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Pour une réforme intelligente de l'évaluation des enseignants


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Posté(e) (modifié)

Evaluer les enfants en début d'année, tenir compte des "dossiers particuliers (dys, PAP, etc) et évaluer les enfants en fin d'année pour voir les progrès effectués: le plus important et le minimum je pense!

A lire à ce propos :

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/04/18042013Article635018636808819436.aspx

La paye au mérite va-t-elle améliorer l'école anglaise ?

C'est leur circulaire de rentrée. A partir de septembre, selon les nouvelles instructions publiées par ministère de l'éducation, la paye des enseignants variera selon l'évaluation de leur mérite par leur chef d'établissement. L'Angleterre n'est pas la seule à basculer dans de nouvelles conditions de travail pour ses enseignants. Aux Etats-Unis B. Obama incite les districts locaux à aller en ce sens. Mais cette politique est-elle efficace ?

Paye au mérite et temps de crise

En Angleterre, le nouveau texte invite les chefs d'établissement et directeurs à évaluer les enseignants selon les progrès des élèves, la participation des enseignants dans la vie d el'école en dehors des heures de clase, les améliorations apportées aux leçons ou à la discipline dans l'établissement. Ils se baseront sur les visites de classe et les déclarations des enseignants. Mais il sont autorisés aussi à demander l'avis des parents et des élèves. A partir de septembre la nouvelle grille remplacera l'avancement à l'ancienneté.

L'Angleterre n'est pas seule. De nombreux pays de l'OCDE (environ la moitié) ont fait entrer la reconnaissance du mérite de l'enseignant dans sa rémunération. Aux Etats-Unis des districts utilisent les résultats des évaluation nationales pour estimer le niveau de rémunération des enseignants. On peut aller ainsi jusqu'à une paye strictement individuelle. Et la pression en ce sens est d'autant plus forte que les budgets sont contraints par la crise. L'idée c'est que les enseignants sont le premier outil d'amélioration de la productivité de l'école. "L'effet maitre" serait le premier responsable de la réussite des élèves et il y aurait urgence à faire partir les "mauvais maitres" et à encourager les bons.

Une étude hésitante de l'OCDE

En mai 2012, l'OCDE avait publié une étude hésitante sur l'efficacité de cette politique. Selon l'Organisation, dans les pays où le salaire des enseignants est particulièrement bas par rapport au PIB local, la performance des élèves est meilleure avec une paye au mérite. Dans les pays où le salaire des enseignants est élevé, la paye au mérite fait baisser les performances des élèves. Mais encore faut-il que la paye au mérite soit reconnue comme juste et équitable par les enseignants. Enfin l'Organisation insiste aussi sur le fait que la revalorisation de la fonction enseignante est liée à autre chose que la paye, par exemple en proposant de vraies carrières aux enseignants. [...]

"On peut aller ainsi jusqu'à une paye strictement individuelle. Et la pression en ce sens est d'autant plus forte que les budgets sont contraints par la crise"

Faire "progresser" les élèves tout en réalisant des économies sur le dos des enseignants, que demander de plus ?

Et aussi, dans un autre article du Café pédagogique déjà cité au début du sujet :

Thomas Lamarche replace la réforme de l'évaluation dans le cadre du new management qui encadre les enseignants et les dépossède de leur métier. Cela peut aller jusqu'au "teaching for the test" dont il souligne les retombées sociales négatives. Le thème fait écho dans la salle.

Teaching for test, autrement dit, tendre vers un enseignement centré sur ce qui sera évalué officiellement, et délaisser les autres contenus.

Si en plus, le salaire des enseignants doit dépendre des évaluations des élèves, on imagine que cela n'arrangera pas cette tendance...

