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Posté(e) (modifié)

http://www.lagazettedescommunes.com/429880/financements-leducation-est-elle-vraiment-nationale/

 

Financements : l’éducation est-elle vraiment nationale ?

 

Les collectivités territoriales supportent une part importante du financement de l’éducation. En 2014, leur part globale atteignait 35,2 milliards d’euros, soit près du quart de la dépense intérieure d’éducation. Mais les disparités territoriales restent importantes.

 

L’éducation est-elle encore nationale ? C’est la question que pose Charlotte Magri, enseignante dans les quartiers nord de Marseille, dans une lettre ouverte à Najat Vallaud-Belkacem pour l’alerter sur l’état de délabrement de son école.

 

La commune, le département et la région ont respectivement la charge des écoles, des collèges et des lycées. Propriétaires des locaux, ils en assurent « la construction, la reconstruction, l’extension, les grosses réparations, l’équipement et le fonctionnement », dispose la loi. Aux locaux, se rajoutent la cantine, le périscolaire, les activités artistiques, les équipements numériques, les livres scolaires… Le tout est tributaire des finances locales et des décisions politiques. La polémique à propos des écoles des quartiers nord de Marseille, outrageusement délabrées, est une flagrante illustration des inégalités territoriales en matière d’éducation.

 

En 2011, une étude de l’Association nationale des directeurs de l’éducation des villes (Andev) pointait les écarts entre écoles : de 1 à 10 pour les frais de fonctionnement, quand les crédits annuels d’investissement variaient de 0 à plus de 1800 euros par élève. [...]

Modifié par prof désécol
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http://75.fo-snudi.fr/files/--N-11-Communique-carte-scolaire-75.pdf

 

 

Cette austérité profite à l’école privée : dans une école du 14ème, fermeture d’une classe dans une école publique et ouverture d’une école privée à proximité. Et la mairie en fait la publicité !

Le rectorat prévoit une fermeture à l’école publique 87 bld Arago, après avoir fermé le poste E l’an dernier. La fermeture entraînerait des classes à 30 et des doubles niveaux à 26/27 élèves. Inacceptable, d’autant plus qu’une école privée bilingue ouvrira à la rentrée, à 20 mètres de l'école publique avec des classes à 24 maximum…et sans ARE. La mairie du 14ème y consacre une pleine page de publicité dans son bulletin, ce qui n’empêche pas la maire d’écrire dans son éditorial : « nous continuerons d’agir en faveur de l’école »« avec comme boussole les principes de la laïcité, de l’égalité (…) » ! En deux jours, plus de 200 parents ont signé une pétition contre la fermeture de classe, une délégation sera présente au CTA avec les syndicats.

 

 

C'est le PS qui tient la mairie du 14ème arrondissement de Paris?

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http://www.lagazettedescommunes.com/429880/financements-leducation-est-elle-vraiment-nationale/

 

Financements : l’éducation est-elle vraiment nationale ?

 

Les collectivités territoriales supportent une part importante du financement de l’éducation. En 2014, leur part globale atteignait 35,2 milliards d’euros, soit près du quart de la dépense intérieure d’éducation. Mais les disparités territoriales restent importantes.

 

L’éducation est-elle encore nationale ? C’est la question que pose Charlotte Magri, enseignante dans les quartiers nord de Marseille, dans une lettre ouverte à Najat Vallaud-Belkacem pour l’alerter sur l’état de délabrement de son école.

 

La commune, le département et la région ont respectivement la charge des écoles, des collèges et des lycées. Propriétaires des locaux, ils en assurent « la construction, la reconstruction, l’extension, les grosses réparations, l’équipement et le fonctionnement », dispose la loi. Aux locaux, se rajoutent la cantine, le périscolaire, les activités artistiques, les équipements numériques, les livres scolaires… Le tout est tributaire des finances locales et des décisions politiques. La polémique à propos des écoles des quartiers nord de Marseille, outrageusement délabrées, est une flagrante illustration des inégalités territoriales en matière d’éducation.

 

En 2011, une étude de l’Association nationale des directeurs de l’éducation des villes (Andev) pointait les écarts entre écoles : de 1 à 10 pour les frais de fonctionnement, quand les crédits annuels d’investissement variaient de 0 à plus de 1800 euros par élève. [...]

 

Rien de nouveau sous le soleil ; les inégalités sont présentes depuis que l'école est communale...donc vers 1833...pour les garçons.

Les nouveaux rythmes ont au moins permis à certains de prendre conscience de quelque chose.

Jusqu'à maintenant cela ne choquait personne que la commune A donne 60€/élève et la commune B 30€/élève ; heureusement que les NAP sont arrivées pour que tout le monde s'en rende compte...

Posté(e)

Creuser les inégalités est une bonne politique de droite.

 

En 1883, la droite républicaine de l'époque souhaitait simplement alphabétiser le paysan pour en faire un ouvrier et un soldat pour casser du boche, encadré par quelques travailleurs intellectuels en guise d'officiers (les instituteurs par exemple).

 

En 2016, le PS n'a guère plus d'ambition.

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http://www.lagazettedescommunes.com/429880/financements-leducation-est-elle-vraiment-nationale/

 

Financements : l’éducation est-elle vraiment nationale ?

