Frédo45 Posté(e) 22 mars 2015 Posté(e) 22 mars 2015 Je suis étonné qu'on ne parle pas des CHSCT. Dans mon département, nous invitons les collègues à s'en saisir. Et ça regroupe de nombreux sujets, pas seulement les agressions verbales, mais les conditions de travail en général... Et je suis toujours surpris que le moindre fait divers devienne ici l'occasion d'un dénigrement de certains syndicats et de la publicité des autres... Quand je vois le nombre de collègues que nous accompagnons dans des audiences auprès des IEN et pour des sujets très divers dont les relations avec les parents, et qu'on vient expliquer ici qu'on ne fait rien pour les collègues, j'avoue rester bouche bée...
nola Posté(e) 22 mars 2015 Posté(e) 22 mars 2015 Je suis étonné qu'on ne parle pas des CHSCT. Dans mon département, nous invitons les collègues à s'en saisir. Et ça regroupe de nombreux sujets, pas seulement les agressions verbales, mais les conditions de travail en général... Et je suis toujours surpris que le moindre fait divers devienne ici l'occasion d'un dénigrement de certains syndicats et de la publicité des autres... Quand je vois le nombre de collègues que nous accompagnons dans des audiences auprès des IEN et pour des sujets très divers dont les relations avec les parents, et qu'on vient expliquer ici qu'on ne fait rien pour les collègues, j'avoue rester bouche bée... Ce que tu dis est bien entendu vrai et les collègues sont conscients du travail que font les délégués du personnel au niveau local. Par contre, beaucoup ne comprennent pas les positions des syndicats au niveau national. Défendre les individus, c'est très bien et les CHST sont de bons outils mais il faudrait aussi qu'il y ait une vraie défense de la profession dans son ensemble pour stopper la dégradation générale des conditions d'exercice du métier. Et ça aucun délégué du personnel aussi dévoué et énergique soit il ne peut faire ce travail en étant constamment amené à gérer les conséquences néfastes de politiques approuvées, ou plutôt réclamées, par les directions nationales de la CFDT,de l'UNSA et de la FSU. Autant essayer de vider la Méditerranée avec une petite cuillère.
Goëllette Posté(e) 22 mars 2015 Posté(e) 22 mars 2015 Oui, et puis, même localement, les collègues ont quelques difficultés à se faire entendre ou représenter pour des problèmes qui ne rentrent pas dans les préoccupations de certains syndicats, ou tout simplement pour poser une question générale à l'Administration. Quand ils appellent ou envoient un mail, ils n'obtiennent pas de réponse, ou on leur répond que c'est comme ça, qu'il y a d'autres priorités, ou carrément, qu'ils ne poseront pas la question car ils sont en désaccord avec ça. Parce qu'il ne faut pas toujours tout rejeter sur le national. C'est parfois également le "local" qui fait que les collègues ne se mobilisent plus.
Frédo45 Posté(e) 22 mars 2015 Posté(e) 22 mars 2015 Je suis étonné qu'on ne parle pas des CHSCT. Dans mon département, nous invitons les collègues à s'en saisir. Et ça regroupe de nombreux sujets, pas seulement les agressions verbales, mais les conditions de travail en général... Et je suis toujours surpris que le moindre fait divers devienne ici l'occasion d'un dénigrement de certains syndicats et de la publicité des autres... Quand je vois le nombre de collègues que nous accompagnons dans des audiences auprès des IEN et pour des sujets très divers dont les relations avec les parents, et qu'on vient expliquer ici qu'on ne fait rien pour les collègues, j'avoue rester bouche bée... Ce que tu dis est bien entendu vrai et les collègues sont conscients du travail que font les délégués du personnel au niveau local. Par contre, beaucoup ne comprennent pas les positions des syndicats au niveau national. Défendre les individus, c'est très bien et les CHST sont de bons outils mais il faudrait aussi qu'il y ait une vraie défense de la profession dans son ensemble pour stopper la dégradation générale des conditions d'exercice du métier. Et ça aucun délégué du personnel aussi dévoué et énergique soit il ne peut faire ce travail en étant constamment amené à gérer les conséquences néfastes de politiques approuvées, ou plutôt réclamées, par les directions nationales de la CFDT,de l'UNSA et de la FSU. Autant essayer de vider la Méditerranée avec une petite cuillère. Mais c'est étonnant... On a l'impression que le 3 février, la FSU n'a pas appelé à un mouvement de grève sur justement les conditions de travail, appel que les syndicats soi-disant à l'écoute des collègues n'ont pas jugé nécessaire de suivre. On a l'impression aussi que la FSU n'appelle pas ) la grève le 9 avril... N'y a-t-il pas ici une forme de désinformation ?
