Silvestri Posté(e) 28 mai 2015 Posté(e) 28 mai 2015 Véronique Soulé? Tu as vu le mal qu'elle nous a fait pour le rythmes?
Polythene Pam Posté(e) 28 mai 2015 Posté(e) 28 mai 2015 Véronique Soulé? Tu as vu le mal qu'elle nous a fait pour le rythmes? Certes, mais enfin, elle connaît un tantinet le mammouth.... Elle aura été piégée, comme tant d'autres, par ce miroir aux alouettes.... Comme l'UNSA, le SGEN, la FCPE etc.....
Silvestri Posté(e) 28 mai 2015 Posté(e) 28 mai 2015 Véronique Soulé? Tu as vu le mal qu'elle nous a fait pour le rythmes? Certes, mais enfin, elle connaît un tantinet le mammouth.... Elle aura été piégée, comme tant d'autres, par ce miroir aux alouettes.... Comme l'UNSA, le SGEN, la FCPE etc..... Oui, enfin, le propre d'un journaliste est aussi de ne pas boire les paroles de qui que ce soit et de diversifier ses sources....souviens toi de l'edito du Monde assassin à notre encontre.....enfin, on ne refera pas l'histoire.Mais pour ma part, dés que les medias invitent un "spécialiste de l’éducation", je change de chaine, ferme mon journal ou éteint la radio....c'est mieux pour ma santé . Les seuls spécialistes qui ne sont jamais invité, c'est nous!
sylvielise Posté(e) 28 mai 2015 Posté(e) 28 mai 2015 .Les seuls spécialistes qui ne sont jamais invité, c'est nous! Nous ne sommes pas des spécialistes, justes des exécutants : des ouvriers. Ni plus, ni moins.
vero3317 Posté(e) 28 mai 2015 Posté(e) 28 mai 2015 .Les seuls spécialistes qui ne sont jamais invité, c'est nous! Nous ne sommes pas des spécialistes, justes des exécutants : des ouvriers. Ni plus, ni moins. Dans un autre sujet, on se demande comment redonner l'autorité aux profs. Ca pourrait peut-être commencer par ne pas se dévaloriser (attention je ne méprise pas les ouvriers). Non, nous ne sommes pas des exécutants. Nous réfléchissons à ce que nous devons faire avec nos élèves, nous décidons de notre pédagogie, nous sommes en charge d'une chose essentielle, nous nous formons sans cesse pour nous renouveler... Alors oui, nous sommes les experts de l'éducation, des experts de terrain qui avons à la fois un pied dans le pratique et un pied dans le théorique, et pourtant nous ne sommes jamais invités sur les plateaux pour débattre, cela est toujours confié à des experts de la théorie. 1
jeanounette Posté(e) 29 mai 2015 Posté(e) 29 mai 2015 http://www.marianne.net/agora-ce-n-est-pas-eleve-qui-est-au-centre-vide-100233862.html "Notre système éducatif est frappé d'un mal sourd : la réunionite aiguë ! Doublée souvent d'une bureaucratie lancinante. Et comme le regrette Antoine Desjardins, "la réforme du collège de Mme Vallaud-Belkacem va probablement exiger à nouveau des réunions interdisciplinaires entre collègues". "Actuellement, écrit-il, ce n'est plus l'élève qui est au centre, ni l'instruction, ni la culture. Encore moins la pédagogie. Mais le blabla improductif et les faux semblants, les réunions, les cases à cocher." En un mot : "le vent" !"
Phil Guilen Posté(e) 12 juin 2015 Posté(e) 12 juin 2015 A lire et à diffuser : Daisy Christodoulou est une spécialiste reconnue de l.doc
prof désécol Posté(e) 13 juin 2015 Posté(e) 13 juin 2015 http://www.lepoint.fr/editos-du-point/sophie-coignard/reforme-du-college-vallaud-belkacem-ou-la-philosophie-du-saupoudrage-11-06-2015-1935423_2134.php [...] Il sera toujours temps d’apprendre plus tard ? Najat Vallaud-Belkacem, dans le même temps, fait, quant à elle, l’éloge du « saupoudrage » au collège. Oui, du saupoudrage ! Un peu de civilisation ancienne, un zeste d’éducation citoyenne, un soupçon de développement durable ou encore un rien de découverte du monde économique et professionnel. Voilà ce que proposent les nouveaux enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI) qui empiéteront sur le temps d’apprentissage des savoirs fondamentaux, ceux-là mêmes qui peuvent donner à chacun l’occasion de se surpasser. Saupoudrage, c’est le terme exact qu’a employé la ministre lors de son audition au Sénat, début juin : « C’est à nous de donner aux enfants le goût du travail et celui du mérite, en les initiant par exemple au latin et au grec. Et quand bien même ce ne serait que saupoudrage, il sera toujours temps d’approfondir et d’aller plus loin au lycée ou à l’université. » Ces propos ont fait bondir plusieurs associations de professeurs (1) : « La suppression aveugle de nombreux horaires disciplinaires au profit de dispositifs hasardeux et inégalitaires ne peut manquer de creuser les écarts entre établissements et élèves, et de compromettre définitivement la formation exigeante que l’on doit aux collégiens », assurent-elles dans un communiqué commun. On ne saurait mieux dire…
André Jorge Posté(e) 24 juin 2015 Posté(e) 24 juin 2015 L'Académie française critique la réforme du collège : L’Académie française brise enfin le silence. Elle accuse la reforme du collège d’un mauvais coup porté à la langue française, rejoignant ainsi les nombreuses critiques suscitées par ce projet du ministère de l’Education nationale, prévu entrée en vigueur à partir de 2016. http://www.linfo.re/france/societe/671945-l-academie-critique-la-reforme-du-college 1
Sarri Posté(e) 12 juillet 2015 Posté(e) 12 juillet 2015 Et pendant ce temps, là-haut on se congratule : http://www.liberation.fr/societe/2015/07/10/najat-vallaud-belkacem-recoit-les-felicitations-de-l-ocde_1345887 1
nonau Posté(e) 13 juillet 2015 Posté(e) 13 juillet 2015 Il faut vraiment se réveiller ces gens là n'oeuvrent pas pour le bien collectif mais pour les intérêts d'une petite Caste! 504 heures en moins de cours pour un élève pour les 4 années de collège (6mois de cours en moins)! On ne parle plus de connaissances mais de compétences (pour mieux casser les diplômes) à quand le retour du carnet de compétences du 19 ème siècle!??? La Sécurité Sociale, 1er système de Santé du monde en 2000 est passée dans le ventre mou des systèmes de santé européens, et 7 ème en en terme de mortalité infantile!!! C'est ça les Réformes, des économies pour mettre nos systèmes publics à genoux et puis les privatiser! 1
Sarri Posté(e) 13 juillet 2015 Posté(e) 13 juillet 2015 Petit rappel. En 1996, l'OCDE écrivait : "Si l’on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles ou aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement. "Centre de développement de l’OCDE-cahier de politique économique n°13-1996 Tout se tient!!! Et nous, abrutis que nous sommes, nous avalons tout ça en aquiéscant!!!
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant