arguments ne fait vraiment pas avancer le débat, et comme tu es l'un des seuls à afficher ton appartenance au SNUIPP, tu le décrédibilises....

Là aussi, je ne vois pas bien le lien. Les salariés dans leur majorité travaillent le mercredi, cela n'ajoute pas plus de fatigue.

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