Frédo45 Posté(e) 22 mars 2015 Posté(e) 22 mars 2015 Oui, et puis, même localement, les collègues ont quelques difficultés à se faire entendre ou représenter pour des problèmes qui ne rentrent pas dans les préoccupations de certains syndicats, ou tout simplement pour poser une question générale à l'Administration. Quand ils appellent ou envoient un mail, ils n'obtiennent pas de réponse, ou on leur répond que c'est comme ça, qu'il y a d'autres priorités, ou carrément, qu'ils ne poseront pas la question car ils sont en désaccord avec ça. Parce qu'il ne faut pas toujours tout rejeter sur le national. C'est parfois également le "local" qui fait que les collègues ne se mobilisent plus. Ecoute, nous recevons peut-être 10 mails de collègue par jour à certaines périodes. A cela s'ajoutent les appels téléphoniques et les commissions où il faut siéger. Sincèrement, il peut arriver que nous oubliions des messages ou que nous répondions avec du retard (d'autant plus que parfois, les questions sont si pointues qu'il nous faut effectuer des recherches pour répondre, car, oui, nous ne sommes pas juristes). Mais c'est à la marge. Excuse-moi, si les collègues ne croyaient plus en nous, ils ne nous contacteraient pas autant. En ce moment, nous sortons des permutations et de nombreux collègues nous appellent pour les opérations d'ineat-exeat. Personnellement, je suis resté une demi-heure avec une collègue qui allait très mal. Oui, c'est vrai, je n'avais pas beaucoup de réponses à lui donner. Mais je l'ai écoutée et je pense qu'elle en avait besoin. En ce moment aussi, il y a le mouvement et dans notre département, il y a 200 PES. La dernière RIS que nous avons organisée a rassemblé près de 100 collègues. Mercredi prochain, je reçois à ma permanence 3 collègues pour les aider dans leurs démarches. A cela tu ajoutes aussi la carte scolaire et là aussi, on nous contacte sur le sujet. Non, sincèrement, les collègues continuent de nous faire confiance. D'ailleurs, nous avons déjà atteint le nombre de syndiqués de l'an passé...