Modifié par prof désécol
Posté(e)

J'ai pu observer en Angleterre les dérives de "teaching for the tests" : effectivement, on ne prépare les élèves qu'en vue de réussir aux évaluations, essentielles, puisqu'elles servent surtout à classer les écoles. Les apprentissages, ma foi, passent en deuxième. Les parents contournent les cartes scolaires, certaines écoles choisissent donc leurs élèves, en plus de choisir leurs enseignants qui, lors des entretiens d'embauche, doivent produire les résultats aux évaluations qu'ils ont fait passer.... Il est bien évident que la triche est tout à fait possible, lors du passage de consignes par exemple, comme cela a pu être observé lors des dernières évaluations CM2 du quinquennat précédent...

On se rebiffe outre-manche, parce que le système éducatif est en train de prendre le même chemin que celui des Américains, à plusieurs vitesses, avec d'un côté, les écoles d'élite (les écoles de riches existant depuis belle-lurette) et de l'autre, les écoles des pauvres.

On pourra dire ce que l'on voudra sur ce système, au moins, c'est clair. L'hypocrisie française est insupportable, parce que nos dirigeants rêvent de faire la même chose ici, mais évitent de le dire clairement, font perdurer un système éducatif à l'agonie tout en rêvant d'imiter la perfide Albion, sans le dire explicitement.

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Posté(e)

Amusant: on discute pour savoir à quelle sauce les gentils socio-libéraux vont nous manger, mais de manière "bienveillante", ça va de soit...

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J'ai pu observer en Angleterre les dérives de "teaching for the tests" : effectivement, on ne prépare les élèves qu'en vue de réussir aux évaluations, essentielles, puisqu'elles servent surtout à classer les écoles. Les apprentissages, ma foi, passent en deuxième. Les parents contournent les cartes scolaires, certaines écoles choisissent donc leurs élèves, en plus de choisir leurs enseignants qui, lors des entretiens d'embauche, doivent produire les résultats aux évaluations qu'ils ont fait passer.... Il est bien évident que la triche est tout à fait possible, lors du passage de consignes par exemple, comme cela a pu être observé lors des dernières évaluations CM2 du quinquennat précédent...

On se rebiffe outre-manche, parce que le système éducatif est en train de prendre le même chemin que celui des Américains, à plusieurs vitesses, avec d'un côté, les écoles d'élite (les écoles de riches existant depuis belle-lurette) et de l'autre, les écoles des pauvres.

On pourra dire ce que l'on voudra sur ce système, au moins, c'est clair. L'hypocrisie française est insupportable, parce que nos dirigeants rêvent de faire la même chose ici, mais évitent de le dire clairement, font perdurer un système éducatif à l'agonie tout en rêvant d'imiter la perfide Albion, sans le dire explicitement.

Pas sûr qu'en Angleterre les enseignants puissent faire grève...

http://www.humanite.fr/angleterre-cameron-sattaque-au-droit-de-greve-579563

Posté(e)

Amusant: on discute pour savoir à quelle sauce les gentils socio-libéraux vont nous manger, mais de manière "bienveillante", ça va de soit...

Quel pessimisme.

Les responsables politiques souhaitent réformer l'évaluation des enseignants car ils ont à coeur d'éduquer et d'instruire au mieux la jeunesse de notre pays, voilà tout.

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Posté(e)

J'ai pu observer en Angleterre les dérives de "teaching for the tests" : effectivement, on ne prépare les élèves qu'en vue de réussir aux évaluations, essentielles, puisqu'elles servent surtout à classer les écoles. Les apprentissages, ma foi, passent en deuxième. Les parents contournent les cartes scolaires, certaines écoles choisissent donc leurs élèves, en plus de choisir leurs enseignants qui, lors des entretiens d'embauche, doivent produire les résultats aux évaluations qu'ils ont fait passer.... Il est bien évident que la triche est tout à fait possible, lors du passage de consignes par exemple, comme cela a pu être observé lors des dernières évaluations CM2 du quinquennat précédent...

On se rebiffe outre-manche, parce que le système éducatif est en train de prendre le même chemin que celui des Américains, à plusieurs vitesses, avec d'un côté, les écoles d'élite (les écoles de riches existant depuis belle-lurette) et de l'autre, les écoles des pauvres.

