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L’éducation nationale épargnée par la réforme territoriale


Frédo45

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Ah ma petite tête!!! Elle est bien dure n'est-ce pas???

Ce serait tellement plus honnête de la part du SNUIPP de dire que vous avez fait une énorme erreur stratégique en signant un chèque en blanc au gouvernement PS en 2012. Vous avez ouvert la porte aux termites et maintenant vous voulez nous faire croire que vous allez les combattre. Ma petite tête, elle comprend juste que vous nous avez mis dans une belle mer... dont on ne se sortira plus.

Modifié par André Jorge
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Quel chèque en blanc ? A-t-on signé un accord avec le MEN ? Non.

Modifié par André Jorge
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Quel chèque en blanc ? A-t-on signé un accord avec le MEN ?

Signé la Refondation où figure ce Décret des rythmes...Oui! Ensuite on peut remarquer que le SNUIPP a bougé uniquement parce que la base était (est) mécontente, comme la Réforme du collège d'ailleurs

où c'est la base qui a poussé..

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Tu oublies juste que dans la refondation, il y avait 60.000 créations de postes et que l'urgence était là... Mais on aurait pu continuer à supprimer des postes, déjà que les effectifs sont costauds...

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60 000 créations de postes de quoi ? de "pseudo-formateurs" dans les ESPE ou bien d'enseignants devant les élèves ? :getlost: On est loin de combler les 80 000 postes supprimés sous l'ère Sarko... Quid des écoles où l'on ne compte pas les élèves de Clis dans les effectifs et où l'on se retrouve avec des doubles-niveaux Cm1-Cm2 à 30 élèves dont 2 élèves de Clis ? :unsure:

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Tu oublies juste que dans la refondation, il y avait 60.000 créations de postes et que l'urgence était là... Mais on aurait pu continuer à supprimer des postes, déjà que les effectifs sont costauds...

Il n'y aura pas 60 000 postes créés; ça a déjà été montré et des articles sur ce sujet ont été postés. De toute manière entre les dispositifs estampillés refondation (2 ans, plus de maitre que de classe), les créations (nécessaires) de postes non enseignants parfois très précaires, et la hausse de la démographie, le primaire "ordinaire" restera largement sous-doté.

Au bilan, Hollande aura continué la politique sarkozyste avec un emballage un poil plus attrayant mais relevant plus des bonnes intentions que d'une réelle amélioration des conditions de travail qui sont aussi les conditions d'étude des élèves, on ne le répètera jamais assez.

Quant à la territorialisation, c'est bien un objectif des socio-libéraux et les déclarations de Valini, Boissinot et Roussel le montrent clairement. Je ne pense pas que ce soit un objectif nouveau. Il n'y a pas de dérive locale de la réforme des rythmes vers une territorialisation de l'école. Elle atteint au contraire son objectif premier...

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Ca je sais qu'il n'y aura pas 60.000 postes, notamment car il n'y a pas assez de candidats (d'où une nécessaire revalorisation salariale et les négociations avec M. Lebranchu, même s'il y a certains points intéressants comme le traitement proposé de l'ISAE, ne peuvent nous rendre optimistes) mais si ça avait été N. Sarkozy, sois honnête, il y aurait encore eu diminution du nombre d'enseignants avec le non-remplacement d'un départ en retraite sur deux. Tu sais très bien que ce que je dis est vrai. On ne peut donc pas faire comme si tout était identique. Oui le mandat Hollande est marqué par une adhésion franche au social-libéralisme mais un mandat Sarkozy aurait été l’avènement de l'ultra-libéralisme en France, une forme de "thatchérisme" avec 20 ans de retard.

Quant à la territorialisation, à partir du moment où tu prends comme exemple la Finlande, évidemment que c'est le chemin privilégié. En Finlande, les programmes répondent à des impératifs municipaux... Donc oui mais je continue à dire qu'il ne faut pas confondre réforme de la semaine scolaire et municipalisation. On aurait très bien pu changer de rythmes sans introduire une municipalisation.

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Donc oui mais je continue à dire qu'il ne faut pas confondre réforme de la semaine scolaire et municipalisation. On aurait très bien pu changer de rythmes sans introduire une municipalisation.

Il était quand même évident depuis le départ que pour les technocrates du ministère, la réforme des rythmes permettait de créer le chaos à partir duquel il sera beaucoup plus simple d'amener la territorialisation de l'enseignement. Il suffisait d'un peu de bon sens et je suis convaincu que beaucoup des hauts dirigeants du SNUIPP en sont dotés. Alors pourquoi avoir soutenu la mise en place de cette réforme?? Boulette ou pas boulette?

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Mais quand a-t-on soutenu la réforme des rythmes scolaires ? Encore une fois, malhonnêteté.

Et non, une réforme des rythmes n'est pas forcément synonyme de municipalisation. La preuve, la réforme Darcos.

Il y en a des Nostradamus après coup.

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Mais quand a-t-on soutenu la réforme des rythmes scolaires ? Encore une fois, malhonnêteté.

Et non, une réforme des rythmes n'est pas forcément synonyme de municipalisation. La preuve, la réforme Darcos.

Il y en a des Nostradamus après coup.

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Donc oui mais je continue à dire qu'il ne faut pas confondre réforme de la semaine scolaire et municipalisation. On aurait très bien pu changer de rythmes sans introduire une municipalisation.

Il était quand même évident depuis le départ que pour les technocrates du ministère, la réforme des rythmes permettait de créer le chaos à partir duquel il sera beaucoup plus simple d'amener la territorialisation de l'enseignement. Il suffisait d'un peu de bon sens et je suis convaincu que beaucoup des hauts dirigeants du SNUIPP en sont dotés. Alors pourquoi avoir soutenu la mise en place de cette réforme?? Boulette ou pas boulette?

On aurait pu oui, mais ça ne répondait pas aux objectifs affichés (amélioration des résultats des élèves) donc ça a bien été fait dans un autre but. La structure même de la réforme et le forcing fait sur les PDET nous disent quel était le vrai but...

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Les PEDT, c'est un flop... Plein de mairies n'en ont pas mis en place, certaines même qui proposaient des activités après la classe. D'autres en reviennent. Une commune proche de chez moi a décidé de tout stopper et de remplacer les activités périscolaires par l'allongement de l'accueil de loisirs (ce qui n'est pas bête au passage).

Il n'y a que le gouvernement pour s'en rendre compte. Mais on en revient toujours au même constat. Le problème ne vient pas des 4 jours et demi...

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