Silvestri Posté(e) 22 mars 2015 Posté(e) 22 mars 2015 Oui, et puis, même localement, les collègues ont quelques difficultés à se faire entendre ou représenter pour des problèmes qui ne rentrent pas dans les préoccupations de certains syndicats, ou tout simplement pour poser une question générale à l'Administration. Quand ils appellent ou envoient un mail, ils n'obtiennent pas de réponse, ou on leur répond que c'est comme ça, qu'il y a d'autres priorités, ou carrément, qu'ils ne poseront pas la question car ils sont en désaccord avec ça. Parce qu'il ne faut pas toujours tout rejeter sur le national. C'est parfois également le "local" qui fait que les collègues ne se mobilisent plus. Ecoute, nous recevons peut-être 10 mails de collègue par jour à certaines périodes. A cela s'ajoutent les appels téléphoniques et les commissions où il faut siéger. Sincèrement, il peut arriver que nous oubliions des messages ou que nous répondions avec du retard (d'autant plus que parfois, les questions sont si pointues qu'il nous faut effectuer des recherches pour répondre, car, oui, nous ne sommes pas juristes). Mais c'est à la marge. Excuse-moi, si les collègues ne croyaient plus en nous, ils ne nous contacteraient pas autant. En ce moment, nous sortons des permutations et de nombreux collègues nous appellent pour les opérations d'ineat-exeat. Personnellement, je suis resté une demi-heure avec une collègue qui allait très mal. Oui, c'est vrai, je n'avais pas beaucoup de réponses à lui donner. Mais je l'ai écoutée et je pense qu'elle en avait besoin. En ce moment aussi, il y a le mouvement et dans notre département, il y a 200 PES. La dernière RIS que nous avons organisée a rassemblé près de 100 collègues. Mercredi prochain, je reçois à ma permanence 3 collègues pour les aider dans leurs démarches. A cela tu ajoutes aussi la carte scolaire et là aussi, on nous contacte sur le sujet. Non, sincèrement, les collègues continuent de nous faire confiance. D'ailleurs, nous avons déjà atteint le nombre de syndiqués de l'an passé... Oui, les collegues se syndiquent pour un service de proximité (mouvement, Exeat-Ineat, ouverture/fermeture de classe....), mais de là à dire que tous les syndiqués sont en accord avec la direction nationale.....Sincerement, je ne sais pas de quel syndicat tu es un representant, mais lorsque Mrs Sihr ou Chevalier racontent certaines aneries sur les ondes comme, par exemple-et pour faire rapide- la satisfaction des enseignants sur les rythmes, certains encartés tombent des nues. D'ailleurs peu de syndiqués ont pris la peine de s'attarder sur les accords de Bobigny et n'en connaissent pas les signataires....
lilie2fr Posté(e) 22 mars 2015 Posté(e) 22 mars 2015 perso je suis syndiquée car la section locale est très présente, active, à l'écoute...par contre la branche nationale sort beaucoup de c********.
Goëllette Posté(e) 22 mars 2015 Posté(e) 22 mars 2015 Je suis d'accord MAIS ce n'est pas le cas partout et TOUS les problèmes ne sont pas entendus par TOUS les syndicats, donc il y a des problématiques pourtant importantes qui ne trouvent pas de réponse et des collègues qui sont désemparés. Tout n'est pas la faute "du national" ...
Frédo45 Posté(e) 22 mars 2015 Posté(e) 22 mars 2015 Oui, et puis, même localement, les collègues ont quelques difficultés à se faire entendre ou représenter pour des problèmes qui ne rentrent pas dans les préoccupations de certains syndicats, ou tout simplement pour poser une question générale à l'Administration. Quand ils appellent ou envoient un mail, ils n'obtiennent pas de réponse, ou on leur répond que c'est comme ça, qu'il y a d'autres priorités, ou carrément, qu'ils ne poseront pas la question car ils sont en désaccord avec ça. Parce qu'il ne faut pas toujours tout rejeter sur le national. C'est parfois également le "local" qui fait que les collègues ne se mobilisent plus. Ecoute, nous recevons peut-être 10 mails de collègue par jour à certaines périodes. A cela s'ajoutent les appels téléphoniques et les commissions où il faut siéger. Sincèrement, il peut arriver que