On pourra dire ce que l'on voudra sur ce système, au moins, c'est clair. L'hypocrisie française est insupportable, parce que nos dirigeants rêvent de faire la même chose ici, mais évitent de le dire clairement, font perdurer un système éducatif à l'agonie tout en rêvant d'imiter la perfide Albion, sans le dire explicitement.

Pas sûr qu'en Angleterre les enseignants puissent faire grève...

http://www.humanite.fr/angleterre-cameron-sattaque-au-droit-de-greve-579563

C'est sûr, mais Thatcher avait déjà bien travaillé dans les années 80 en détruisant minutieusement les syndicats.

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Posté(e)

Moi non plus. On peut très bien imaginer quelqu'un qui ne souhaite pas travailler en équipe, harmoniser des documents ou des supports, participer à un rendu de fin d'année, mais qui dispense un enseignement de qualité au sein de sa classe. Ce serait donc un bon enseignant, mais "mauvais" selon les critères du ministère... Et ce serait bien dommage, parce qu'après tout, ce qu'il se passe en classe est bien le plus important.

Pour que les choses se passent pour le mieux en classe, il faut justement un travail d'équipe.

Le travail d'équipe permet :

- de partager ses compétences avec ses collègues : celui qui est bon en informatique peut aider les autres, celle qui excelle dans le domaine de la littérature enfantine peut apporter ses idées, ses projets et les partager avec les autres, etc. Et puis tout simplement : chacun peut donner son avis, apporter sa pierre à l'édifice et faire avancer les choses.

- de discuter avec ses collègues des problèmes que l'on rencontre en classe, profiter de leur expérience, essayer de trouver des solutions ensemble et au moins obtenir des conseils.

- de travailler ensemble sur des projets communs : kermesse, sorties pédagogiques, spectacles de chant, de danse, de percussions, chorale d'école,...

- d'harmoniser le travail : travailler sur les mêmes albums et projets, échanger les idées et les fiches d'activité, etc.

Il est difficile de travailler seul, et c'est au contraire tellement plus facile et plus plaisant de travailler à plusieurs.

Et enfin, qui sont les premières victimes du refus de partager et de travailler ensemble, de la mésentente entre les enseignants, voire des mauvais tours que se jouent certains enseignants dans certaines équipes et des chamailleries pendant les concertations ?

Ce sont les enfants.

Aujourd'hui, le concept de l'homme providentiel, qui sait tout faire et qui règle tous les problèmes, n'existe plus. On attends des gens qu'ils soient capables de travailler en équipe, de communiquer et d'échanger, de partager leurs idées et leurs valeurs et surtout d'avoir pour objectif de travailler pour l'intérêt de l'école et des élèves.

Après, je ne vais pas dire que c'est toujours facile ou même possible... Ca l'est pour moi cette année, avec des collègues volontaires, qui ont leur caractère, leurs exigences, leur personnalité, mais avec qui le travail est possible. Ca ne l'était pas il y a quelques années avec deux personnes individualistes qui faisaient "une école dans l'école", pour leur profit personnel, et au détriment des autres classes...

Un article des Cahiers pédagogiques :

http://www.cahiers-pedagogiques.com/L-esprit-d-equipe-c-est-possible

Ouille..

Il y aurait tant à dire et à débattre.

En vrac (parce qu’il y a deux affreux qui courent autour de moi et que curieusement, cela gêne ma concentration MAis parceque j'ai envie de réagir, même brièvement).

Cette proposition d'évaluation au mérite me met extrêmement mal à l'aise.

-Elle présuppose quelque part qu'une grande partie des enseignant n'est pas suffisamment investi (En gros, il faudrait distinguer ceux qui sont vraiment enseignants de ceux qui ne sont que fonctionnaires).

Hors, en toute honnêteté, je crois bien que l'immense majorité d'entre nous fait son métier plus que consciencieusement. Réellement.