 

Les collectivités territoriales supportent une part importante du financement de l’éducation. En 2014, leur part globale atteignait 35,2 milliards d’euros, soit près du quart de la dépense intérieure d’éducation. Mais les disparités territoriales restent importantes.

 

L’éducation est-elle encore nationale ? C’est la question que pose Charlotte Magri, enseignante dans les quartiers nord de Marseille, dans une lettre ouverte à Najat Vallaud-Belkacem pour l’alerter sur l’état de délabrement de son école.

 

La commune, le département et la région ont respectivement la charge des écoles, des collèges et des lycées. Propriétaires des locaux, ils en assurent « la construction, la reconstruction, l’extension, les grosses réparations, l’équipement et le fonctionnement », dispose la loi. Aux locaux, se rajoutent la cantine, le périscolaire, les activités artistiques, les équipements numériques, les livres scolaires… Le tout est tributaire des finances locales et des décisions politiques. La polémique à propos des écoles des quartiers nord de Marseille, outrageusement délabrées, est une flagrante illustration des inégalités territoriales en matière d’éducation.

 

En 2011, une étude de l’Association nationale des directeurs de l’éducation des villes (Andev) pointait les écarts entre écoles : de 1 à 10 pour les frais de fonctionnement, quand les crédits annuels d’investissement variaient de 0 à plus de 1800 euros par élève. [...]

 

Rien de nouveau sous le soleil ; les inégalités sont présentes depuis que l'école est communale...donc vers 1833...pour les garçons.

Les nouveaux rythmes ont au moins permis à certains de prendre conscience de quelque chose.

Jusqu'à maintenant cela ne choquait personne que la commune A donne 60€/élève et la commune B 30€/élève ; heureusement que les NAP sont arrivées pour que tout le monde s'en rende compte...

 

 

Merci à l'UNSA de nous avoir ouvert les yeux et l'esprit! Vraiment maintenant que nous connaissons la vérité nous nous sentons mieux.Pfff

 

Depuis 2011...il y a 70 organisations différentes de la journée de l'enfant, le mien se tape les mêmes journées qu'avant avec le mercredi en plus et ...le vendredi après-midi en moins! Quelle belle avancée!

 

Donc grâce à ces nouveaux nous creusons encore plus les inégalités car le temps géré par la municipalité et ses "animateurs" a considérablement augmenté!

De plus,  à une inégalité financière, se rajoute une inégalité de rythmes biologiques!

 

Ce que je préfère dans cette histoire: le privé qui conserve le droit de choisir! Et qui choisit à presque l'unanimité la coupure du mercredi avec le soutien des parents!!!

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http://75.fo-snudi.fr/files/--N-11-Communique-carte-scolaire-75.pdf

 

 

Cette austérité profite à l’école privée : dans une école du 14ème, fermeture d’une classe dans une école publique et ouverture d’une école privée à proximité. Et la mairie en fait la publicité !

Le rectorat prévoit une fermeture à l’école publique 87 bld Arago, après avoir fermé le poste E l’an dernier. La fermeture entraînerait des classes à 30 et des doubles niveaux à 26/27 élèves. Inacceptable, d’autant plus qu’une école privée bilingue ouvrira à la rentrée, à 20 mètres de l'école publique avec des classes à 24 maximum…et sans ARE. La mairie du 14ème y consacre une pleine page de publicité dans son bulletin, ce qui n’empêche pas la maire d’écrire dans son éditorial : « nous continuerons d’agir en faveur de l’école »« avec comme boussole les principes de la laïcité, de l’égalité (…) » ! En deux jours, plus de 200 parents ont signé une pétition contre la fermeture de classe, une délégation sera présente au CTA avec les syndicats.

 

 

C'est le PS qui tient la mairie du 14ème arrondissement de Paris?

 

 

Oui. Carine Petit, maire PS du 14e, proche d'Hidalgo.

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http://75.fo-snudi.fr/files/--N-11-Communique-carte-scolaire-75.pdf

 

 

Cette austérité profite à l’école privée : dans une école du 14ème, fermeture d’une classe dans une école publique et ouverture d’une école privée à proximité. Et la mairie en fait la publicité !

Le rectorat prévoit une fermeture à l’école publique 87 bld Arago, après avoir fermé le poste E l’an dernier. La fermeture entraînerait des classes à 30 et des doubles niveaux à 26/27 élèves. Inacceptable, d’autant plus qu’une école privée bilingue ouvrira à la rentrée, à 20 mètres de l'école publique avec des classes à 24 maximum…et sans ARE. La mairie du 14ème y consacre une pleine page de publicité dans son bulletin, ce qui n’empêche pas la maire d’écrire dans son éditorial : « nous continuerons d’agir en faveur de l’école »« avec comme boussole les principes de la laïcité, de l’égalité (…) » ! En deux jours, plus de 200 parents ont signé une pétition contre la fermeture de classe, une délégation sera présente au CTA avec les syndicats.

 

 

C'est le PS qui tient la mairie du 14ème arrondissement de Paris?

 

 

Oui. Carine Petit, maire PS du 14e, proche d'Hidalgo.

 

 

ok, merci. Pourquoi ça ne m'étonne pas? :devil_2:

  • 9 mois plus tard...
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        Au revoir, François   :devil_2:

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