nous oubliions des messages ou que nous répondions avec du retard (d'autant plus que parfois, les questions sont si pointues qu'il nous faut effectuer des recherches pour répondre, car, oui, nous ne sommes pas juristes). Mais c'est à la marge. Excuse-moi, si les collègues ne croyaient plus en nous, ils ne nous contacteraient pas autant. En ce moment, nous sortons des permutations et de nombreux collègues nous appellent pour les opérations d'ineat-exeat. Personnellement, je suis resté une demi-heure avec une collègue qui allait très mal. Oui, c'est vrai, je n'avais pas beaucoup de réponses à lui donner. Mais je l'ai écoutée et je pense qu'elle en avait besoin. En ce moment aussi, il y a le mouvement et dans notre département, il y a 200 PES. La dernière RIS que nous avons organisée a rassemblé près de 100 collègues. Mercredi prochain, je reçois à ma permanence 3 collègues pour les aider dans leurs démarches. A cela tu ajoutes aussi la carte scolaire et là aussi, on nous contacte sur le sujet. Non, sincèrement, les collègues continuent de nous faire confiance. D'ailleurs, nous avons déjà atteint le nombre de syndiqués de l'an passé... Oui, les collegues se syndiquent pour un service de proximité (mouvement, Exeat-Ineat, ouverture/fermeture de classe....), mais de là à dire que tous les syndiqués sont en accord avec la direction nationale.....Sincerement, je ne sais pas de quel syndicat tu es un representant, mais lorsque Mrs Sihr ou Chevalier racontent certaines aneries sur les ondes comme, par exemple-et pour faire rapide- la satisfaction des enseignants sur les rythmes, certains encartés tombent des nues. D'ailleurs peu de syndiqués ont pris la peine de s'attarder sur les accords de Bobigny et n'en connaissent pas les signataires.... En effet, certains collègues se syndiquent, excusez-moi du terme, par consumérisme. Mais souvent, passé ce besoin d'aide, ils restent syndiqués. Par ailleurs, le SNUipp a lutté contre la réforme des rythmes et en demande toujours la remise à plat. Si tout le monde n'a pas lu les accords de Bobigny (qu'on nous ressort à chaque fois en faisant mine de penser qu'être favorable à un étalement du temps scolaire signifie être en accord avec la réforme Peillon), tu ne sembles pas avoir lu les publications du SNUipp et notamment nos plateformes de grèves.
nola Posté(e) 22 mars 2015 Posté(e) 22 mars 2015 Je suis étonné qu'on ne parle pas des CHSCT. Dans mon département, nous invitons les collègues à s'en saisir. Et ça regroupe de nombreux sujets, pas seulement les agressions verbales, mais les conditions de travail en général... Et je suis toujours surpris que le moindre fait divers devienne ici l'occasion d'un dénigrement de certains syndicats et de la publicité des autres... Quand je vois le nombre de collègues que nous accompagnons dans des audiences auprès des IEN et pour des sujets très divers dont les relations avec les parents, et qu'on vient expliquer ici qu'on ne fait rien pour les collègues, j'avoue rester bouche bée... Ce que tu dis est bien entendu vrai et les collègues sont conscients du travail que font les délégués du personnel au niveau local. Par contre, beaucoup ne comprennent pas les positions des syndicats au niveau national. Défendre les individus, c'est très bien et les CHST sont de bons outils mais il faudrait aussi qu'il y ait une vraie défense de la profession dans son ensemble pour stopper la dégradation générale des conditions d'exercice du métier. Et ça aucun délégué du personnel aussi dévoué et énergique soit il ne peut faire ce travail en étant constamment amené à gérer les conséquences néfastes de politiques approuvées, ou plutôt réclamées, par les directions nationales de la CFDT,de l'UNSA et de la FSU. Autant essayer de vider la Méditerranée avec une petite cuillère. Mais c'est étonnant... On a l'impression que le 3 février, la FSU n'a pas appelé à un mouvement de grève sur justement les conditions de travail, appel que les syndicats soi-disant à l'écoute des collègues n'ont pas jugé nécessaire de suivre. On a l'impression aussi que la FSU n'appelle