-Je la ressentirais comme une pression permanente : pour peut que je gagne un peu moins que la collègue, et mon estime perso risquerait d'en prendre un sacré coup (ce qui est ridicule. Mais on ne se refait pas).

Quand au travail en équipe...

- Tu écris "Le travail en équipe permet d'harmoniser le travail : travailler sur les mêmes albums et projets, échanger les idées et les fiches d'activité"... Et bien moi, cela me dérange énormément cette tendance affichée depuis quelques temps par certains inspecteurs de pousser les collègues à uniformiser leurs outils. Si je bosse en freinet / en PI, et que le collègue est un adepte du transmissif... comment fait-on? C'est à celui qui a la plus grand gueule?

Si je construis ma méthode de lecture et que le collègue aime travailler avec son Gafi, on prend Gafi pour tout le monde? Et pourquoi aurait-il tort ou raison?

Parceque dans la réalité, il me semble que c'est plutôt cela : chacun cherche, produis de son côté des outils avec lesquels il se sent à l'aise. En général, dans les cours de récré, on discute de ce que l'on fait, de ce qui fonctionne ou non. On s'entend entre deux portes ou à midi pour adopter un outil commun...MAIS sans obligation.

Zut..

Je ne vais pas pouvoir détailler plus là.

J'espère pouvoir repasser.

Posté(e)

Pour que les choses se passent pour le mieux en classe, il faut justement un travail d'équipe.

Le travail d'équipe permet :

- de partager ses compétences avec ses collègues : celui qui est bon en informatique peut aider les autres, celle qui excelle dans le domaine de la littérature enfantine peut apporter ses idées, ses projets et les partager avec les autres, etc. Et puis tout simplement : chacun peut donner son avis, apporter sa pierre à l'édifice et faire avancer les choses.

Je vois dans ta réponse un exemple de collaboration, pas de travail d'équipe. Dans l'idée, tant mieux si on peut discuter avec ses collègues et se donner occasionnellement un coup de main. Mais ne pas le faire ne signifie pas que l'enseignant soit mauvais...

- d'harmoniser le travail : travailler sur les mêmes albums et projets, échanger les idées et les fiches d'activité, etc.

Mais pourquoi donc harmoniser? Pourquoi donc travailler sur les mêmes albums? Quel intérêt?

Il est difficile de travailler seul,

Je ne trouve pas.

et c'est au contraire tellement plus facile et plus plaisant de travailler à plusieurs.

Pas forcément. Ce qui te convient à toi ne doit pas forcément être étendu obligatoirement à tous. Le problème, à mon sens, du travail en équipe dans l'enseignement, c'est qu'il perd toute efficacité dès lors qu'il est imposé. Et, entre nous, il existe des collègues avec qui il est impossible de bosser ou avec qui on risquerait de se brouiller tant les conceptions du métier diffèrent.

Et enfin, qui sont les premières victimes du refus de partager et de travailler ensemble, de la mésentente entre les enseignants, voire des mauvais tours que se jouent certains enseignants dans certaines équipes et des chamailleries pendant les concertations ?

Ce sont les enfants.

En quoi les enfants seraient-ils victimes d'un refus de travailler ensemble? Je ne vois vraiment pas en quoi cela les pénalise si Alfred fait bosser sa classe d'une façon et Robert d'une autre. La mésentente dans l'équipe est un autre problème qui n'a rien à voir, à mon avis, avec le travail en équipe.

Aujourd'hui, le concept de l'homme providentiel, qui sait tout faire et qui règle tous les problèmes, n'existe plus. On attends des gens qu'ils soient capables de travailler en équipe, de communiquer et d'échanger, de partager leurs idées et leurs valeurs et surtout d'avoir pour objectif de travailler pour l'intérêt de l'école et des élèves.

Qui est ce "on" qui attend tant de choses? ;) En fait, je crois foncièrement qu'on attend d'un enseignant qu'il enseigne et qu'il le fasse bien.

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Posté(e)

Si déjà on pouvait former correctement nos évaluateurs à l'évaluation...... afin qu'on cesse de casser de l'enseignant lors de certaines visites- inspections... avant de vouloir modifier tout le système....