pas ) la grève le 9 avril... N'y a-t-il pas ici une forme de désinformation ? La FSU ne peut pas simultanément réclamer une refondation sur le dos des collègues (appel de Bobigny) et s'étonner que les situations difficiles se multiplient. Le SNUIPP ne peut pas défendre les conseils école-collège, qui se font au détriment des collègues (encore), alors que le SNES réclame que ce temps soit payé, le dit SNES qui trouvait tout à fait normal que la réforme des rythmes se fasse à moyen constant avec une baisse du pouvoir d'achat des PE. C'est en cela que les délégués SNUIPP locaux se retrouvent à gérer les conséquences de politiques approuvées plus haut. Mais tu sais déjà tout ça, n'est-ce pas? 1
Silvestri Posté(e) 23 mars 2015 Posté(e) 23 mars 2015 Je suis étonné qu'on ne parle pas des CHSCT. Dans mon département, nous invitons les collègues à s'en saisir. Et ça regroupe de nombreux sujets, pas seulement les agressions verbales, mais les conditions de travail en général... Et je suis toujours surpris que le moindre fait divers devienne ici l'occasion d'un dénigrement de certains syndicats et de la publicité des autres... Quand je vois le nombre de collègues que nous accompagnons dans des audiences auprès des IEN et pour des sujets très divers dont les relations avec les parents, et qu'on vient expliquer ici qu'on ne fait rien pour les collègues, j'avoue rester bouche bée... Ce que tu dis est bien entendu vrai et les collègues sont conscients du travail que font les délégués du personnel au niveau local. Par contre, beaucoup ne comprennent pas les positions des syndicats au niveau national. Défendre les individus, c'est très bien et les CHST sont de bons outils mais il faudrait aussi qu'il y ait une vraie défense de la profession dans son ensemble pour stopper la dégradation générale des conditions d'exercice du métier. Et ça aucun délégué du personnel aussi dévoué et énergique soit il ne peut faire ce travail en étant constamment amené à gérer les conséquences néfastes de politiques approuvées, ou plutôt réclamées, par les directions nationales de la CFDT,de l'UNSA et de la FSU. Autant essayer de vider la Méditerranée avec une petite cuillère. Mais c'est étonnant... On a l'impression que le 3 février, la FSU n'a pas appelé à un mouvement de grève sur justement les conditions de travail, appel que les syndicats soi-disant à l'écoute des collègues n'ont pas jugé nécessaire de suivre. On a l'impression aussi que la FSU n'appelle pas ) la grève le 9 avril... N'y a-t-il pas ici une forme de désinformation ? C'est aussi pour le 3 fevrier que la FSU n'a accepté aucune intersyndicale, se voulant seule, comme si elle voulait compter ses troupes aprés les elections professionnelles.... C'est aussi la FSU qui a refusé de se joindre aux mouvements contre les rythmes, il y a quelques mois et qui, aujourd'hui, s'étonne de la dégradation de nos condition de travail.... Alors maintenant, les mouvement perlés à l'appel d'organisations (fsu ou autre) qui, en quelques mois, n'hésitent pas à dire tout et son contraire, c'est sans moi.
Frédo45 Posté(e) 23 mars 2015 Posté(e) 23 mars 2015 La FSU ne peut pas simultanément réclamer une refondation sur le dos des collègues (appel de Bobigny) et s'étonner que les situations difficiles se multiplient.Le SNUIPP ne peut pas défendre les conseils école-collège, qui se font au détriment des collègues (encore), alors que le SNES réclame que ce temps soit payé, le dit SNES qui trouvait tout à fait normal que la réforme des rythmes se fasse à moyen constant avec une baisse du pouvoir d'achat des PE. C'est en cela que les délégués SNUIPP locaux se retrouvent à gérer les conséquences de politiques approuvées plus haut. Mais tu sais déjà tout ça, n'est-ce pas? Mais en quoi l'appel de Bobigny va-t-il à l'encontre des intérêts des collègues ? Le SNES n'a jamais demandé une baisse du pouvoir d'achat des PE. Tu dis vraiment n'importe quoi. Et le SNUipp défend les conseils école-collège mais demande une augmentation de notre rémunération.
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