Posté(e)

Si déjà on pouvait former correctement nos évaluateurs à l'évaluation...... afin qu'on cesse de casser de l'enseignant lors de certaines visites- inspections... avant de vouloir modifier tout le système....

Ca, c'est pas demain la veille, puisque le secondaire copie le primaire : le MEN crée un diplôme de CPC pour les collèges et lycée, avec comme experts pédagogiques, les corps d'inspection... On fait donc du copié-collé d'un système dont la base laborieuse connait les limites...

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2015/07/24072015Article635733295990125898.aspx

L'efficacité des CPC dans le primaire n'a jamais été évaluée réellement, quand on connait l'arbitraire pour les validations de CAFIPEMPF, on est en droit de rester coit.

Il existe des CPC formidables, mais combien de brebis galeuses, de chiens-chiens à sa mémère, de CPC qui n 'ont pas eu de classe depuis des années, est-ce vraiment sérieux ?

Dans des circos où l'IEN se comporte en monarque, décide de tout, sans concertation si ce n'est les courbettes de ses sbires, ça va être trop bien. Les IEN forment et recrutent eux-mêmes leurs CPC, alors quand ce même IEN a choisi cette carrière dans un but de soutien, de formation, d'évaluation, de projets cohérents, on peut sauter de joie (j'en connais, mais il me semble qu'ils ne sont pas très nombreux....).Mais lorsque nous avons à faire à des despotes, des fonctionnaires zélés, alors là....

On se demande bien ce que veut le MEN en définitive, c'est tout et n'importe quoi, à l'emporte-pièce; Les besoins en formation sont criants, on nous pond des CPC du secondaire, en sachant comment ça se passe dans le primaire.

Consternant.

Posté(e)

Si déjà on pouvait former correctement nos évaluateurs à l'évaluation...... afin qu'on cesse de casser de l'enseignant lors de certaines visites- inspections... avant de vouloir modifier tout le système....

Ca, c'est pas demain la veille, puisque le secondaire copie le primaire : le MEN crée un diplôme de CPC pour les collèges et lycée, avec comme experts pédagogiques, les corps d'inspection... On fait donc du copié-collé d'un système dont la base laborieuse connait les limites...

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2015/07/24072015Article635733295990125898.aspx

L'efficacité des CPC dans le primaire n'a jamais été évaluée réellement, quand on connait l'arbitraire pour les validations de CAFIPEMPF, on est en droit de rester coit.

Il existe des CPC formidables, mais combien de brebis galeuses, de chiens-chiens à sa mémère, de CPC qui n 'ont pas eu de classe depuis des années, est-ce vraiment sérieux ?

Dans des circos où l'IEN se comporte en monarque, décide de tout, sans concertation si ce n'est les courbettes de ses sbires, ça va être trop bien. Les IEN forment et recrutent eux-mêmes leurs CPC, alors quand ce même IEN a choisi cette carrière dans un but de soutien, de formation, d'évaluation, de projets cohérents, on peut sauter de joie (j'en connais, mais il me semble qu'ils ne sont pas très nombreux....).Mais lorsque nous avons à faire à des despotes, des fonctionnaires zélés, alors là....

On se demande bien ce que veut le MEN en définitive, c'est tout et n'importe quoi, à l'emporte-pièce; Les besoins en formation sont criants, on nous pond des CPC du secondaire, en sachant comment ça se passe dans le primaire.

Consternant.

Il me semble que le diplôme de formateur du second degré (CAFFA) s'adresse plutôt à l'équivalent des PEMF dans le premier degré. Le terme "conseiller pédagogique" dans le second degré a ce sens là dans la mesure où ils ne sont pas déchargés de leur classe.

Posté(e)

Malheureusement sur ma circo les IEN changent très souvent , 5 en 15 ans!!!!!

Dans mon ancienne circo : 6 en 5 ans, tous stagiaires (donc zélés...).

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